A Christmas Carol (Un conte de Noël) – Film de Robert Zemeckis (2009)

Je n’ai pas l’habitude de parler des films que je vois à l’exception de ceux qui ont certain rapport avec les livres et la littérature.  Et comme cette fois, il s’agit d’une adaptation de « Un conte de Noël« , par Charlie himself, je ne pouvais pas résister!  De toute façon, comme une charmante vendeuse m’avait indiqué que j’étais bien en retard pour Noël, il fallait bien que je me mette dans l’ambiance!  Alors ne vous attendez pas à une analyse cinématographique sérieuse; je n’y connais rien!!

Cette adaptation de Dickens par Disney est un film d’animation 3D qui respecte selon moi assez bien l’histoire telle que racontée par Dickens.  Pour ceux qui ne connaissent pas, il s’agit d’un homme, Ebezener Scooge, avare et mesquin qui déteste Noël.  Il sera visité par le fantôme de son ex-associé, Jacob Marley, qui lui annoncera la visite de trois spectres qui le feront réfléchir et lui donneront peut-être une nouvelle chance. 

Quand je parle de respect de l’oeuvre, je parle de l’histoire.  Les scènes m’apparaissent assez bien respectées (je parle de mémoire, je ne connais pas le livre si par coeur que ça), on se balade dans les mêmes épisodes du passé de Scrooge et de son présent, et la morale est la même.  Toutefois, on a rajouté beaucoup de passages d’action probablement pour tirer le meilleur parti possible du 3D.  Pas que ça m’ait embêtée, j’aime bien ces séquences, mais ça peut surprendre.  Il n’y a que l’une d’entre elle qui m’a paru un peu longue.  On alterne donc entre des séquences très sombres, voire assez terrifiantes, des moments d’humour très simple (parfois un peu facile mais bon, je n’ai rien contre ça), et des plans de mouvement 3D.   Moi, ça m’a plu, même si j’ai eu la peur de ma vie à au moins deux endroits!!  Marley dans le heurtoir… j’ai failli me cacher en dessous de mon siège!!!  Et le fantôme des Noëls futurs est horrifiant… carrément!!   Le fantôme des Noëls passés m’a quant à lui laissée un peu perplexe!!  À noter que la voix plaintive et apeurée d’un petit enfant s’est fait entendre haut et fort après la visite de Marley « maman, je veux plus rester ici, je veux m’en aller chez nous tout de suite »!!!  Pour les très jeunes enfants, je pense que c’est un peu trop de fantômes pas jolis et de sursauts!

J’ai beaucoup aimé les vues panoramiques de Londres, j’avais vraiment l’impression de voler au-dessus de la ville!  J’étais comme un petit enfant quand je reconnaissais les endroits, c’est vraiment très beau!  Je me suis même prise à tenter d’éviter les cheminées et les clochers d’église!!  Bon, la première minute donne un peu mal au coeur mais on s’habitue assez vite… et on profite de cette balade à vol d’oiseau dans le ciel Londonien!  La séquence d’ouverture est assez parlante et on peut constater jusqu’à quel point Scooge est bête et méchant.  Bien entendu, la distinction entre l’avant et l’après est grossie à son maximum… mais c’est un conte et je l’aime comme ça!

On peut voir Jim Carrey dans plusieurs rôles… et Colin dans un seul!  Mais j’ai passé un très bon moment, j’avais hâte à Noël et la magie s’est emparée de moi.  Tiens, je vais demander au Docteur de m’amener passer un Noël à Londres dans les années 1800, tiens!!!  Les rues étaient vraiment très, très jolies!!!

Léo, l’autre fils – Hélène Lucas

Présentation de l’éditeur
« Léo, un garçon sensible et attachant, doit se résigner à quitter la maison familiale. Ce départ l’effraie, car il craint que sa mère ne l’oublie durant cette absence prolongée.

Des circonstances tragiques ont engendré une relation malheureuse avec sa mère. Il sait qu’elle ne s’est jamais remise de la mort de son frère aîné, décédé avant sa naissance. Elle est prisonnière de l’époque où elle était heureuse, où Samuel faisait sa fierté et son bonheur. Léo ignore cependant que le désespoir l’a poussée à prendre une décision contre nature, dont les conséquences lui sont insupportables.

Ce récit bouleversant relate la quête d’amour d’un enfant dans un contexte familial déchirant. Ce jeune garçon parviendra-t-il à atteindre le cœur de sa mère ou sera-t-il condamné à vivre une enfance malheureuse? Sa mère finira-t-elle par lui accorder une chance de bonheur et se pardonner l’abominable erreur commise avant sa naissance? »

Commentaire

C’est réellement une rencontre manquée entre ce livre et moi.  Je suis un peu déçue (bon… ça me déçoit toujours de ne pas aimer un livre, j’avoue) vu que c’était la première fois qu’un éditeur d’ici (du Québec, quoi) me proposait un livre et malheureusement, ça n’a pas vraiment fonctionné. 

