The English patient – Michael Ondaatje

English-patient.gif Résumé « L’histoire de trois hommes et d’une femme – une jeune infirmière canadienne, un expert en bombes sihk, un voleur devenu espion et un homme entièrement brûlé – qui se retrouvent ensemble à la fin de la seconde guerre mondiale, dans une villa toscane abandonnée. Au cœur de l’histoire : le mystère de l’identité du patient anglais, hanté par une affaire amoureuse dramatique dans le désert de l’Afrique du Nord. »
 
Commentaire
J’ai lu ce livre dans le cadre de mon challenge 2007, sans avoir jamais vu le film. Je ne savais donc rien de l’histoire et n’avais aucune attente par rapport à ce roman. J’ai été agréablement surprise par la qualité de l’écriture. J’ai vraiment trouvé la plume belle, poétique.   Les images que l’auteur a su créer en moi sont superbe et certaines restent marquées, particulièrement les moments où des visions fugitives sont aperçues à la lumière d’un éclair dans le ciel (l’apparition de Kip, les personnages des églises).   Je crois que ces images, cette qualité d’écriture est ce que j’ai préféré dans le roman.   Ça et la couverture… Non mais elle est tu belle, rien qu’un peu?!?!?!
 
La narration n’est pas chronologique et nous amène à nous balader entre le désert des années 30, Le Caire, la villa de Toscane et l’Angleterre. J’ai aimé cette narration décousue où nous en apprenons graduellement davantage sur les personnages. J’ai aussi apprécié les atmosphères, les couleurs, les lumières (la peau blanche, la peau noire, le jour, la nuit, les éclairs). Leur présent est sombre, autant par le contexte que par l’environnement et la peau brûlée du patient anglais, tandis que leur vie « réelle », leur vie d’avant, avait lieu davantage à la lumière, au grand jour. Ces « flash » de lumière, les halos des éclairs, m’a fait voir la période passée dans la villa de Toscane comme un « flash », une parenthèse. Une parenthèse qui tisse toutefois des fils difficiles à couper, comme ceux des bombes que Kip inlassablement. À noter : ces liens et métaphores sont uniquement mes impressions… il ne s’agit pas ici d’une analyse sérieuse et en profondeur!!! 😉 J’ai adoré la dernière phrase du livre.
 
Un autre thème exploité est celui de la nationalité. Une canadienne, un Italien nationalisé Canadien, un sihk et un homme qui refuse toute nationalité… tout ça écrit par un Sri Lankais ayant vécu en Angleterre et nationalisé Canadien! C’est la guerre et ces « détails » prennent soudain une importance encore plus importante. 
 
Ce que j’ai trouvé plus difficile dans le roman a été de m’attacher aux personnages. J’ai apprécié la sensualité (du corps, des mots) décrite dans le roman, ça, ça m’a touchée. Mais les personnages en tant que tel, ça a été plus difficile. Ils sont écorchés vifs, dans tous les sens du terme, mais j’ai moins accroché à leurs histoires. Je crois que Kip a été mon personnage préféré, parce que sous sa carapace, il est encore capable de ressentir quelque chose. Le patient anglais aussi revêt un mystère attirant.  
 
Reste maintenant à voir le film… je crois que ne serait-ce pour les acteurs qui sont dedans… ça vaut la peine!
 
8,5/10

Rebecca – Daphné du Maurier

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 » Dès les premières heures à Manderley, somptueuse demeure de l’ouest de l’Angleterre, le souvenir de celle qu’elle a remplacée s’impose à la jeune femme que vient d’épouser Maxim De Winter.
Rebecca, morte noyée, continue d’exercer sur tous une influence à la limite du morbide. La nouvelle Mme
De Winter, timide, effacée, inexpérimentée, se débat de son mieux contre l’angoisse qui l’envahit, mais la lutte contre le fantôme de Rebecca est par trop inégale.
Daphné Du Maurier, dans Rebecca, qui est sans doute le roman le plus caractéristique de son talent, fascine le lecteur et l’entraîne à la découverte d’inquiétantes réalités sans quitter le domaine familier de la vie quotidienne. « 

Commentaire

Quel bon souvenir que ce roman très victorien, mystérieux, sombre…  La première phrase, marquante selon moi, ouvre la porte à tout un univers où règne le fantôme de Rébecca :  » J’ai rêvé l’autre nuit que je retournais à Manderley. »  Tout de suite, j’ai été happée!

