Maintenant qu’il fait tout le temps nuit sur toi – Mathias Malzieu

Présentation de l’éditeur
« Comment on va faire maintenant qu’il fait tout le temps nuit sur toi?  Qu’est-ce que ça veut dire la vie sans toi?  Qu’est-ce qui se passe pour toi là?  Du rien? Du vide? De la nuit, des choses de ciel, du réconfort? »

Mathias, une trentaine d’années mais une âme d’enfant, vient de perdre sa mère.  Sans le géant qu’il rencontre su rle parking de l’hôpital, que serait-il devenu?  Giant Jack, 4,5m, « docteur en ombrologie », soigne les gens atteints de deuil.  Il donne à son protégé une ombre, des livres, la capacité de vivre encore et de rêver malgré la douleur.  Il le fera grandir. »

Commentaire
J’avais vraiment très hâte de lire ce livre, que je n’arrivais pas à trouver dans mon coin de pays.  Quelle joie d’avoir pu mettre la main dessus chez Gibert lors de mon récent passage parisien! 

« Maintenant qu’il fait tout le temps nuit sur toi » est un roman autobiographique, qui raconte le deuil d’une mère d’une façon à la fois poétique et onirique.  Quand on entre dans ce livre, on entre dans une bulle où le temps se fait fuyant, où rêve et réalité se confondent. 

J’ai commencé ce livre dans le métro de Londres… disons que l’atmosphère s’y prêtait plus ou moins, que j’accrochais sur certaines répétitions et structures, que je me sentais complètement décalée et que j’avais du mal à entrer dans l’univers voulu par l’auteur.  Après avoir lu autre chose, je l’ai repris sur le bord d’un feu dans les Highlands, à minuit avec un ciel encore un peu clair, et j’ai pu pleinement l’apprécier et me permettre de pénétrer dans ce monde teinté de gris par le deuil. 

Mathias Malzieu a trouvé les mots pour exprimer cette douleur trop grande pour être comprise, classée dans une petite case.  Cette douleur qui enlève le sel du monde, qui plonge tout dans l’ombre et qui nous tient à distance.  On sent le narrateur étranger au réel, caché dans son ombre, acharné à refuser la mort et l’évidence.  Réfugié dans son monde à lui, avec un Géant docteur en ombrologie, qui a pour rôle de l’aider à continuer à vivre, il dérape un peu, revient de temps en temps, tente de trouver des réponses, une raison de continuer.  Un très beau roman sur le deuil, ses étapes, ses espoirs aussi, que j’ai pleinement apprécié à partir du moment où j’ai renoncé à analyser, à chercher à comprendre à tout prix chaque symbole ou signification.  Parce que des fois, il n’y a rien à comprendre.  Juste plein de choses à accepter pour poursuivre sa route…

Plaisir de lecture: 8,5/10

La voix du couteau – Patrick Ness

Présentation de l’éditeur
« C’est l’année de ses treize ans et, dans un mois, Todd Hewitt va devenir un homme.  Il est le dernier garçon de Prentissville.  Cette ville de Nouveau Monde est uniquement peuplée d’hommes.  Depuis longtemps, toutes les femmes et les enfants en ont disparu.  À Nouveau Monde, chacun peut entendre les pensées des autres, qui circulent en un brouhaha incessant, le Bruit. 

Nul ne peut échapper au Bruit, nulle part, jamais… »

Commentaire
C’est essouflée que je sors de ce livre!  Essouflée parce que les rebondissements attendent à chaque page et surtout parce qu’une fois le cap des 40 premières pages passé, je n’ai pas pu le lâcher avant d’arriver à la dernière ligne.  J’ai réellement passé un bon moment avec ce roman d’apprentissage, qui est en fait le premier d’une série nommée « Le chaos en marche ». 

Pendant les premières pages, par contre, ce n’était pas gagné!  J’ai été un peu déroutée par cette syntaxe fantaisiste, ces mots transformés, inventés.  C’est que le narrateur, Todd, ne sait pas très bien lire et écrire.  De plus, il fait partie d’un monde isolé, clos, où le langage semble avoir commencé à évoluer tranquillement.  Et surtout, il voit ce qui l’entoure avec sa propre lunette, teintée de tout ce qu’on a pu lui raconter sur ce qui est.  Et je n’en révélerai pas trop car pour ma part, j’ai aimé comprendre avec le narrateur – bon… un peu avant quand même… mais ce n’est pas vraiment nouveau – les explications, entrevoir de nouveaux éléments et trouver des réponses.  Je dirai seulement que la voix que l’auteur a donné à Todd lui correspond très bien et que j’en ai particulièment apprécié le rythme, avec toutes ses variations, allant des paragraphes à une phrase aux phrases à rallonge (avec tout plein de « et », sur lesquelles mes profs de français auraient vidé l’encre de leur stylo rouge) qui nous font ressentir les émotions incontrôlées de ce jeune en voie de devenir un homme, même s’il ne sait pas trop bien ce que ça signifie. 