Ce livre nous emmène dans la vie de Marielle et Marc, pour qui ce fut le coup de foudre au premier regard.  Ils menaient une vie de rêve (bon… ou presque, il n’y a pas de situation parfaite) jusqu’à la maladie et au décès de leur fils aîné Samuel.  À partir de ce moment-là, tout partira en vrille et c’est Léo, l’autre fils du couple, qui en paiera le prix, surtout qu’ils ont un secret qu’ils ne veulent pas révéler à qui que ce soit (bon… je l’avais tout de suite deviné, ce qui n’a sans doute pas aidé). 

Léo est un personnage attachant.  Bien qu’il soit souvent triste et que la vie ne l’ait pas épargné, il semble avoir une capacité infinie d’amour et d’espoir en lui.   Par contre, là où ça a bloqué, c’est que je n’ai à aucun moment pu apprécier le personnage de Marielle, la mère, qui souffre tant qu’elle ne peut ouvrir son coeur à son fils.  En fait, elle m’a profondément énervée; impossible de s’y attacher.  Je ne pouvais m’empêcher de considérer le reste de sa famille comme des saints de l’endurer, en lui faisant très rarement des reproches, en la comprenant toujours, en l’encourageant et en la valorisant le plus souvent dans ses décisions, même quand ça les faisait souffrir.  J’ai nettement préféré le personnage du père, malgré ses problèmes; au moins, il semblait « vouloir » faire quelque chose.  Bref, j’ai eu du mal à comprendre pourquoi cette femme récoltait tant d’amour et de compréhension autour d’elle et elle m’était très antipathique.  Déjà là, ça partait bien mal.  Et j’ai bien essayé d’être sympathique à sa cause!

Ce qu’il faut savoir aussi, c’est que je travaille dans un domaine où je vois presque quotidiennement des familles dysfonctionnelles.  Je vois ce que ça fait aux enfants, aux relations de famille, aux parents qui souffrent de ne pas pouvoir bien s’occuper de leurs enfants.   On dirait que je me blinde à ces situations et à long terme, je n’ai jamais vu d’issue telle que présentée ici.  Le petit Léo a une capacité de résilience incroyable… Vous me direz que c’est là la beauté des romans.  Et je suis d’accord.  Mais j’ai quand même eu du mal à croire à tout ça, à toutes ces tuiles qui tombent les unes après les autres, et au dénouement final.  Disons que j’ai eu quelques « ben voyons »… au cours de ma lecture. 

Finalement, quand je lis un roman, j’aime « travailler » un peu.  J’aime devoir décoder les sentiments et j’ai du mal quand on me révèle à mesure tout ce que pensent chacun des personnages.  Je préfère me faire mes hypothèses, mes idées.  Et je n’ai pas eu besoin de le faire ici.  L’écriture est sobre, on la sent travaillée, l’auteure prend bien soin de décrire les sensations et les petits gestes des personnages pour permettre au lecteur de bien visualiser et elle utilise plusieurs métaphores lorsqu’il est question d’amour ou de passion.  Dans les dialogues, ça m’a tenue à distance, autant de l’histoire de famille que de l’histoire d’amour, à laquelle j’ai eu du mal à croir. 

Bref, comme je le disais, un rendez-vous manqué pour moi.  J’espère ne pas me faire lancer de tomates pour autant… je crois avoir compris où on voulait en venir.  Je n’ai juste pas adhéré.  Pourtant, ce livre a su trouver son public, vu qu’il a gagné le Prix des lecteurs du réseau des bibliothèques de la ville de Québec en 2009 (un article ici).  Trouvez aussi ici l’article d’un lecteur qui a été très touché par cette histoire. 

Merci aux éditions Sylvain Harvey de me l’avoir fait parvenir. 

Aventures magasino-swappesques!

*Désolée d’avance, je sais que ce n’est pas la faute des libraires, le temps que prennent les  commandes à arriver!  Et je sais aussi qu’il ne peut pas tout y avoir dans une librairie… mais là, le ton et les arguments sans faille, mon histoire personnalle avec le magasin en question… et l’état post-grippal, ça m’a fait sauter les plombs!*


Je ne sais pas si vous le réalisez, mais je suis dans une période hyyyyper calme question achats de livres ces temps-ci.  En fait, je fuis carrément les librairies et je n’avais pas mis les pieds dans celles de ma région depuis une éternité.  Je jure que c’est super vrai, en plus!! J’ai tellement décidé de venir à bout de ma pile que je n’ai même pas demandé de livres pour Noël!!!  C’est tout dire!!

Mais bon, parfois, on n’a pas le choix.  J’ai deux swaps en cours et bon… « quand y faut, y faut »!!  Armée de ma liste, j’ai donc entrepris de faire la tournée de touuuutes les librairies dans un rayon de 60 km autour de chez moi.  (Bon, ça a l’air gros comme ça… mais en fait, il y en a trois!  Plus la grande surface du coin.  Je sais, c’est terrible!)