Une anecdote un peu gênante… j’ai lu ce livre quand j’étais au secondaire (il y a de cela heu… quelques années!), à la même période que Jane Eyre.  J’ai adoré les deux romans mais pendant bon nombre d’années, les deux histoires se sont joyeusement emmêlées dans ma petite cervelle adolescente d’alors, jusqu’à devenir une charmant amalgame – un peu fantaisiste –  des deux romans. Si ma mémoire est bonne, cette invention mettait en vedette Jane Eyre, qui  avait rencontré M. Rochester dans un centre balnéaire de MonteCarlo où elle s’occupait d’une dame après être partie de chez sa tante.   Elle devenait sa gouvernante pour bientôt se marier avec lui.  Rébecca était dans cette version la femme folle de de M. Rochester, qui n’était pas noyée mais bien folle, enfermée dans le grenier, gardée par Mrs. Danvers…  Elle avait mis le feu à Manderley et ensuite avait fini par se noyer pour de vrai… et le beau ténébreux était devenu aveugle! Défense de rire!  Il a fallu des relectures pour que tous les événements reprennent leur place respective!  Toutefois, encore aujourd’hui, je dois réfléchir une seconde: si les deux histoires sont maintenant bien séparées dans mon crâne… j’ai toujours une seconde d’hésitation pour savoir laquelle est laquelle!  Avant de dire le titre, je dois y penser à chaque fois!

Bien entendu, ce rapprochement ne s’est pas fait pour rien.  Ce sont des romans d’atmosphère, dans une grande demeure anglaise, où règnent de beaux ténébreux hantés par leur passé, ainsi qu’une ancienne épouse.  J’ai apprécié les deux également, pour différentes raisons.  Si, à mon goût personnel,  la plume de du Maurier n’égale pas celle de Brontë (peut-être est-ce parce que j’ai lu le premier en traduction…), le suspense y est différent et l’action plus dense.  Ce roman m’est apparu plus noir.  J’ai dévoré le livre, voulant savoir ce que cachaient les malaises, les sous-entendus, les regards…  Ca se lit très bien, la lecture nous emporte!

J’imagine que l’auteure avait ses raisons en nous en disant si peu sur la narratrice, dont nous ne connaissons pas le nom, seulement l’âge.  Ceci ajoute à l’amotsphère et laisse un flou assez clair dans l’histoire.  On a l’impression que ce qui est arrivé à la nouvelle Mme de Winter avant son mariage est ininteressant, voire carrément inexistant.   À ma première lecture, ça m’avait agacée… mais à la deuxième, j’ai apprécié… ça ajoute une symbolique au roman!  Un livre à lire, définitivement!

9/10

Le vide – Patrick Sénécal

Le-vide.jpg Résumé
« 
Pierre Sauvé
À l’orée de la quarantaine, veuf, père d’une fille de vingt ans. Sergent-détective à la police municipale de Drummondville, il enquête sur un quadruple meurtre qui a toutes les apparences d’un crime passionnel.

Frédéric Ferland
Début de la cinquantaine, divorcé, père de deux adultes qu’il ne voit guère, il cherche depuis des années l’excitation ultime, celle qui donnera un sens à son existence et à la vie en général, qu’il a toujours trouvée terne. Psychologue, il exerce sa profession dans la ville de Saint-Bruno.

Maxime Lavoie
Trente-sept ans, célibataire, idéaliste et milliardaire. Il y a deux ans, il a quitté ses fonctions de président de Lavoie inc. pour devenir le producteur et l’animateur de Vivre au Max, l’émission de téléréalité la plus controversée de l’heure… mais aussi la plus populaire.

Trois hommes différents, trois existences que tout sépare. Or, contre toute attente, leurs chemins se croiseront bientôt et leur vie en sera bouleversée à jamais. Tout comme celle de milliers de gens… tout comme la vôtre ! »

Commentaire
C’est cet été,  avec ce livre que j’ai découvert Patrick Sénécal, dont tout le monde me parle depuis longtemps.  C’est une copine qui me l’a prêté (fait rarissime) parce que je vais dire tout de suite que normalement, je suis peureuse de façon impressionnante.  Mais je ne regrette pas du tout cette lecture (bien évidemment, je vais finir par l’acheter quand il va sortir en poche… j’angoisse à ne pas posséder les livres que j’ai lus, pour pouvoir m’y référer selon mon humeur. 

Première chose: c’est un bon livre!  Ca se dévore en un rien de temps (du moins, dans mon cas!)  De prime abord, le style d’écriture ne m’interpelle pas particulièrement (j’ai préféré sa plume dans « Aliss« , lu par la suite).  De plus, au départ, le lien entre les trois personnages est assez mystérieux.  Ce que j’ai préféré dans la structure du roman, c’est que les chapitres sont dans le désordre.  Nous nous retrouvons donc propulsés dans la vie des divers personnages, avec de charmants voyages dans le temps!  Il faut être assez attentif pour savoir où on en est!

De plus, certains passages sont vraiment « hard » (la traduction de ce mot – durs – ne me semble pas assez forte pour exprimer ce que j’ai ressenti.  Certains passages avec Gabriel… oufffff!!!  J’ai dû reposer le livre et reprendre mon souffle. 

Toutefois, le roman aborde un thème omniprésent dans le quotidien… la sensation de vide de la société.  Ce vide qui nous amène à vivre par procuration à travers le phénomène oppressant de la téléréalité qui envahit nos écrans (et ici, je précise…  je ne suis pas en train de condamner toute la téléréalité… mais il pourrait y avoir… une limite, non?).  La question qui est posée c’est « jusqu’où irons-nous?!?! »  Jusqu’où ira la société pour tenter de combler ce vide et retrouver la sensation de vivre réellement.  Quelles valeurs sommes nous en train d’abandonner pour vivre « nos trips »?  Où en sont nos priorités?