Il s’agit d’un roman de SF où les hommes ont fui l’Ancien Monde devenu invivable pour le Nouveau Monde inconnu mais porteur d’espoir.  Mais à Prentissville, la colonie a été victime du virus du Bruit, envoyé par les Spakle, qui habitaient ce monde avant eux.  Le virus a tué toutes les femmes et la moitié des hommes.  Et le virus crée une atmosphère de brouhaha constant, entêtant car à Nouveau Monde, il n’y a plus rien de secret. Chacun connaît les pensées les plus secrètes des autres.  Pas moyen de se cacher.   Et ça, ça fait un peu peur.  Ce bruit de fond, présent même sous la couverture, plane sur toutes les pages, pas moyen de l’oublier.  Ca devient carrément oppressant. 

Todd, à l’aube de ses 13 ans, entend un jour le silence.  Et ça, ce n’est pas normal.  Ben et Cillian, ses pères adoptifs, lui remettent un sac, un couteau, un livre et un peu de nourriture.  Puis, ils lui disent de fuir avec Manchee, son chien… qui parle.  Comme ça, sans rien expliquer.  Todd a une carte et il est sensé savoir quoi faire.   Sauf qu’il tombe assez rapidement sur la cause de la bulle de silence: une fille.  Une fille alors qu’elles ne sont plus sensées exister.  Tous deux devront fuir vers un espoir hypothétique.  Fuir même quand ils n’y croient plus, toujours aller devant, parce qu’il n’y a rien d’autre à faire.  Et c’est dans cette fuite que ce livre nous entraîne, cette fuite et ce combat intérieur de Todd pour découvrir qui il est et ce qu’il est prêt à faire pour survivre.  Le rythme est rapide, c’est parfois violent mais je n’ai pu le lâcher et certaines phrases, certains concepts, portent à réflexion, autant sur l’espoir (ou l’absence d’espoir), l’amitié et la morale que sur la folie individuelle et collective.

Au final, j’ai vraiment, vraiment beaucoup aimé et je suis réellement impatiente de lire la suite de la trilogie, surtout que le livre se termine sur un méga cliffhanger (désolée pour l’anglicisme… je suis en panne de mots, je crois!!).   Merci à Véronique, des Éditions Gallimard Jeunesse, qui m’a fait parvenir ce livre qui m’a tenue en haleine… et empêchée de faire touuut le lavage qui m’attendait aujourd’hui!

De plus, les caprices de la Poste étant ce qu’ils sont, j’ai reçu deux exemplaires de ce livre, le second ayant mis plus d’un mois à traverser l’océan.  Je vais donc me faire un plaisir d’envoyer ce livre à un bloggueur québécois – (discrimination postale, croyez-moi… le livre est assez épais et n’entre pas dans un format lettre.. je ménage mon porte-monnaie), qui, idéalement, aime la littérature jeunesse et qui pourra partager ses impressions de lecture sur son blog.   Ceux qui sont intéressés n’ont qu’à me laisser un mot à ce sujet dans les commentaires et je ferai un petit tirage au sort jeudi, si nécessaire!

Note: Petit mini-tirage effectué!
La gagnante est Mirianne.  Il faudra m’envoyer ton adresse pour que je puisse te poster le bouquin!  J’espère que ça te plaira autant qu’à moi!

Plaisir de lecture: 9/10

Photos de voyage 1 – In the Doctor’s universe

Je sais, je sais, ce n’est pas le début de mon voyage… mais c’est la partie dont je ne peux parler à personne parce que:

1) Ils n’ont aucune idée de qui est le Docteur, ou Jack ou de la raison pour laquelle je suis pâmée devant des Converse ou un manteau long de l’armée américaine.
2) Ils penseraient que je suis plus folle que d’habitude.  Je suis une grande incomprise!!

Et de toute façon, l’ordre et moi, nous ne sommes généralement pas copains!

J’ai donc profité de mon passage anglais pour faire faire 2h de route à mes pauvres parents qui n’en demandaient pas tant pour atterrir à Cardiff, Wales.  Quoi, quelqu’un est surpris??  C’était quand même écrit dans le ciel, non!!!  Et à Cardiff, il y avait ça:


Et dans ça, j’ai pu faire ma Groupie sans même avoir l’air d’une cinglée parce que bon, quand on se ramasse à cet endroit, les Groupies sont tout de même majoritaires!!  Moi, bien entendu, malgré le côté hautement kitch de la chose, j’ai adoré me balader entre les costumes du Docteur, les bestioles extra-terrestres et les consoles interactives!!  Mes parents, quant à eux, ont pu constater sans moi qu’il n’y avait pas grand chose à voir à Cardiff… vraiment pas grand chose à voir!!!!  Mais quelle importance quand on peut s’approcher de VRAI blouson de cuir de Christopher Eccleston ou encore de l’habit de David Tennant *soupir*!!!


J’ai donc pu faire une vérification primordiale… et je vous le confirme maintenant hors de tout doute: mes Converses – que je portais ce jour-là pour l’occasion – sont ex-ac-te-ment pareilles à celles du Docteur!  On est cinglé ou on ne l’est pas n’est-ce pas!!!  Dommage que les acteurs n’aient pas été dans les costumes… mais bon, faut pas trop en demander, ça a l’air!