Comme je suis vraiment bien sage, je n’ai regardé QUE pour les swaps et QUE pour les titres que j’avais soulignés.  J’étais super fière de moi sauf que bon, après avoir fait les trois librairies indépendantes, je n’avais absolument rien trouvé!!  Je me rabats donc sur la grande surface – en priant un peu, sachant combien c’est compliqué, voire impossible, de commander en ligne en français dans des délais acceptables ici.  Ceux qui m’ont vue rager après un certain site internet en sont témoins.  Parce que bon, quand ils ne l’ont plus, le livre, pourquoi ils le mettent disponible?  Et quand en plus, ils réalisent que bon, impossible de le commander pour eux, ça ne se fait plus (et ce même quand il est encore dispo un peu partout), ils ne pourraient pas genre… AVERTIR LE CLIENT??  Ou au moins, ne pas se décider à envoyer le livre 27 mois après!!  Expérience vécue, ici!!!  Bref je n’ai jamais ce que je veux quand je veux… et je bougonne!  Fermons la parenthèse!!

Bon, bien entendu, je n’ai rien trouvé des titres que je voulais (quand même, j’en avais un choix d’une dizaine, avec des préférences… mais là, zéro sur la dizaine!!!) mais je ne m’y attendais pas vraiment.  Je décide donc de tenter le ciel et de tenter la commande en magasin… des fois qu’ils daigneraient nous appeler/envoyer un mail quand la commande arrive, pour une fois!  (Encore une fois, expérience vécue… même s’ils m’ont dit que c’était carrément IM-POS-SI-BLE que ce soit arrivé… ben oui, j’ai inventé ça, moi…  et c’est pas comme si j’effaçais mes archives!!)  Je vous résume donc ma conversation avec la vendeuse de livres…  Et j’avoue qu’elle a franchement réussi à me boucher!

Moi: Je voudrais commander le livre X, de l’auteur Y
Vendeuse: C’est de qui?
Moi: Ben… de l’auteur Y…
Vendeuse: Ah, excuse, je pensais que c’était le titre du livre qui continuait!
Moi: …  (on s’entend, l’auteur est un auteur classique… pas un illustre inconnu!)
Vendeuse: C’est récent?
Moi: Heu… non, en fait.  Ca doit avoir quoi… 150-170 ans.
Vendeuse: Ah ok, c’est pour ça qu’on l’a pas en stock, c’est vieux!
Moi: …

Vendeuse: Ok, on va t’envoyer un mail quand on va l’avoir.
Moi: Vous avez une idée du délai?
Vendeuse: Ah ben là, tsé, on peut pas vraiment savoir, c’est le temps des fêtes!!
Moi: … (imaginez mes sourcils qui s’arquent brusquement)
Vendeuse: C’est toujours plus long, dans le temps des fêtes!
Moi: Ben… c’est qu’on est au début de novembre, là!!
Vendeuse: C’est ça, c’est le temps des fêtes.  Ca va probablement mettre de 6 à 8 semaines!
Moi: …  
Vendeuse: Ben… c’est que c’est Noël, là…
Moi: C’est Noël le 7 novembre?
Vendeuse: Ben non, c’est le 25 décembre!
Moi: … (sérieux, tu me dis pas?!?!?!  Eh, je suis ébahie par cette nouvelle!)
Vendeuse: Mais pour les cadeaux, faut que tu commandes bien avant ça… là, c’est pas certain que tu vas les avoir à temps pour Noël…
Moi: …
Vendeuse: C’est que c’est Noël!
Moi: Alors la prochaine fois, je commande mes cadeaux de Noël en plein été, pour être certaine de les avoir à temps, c’est ça?
Vendeuse: Ou tu achètes des livres qu’on a déjà.  C’est ça le moins compliqué, au fond.
Moi:…
Vendeuse: Tu veux en acheter un qu’on a déjà?
Moi: Non, merci, en fait, je pense qu’on va laisser faire… je m’en vais faire mon sapin et ma bûche de Noël, là… vous venez de me faire réaliser que j’étais vraiment en retard!  Je stresse!

Après ça on se demande pourquoi j’achète plus de livres en anglais qu’en français!?!?!?!

Le Comte de Monte-Cristo – Alexandre Dumas

Présentation de l’éditeur
« 1815.  Louis XVIII rétabli sur le trône se heurte à une oppision dont l’Empereur, relégué à l’île d’Elbe, songe déjà à profiter. Dans Marseille livrée à la discorde civile, le moment est propice aux règlements de comptes politiques ou privés.  C’est ainsi que le marin Edmond Dantès, à la veille de son mariage, se retrouve, sans savoir pourquoi, arrêté et conduit au château d’If…

Paru en 1844-1846, Le Comte de Monte-Cristo connut un succès qui ne s’est pas démenti, ce qui en fait une des oeuvres les plus populaires de la litérature mondiale.  L’abbé Faria, l’évasion inouîe, le trésor grâce auquel les bons seront récompensés et les traîtres punis: le fabuleux destin d’Edmond Dantès possède la simplicité et la force des grand mythes. 