Intéressant pour les amateurs du genre!

7,5/10

The Big Read!

C’est en visitant  La liseuse que j’ai appris l’existence de cette liste.  Il s’agit d’un classement de la BBC,  constitué des 100 livres préférés des anglais.  Vous pouvez consulter la liste ici 

En résumé…  43 livres lus, 19 livres que je veux lire (dont 9 font déjà partie de ma biblio),4 livres qui ne m’intéressent vraiment pas de prime abord… et 34 livres dont j’ignorais même l’existence! 

Je connais mieux les titres en anglais… je les ai donc laissés dans cette langue! 🙂

Catégorie – J’ai lu!
1. The Lord of the Rings, JRR Tolkien
2. Pride and Prejudice, Jane Austen
3. His Dark Materials, Philip Pullman 5. Harry Potter and the Goblet of Fire, JK Rowling
6. To Kill a Mockingbird, Harper Lee
7. Winnie the Pooh, AA Milne
8. Nineteen Eighty-Four, George Orwell
9. The Lion, the Witch and the Wardrobe, CS Lewis
10. Jane Eyre, Charlotte Brontë 
12. Wuthering Heights, Emily Brontë
14. Rebecca, Daphne du Maurier
15. The Catcher in the Rye, JD Salinger
16. The Wind in the Willows, Kenneth Grahame
17. Great Expectations, Charles Dickens
18. Little Women, Louisa May Alcott
21. Gone with the Wind, Margaret Mitchell
22. Harry Potter And The Philosopher’s Stone, JK Rowling
23. Harry Potter And The Chamber Of Secrets, JK Rowling
24. Harry Potter And The Prisoner Of Azkaban, JK Rowling
25. The Hobbit, JRR Tolkien
28. A Prayer For Owen Meany, John Irving
29. The Grapes Of Wrath, John Steinbeck
30. Alice’s Adventures In Wonderland, Lewis Carroll
35. Charlie And The Chocolate Factory, Roald Dahl
40. Emma, Jane Austen
41. Anne Of Green Gables, LM Montgomery
43. The Great Gatsby, F Scott Fitzgerald
44. The Count Of Monte Cristo, Alexandre Dumas
46. Animal Farm, George Orwell
52. Of Mice And Men, John Steinbeck
54. Anna Karenina, Leo Tolstoy
62. Memoirs Of A Geisha, Arthur Golden
64. The Thorn Birds, Colleen McCollough
70. Lord Of The Flies, William Golding
71. Perfume, Patrick Süskind
74. Matilda, Roald Dahl
75. Bridget Jones’s Diary, Helen Fielding
76. The Secret History, Donna Tartt
83. Holes, Louis Sachar
87. Brave New World, Aldous Huxley
90. On The Road, Jack Kerouac
92. The Clan Of The Cave Bear, Jean M Auel
94. The Alchemist, Paulo Coelho
Catégorie – Je veux lire ça!
11. Catch-22, Joseph Heller
19. Captain Corelli’s Mandolin, Louis de Bernieres (Dans ma PAL)
20. War and Peace, Leo Tolstoy (Dans ma PAL)
26. Tess Of The D’Urbervilles, Thomas Hardy
27. Middlemarch, George Eliot
32. One Hundred Years Of Solitude, Gabriel García Márquez (Dans ma PAL)
33. The Pillars Of The Earth, Ken Follett (Dans ma PAL)
68. Good Omens, Terry Pratchett and Neil Gaiman
34. David Copperfield, Charles Dickens (Dans ma PAL)
63. A Tale Of Two Cities, Charles Dickens
38. Persuasion, Jane Austen (Dans ma PAL)
45. Brideshead Revisited, Evelyn Waugh (Dans ma PAL)
47. A Christmas Carol, Charles Dickens
51. The Secret Garden, Frances Hodgson Burnett
59. Artemis Fowl, Eoin Colfer (Dans ma PAL… tenté plusieurs fois… un jour, je vais réussir!)
60. Crime And Punishment, Fyodor Dostoyevsky (Dans ma PAL)
77. The Woman In White, Wilkie Collins
91. The Godfather, Mario Puzo
97. Love In The Time Of Cholera, Gabriel García Márquez
Catégorie – La vie est trop courte… Je passe mon tour!
53. The Stand, Stephen King
58. Black Beauty, Anna Sewell
78. Ulysses, James Joyce
96. Kane And Abel, Jeffrey Archer
Catégorie – Heu… ça existe, ça?
4. The Hitchhiker’s Guide to the Galaxy, Douglas Adams
13. Birdsong, Sebastian Faulks
31. The Story Of Tracy Beaker, Jacqueline Wilson