J’ai aussi pu me faire photographier – par une autre fan finie – près du Tardis.  C’était la première « Police Box » que je voyais alors j’étais toute énervée!  Mais bon, comme le Docteur était vraisemblablement à Edinburgh pendant mon passage et que son Tardis était « in disguise » un peu partout dans la ville (preuves photographiques à l’appui), j’en ai vu d’autres par la suite!


J’hésite encore à placer la version avec moi dessus dans mon profil Facebook… Disons que je n’imagine que trop bien les réactions des copains qui croient d’avance que j’ai besoin d’une sérieuse cure de désintoxication Docteurienne!!!

La suite de mes aventures? 
Je me suis fait attaquer par des Daleks (sérieux, avec des rayons laser et tout et tout… j’ai fait un méchant saut quand ça a commencé à fonctionner!!!  Avec le « Exterminate » et tout et tout!!)…

J’ai croisé quelques Cybermen

J’ai aperçu K9… mais il fallait pas le toucher, peut-être qu’il mord, le chien-chien!!  Il aurait besoin d’un bon traitement antirouille, en tout cas!!!

Et en levant les yeux, j’ai pu voir ceci:
… en plusieurs exemplaires…
Du coup, j’ai tenu les yeux grands ouverts… don’t blink!!

Ce n’est qu’un petit échantillon!  Parce que bon, il y a à peu près toutes les bestioles possibles et inimaginables…  du Human-Dalek, au petit bonhomme rouge du Titanic, en passant par le truc qui est accroché au dos de Donna dans « Turn Left »!!  Je vous ai quand même gardé pour la fin THE coat appartenant au Captain Jack Harkness :))


Ainsi que le repère de Torchwood… j’ai guetté, guetté… et je n’ai rien vu qui s’approchait de Captain Jack ou Ianto… même pas Gwen!   C’est un peu moins impressionnant qu’à la télé, je dois dire!  Mais bon, le voici quand même, sous un bizarre de ciel anglais, moitié bleu, moitié nuages d’orage!!  Heureusement, on a eu de la chance, l’orage n’est pas tombé sur nous!!

Et finalement, la question tant attendue… OUI, j’aurais pu m’acheter un Dalek de toutes les grandeurs possibles, de quelques centimètres à grandeur presque nature.  Oui, j’aurais pu me balader avec un T-shirt de Cyberman ou avoir une édition signée par je ne sais trop quel réalisateur ou acteur d’une carte « Docteur Who » mais bon, je ne pense pas vraiment que Dalek Caan et moi aurions fait bon ménage alors je les ai sagement laissés là… pour finir avec un jeu de cartes à jouer Docteur Who (mes copains adorent… je ne fais que regarder les cartes sans penser à mon jeu alors ils gagnent tout le temps!!) et deux petits badges, les derniers en banque!  Et aussi une carte avec les lieux à Cardiff où les différents épisodes ont été filmés.  Mais bon, bizarrement, je n’ai pas réussi à convaincre mes parents de faire le tour complet.  Ils sont sans coeur, non??

On s’est juste embrassés – Isabelle Pandazopoulos

Présentation de l’éditeur
« – J’ai pas couché avec Walid, je l’ai juste embrassé… Une fois, une seule fois!  C’est ça, la vérité!
Plus je criais, plus elle souriait.
– Mais on s’en fout de la vérité, ça compte pas, la vérité… Tu comprends pas ça?
Je l’ai regardée un long moment et puis j’ai murmuré:
– Non, je comprends pas…

Je n’avais plus envie de crier, même plus envie de pleurer, je me sentais juste d’une tristesse à mourir. »

Commentaire
Les billets sur ce livre – presque tous positifs – fleurissent sur la blogosphère ces derniers jours!  La plupart est très enthousiaste.  Quant à moi, si je reconnais des qualités indéniables au roman, j’ai quand même quelques réserves…

Dans ce roman, nous rencontrons donc Aïcha, quinze ans, qui a un nom arabe mais qui, elle n’est pas arabe.  C’est la première chose qu’elle nous raconte.  Aïcha semble savoir ce qu’elle n’est pas mais ne sais pas trop ce qu’elle est, étant de par son âge, son statut, sa famille, juste à la limite, toujours.  Toujours sur la corde raide, sans trop savoir de quel côté pencher, de quel côté se diriger.  Et Aïcha, dans sa quête adolescente de savoir qui elle est, va tenter de trouver ses racines, son histoire.  

Ce qui déclenche l’histoire, c’est sa meilleure amie, Sabrina, qui, un jour, se retourne contre elle en clâmant à la ronde qu’elle a couché avec son frère aîné.  Du coup, Aïcha est exclue, pointée du doigt.   Et elle ne comprend pas. 

Le portrait d’adolescente torturée, le monde  et les repères particuliers de cet univers souvent cruel sont bien représentés.  Les réactions extrêmes, parfois difficiles à rationnaliser pour l’adulte, les règles inhérentes…  De plus, la plume de l’auteure m’a beaucoup plu, elle colle bien au récit, et l’histoire avait tout pour me toucher. 