Conteur ébouissant, aussi à l’aise dans l’action que dans le dialogue, dumas nous entraîne, sans nous laisser reprendre souffle, du cabinet de Louis XVIII à la Méditérannée des contrebandiers, des îles toscanes aux catacombes de Rome, puis dans les salons parisiens où le mystérieux comte de Monte-Cristo se dispose à accomplir sa vengeance… »

Commentaire
Ce billet, je l’avais promis à Pimpi à la suite d’une relecture du Comte de Monte-Cristo.  En réalité, je l’avais écrit, mis dans mes brouillons parce que je n’avais pas recopié la présentation de l’éditeur,  et j’avais oublié que je l’avais rédigé… ou du moins que je ne l’avais pas publié!!!  Difficile d’écrire un billet à la hauteur, par contre!  Mais bon, here it is!!

Le Comte, je l’ai découvert adolescente et j’avais passionnément aimé ce récit.  Relu des années plus tard suite à un film, j’avais encore plongé tête première.  J’avais un peu peur de m’y remettre, par crainte d’une déception,  mais j’en avais une envie folle alors j’ai dévoré les deux tomes!  Et j’ai toujours autant aimé.  Quel homme, ce Edmond Dantès, tout de même!  Et quelle histoire pleine de péripéties!  Et quelle écriture!!  Un pur délice!!

Il est presque impossible de résumer cette histoire tant les aventures abondent, tant elle est riche!   C’est une histoire de vengeance, mais aussi une histoire que j’ai trouvée très humaine, très abordable.  Oui, c’est un gros pavé mais le talent de conteur de Dumas fait toute la différence: je n’a pas vu les pages se tourner.  Ce que j’ai pu vibrer avec Dantès, revenu pour assouvir sa vengeance sur ceux qui l’ont fait emprisonner ou qui en ont profité injustement, et prêt à tout pour ça!!  Je n’en ai carrément pas dormi tellement j’étais dans ce roman, en compagnie de Dantès, de l’abbé Faria, de Haydée et de Mercedes.  Je peux dire que j’y suis allée, dans cette prison, dans cette île, dans ces lieux.  C’est le genre d’histoire où je me fiche bien que ce soit parfois un peu gros, je veux juste que les bons soient récompensés et que la vengeance fonctionne!!!  Et pendant l’affrontement avec Montego… un peu plus et je lui criais des encouragements!  Ah, cette révélation!!! 

J’adore vraiment l’écriture de Dumas (même si j’ai entendu dire plus d’une fois qu’il avait de « l’aide » pour rédiger ses romans… j’adore quand même!).  Il y a une certaine dose d’humour qui apparaît dans les moments les plus inattendus et qui je nuit aucunement à l’intensité dramatique.  

Bref, une histoire qui me passionne toujours!     Dantès/Monte Cristo exerce sur moi une fascination incroyable, avec ses mystères, ses déguisements, son aura de toute puissance, sa loyauté envers ses amis, sans pour autant se révéler, le côté implacable de sa vengeance.  Et j’aime beaucoup la finale, qui ouvre sur la mer et où celui qui s’était pris pour un dieu cesse de regarder derrière.  Attendre et espérer!

Plaisir de lecture: 10/10

Sept choses qui rythment mon automne!

C’est Pascale et Lou qui m’ont tagguée!   Trouver sept choses qui ont rendu cet automne inoubliable!!!  Quoi, que sept???  C’est que ma vie est passionnante et fascinante, moi!!!    Je me demande qui sera surpris!!!

1. Le Docteur
Parce que bon, il est toujours avec moi, hein!  Et ce malgré ce que certaines personnes en disent!!    Avec le Doctor Swap, difficile de ne pas y penser tout le temps, entre la recherche d’idées géniales et les mails entre moi et ma co-organisatrice!   Sans compter les copines qui envoient des Doctor-cadeaux!!  En plus, je me suis retapé la série presque au complet (mais c’est de l’étude, au fond… pour le swap)!  Bref, he’s mine!!!  Surtout quand il a ses petites lunettes!!!

2.  New York
Un mois à le préparer, 5 jours là-bas… et je n’en suis pas encore revenue!!!  C’était vraiment un « trip de filles » super génial avec les copines!  Le truc, c’Était de boire des Cosmopolitan dans le plus d’endroits différents à New York!!  Il va d’ailleurs falloir que je fasse mon billet, en y repensant! 

3.  La danse sous toutes ses formes
Entre le baladi, la danse gitane, le flamenco et la troupe de danse, je m’en donne à coeur joie!!!  J’adore danser, je l’ai déjà dit??  (Désolée, pas de photo ici!  De un, on me voit le visage… et de deux, je ne me balade pas ainsi habillée devant tout le monde, quand même!!!)  C’est hyper étonnant, d’ailleurs, que je ne m’enfarge pas plus que ça, en dansant.  À part un coup d’évantail de temps en temps ou un coup de talon sur les orteils… je ne m’en tire pas trop mal!  Je n’ai même jamais coupé la tête de quelqu’un avec mon sabre par inadvertance!!!  C’est bien, non??