36. Treasure Island, Robert Louis Stevenson
37. A Town Like Alice, Nevil Shute
39. Dune, Frank Herbert
42. Watership Down, Richard Adams
48. Far From The Madding Crowd, Thomas Hardy
49. Goodnight Mister Tom, Michelle Magorian
50. The Shell Seekers, Rosamunde Pilcher
55. A Suitable Boy, Vikram Seth
56. The BFG, Roald Dahl
57. Swallows And Amazons, Arthur Ransome
61. Noughts And Crosses, Malorie Blackman
65. Mort, Terry Pratchett
66. The Magic Faraway Tree, Enid Blyton
67. The Magus, John Fowles
69. Guards! Guards!, Terry Pratchett
72. The Ragged Trousered Philanthropists, Robert Tressell
73. Night Watch, Terry Pratchett
79. Bleak House, Charles Dickens (connaît l’auteur – une chance! –mais pas ce livre!)
80. Double Act, Jacqueline Wilson
81. The Twits, Roald Dahl
82. I Capture The Castle, Dodie Smith
84. Gormenghast, Mervyn Peake
85. The God Of Small Things, Arundhati Roy
86. Vicky Angel, Jacqueline Wilson
88. Cold Comfort Farm, Stella Gibbons
89. Magician, Raymond E Feist
93. The Colour Of Magic, Terry Pratchett
95. Katherine, Anya Seton
98. Girls In Love, Jacqueline Wilson
99. The Princess Diaries, Meg Cabot
100. Midnight’s Children, Salman Rushdie

 

 

Florent (Le goût du bonheur – tome 3) – Marie Laberge

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« Après Gabrielle, après Adelaïde, c’est au tour de Florent de poursuivre la quête du bonheur amorcée dans les deux premiers volets de la grande trilogie de Marie Laberge. C’est sur toile de fond du Québec des années 50 et 60, un Québec en pleine mutation que la saga s’épanouit. Et qui dit Florent dit aussi Adélaïde, Léa, Jeannine, Alex, Fabien, Rose, Aaron, Germaine…  
Marie Laberge reprend ici avec force son sujet majeur, le courage des êtres humains, bousculés, maltraités par la vie, écartelés, et qui, sans faiblir, avec détermination, cherchent à atteindre le bonheur malgré les épreuves et les préjugés de l’époque. Dans Florent, avoir le goût du bonheur ne signifie pas être exempté des coups durs de l’existence, mais y faire face avec vaillance. Si le désir, la passion, la sensualité ont conduit Gabrielle et Adélaïde, ces thèmes prennent leur pleine densité dans Florent. Apprendre qui on est, qui on désire et de quelle concupiscence on est habité est essentiel à la conquête du bonheur. Florent est, à ce titre, un hymne au courage. »
 
Commentaire
Bien que j’aie un peu moins apprécié ce troisième volet de la série, il s’agit quand même d’une lecture intéressante… qu’il faut lire quand on a commencé à lire la saga!!! L’action reprend là où nous l’avons laissée à la fin du second volume. Nous retrouvons Ada et Florent, qui font face au destin, chacun à leur manière. La quête d’acceptation de soi de Florent est bien décrite. Les personnages ne sont pas tout blanc ou tout noir.   La première partie du roman est davantage consacrée à Adélaïde et Florent… plus sombre, on ressent la douleur à travers les mots. 
 
J’ai moins apprécié la seconde partie, où le récit est dilué entre différents personnages et où il est plus difficile de suivre. À la fin, j’étais presque fâchée contre Léa (la fille d’Adélaïde) parce qu’elle se rapprochait trop de Florent à mon goût!!! Je ne voulais surtout pas qu’elle prenne la place d’Ada!  Et j’ai eu de la difficulté à m’attacher au personnage de Paul. J’aurais préféré que l’action se concentre davantage sur les personnages principaux… moins d’éparpillement!
 
7,5/10

Adélaïde (Le goût du bonheur – tome 2) – Marie Laberge

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« Avril 1942. Où seront-ils tous quand cette guerre prendra fin? Comment seront-ils passés au travers, à quel prix? Où seront les enfants de Gabrielle et d’Edward : Adelaïde, la sauvage attachante, Fabien, Béatrice, Rose et Guillaume? Qu’est-ce qui restera de ce monde à jamais bouleversé? Qui aura gagné ou perdu? Hitler semble si fort et les combats si vains…  
La fureur qui parcourt ce deuxième volet de la grande trilogie « Goût du bonheur » n’est pas seulement celle des nations qui se lancent l’une contre l’autre, c’est aussi celle du désir. Et Marie Laberge sait comme personne trouver les mots pour décrire ce désir impérieux, complexe, contradictoire. Avec une audace et une lucidité qui n’appartiennent qu’à elle, elle nous fait pénétrer, les yeux grands ouverts, dans ces abîmes qui s’ouvrent qu cœur de ses personnages. »
 
Commentaire
Mon préféré de la trilogie (les deux autres titres étant « Gabrielle » et « Florent » . Juste à relire mes commentaires, j’avais le goût de m’y replonger… en fait, j’en ai relu un bon bout!!! J’adore le personnage d’Adelaïde, plus moderne, moins parfaite, plus humaine, avec ses hauts, ses bas, ses passions, ses doutes. 
 