Pourtant… pourtant, je suis restée extérieure.   J’ai eu du mal à m’attacher aux personnages et, en fait, je les ai appréciés davantage en réfléchissant après ma lecture que pendant celle-ci.  J’ai dû me remettre en contexte plusieurs fois et m’auto-rappeler la violence occasionnelle (plus qu’occasionnelle ici) des réactions adolescentes pour comprendre un peu Aïcha.  Mais surtout, la réalité qui est décrite et les références étaient un peu loin de moi.  Une « cité », je ne sais pas trop ce que c’est.   Un monde où on exprime notre dégoût en crachant aux pieds de la personne, c’est de l’inconnu pour moi.  Toute cette façon de fonctionner, ces règles internes, cette hiérarchie… ça a été mon initiation.  Je crois que c’est ce qui a un peu entaché mon plaisir de lecture et la prochaine fois que je lirai un livre se passant dans cet univers, je serai un peu mieux cadrée!!

Un dernier petit mot pour mentionner, de façon totalement superficielle, que j’adore les couvertures de la collection, avec leurs petits reliefs!!!  Et un dernier mot pour remercier Véronique, des Éditions Gallimard jeunesse, de m’avoir fait parvenir le livre!!

Plaisir de lecture: 6,5/10

Et un super-LCA-voyage, c’est pour quand??

Ce billet est dédié à la personne qui m’a o-bli-gée à prendre 22 millle options-bebelles inutiles quand j’ai acheté mon portable et à cause de qui j’ai un lecteur de cartes mémoire intégré dans mon sooo pink computer!!!  Ca aide quand notre appareil décide d’être en chicane avec tous les ordis de la terre!  Je retire toutes les horreurs que j’ai pu lui balancer cyniquement à la vue de mon « clavier qui allume rose »!!

Je ne sais pas si c’est pareil pour vous mais moi, quand je reviens de voyage, même quand les valises sont à moitié défaites, même quand je cours après mon sommeil, je n’ai qu’une seule envie: repartir!!  Mais bon, avant, il va quand même falloir faire le point sur mon mois anglais et écossais!!  En en écrivant ça, je réalise que bon, vraiment, ce blog va vraiment n’importe où ces derniers temps!  Après les billets voyage, promis, il y aura moins de trucs hors littérature!!!

Et en attendant que je démêle mes 3XXX quelques photos (on s’entend, je vais quand même pas vous garrocher tout ça ici… et NON, ça ne veut dire des photos classées xxx… quand même!!!) et que je décide si je fais mon jeu de devinettes ou non (pour ça, il faudrait que je réussisse à réidentifier ce qui est quoi sur chaque photo… ça aiderait pour genre… pouvoir donner des déponses), voici donc l’ultime preuve que je grandis et qu’avec l’âge, je m’assagis terriblement.  Je suis même un peu inquiète de moi-même, d’ailleurs… je trouve que mon gène de LCA est de moins en moins dominant!  C’est grave, vous pensez?  Pensez-vous que le fait que ma maman ait été là pour me faire des gros yeux à chaque livre acheté ait pu compter un peu???  Bref, je suis vraiment inquiète, va falloir faire quelque chose!!!

Donc, les livres achetés!  Vous n’en croirez pas vos yeux!

Non mais n’est-ca pas une grande sagesse???
Vous pouvez voir:
David Copperfield – Dickens (il fallait bien un souvenir du musée!! Et en plus, la guide m’avait vraaaiment donné le goût de le relire suite à ma Dickens walk!!)
Macbeth – Shakespeare (il était tout petit petit… il pesait presque rien!!  Il fallait!!! Bon, ok, va falloir un microscope pour le lire… mais c’est un détail, non??)
The London of Charles Dickens (c’était une nécessité, comme vous avez pu le constater dans mon billet!!)
Shakespeare’s London (encore une fois, question de culture!!  Ca compte pas quand c’est pour la culture!)
Kidnapped – Stevenson (2 malheureuses pounds!  Et léger en plus!  Il ne compte doublement pas! Et en plus, c’est mon souvenir du Writer’s museum d’Edinburgh!)
The Canterbury Tales – Chaucer (souvenir de Canterbury… voir la remarque ci-haut)
Mr. Knightley’s diary – Amanda Grange (parce que je suis irrécupérable, même si je bougonne à chaque fois… en plus, c’est la faute à Pimpi!)
Captain Wentworth’s diary – Amanda Grange (voir ci-haut!)

Ok, ya aussi le fait qu’il m’aurait fallu une valise de plus pour tout ramener…
Et aussi le fait qu’outre les discount libraries (où il y a des classiques), c’est horriblement cher… plus cher qu’ici en fait.  J’ai dû renoncer à la série complete des livres du Doctor Who ainsi qu’à la trilogie de Paullina Simmons pour cause d’incompatibilité budgétaire… c’est dur, la vie… vraiment.  Je suis encore en deuil, d’ailleurs!  Et « Vera », de Von Armin, est aussi introuvable là bas qu’ici!!!