4.  Angélique
Je n’en ai lu que quatre tomes pour le moment… mais l’histoire, c’est qu’on en parle tout le temps avec les copines (il y en a toujours une qui lit un truc dont il FAUT absolument qu’elle parle)… et que j’en rêve tout autant!  Aaaaah, Joffrey… aaaah Philippe… Aaaaah le Rescator!!!

5.  Montréal
Parce que j’y vais aux trois semaines et que j’adore ça!!  Entre les bouquineries, les expos, les balades, les restos, les thés et les performances à Rock Band et Guitar Hero, c’est génial!!!  Je suis d’ailleurs à la veille de laisser ma brosse à dents chez Pimpi!!! j’y ai habité le temps de mes études et je ne m’en lasse pas!!  (PS…. c’est pas moi qui ai pris la photo!!)

6.  La patrouille de ski
Difficile d’y échapper, pendant l’automne, vu que c’est la formation des nouveaux et anciens patrouilleurs qui reprend!!  Et que je suis formatrice.  Et responsable de plusieurs autres trucs aussi, dont l’organisation de la compétition provinciale en mars prochain!!  Pour ceux qui se questionnent: oui, je sais faire du ski, non, je ne suis pas un danger public (du moins, pas encore) et oui, c’est la pire hypocondriaque du monde qui soigne les blessés sur les pentes et qui les descend jusqu’à l’ambulance.  Paradoxal, je sais!!!

7.  La grippe A
Quand on travaille dans un hôpital, on n’y échappe pas!!!  Entre les formations directes, les formations sur internet de plusieurs heures, les formations sur le vaccin, les formations sur le lavage de mains, les mémos quotidiens, l’hystérie collective et les patients qui te demandent prsque un bilan de santé avant de s’approcher de toi… difficile de faire autrement.  Et pour rajouter à tout ça… je l’ai eue!!!

Voilà donc pour mon fantastique automne!!!  Comme je suis terriblement en retard dans la lecture de blogs, je n’ai aucune idée de qui a été taggué…. mais comme j’aime bien donner des cadeaux, je vais nommer Pimpi, Yueyin, Jules, Hydromielle et Kitty!  Ne me remerciez pas!!

The lovely bones (La nostalgie de l’ange) – Alice Sebold

Présentation de l’éditeur
« Mon nom était Salmon, comme le poisson; Prémon, Susie.  J’avais quatorze and que j’ai été tuée le 6 décembre 1973.  Mon meurtrier était un homme de mon quartier.  Ma mère aimait ses fleurs, et mon père lui avait déjà parlé une fois, de fertilisants.

Susie Salmon  s’adresse à nous directement du paradis – qui ressemble beaucoup à la cour de son école, avec les bonnes balançoires, des conseillers qui aident les nouveaux venus à s’ajuster, et des amis avec qui habiter.  Tout ce que Susie désire apparaît dès qu’elle y pense – tout sauf ce qu’elle voudrait le plus au monde: retourner avec les gens qu’elle aime sur la terre. 

Du paradis, Susie voit sa famillie heureuse de banlieue dévastée pr sa mort, isolée l’un de l’autre alors qu’ils tentent de vivre avec leur perte terrible chacun de leur côté.  Avec les années, ses amis grandissent, tombent en amour, font toutes les choses qu’elle n’a pas eu la chance de faire elle-même.  Mais la vie n’en a pas encore fini avec Susie. »

Commentaire
C’est dans le cadre d’une lecture commune avec Calypso que je lis enfin ce livre que Kathel m’a envoyé en avril dernier.  J’avais bien envie de le lire vu que l’histoire de départ, celle d’une jeune fille assassinée qui suit sa famille du paradis, excitait vraiment ma curiosité.  Pourtant, au final, je reste quand même plus ou moins convaincue par ce livre auquel je suis restée somme toute assez extérieure. 

Dès le premier chapitre, Susie est violée et assassinée.  J’avais lu dans des blogs anglophones que c’était une scène vraiment horrible mais je dois être endurcie, faut croire.  De plus, le ton détaché de Susie, même face à son propre meurtre, m’a empêchée d’être totalement et complètement bouleversée.  En fait, je dois avouer que même si j’ai réussi à m’attacher à certains membres de sa famille, Susie elle-même m’a laissée assez froide. 