La réalité de cette époque est bien dépeinte : les femmes qui savent leurs hommes qui sont de l’autre côté de l’océan, les familles en attente… 
 
Ca bouge beaucoup dans le roman, l’écriture est vivante. Je me suis vraiment attachée aux personnages et j’aime toujours autant la relation Florent-Ada ainsi que le personnage de Nic.   J’ai vraiment ressenti les sentiments des personnages, parfois avec bonheur, parfois avec violence. La présence de Florent, sa tendresse pour la famille d’Adelaïde, malgré un cheminement personnel pas facile… j’ai vraiment apprécié ces moments. J’ai vraiment dévoré ce livre et j’en ai apprécié chaque page!
 
9/10

Gabrielle (Le goût du bonheur – tome 1) – Marie Laberge

Gabrielle.jpg Résumé « Québec, 1930. Gabrielle est mariée avec Edward depuis bientôt 10 ans. Entre la maison de l’île d’Orléans et celle de la Grande-Allée, elle mène une vie bien remplie, entourée de ses 5 enfants. 
 
De toute évidence, il s’agit d’un mariage heureux. Mais cette chose qui devrait être si simple fait pourtant froncer bien des sourcils dans l’entourage de Gabrielle. Décidément, le bonheur est suspect en cette époque où notre sainte mère l’Église nous dit que nous ne sommes pas sur terre pour être heureux mais pour accomplir notre devoir. 
 
L’élégante Gabrielle a bien du mal à se soumettre au code strict de la société bien sage et bien pensante. Et si c’était possible de changer le monde autrement que par la prière?
 
Dans ce premier volet de la grande trilogie romanesque intitulée « Le Goût du bonheur », Marie Laberge brosse une vaste fresque du Québec de l’avant-guerre. Fidèle à sa manière, elle nous fait partager le destin de personnages si vrais qu’ils semblent bondir de la page. Grâce à une écriture qu’on dirait faite pour traduire les mouvements du cœur les plus subtils ou les plus inavouables, elle éclaire de l’intérieur une époque où, sous la gangue des conventions sociales et de la religion, les passions ne brûlaient pas avec moins de force qu’aujourd’hui. »
 
Commentaire
J’ai lu ce livre il y a quelques années déjà… le billet que j’écris relève donc à la fois de notes de lectures datant de 2001 et de ma mémoire. J’ai toujours beaucoup apprécié Marie Laberge, que j’ai connue par ses pièces de théâtre au départ, et que j’ai suivie dans son œuvre romanesque jusqu’à la parution de cette trilogie, que j’ai par ailleurs beaucoup appréciée. 
 
Toute québécoise que je sois, je n’apprécie pas toujours les longues sagas se passant au Québec… parfois, j’ai l’impression de ne lire qu’une successions de malheurs et de privations… et ça ne me plaît pas. Toutefois, la trilogie « Le Goût du bonheur » (Tome 2 – Adelaïde, Tome 3 – Florent ) a fait exception car si les valeurs et le contexte de l’époque sont présents, ils ne sont généralement pas trop lourds et on ressent cette quête du bonheur « malgré tout », qui est omniprésente dans le roman. 
 
Dans Gabrielle, nous nous retrouvons au début des années trente et le roman s’achève avec la conscription, pendant la deuxième guerre mondiale. Le bonheur de Gabrielle n’est pas bien vu par l’Église, qui était alors maîtresse de toutes les chambres à coucher québécoises… ou presque! Si cette influence de l’église est un peu lourde au début du roman, elle devient ensuite toile de fond. J’ai aimé la bataille quotidienne pour le bonheur, la relation de Nic et Gabrielle, ainsi que le personnage de Nic en général (je crois qu’il me faut un fantasme dans chaque livre!!!). J’aime beaucoup la relation de Florent et de la bouillante Adelaïde, que je suis heureuse de retrouver dans le second tome de la trilogie. J’adoooore la dernière phrase!!!
 
Mon petit bémol : Gabrielle est trop parfaite… tellement que ça m’a un peu énervée… j’avais hâte qu’elle fasse quelque chose de « pas parfait » une fois pour toutes! 
 
Mais malgré tout, Marie Laberge a une plume que j’aime bien et les décors évoqués (la Grande Allée, à Québec et l’Île d’Orléans) sont pour moi source de beaux souvenirs. À chaque fois que je vais cueillir des pommes à l’Île , j’ai une petite pensée pour ces personnages, que je m’amuse à imaginer dans ces décors, qui devaient être bien différents à cette époque!
 
8/10

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Harry Potter (1 à 6) – Joanne K. Rowling

  Pourquoi soudain un billet sur Harry en ce mardi soir? Suite à la presque-crise-d’apoplexie de mes voisins du Sud suite à une « révélation choc » au sujet du personnage de Dumbledore (commentaire et réaction douteux  – je me censure ici –  à mon humble avis… mais qui m’ont occasionné un fou rire mémorable ce matin!), j’ai soudainement eu envie d’en parler un peu!
 