Et bon… on parle des achats anglais et écossais ici, hein?  On parle pas de Paris!!!

Ma folie du voyage??
Les SLATS!
C’est léger, des SLATS! 
C’est utile, des SLATS!
Et tout ce qui est utile, ÇA NE COMPTE PAS!!! C’est comme quand quelqu’un nous offre un nouveau mixer pour notre fête parce que le nôtre vient de briser… ÇA NE COMPTE PAS!!!  (Message, message!!!)
Voilà donc ma récolte anglaise!


Il n’y en a que 8… et j’en ai déjà laaaargement utilisé 4!!!   Le sac Harrods en paillettes me sert d’ailleurs de sac à main et une collègue pensait que je m’était fait un nouveau chum et que j’avais fait écrire son nom en paillettes argentées sur ma sacoche!!!  C’est mon genre, d’abord, n’est-ce pas!!!!  Mon sac Darcy ne me quitte plus d’ailleurs!!!

Et les autres bebelles: des cartes postales Jane Austen, Shakespeare et Dickens, ainsi qu’un marque-page Darcy… et un autre petit truc que je ne montre pas ici ben… parce que!!!   Et je n’ai pas photographié mon jeu de cartes du Dr. Who (j’ai forcé les collègues à jouer au neuf avec ce jeu hier midi… ils étaient un peu découragés!!  Ni mon tas de pins (j’ai finalement mes badges du Docteur et des Daleks… fiouuuu!!!).  Ni mes 3 petites robes TopShop que je trouvais suuuper jolies dans la foule de Londres, où tout le monde était habillé comme ça mais qui me laissent vraiment dubitative depuis que je suis rendue ici!!!  N’empêche que je veux un TopShop dans ma cour!!!  Je passe aussi sur le kilo et demi de thé, choisi à la fois pour les boîtes et pour le contenu!!  Bon, je n’attends pas grand chose d’un thé venant d’une petite boîte en forme de cabine téléphonique rouge ou de bus à deux étages… mais elles étaient cuuuuuute!!!


Et voici mes nouveaux napperons!!! 
Pour mettre un peu de culture dans mes BBQ estivaux!!

Alors, ça ne vous dit rien, toutes ces bebelles-souvenir?
Qui veut faire un LCA voyage l’an prochain?!?!?!?!

Special Topics in Calamity Physics (La physique des catastrophes) – Marisha Pessl

Présentation de l’éditeur (mal traduite par moi, encore une fois)
« Physique des Catastrophes: Explosion d’énergie, de lumière, de peine et de perplexité, alors que Blue Van Meer commence à fréquenter une petite école élitiste dans une ville montagneuse.  Le passé inhabituel de Blue l’amène à être attirée par un groupe de jeunes charismatiques à St. Gallway (voir page 2, « Wild, Wayward youths » Everyman Parenting) ainsi que par leur professeur énigmatique, Hannah Schneider.  Une série d’événements inexplicables et un grand choc soudain révèle plusieurs mystères.  Et Blue doit trouver le sens de tout ça avec seulement son instinct et son bagage culturel pour la guider. »

(Vraiment, c’est mal traduit… chapeau aux traducteurs, c’est quelque chose que je serais absoluuument incapable de faire comme métier!!)

Commentaire
J’ai eu l’idée (bizarre, étant donné le poids du volume) d’apporter ce livre en voyage, suite à la recommandation de Pimpi qui, connaissant mon graaaand amour pour « Le maître des illusions« , de Donna Tartt, me l’avait recommandé en raison de plusieurs similitudes.  En effet, on retrouve un petit collège, un groupe attirant et fascinant, un professeur charismatique et un nouveau venu qui ne sait pas trop dans quoi il s’embarque, tout ça sous la forme de mémoire écrites quelques années après, ce qui nous laisse croire que le narrateur s’en est sorti d’une manière ou d’une autre.  Mais pourtant, c’est tout de même très, très différent et si j’ai aimé (eh oui, pas de suspense, je dis tout tout de suite), ce n’est pas pour autant le coup de coeur ressenti pour le livre de Donna Tartt, qui m’envoûte et me met dans un drôle d’état à chaque fois, pendant quelques jours. 

Nous faisons donc la connaissance de Blue, adolescente très particulière, qui vit sa derniere année de High School dans une énième nouvelle école.  Le monde de Blue, c’est son père.  Homme très cultivé et élitiste, il est sa référence, son idole, son modèle.  À son jeune âge, elle a des connaissances générales très impressionnantes sur une variété de sujets, qu’ils soient littéraires, cinématographiques ou politiques.   Malgré tout, cette adolescente surdouée et très érudite reste une adolescente.  Elle a souvent les opinions des autres- ou de son père – , répond par les mots des autres – ou de son père… on sent qu’elle ne sait pas trop qui est Blue dans tout ça, ni ce que pense Blue.  C’est d’ailleurs pour ça que le style, qui a rebuté la plupart des lecteurs, avec son air alambiqué et son tas de références réelles ou non (j’en ai cherché plusieurs!!) ne m’a pas embêtée.  J’y ai vu une jeune fille qui ne sait pas trop comment procéder pour raconter ce qui a bouleversé sa vie, qui a besoin de l’appui de toutes sortes d’auteurs (parce qu’elle ne connaît pas d’autre chose et a de la difficulté à voir par elle-même) et qui tourne en rond pour retarder certains événements…. du moins, c’est ce que ça m’a fait comme effet.   Bref, j’ai bien aimé le personnage et les divagations m’ont fait rire plus qu’autre chose. 