Dans cette histoire, Susie voit sa famille tenter de composer avec sa mort, l’absence de preuves, l’absence de corps.  Chacun réagit à sa manière, chacun a mal, mais vit avec ça de façon différente.  Le père s’accroche au souvenir et est convaincu de l’identité du meurtrier.   La mère essaie de continuer à vivre sans trop regarder derrière, quitte à se fuir pour ça.  Lindsey, la soeur cadette mais proche en âge, devient soudainement « la soeur de… »  et se forge une carapace pour tenter de rester elle-même et garder un certain contrôle de sa vie.  Quant à Ruth, une collègue de classe pas si proche que ça. mais que Susie a frôlé après sa mort, elle devient hantée par la jeune fille.  J’ai apprécié les différents cheminements, sur plusieurs années.  Tous ces dommages collatéraux, toutes ces vies que le geste d’un homme a bouleversées.  Pourtant, dans la première partie surtout, j’ai parfois eu des moments d’ennui, qui se sont dissipées pendant la seconde partie du livre, que j’ai davantage appréciée.   Certaines parties, en particulier la peine du père et le désarroi de Lindsay, ont réussi à m’émouvoir. J’ai aussi bien aimé le côté « la vie continue », le fait que la voix de Susie reste tout de même à 14 ans alors que tout change autour d’elle.  Le fait que ce sont les changements qui font que tout ça vaut la peine.

Par contre, un certain événement vers la fin du livre m’a fait lâcher un « ben voyons » retentissant!  Je suis bien prête à accepter, pour les besoins de l’histoire, l’idée de nos morts nous observant sur cette terre (je ne spoile rien en disans ça). Quelques apparitions-éclair de temps en temps, ça ne me dérange pas non plus, que ces apparitions soient réelles ou seulement espérées.  Mais bon, ça non, désolée.  (Je sais, je suis d’une clarté foudroyante… mais si vous avez lu, vous saurez tout de suite de quoi je parle!!).

Mitigée donc, même si ce roman a touché plusieurs personnes!  Merci encore à Kathel de me l’avoir offert!

Plaisir de lecture: 7/10
*j’ai de plus en plus de mal à noter ce fameux plaisir de lecture… j’hésite pendant un temps fou… (entre 6,5 et 7, pour cette fois) je songe vraiment à abandonner cette pratique!!*


Lire en VO – 3 (???) Je perds le compte, vu que mes billets sont publiés dans un ordre de type « grand n’importe quoi »!!!

Sans commentaire…


Extrait de conversation…

Mise en situation: une amie qui a déjà eu THE grippe (et qui n’a donc pas peur de moi) est venue me voir et on écoute Kaamelott (je sais, c’est mal, j’ai pas résisté…) après quelques drinks.

Elle: Et lui c’est qui??
Moi: C’est Lancelot.
Elle: Lancelot?  Il lançait des javelots?
Moi (un peu surprise quand même… je m’attendais pas à ça!): Euh non… c’est un chevalier de la Table ronde
Elle: …
Moi: Ben… le roi Arthur, la quête du Graal et tout ça. 
Elle: Comme dans le code Da Vinci?
Moi( qui met quand même quelques secondes à saisir le lien): Heu… non. Pas très, non. 

Et soudain, une idée de génie!

Moi: Lancelot, c’est Richard Gere!

Son visage s’éclaire!

Elle: ah mais fallait le dire!!!  Et lui, aavec le sabre de Jedi, c’est Sean Connery!   Je comprends, là!

Moi: Soupir…

Un ange passa…

Elle: Mais quand même… Julia Ormond, elle fait une bien plus belle « Geneviève », non?

On répond quoi à ça?!?!?!?!  C’est pas faux??  À la volette?? J’ai choisi de nous resservir un autre verre.  J’ai bien fait??

(Bon… il faut noter que plus tard, elle appelait Merlin « Gandalf »… et qu’il n’y a que l’image de Walt Disney qui a pu lui faire changer d’idées…  je pense qu’on n’a pas les mêmes références!!!)

Et juste pour ne pas que vous pensiez que je suis une amie horrible… la copine en question est morte de rire maintenant… et est à côté de moi pendant que j’écris mon billet!  Et je refuse de dire le nombre de verres qu’on a dans le nez! 

Quatre soeurs – tome 2 – Hortense – Malika Ferdjoukh

Présentation de l’éditeur
« Hortense, sur SA falaise, tient SON journal intime. 

Elle y raconte combien c’est dur d’être 1 sur 5, une parmi la multitude, surtout quand cette multitude est cmoposée de:
– Charlie qui veut tout réparer à la Vill’ Hervé et regarder à la dépense au lieu d’épouser basile le docteur, et vivre à ses crochets et de fêter Noël au foie gras.
– Geneviève qui ment alors qu’elle ne ment jamais.
– Bettina qui est odieuse avec les êtres les plus sensibles de l’univers, à savoir: elle, Hortense, et Merlin Gillepsie, le livreur magicien de Nanouk Surgelés, très, très laid mais si, si beau à l’intérieur.
–  Et Enid qui a des conversations à bâtons rompus avec son ami Gnome de la Chasse d’eau.

Hortense se demande ce qu’elle va devenir.  Architecte de monuments éternels?  Zuleika Lester, du feuilleton Cooper lane?  Chirurgienne de maladies incurables?  Et si c’était comédienne?  Une idée folle, complètement Saint-Pierre-et-Miquelon, comme dirait Muguette, la locataire malade de la maison voisine. 