Mise en situation : j’ai commencé à lire Harry au début-début, avant que ce soit très populaire par ici. La mère d’un petit pou avec qui je travaillais m’avait alors donné le premier – et seul livre existant à l’époque – de la série en cadeau de Noël, parce que c’était aussi le nom de son petit garçon (ben… Harry! Pas Potter! Ni Harry Potter d’ailleurs… fiou!). J’ai accroché tout de suite et j’ai suivi les aventures du petit sorcier depuis. Ce n’est que quand trois volumes ont été sortis que c’est devenu vraiment connu au Québec. Donc, quand je pense à Harry, je pense au sorcier incarné par Daniel Radcliffe (parlant de lui, je ne me suis pas encore remise des photos de sa pièce de théâtre où il joue tout nu… too much details! C’est que… c’est HARRY!! Je ne le verrai plus jaaamais de la même façon!) mais aussi au petit creton adorable qui m’a fait découvrir la série!
 
Harry-1.jpg Volume 1 – Harry Potter à l’école des sorciers
Résumé très résumé… tout le monde connaît l’histoire!
À l’âge de 11 ans, Harry Potter, orphelin recueilli par son oncle et sa tante, apprend qu’il est en fait un sorcier et qu’il fréquentera désormais le château de Poudlard, l’école de sorcellerie. Il découvre aussi l’existence de son ennemi juré, Voldemort, sorcier disparu après avoir tenté de tuer Harry alors qu’il était âgé de 1 an. 
 
Commentaire
Je crois que ce premier livre restera toujours mon favori. J’ai découvert avec émerveillement ce monde parallèle créé par Rowling, un monde de magie où tout est possible. Je crois que c’est surtout cet univers fantastique qui m’a fait aimer la série. Je me promenais en imagination dans les corridors de Poudlard, dans ses passages secrets et ses nombreuses tours. J’ai vraiment envié l’imagination de l’auteure… les bonbons, les photos, les fantômes, le quidditch, le courrier… tout était différent! À chaque nouvelle invention, je ne m’attendais pas à ça et j’ai été séduite! L’aventure en tant que elle est jolie, ça parle de magie, de vrais méchants et de vrais gentils. Et immédiatement, j’adoooore les jumeaux Weasley!!!
 
 
Harry-2.jpg Volume 2 – Harry Potter et la chambre des secrets
Deuxième année pour Harry et ses amis Ron et Hermione à Poudlard. Un grand danger guette alors les élèves… certains se retrouvent pétrifiés. Il semblerait que la chambre des secrets ait été ouverte!
 
Commentaire
Dans ce volume, je découvre encore le monde magique.   Nous sommes mis en contact avec beaucoup d’éléments importants du récit… mais nous ne le savons pas encore à ce moment-là! J’ai bien aimé le concept, l’histoire de la chambre des secrets, la façon dont le mystère est amené et avec laquelle les éléments nouveaux sont apportés. Dommage pour les noms en français… Tom Riddle et Tom Jedusor… le jeu de mot n’a pas le même impact. C’était moins nouveau que le premier… donc l’émerveillement était un peu moins au rendez-vous… mais quand même!
 
 
Harry-3.jpg Volume 3 – Harry Potter et le prisonnier d’Askaban
Le monde des sorciers est en émoi… Sirius Black, criminel notoire, s’est échappé de la prison d’Azkaban. À Poudlard, pour la troisième année de nos amis, la sécurité est renforcée et Harry doit à tout prix éviter ce nouveau danger. 
 
Commentaire
Des bons et des moins bons points pour moi dans ce roman. J’ai adoré Lupin et son secret, beaucoup aimé la finale avec Sirius et le fait que Harry soit maintenant moins seul au monde. Toutefois, le retourneur de temps, l’aventure de Buckbeak (gros blanc pour le nom en français…désolée…) et les multiples rencontres d’Harry avec les détraqueurs m’ont moins emballée. J’ai apprécié en connaître davantage au sujet des amis du père d’Harry, toutefois!
 
 
Harry-4.jpg Volume 4 – Harry Potter et la coupe de feu
Quatrième année à Poudlard, année qui est marquée par la coupe de feu, compétition grandiose qui réunit trois écoles : Poudlard, Beauxbâtons et Drumstrang (orthographe incertaine ici…). La menace du retour de Voldemort pèse de plus en plus…
 
Commentaire
Après le premier livre, je crois que c’est celui-ci mon préféré, à égalité avec le 6e. Probablement parce que nous découvrons davantage le monde des sorciers avec la présentation des deux nouvelles écoles et de leurs orientations. Beaucoup d’action presque tout au long, j’ai beaucoup aimé les différentes épreuves ainsi que la finale, dramatique. J’aime bien l’évolution de la relation de Ron et Hermione aussi… c’est cute, cute cute!!! Je crois qu’avec ce livre, j’ai réalisé que j’aimais bien Harry parce qu’il n’était pas parfait, pas « top sorcier » mais qu’il avait ses forces et ses faiblesses. Ce que j’ai moins aimé : la description de la coupe du monde de Quidditch au début… loooooong!!!!! Mais je veux une tente-version-sorcier… et une pensive aussi, ce serait bien pour me vider l’esprit!!! Le personnage de Dumbledore me fascine carrément! J’ai eu bien hâte de connaître son histoire!
 