Et quand je dis que ça tourne en rond, c’est que disons que c’est un peu long avant qu’il se passe quelque chose!!  À la fin, tout déboule mais le début, s’il situe bien l’histoire et nous fait vivre dans la bulle de Blue, traîne un peu.  Sauf que d’un autre côté, je ne sais pas si j’aurais accroché à la fin si je n’avais pas eu un peu de temps pour comprendre le contexte.   Le genre d’histoire qui raconte une année bouleversante ou un événement qui marque, il me faut du temps pour connaître « l’avant » pour apprécier.  D’un autre côté, à un moment donné, je me suis demandée où ça s’en allait, tout ça!!

Par contre, quand les événements commencent à débouler, ça déboule et j’ai eu de la difficulté à le lâcher pendant les 200 dernières pages.   J’ai aimé le changement d’atmosphère, les réactions des gens…  Et j’en ai aussi relu de grandes parties après ma lecture initiale… ça veut aussi dire quelque chose!!  En fait, il y a deux trucs que j’ai moins appréciés: un truc qui m’apparaît très, très parachuté.  Vu que c’est un truc important, je ne révélerai rien mais je n’ai pu m’empêcher de me demander d’où ça sortait, tout ça!!!   Je suis retournée en arrière, j’ai relu des passages afin de voir s’il y avait eu des allusions avant mais je n’ai rien trouvé… et ça m’embête parce que ça a tendance à m’énerver quand des choses semblent ne sortir de nulle part.  Ceux qui ont lu sauront probablement de quoi je parle…  je préfère quand il y a des liens à faire.  La deuxième chose qui m’a moins plu, c’est la personnalité des Bluebloods, les nouveaux amis de Blue, qui m’apparaît floue malgré leurs multiples apparitions.  Ils sont tous un peu transparents, selon moi et je n’ai pas vraiment accroché à leurs personnages, ni à leur accorder une personnalité propre.   Le papa de Blue et Hannah, par contre, sont nettement mieux définis.    Et Blue évolue à travers tout ça, pour tenter de trouver sa propre voix…

De plus, j’ai bien aimé les titres des chapitres (un titre d’oeuvre célèbre… je me suis amusée comme une petite folle à chercher le lien, parfois plus ou moins évident!!) et le petit questionnaire final qui donne quand même des pistes de réponses…  Dans les choix de réponse, vous diriez quoi à la question 5??

Et là, la question que Pimpi va me poser: est-ce que j’avais deviné et quand??  En partie.  Pas les détails, bien entendu parce que je ne vois pas comment on pourrait le deviner mais je me doutais de plusieurs trucs importants.  Je vais lui en reparler par mail par contre parce que pour expliquer ça, il faudrait que j’en dise trop… mais la première phrase donne un sacré bon indice, non??  

Plaisir de lecture: 8/10

Je sais… c’est le premier juillet…


… et je ne parle pas de « We were the Mulvaneys », que j’ai dans ma pile et bien hâte de lire…  En plus, je vois plein de commentaires positifs!!!

Mais je n’ai pas abandonné le club de lecture pour autant!  Mon problème s’appelait place dans mes valises (c’est qu’il est gros, le vilain!) et limite de poids (en plus il est lourd) et au retour, c’est la course au lavage, au ramassage et là, à la clé USB qui a décidé de faire une fugue.  Bien entendu, ça me cause un gros, gros problème vu que j’avais plein de trucs uniquement là-dessus… Du coup, c’est un peu la panique!

Par contre, j’ai récupéré mes photos!  Billets bientôt.   En fait, dès que je me souviendrai de ce qui est quoi, ce qui s’avère un problème non planifié!  Je les ai montrées un bébé-frère hier soir et vous pouvez pas savoir le nombre de « ben… ça, c’est genre… une église », et « heu… c’est… quelque chose… à Londres » ou « c’est super beau hein… c’est… je pense… ben… une rue??… ben… avec des maisons?? »!

Bref, je me remets dans mes trucs et je promets que je vais lire le Oates d’ici la fin du mois!!!
Et que je vais être à date pour le club de septembre!!!

PS: Aaaah… oui… j’avais oublié… c’est la fête du Canada aujourd’hui!  Je viens de le réaliser quand la radio a dit que les services seraient fermés… Bonne fête à ceux qui fêtent ça! 