Hortense sait que pour devenir comédienne, il faut une présence, uns voix, de la mémoire, mais surtout de l’entraînement.  Alors elle referme SON journal, elle quitte SA falaise, et elle fonce. »

Commentaire
Je pense que cette série, si elle continue comme ça, sera un coup de coeur!!!  C’est que j’ai encore davantage aimé ce tome que le précédent, Enid, dont je vous parlais hier!!  J’ai tout de suite enchaîné avec celui-ci, qui m’a vraiment beaucoup plu!!  Nous retrouvons encore les soeurs Verdelaine, auxquelles je me suis encore davantage attachée, vu qu’on découvre des côtés cachés de chacune d’entre elles qui nous les rendent encore plus sympathique.  J’aime beaucoup l’atmosphère un peu folle et pleine « d’insides »!  Quelqu’un qui arrive pour la première fois dans cette maison et qui assiste à une chasse aux monstre de Vill’ Hervé (et j’ai nommé Mycroft le rat pas vraiment domestique… que j’aime bien d’ailleurs… moi, je me suis attachée à un vilain rat… c’est que le livre a quelque chose!!!) se croirait définitivement dans une autre dimension!! Et tout ça sans tomber réellement dans le burlesque… juste dans l’attachant!!

Et quelle joie ces personnages secondaires!  J’adore Merlin, le livreur-magicien de chez Nanouk surgelés… j’espère sincèrement qu’on va le revoir!!  Et Muguette, qui encourage Hortense dans son envie de théâtre est vraiment sympathique.  Et la tante de Muguette… tout un numéro, celle-là!!!  Les filles se découvrent graduellement, dans cet univers un peu spécial, sans parents « réels », sans vrais référents, et tentent de s’épauler, avec l’aide d’amis de passage ou non.  C’est doudou comme lecture, je trouve!!

Dans ce tome, Hortense décide de se prendre en main et de sortir de sa coquille, pour tenter le théâtre.  Bettina, la populaire Bettina, est courtisée par Merlin, ce qui ne lui plaît pas nécessairement, Mycroft fait des siennes et Noël approche.  Et bon, je veux un Gnome de la chasse d’eau chez moi aussi au lieu d’une chasse d’eau qui déborde… mais c’est peut-être un message caché du dit gnome, qui voudrait que je sois un peu plus comminicative, vous ne croyez pas??

Une très agréable série, que je veux à tout prix continuer!  J’espère que je ne me répète pas trop d’un billet à l’autre car bon, vous ne le savez pas, mais ils ont été écrits à près de 3 semaines d’intervalle… c’est la faute à mon soooo pink computer qui s’est chicané avec son propre disque dur… lui aussi, ses hémisphères ne sont pas toujours d’accord, faut croire!!!

Plaisir de lecture: 8,5/10

Quatre soeurs – Tome 1 – Enid – Malika Ferdjoukh

Présentation de l’éditeur
« Enid doit faire dix-sept pas de l’abribus jusqu’à l’impasse de l’Atlantique qui mène à sa maison, la Vill’Hervé.  Un de moins que l’automne dernier.  La preuve que ses jambes allongent, donc qu’elle a grandi. 

N’empêche qu’elle est toujours la plus petite des cinq soeurs Verdelaine.  Personne ne la croit quand elle dit qu’elle a entendu un fantôme hurler dans le parc et faire de la musique.  Ni Charlie, trop occupée à réparer Madame Chaudière pour l’hiver et à arrêter de fumer pour faire des économies.  Ni Bettina et ses copines Denise et Béhotéguy, dites DBB (Division Bête et Bouchée), concentrées sur leur nombril.  Ni Geneviève, mobilisée par son propre secret très difficile à préserver.  Ni Hortense, plongée dans la rédaction de son journal intime.  Ni Tante Lucrèce qui n’écoute qu’Engelbert Humperdinck, son crooner préféré.  Ses parents la croiraient peut-être, mais ils sont morts depuis dix-neuf mois et vingt-deux jours.  Swift, sa chauve-souris, l’écouterait sûrement, mais elle a disparu dans la tempête, la nuit o`ule vieux sycomore du parc s’est mis à faire le poirier au fond du puits.

Il faut qu’Enid se résigne: « Convaincre les grands, c’est comme vouloir qu’un chewing gum mâchouillé une heure conserve son goût du début. »

Commentaire
L’achat de se livre, je la mets en-ti-è-re-ment sur la faute de mon ami Philippe.  Oui oui.  Bon, je peux me permettre de lui en mettre gros sur le dos parce qu’il n’y a aucuuuuune chance qu’il vienne me lire ici et qu’en plus, c’est vrai!  Eh oui, il m’a traînée de force dans une librairie alors que je me mourais de faim.  Et bon, quand jai trop faim, j’achète des livres!  Comment ça, vous ne voyez pas le lien?!?!?!