 
Harry-5.jpg Volume 5 – Harry Potter et l’ordre du Phoenix
Voldemort est de retour. L’ordre du Poenix est donc recréé pour le combattre. Toutefois, la parole de Harry, qui a été témoin du retour du mythique méchant sorcier, n’est pas acceptée de tous, surtout pas du ministère de la magie, qui s’entête à faire comme si tout allait bien. Et que dire de la nouvelle professeure de « Darks Arts »?
 
CommentaireÀ partir d’ici, je n’ai pas lu les versions françaises… donc, il se peut qu’il y ait des noms bizarres… parce qu’en anglais!
Il a fallu que je relise ce livre deux fois pour l’apprécier. En effet, je crois que le cinquième volume amorce beaucoup des intrigues qui seront poursuivies jusqu’à la fin de la série… Beaucoup de questions, peu de réponses. Beaucoup de nouveaux personnages aussi. À ma première lecture, j’ai été un p
eu mélangée. De plus, c’est définitivement très noir. 
 
Ce que j’ai aimé : l’histoire de l’Ordre du Phoenix (la photo du premier « Ordre », entre autres, m’a rendue toute émue!!!), la description du ministère (encooore des découvertes! Je pense que j’aime les découvertes!) et les séances de la DA (Dumbledore’s Army).  De plus, j’ai aimé le fait que les ados soient des ados, avec des préoccupations adolescentes à travers toutes ces aventures. Ca les rend plus humains.  Ce qui m’a énervée??? Là, ça va être plus long! Dolores Umbridge est très bien réussie… TROP bien réussie! Elle m’a tellement énervée que j’ai failli décrocher de l’histoire! J’ai trouvé ça lent à démarres, la « crise d’ado » profonde de Harry (bien que réaliste, à cet âge) m’a agacée et je trouvais vraiment incompréhensible le manque de réaction du ministère de la magie. De plus, j’ai trouvé la mort du personnage qui meurt (au cas où certaines ne sauraient pas de qui il s’agit) un peu bâclée. Et je n’aime pas Cho! (On dirait le schtroumpf grognon, à me lire!!!) Un point, toutefois… ce livre contient ma scène préférée de tous les Harry Potter!!! La finale de Fred et George Weasley, personnages que j’adore toujours autant! Et l’attitude des professeurs… trop drôle!!! Je me dois toutefois de mentionner que j’ai nettement préféré ma seconde lecture du livre! Je voyais mieux les liens à faire et je remarquais davantage de détails importants pour la suite! Et dernière chose… je l’aime, moi, Snape! Est-ce que je suis normale?!?!?!
 
 
Harry-6.jpg Volume 6
Harry Potter et le Prince au Sang mêlé
À l’aube de la sixième année à Poudlard, Voldemort est de plus en plus présent; des meurtres chez les sorciers et chez les Muggles également.  Les Death Eaters se multiplient. Au château, Harry fait des merveilles en potions, grâce à un mystérieux livre ayant appartenu au « Half-blood Prince ». Dumbledore se rapproche de Harry et l’entraîne avec lui à la recherche d’un Horcrux.
 
Commentaire
Ce volume est définitivement le plus noir de la série. Nous sommes loin, vraiment loin, du premier volume! Avec ce livre, j’ai été plongée jusqu’au cou dans l’atmosphère sombre et suite à sa lecture, je suis ressortie avec des dizaines de théories toutes plus abracadabrantes les unes que les autres!!! Encore une fois, beaucoup de questions, beaucoup d’indices importants pour la suite, qu’il est difficile de relever quand on ne connaît pas la fin. Encore une fois, la relecture a été très agréable et, dans toute la série, il est ahurissant de noter à quel point l’histoire se tient et combien de pistes ont été lancées l’air de rien!  J’ai beaucoup apprécié la relation entre Dumbledore et Harry, je me pose mille et une questions sur Snape et je trouve vraiment les relations Harry-Ginny et Ron-Hermione vraiment adorables.  On en apprend beaucoup sur plusieurs personnages et leurs relations passées, ce que j’ai beaucoup aimé!  J’ai définitivement apprécié davantage celui-ci que le volume 5!
 
 
 
Et le 7e tome?   Je l’ai lu le jour même de sa sortie!  Mais je vais attendre un peu avant de le commenter, c’est trop difficile d’en parler sans rien révéler de l’intrigue!  Je tiens à ma vie!!!!

