La maison aux esprits – Isabel Allende

Présentation de l’éditeur:
« Une grande saga familiale dans une contrée qui ressemble à s’y méprendre au Chili. 

Entre les différentes générations, entre la branche des maîtres et celle des bâtards, entre le patriarche, les femmes de la maison, les domestiques, les paysans du domaine, se nouent et se dénouent des relations marquées par l’absolu et l’amour, la familiarité de a mort, la folie douce ou bestiale des uns et des autres, qui reflètent et résument les vicissitudes d’un pays passé en quelques décennies des rythmes ruraux et des traditions paysannes aux affrontements fraticides et à la férocité des tyrannies modernes ».

Commentaire
Croyez-le ou non, ce livre était dans mon challenge ABC 2008… je l’ai donc dans ma pile depuis décembre 2007 (au point où j’en suis, presque 2 ans, je trouve ça court comme délai!!) et il m’a fallu la lecture commune organisée par Kali et Edelwe pour que je me décide enfin à le déterrer!  Et j’ai drôlement bien fait parce que ce livre m’a décidément beaucoup plu!!!

Nous entrons donc dans une saga familiale où nous rencontrerons plus ou moins longtemps quatre générations d’hommes et de femmes, en plein coeur de ce pays jamais nommé mais dans lequel on reconnaît le Chili, patrie de l’auteure.  J’ai une tendance à aimer beaucoup ces romans où la petite histoire  nous entraîne dans la grande et suite à ma lecture, j’ai beaucoup lu sur l’histoire du Chili, que je ne connaissais pas du tout.  Difficile de ne pas faire de liens avec des personnages réels, je pense au Poète ou au Candidat, entre autres…)  L’histoire est tragique, en un sens mais jamais pathétique, on rencontre des personnages forts qui luttent et qui tentent de survivre dans un régime bouleversé.  Nous les suivrons en effet de la période post-coloniale, avec les patrons touts-puissants, jusqu’à l’élection du candidat de gauche, en passant par le coup d’état qui suivit…   Il y a une touche de magie dans tout ça, tout au long de ma lecture, j’ai senti le merveilleux planer, sans jamais prendre le pas sur l’histoire principale.  Je veux une maison comme ça, d’ailleurs, pleine de recoins et d’escaliers qui ne mènent nulle part!  

Tout au long de ma lecture, j’ai voulu savoir ce qui allait advenir des personnages que nous rencontrons.  Clara, l’un des personnages principaux, a pour moi illuminé le récit avec ses fantômes, ses cartes et sa capacité à prédire l’avenir, sombre comme moins sombre.  Ce personnage m’a vraiment intriguée et ses réactions, toujours surprenantes et marginales, allègent le récit.  Clara a épousé Esteban Trueba, le soupirant de sa soeur aînée, Rosa la Belle, magnifique avec ses cheveux verts, après la mort de celle-ci.  Trueba, qui s’est fait lui-même, partisan de droite, est un homme qui a de la difficulté à se maîtriser, mais qui évolue dans le roman.  Nous verrons aussi leurs enfants, Blanca, Jaime et Nicolas, chacun bizarre à sa manière (chaque personnage est un peu décalé, en fait) ainsi que la fille de Blanca, Alba, qui aura à faire face à la dictature dont elle ne partage pas les idées.  À travers tout ça, nous rencontrerons les employés du domaine à la campagne, un vieux sorcier, un chanteur aux idées révolutionnaires, un fils bâtard avide de pouvoir.  Chacun des nombreux personnages a un rôle à jouer et je les ai presque tous beaucoup aimés… je n’ai pas pu faire autrement que de m’attacher. 

La narration, partagée entre Esteban Trueba et un narrateur que nous découvrirons à la fin, est faite à partir des cahiers de Clara et des souvenirs de chacun.  Écrit suite aux événements, j’ai beaucoup apprécié les petits clins d’oeil au futur (il ly a un nom littéraire pour ça… mais je ne suis pas littéraire alors je ne le sais pas) qui nous permettent d’anticiper les événements et de voir venir ce qui va se passer… dans mon cas, quand je sais qu’il va arriver quelque chose à un personnage, on dirait qu’ensuite je « profite » des moments qu’il me reste à passer avec lui… c’est une des raisons que j’aime beaucoup relire, aussi!!

