Présentation de l’éditeur (avec adaptation mal faite par moi!)
« Trenton, New Jersey. La chasseuse de primes Stephanie Plum est une petite américaine bien ordinaire aux prises avec un travail un peu inconfortable, dans lequel elle réussit avec un peu de ténacité et beaucoup de chance. Sur sa liste présentement: Martin Munch, un homme dont le corps le conduit au département des petits garçons chez Macy’s mais dont le cerveau plus grand que nature sert les intérêts de son partenaire aux instincts meurtriers.
Habituellement Stephanie réussit à attraper son homme. Cette fois, elle obtient Diesel, un chasseur de primes dont les habiletés spéciales incluent le traquage d’hommes… et le plaisir des femmes. Stephanie et Diesel doivent donc pourchasser Martin Much à travers les Pine Barrels et faire face au Jersey Devil – qui survole les cimes des arbres au plus profond de la nuit – ainsi que trouve un moyen de survivre au sable dans leurs sous-vêtements, à trop de petits singes et, évidemment, à se supporter l’un et l’autre. »
Commentaire
La preuve que je suis hyyyper raisonnable! J’attends toujours la sortie en poche du Evanovich nouveau avant de me précipiter dessus! Non mais quand même, il faut le noter, hein! Ce qui fait que je me précipite en janvier-février pour le « between the numbers » annuel, et en juin pour le « number » annuel!! Alors quand j’ai réalisé qu’il me manquait quelques dollars pour bénéficier du « rabais de 5$ à l’achat de 35$ en magasin », j’ai tout de suite sauté sur l’occasion (et anyway, c’est la faute à Fashion parce que c,est pour elle que je magasinais… j’ai finalement trouvé… des idées pour elle et plein de trucs pour moi!)!
La particularité des « Between the numbers », c’est qu’il y a Diesel. Pour votre information, Diesel est un « Unmentionable » with super pouvoirs, qui doit attraper d’autres unmentionables avec, aussi, des super pouvoirs. Diesel a un derrière « ni trop mou, ni trop dur » et, selon lui, un index magique. Et des abdos en six pack incroyables. Et, comme tous les autres (mais comment elle fait, vous pouvez me le dire?? Pourtant, j’ai le même régime alimentaire qu’elle, ou presque!), « he wants Stephanie bad »!!! Il raconte n’importe quoi et est le pire macho de la terre, aussi. Bon, il ne vaut pas Ranger et Morelli mais quand même, c’est un bon compromis! Normalement, aussi, les between the numbers sont plus courts et sont Ranger-and-Morelli free. Ce qui n’est pas le cas ici. Bon, ils n’ont pas le premier rang mais quand même, ils sont présents. Et pour moi, c’est toujours un plus!
L’histoire est encore une fois assez secondaire… même que je pense que ça aurait été aussi bien s’il avait été de la même longueur que les autres « between the numbers », c’est toujours drôle mais ça fait pas mal d’aller-retours dans la forêt à mon goût. En effet, ce n’est pas aussi hilarant que certains autre tomes, malgré les habituels moments comiques! En fait, pour faire ça simple, encore des chamboulements pour Stephanie. Elle est devenue babysitter pour Carl, un singe bizarrement intelligent qui comprend tout et s’exprime par un langage des signes tout à fait particulier… et n’impliquant qu’un seul doigt. Morrelli est aux prises avec son frère Anthony que sa femme a mis dehors, et son FTA se cache dans une forêt assez épeurante (c’est le truc « spooky », je pense! En association avec Gerwulf Grimoire), composée de abyrinthiques pistes de VTT qui s’entrecroisent sans finl et habitée par le Jersey Devil, le Sasquatch, Elder the fire farter ET le lapin de Pâques! Et oui, ya des singes avec des casques aussi. Beaucoup de singes avec des casques. Et un vilain qui a l’air d’un vampire et qui disparaît dans de la fumée! C’est complètement déjanté, complètement fou mais bon… si ça ne l’était pas, ce ne serait pas Janet Evanovich!
Mon moment fort est quand même le sort d’Anthony Morelli et les réactions du pauvre Joe et de Ranger. Ce que j’adore dans cette série, c’est de voir que Stéphanie et son entourage commencent à trouver complètement « normal » toutes les situations. Ils acceptent n’importe quoi avec un petit soupir de découragement… et beaucoup de bonne volonté! Les « solutions » de Stephanie me font mourir de rire (et bon, ok… j’aurais souvent pensé aux mêmes, c’est un peu pour ça qu eje trouve ça si drôle!) et j’adore cet univers un peu fou qui ne nécessite aucune prise de tête. Nécessaire des fois, non?
Et bon, je ne parviens pas à comprendre pourquoi il n’y a pas encore de film sur la série! Et vivement juin!!