Toujours est-il que j’avais noté cette série je ne sais plus trop où mais je me souvenais que les deux bloggueuses (elles étaient deux) avaient réellement beaucoup aimé.  Comme je ne l’avais jamais vu auparavant, comment pouvais-je résister!  Surtout quand, en plus, j’avais faim?!?!  Et j’ai bien fait de céder parce que maintenant, je veux absolument lire la suite (bon, le deuxième tome est déjà lu… j’en avais pris deux pour prévoir le coup!) et j’ai beaucoup d’affection pour ces petites soeurs Verdelaine, orphelines, qui vivent dans leur grande maison isolée en s’appuyant comme ellles peuvent. 

Ce premier tome, bien que baptisé Enid, ne parle pas que de la plus jeune des soeurs.  Dans chacun des livres, on rencontre les cinq soeurs: Enid, la petite à l’imagination débordante; Hortense, plus timide, à l’abri de ses livres et de ses cahiers; Bettina, la fashion, pas toujours sympathique au premier abord; Geneviève, douce, réservée et maternelle et Charlie, l’aînée qui a laissé ses études en médecine pour gérer ce bateau.  J’ai beaucoup aimé l’atmosphère chaleureuse de la maison Verdelaine.  Chaleureuse malgré la tristesse qui plane parfois et très sympathique avec ses animaux apprivoisés et les éléments du quotidien qui font presque partie de la famille à part entière. 

Dans ce tome, Enid a perdu sa chauve-souris et elle tentera, par des moyens particuliers de la récupérer.  Les soeurs reçoivent aussi la visite de Colombe, fille d’une amie de Charlie, très sage, qui fait tout pour ne pas déranger mais qui, tout de même, ne s’inscrit pas du tout dans les plans de Bettina.   Ca semble banal comme histoire mais l’auteure sait bien dépeindre les adolescentes, qui sont tour à tour plus ou moins sympathiques, mais qui ont une voix d’ado, avec tout ce que ça implique de contradictions.  On sent dans les mots utilisés la personnalité distinctes des soeurs et elles réussissent à nous toucher!

Il me faut la suite, donc… demain!!

Plaisir de lecture: 8/10

Les bons moments de la semaine…


Ceux qui sont dans mes amis F***book le savent (du moins j’espère qu’ils le savent… je pense que je ne me suis jamais autant plainte de ma sainte vie), cette semaine, je suis malade.  Bon, pas si malade que ça, je vais survivre!  Mais je vous énonce mes symptômes et vous comprendrez toute l’étendue du problème:
– fièvre +++
– courbatures et douleurs musculaires
– maux de tête
– Toux, toux, toux (je l’écris trois fois parce que c’est incessant)
– Fatigue

Ca vous sonne des cloches?  Bref, avec la paranoïa ces temps-ci, je suis une totale paria de la société!!!  Les gens ont presque peur de me parler au téléphone, je suis interdite d’entrée à l’hôpital où je travaille… cloîtrée chez moi, en somme!!!  En quarantaine!!!  Jusqu’à samedi, en plus. 

Ma mère, qui a quand même un peu pitié de moi, vient me porter ce dont j’ai besoin pour ne pas mourir de faim… sauf qu’elle laisse le tout dehors sur le bord de la porte, je lui parle en signes de l’autre côté de la porte… et je ne réouvre la dite porte que quand elle est partie!!!  C’est digne des méthodes qui étaient prises en temps de peste!!!  Un peu plus et elle s’habillait avec un chapeau noir et un loooong manteau pour s’approcher de la maison!  Bref, je m’emmerde royalement. 

Mais de gentilles personnes ont illuminé ma semaine!  Oui oui!!!  Elles m’en ont mis plein la vue avec des visions du paradis, d’idylliques représentations de la perfection sur terre!  Je me suis donc baladée toute la journée avec un sourire rêveur en soupirant comme une adolescente!  Qu’est-ce que ce que ça fait du bien, un peu de beauté en ce bas monde!!!  Vous voulez voir??


Voici donc la preuve que j’ai le Docteur dans mon lit!!!  Comme c’est un alien, il est immunisé contre la grippe dont on ne peut prononcer le nom alors il peut me tenir compagnie!!!   Et je remercie sincèrement les deux bienfaitrices qui en sont responsables!!  D’abord Yueyin, pour ses superbes Docteur-marque-pages, que je garde très précieusement!  N’est-ce pas qu’ils sont magnifiques!!!  Je suis trop contente, si j’en avais eu la force, j’aurais sauté sur place en tapant des mains!!!  Et elle les a faites toute seule, en plus!  Quelle artiste!!!!  Et ensuite Le Mammouth, qui a eu la gentillesse de m’envoyer une aventure du Docteur en livres, avec Rose en plus!    Ces deux réceptions de colis ont donc été les moments forts de ma semaine!!!

Un super gros merci, les filles!!!

Et merci aussi à ceux qui m’écoutent bougonner, sur F**book, sur Skype ou au téléphone depuis 3 jours.  Je vous jure, je vous revaudrai ça!!!!  Et je jure aussi que je ne suis pas tout le temps tannante comme ça!!