The London of Charles Dickens

Présentation de l’éditeur
« Explorez les lieux du Londres de Dickens.  Ce guide A à Z vous emmène dans les pas d’Oliver Twist, David Copperfield, Ebenezer Scrooge, Mr Pickwick et d’autres immortels afin de les retrouver et revivre les scènes de leurs aventures. »

Commentaire
Comme mon appareil photo semble avoir développé une incompatibilité avec mon ordinateur depuis mon retour de voyage, il y aura des billets de livre avant les billets photo, qui seront intercalés!!  J’ai tout essayé, il y a toujours une foutue « communication error » et je ne sais pas trop si c’est la faute du kodak ou de l’ordi.  À voir, donc!!!  Moi qui avait prévu un jeu… mais bon, faudrait pas que je m’avance trop vite!!!

Restons donc dans le thème voyage avec « The London of Charles Dickens », petit guide A-Z publié en association avec « The Dickens Fellowship » et qui m’a suivie tout le temps de mon périple à Londres et dans les environs!!!  Pour ma part, c’était un in-dis-pen-sa-ble!!!  Associer tous ces lieux à des romans, ça me fait toujours un petit plaisir particulier, surtout quand il s’agit de Dickens!!  Et en plus, il utilisait beaucoup d’endroits réels dans ses romans, ce qui n’était pas pour me déplaire!!

Et comment c’est fait, ce truc??  En fait, c’est une liste alphabétique de lieux de Londres, suivis d’explications sur la manière dont Dickens les a utilisés dans ses romans.  Pas toujours évident de chercher (j’aurais parfois aimé que ce soit divisé par quartier… plus facile quand on visite!!) mais quand on aime les anecdotes Dickensiennes, ça plaît forcément!  J’ai retrouvé beaucoup de choses qui se recoupaient avec la Dickens London Walk que j’ai faite, d’ailleurs!  Par exemple, on y parle de Lincoln’s Inn (Dans Bleak House, avec des citations et des exemples… j’ai adoré m’y promener, d’ailleurs!!), de la maison de Mr. Tulkinhorn, du Blackfriar’s bridge, du Old curiosity shop et de routes diverses qui sont nommées dans ses romans (d’ailleurs, c’est un travail de recherche assez impressionnant qui a été fait parce que souvent, ce sont de petites anecdotes).  Des lieux par rapport à Dickens lui-même sont aussi mentionnés, tels que rapportés dans les biographies.   On y retrouve aussi quelques points de repère pour Portsmouth, Rochester et Broadstairs, autres endroits Dickensiens!!

Les romans dont on parle sont surtout « Bleak House », « David Copperfield », « Our mutual friend », « Little Dorrit », « Barnaby Rudge », « Oliver Twist » et parfois « Great Expectations » et certaines nouvelles.  Bien entendu, je ne conseillerais pas ça à tout le monde!!  Mais pour faire un pélerinage Dickensien à Londres, c’est parfait!!

Je me relis et je réalise que je pense que je ne sais plus écrire de billets littéraires… je pense que je vais avoir besoin de pratique… comme pour me remettre à conduire à droite d’ailleurs!  J’ai toujours un moment d’hésitation au moment de tourner à gauche!!

British and Scottish Stories – Part 4

Dernier billet voyage sans photo!!!  C’est demain le grand retour chez moi mais il me reste 10 minutes de payees sur l’ordi de l’hotel, pas question de les perdre!!!  Il me semble que ca fait une eternite que je suis partie et je ne regretterai pas mes valises, ca c’est certain!!!!  Par contre, je risque d’etre un peu maganee au bureau mardi matin!!!  Disons que je ne me suis pas donne de chance!!!

Bien entendu, je n’ai pas tout vu ce que je voulais voir (Lyme Park, en particulier, est au milieu de nulle part et necessitait 2h alle, 2h retour pour y aller… j’ai bien essaye de tourmenter mais ca n’a pas marche… faut dire que papa et maman n’ont pas la meme obsession que moi pour un certain Mr. D!!!  Mais j’ai mon slat!  Et mon pins!

L’Ecosse est magnifique!!!  Vraiment j’ai adore cette partie du voyage, sous le soleil en plus!!!  C’est genial de se promener en train a vapeur (le pont Harry Potter, c’est magnifique… et dans Harry Potter, ce qui agremente encore le truc!!!)  J’ai bien tente de voir Nessie dans notre croisiere sur le Loch Ness mais bon, elle est timide, faut croire!!!  J’ai pris un coup de soleil sur le nez par contre, il faisait un temps magnifique!!!  Edinburg (prononce bizarrement edinbra ou quelque chose du genre (je m’ennuie de mon alphabet phonetique, ici!!) est une superbe ville, que j’ai adoree, en particulier le chateau, Mary King’s  Close et les vieilles demeures.  J’ai failli mourir de peur dans les Vaults sous les ponts dans le Ghost Tour.  J’ai failli faire une crise cardiaque en fait… et j’ai a peine dormi la nuit!  Mais bon, je suis la pire des peureuses et ca vaut quand meme le coup!!!  Mais la, je vais avoir peur de dormir toute seule chez moi!!!