Une canne à pêche pour mon grand-père – Gao Xingjian

Canne----p--che.jpg Résumé   » Souvenirs d’enfance, les bonheurs simples de l’amour et de l’amitié, le pays natal et ses lieux familiers, mais aussi les drames de la rue ou les tragédies vécues par la Chine, tels sont les thèmes de prédilection de ces six nouvelles choisies par l’auteur – avec la complicité de son traducteur. « 
 
Commentaire 
 En fait, il s’agit d’un recueil de 5 nouvelles écrites il y a environ 20 ans. Il s’agit là de ma première rencontre avec un auteur chinois… en fait, je ne connais pas beaucoup la littérature asiatique! De façon générale, j’ai aimé l’écriture douce, imagée et agréable de l’auteur (et du traducteur… j’imagine qu’en traduction « chinois-français », ça doit beaucoup compter!). Les nouvelles m’ont apporté de jolis moments de lecture et ne m’ont pas dérangée. Ce ne sont pas des nouvelles qui se terminent par un gros « punch » … à moins que je ne l’aie manqué!
Le Temple : Un arrêt impromptu au cours de leur voyage de noces amène deux jeunes mariés à s’arrêter dans un temple.  Agréable, tout doux, narration intéressante. Nouvelle bien, mais pas marquante.
 
L’accident : En pleine ville, on assiste à un accident entre un vélo et un autobus. Un homme meurt et un enfant est transporté à l’hôpital. J’ai bien aimé cette nouvelle, davantage que la précédente. Bribes de conversation disparates de passants pour qui cet accident devient brusquement le centre de l’univers… le temps de quelques secondes. Parenthèse en pleine rue. 
 
La crampe : Un homme est pris d’une crampe alors qu’il nage au large. À travers la nouvelle, j’ai vraiment ressenti l’angoisse, j’ai pensé en même temps que le personnage. Un gros drame de sa vie qui n’a rien changé au monde qui l’entoure, qui ne suscite aucune réaction.  J’ai eu de la difficulté à interpréter la fin… les détours du destin? Je ne sais trop.
 
Dans un parc : Un homme et une femme se retrouvent dans un parc après avoir été envoyés à la campagne. J’ai beaucoup aimé cette nouvelle. Les dialogues m’ont touchée, ainsi que la présence de cette sensation que j’ai souvent quand je réalise que les choses ont changé et que deux personnes ne se comprennent plus vraiment. Le parallèle entre la jeune fille qui attend et la conversation est intéressante. J’avoue aussi que l’inculte que je suis a dû aller se renseigner un peu sur ces « envois à la campagne ». Je n’avais aucune idée de ce dont ils voulaient parler!   
 
Une canne à pêche pour mon grand-père : Un homme achète une canne à pêche pour son grand-père. Ma préférée du recueil, je crois. J’y ai vu d’une part des réactions face aux changements imposés par le développement et l’industrialisation mais aussi, d’autre part, la désillusion face aux souvenirs d’enfance, jadis magnifiés par nos yeux d’enfants émerveillés.   J’ai encore cette sensation quand je me balade sur les traces de mes errances enfantines, dans un paysage qui n’a, en somme, que peu changé. Ce changement de regard, cette difficulté à accepter le temps qui passe est particulièrement venu me chercher. Je ne suis toutefois pas certaine que c’est ce que l’auteur voulait nous faire ressentir, toutefois!
 
Instantanés : Comment résumer?? Des instants de vie. La nouvelle que j’ai le moins aimée. J’ai définitivement de la difficulté à la comprendre. Après une seconde lecture, j’ai pu faire quelques liens entre des scènes et amorcer un début de compréhension… mais j’ai réalisé que ça ne me tentait pas particulièrement de terminer cette réflexion.   En fait, « difficulté à comprendre » est un euphémisme… je n’ai rien compris du tout!!! Mais c’est « beau » à lire… ça coule tout seul!
 

7/10

Des nouveaux liens!

À force de me balader dans les différents blogs lecture, non seulement ma liste à lire menace d’exploser, mais je fais fréquemment la découverte de blogs que je ne connaissais pas!  En plus, plusieurs bloggueuses ont été assez gentilles pour me laisser des commentaires!  Voici donc de nouveaux liens vers des blogs lecture intéressants!

Happy Few par Fashion Victim
Un blog « kulturel » qui parle de livres mais aussi de cinéma et de Kulture, avec un grand K! Les commentaires de Fashion Victim sont trop drôles… je ne m’en sors pas sans un fou rire!!!!

Lectures Austiniennes de Solène
Un nouveau blog qui parle principalement de littérature de la période victorienne!

Insatiable lectrice – Anne
Beaucoup de livres présentés, des critiques intéressantes… j’aime bien explorer ce site!

Les chroniques de Chrestomanci – Virginie
J’apprécie beaucoup les commentaires, beaucoup de titres qui m’intéressent!

J’espère que je n’en oublie pas!!!  Et je vais rajouter ces liens à ma liste dans la colonne de gauche, si les auteures n’ont pas d’objections! 🙂