Nous sommes revenus a Londres apres un arret a York (j’ai adore!!!), une petite ballade sur le mur d’Hadrien, une viree par la foret de Sherwood (on a fini par trouver l’arbre de Robin Hood) et une ballade en punt boat a Cambridge.  Et un petit detour par Dickens World aussi… quand on a eu fini par le trouver!!!  Les anglais ont pas le tour pour les indications, c’est le moins qu’on puisse dire!!!

Et imaginez-vous que ma 2e crise cardiaque a ete quand j’ai vu un taaas de livres du Dr. Who… 20 livres en fait… et que j’ai realise qua bon, 20 bouquins, c’etait un peu trop pour la limite de poids des bagages (je veux meme pas savoir combien ca pese… ca va me couter une beurree!!!) qu’il me faut d’ailleurs aller faire… genre maintenant!!!

J;ai aussi mange mon dernier fish and chips pour au moins 2 ans.  Jure.  meme la bibitte a patates frites que je suis en a son voyage des frites ete de la friture!!!

Et je vote pour un Top shop dans toutes les villes!!  Il FAUT un Topshop dans toute les villes… c’est un besoin primaire maintenant, je pense!!!!

Alors voila… prochain billet quand je serai chez moi!

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British Stories – Part 3

C’est en direct des Highlands que je vous ecris ce soir!  L’auberge est magnifique et je viens de prendre quelques pintes au bord d’un feu de foyer (et oui, c’est necessaire!!!) alors vous me pardonnerez si mon message fait un peu dur!!

J’adoooore toujours l’Angleterre!!  Et l’Ecosse est vraiment particuliere.  Au debut, je me disais que ca ressemblait vraiment vraiment a chez nous mais une fois depasse le Loch Lomond, on se dit que finalement, non, pas du tout!!  Il y a des routes (tortueuses… tres tortueuses… dans lesquelles il faut carrement prendre le fosse quand il y a qqn de l’autre cote de la rue!!), des montagnes, du vert, pas d’arbres.. et des moutons!!  Meme sur la route!  Je me suis meme demande ou vivaient les gens… si gens il y a !

Ca fait 5 jours que nous avons quitte Londres, 5 jours sans acces internet (les symptomes du sevrage commencaient a se faire sentir!!!  Une « patch internet », ca existe?  Je me sentais un peu isolee de tout, sans mon clavier!!  Et myyy god que nous avons vu des choses!!  Tout plein de chateaux (grace a la carte British Heritage… ca vaut vraiment la peine quand on aime visiter les chateaux!!!) et de belles petites villes!  Rochester (la ville ou Dickens situe Edwin Drood) m’a beaucoup plu (la cathedrale est immeeeeense… probablement pleines de « old’uns » partout dans la crypte) et Bath est vraiment une ville impressionnante!  Super belle!  J’ai maintenant mon slat « I love Darcy »… comment ai-je pu m’en passer jusqu’a maintenant, c’est ce que je me demande!!!  Je ne compte d’ailleurs plus les SLAT!  Peu de livres mais tout plein de SLAT pendant ce voyage!!!

Mention speciale aussi a la piece vue a Stratford (As you like it) que je ne connaissais pas, et que j’ai beaucoup aimee!!  Stratford est beaucoup plus jolie le soir que le jour, je trouve… et Shakespeare’s birth place  (gratuit avec la passe), j’ai adore!  La petite ville de Lacock mini-mini a ete aussi une bonne surprise!!

Ah oui… j’ai vu les VRAIES converses du Dr a Cardiff et je me suis fait attaquer par des Daleks et j’ai une photo avec la boite bleue… je suis ravie, ravie, ravie!!!  Photos au retour!!!

Finalement, si vous planifiez un voyage en Angleterre, faut savoir que tout ouvre vers 10h-10h30… et que tout ferme entre 16h et 17h30!!!  Meme les footpaths.  Meme les routes.  Meme les toilettes.  Meme les cafes.  Meme les restos parfois!!!  Ca fait un peu peur!!!

Et si qqn peut m’aider a resoudre le mystere de l’heure anglaise qui change tout le temps… ce serait apprecie aussi!!! 

Finalement, je pense que j’ai mange plus de bacon dans 2 semaines que jamais dans ma vie!! TOUT est au bacon!!!  Apres 2 semaines de sandwiches au Bacon et au beurre (a 10$ chaque), nous avons finalement decide que le repas le plus economique etait… le mcdo!!!  Depaysant m’est-ce pas??  J’en ai mange pour les 5 prochaines annees, je pense!!  Hier soir, on a couche dans une ville sur lebord de la mer (on savait pas quand on a reserve l’hotel) qui avait l’air d’Atlantic city, avec une fausse tour eiffel et un boardwalk… et on mangeait au mcdo!!  Franchement, c’etait assez drole comme situation!!!  Mais au moins les restos etaient ouvert, super americanise, quoi!!! 

Desolee pour le peu d’anecdotes… plus de nouvelles a mon retour!
Bisous a tous les copains a qui je n’ai pas le temps d’ecrire personnellement et merci a ceux qui prennent le temps de m’envoyer un petit mail!

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