Une très agréable lecture donc, qui m’a permis d’élargir mes connaissances!  Je ne me suis pas du tout ennuyée pendant ces 540 pages et j’avais du mal à lâcher le livre… Pimpi pourra confirmer!!

Plaisir de lecture: 9/10

Était dans ma pile depuis décembre 2007!  Pas siiiii pire!!!

Le voyage d’Anna Blume – Paul Auster

Présentation de l’éditeur
« Une ville au bout du monde, cernée de murs, livrée à la désagrégation, dont les habitants tâchent de subsister en fouillant dans les détritus.  De ce « pays des choses dernières », comme l’appelle le titre original du roman, la jeune Anna Blume écrit à un ami d’enfance.  Venue à la recherche de son frère disparu, elle raconte ses errance dans les rues éentrées, sa lutte contre le froid, les prédations, le désespoir. »

Commentaire

C’est dans le cadre d’une lecture commune avec Jules que j’ai décidé de lire ce roman qui était dans ma pile depuis je ne sais plus quand.  En fait, je l’ai acheté, puis j’ai lu en quelque part qu’il était question de récit post-apocalyptique… et j’ai décidé que je laisserais faire.  Sauf que le billet d’Ys mentionne qu’il y a moyen de le voir autrement; un état totalitaire, isolé, ravagé par les dictatures et les renversements de gouverments.  Et c’est comme ça que j’aurais compris ce roman de toute façon, je crois. 

« Le voyage d’Anna Blume » est une lecture qui « rentre dedans » comme on dit.  Écrit sous la forme d’une longue lettre à un ancien amour vivant dans son ancien monde, un monde où tout apparaît encore possible, elle lui raconte sa vie, son cheminement dans cette ville où survivre même devient un combat quotidien. 

Anna alors âgée de 19 ans, enfant gâtée, a débarqué dans ce pays où elle n’a aucun repère (ou personne n’a de repères d’ailleurs) quelques années auparavant en partant à la recherche de son frère journaliste, William, disparu plusieurs mois auparavant.  Elle arrive dans la ville, ville dont on ne connaît pas le lieu et d’où on ne sort pas comme on veut en raison des gardes, des frontières et des lois.  Tout coûte cher et est rationné, les morts sont utilisés pour faire du carburant, de même que les déchets.   Pas moyen d’avoir du travail.  Pas moyen d’avoir un logement dont on est certain qu’on ne se fera pas évincer comme ça, du jour au lendemain.  Pas moyen de se promener sans avoir peur de se faire voler tout ce qu’on a sur le dos.   Les sans abris sont partout et dans de telles conditions, l’humain en est arrivé à descendre bien bas ou à vouloir mourir.  Et Anna dans tout ça va tenter de rester vivante malgré la réalité qui se charge de briser la plupart des rêves. 

Le témoignage d’Anna fait mal parce qu’on se dit que bon, à certains endroits du monde, ce n’est pas loin de la réalité.  Ou ça l’a été à un moment de l’histoire.  Du coup, ça fait froid dans le dos.  Jusqu’où on est prêt à aller quand il n’y a plus rien à perdre, plus d’espoir? 

Toutefois, j’admets que j’ai eu peur.  Cette longue lettre, sans chapitres, avec des longs paragraphes, comme écrite d’un souffle, se lit rapidement mais pendant la première partie, étouffanteet glauque avec la découverte de la ville et de ses charognards, ses assasins et ses fécaleux, j’ai frôlé l’ennui à quelques reprises.  Je me suis même demandée dans quoi je m’étais embarquée.  Puis, Anna rencontre Isabelle et d’autres personnages qui comme elle refusent de descendre complètement au fond et à partir de ce moment, l’histoire ma passionnée. 

Et les petits mots « dit-elle », au début du roman laissent croire à une petite note d’espoir… ce qui était quand même nécessaire pour moi après une telle lecture!!

L’avis de Jules, qui devrait publier son billet aujourd’hui également!

Plaisir de lecture: 8/10

Était dans ma pile depuis un mautadit bout de temps… mais je ne sais plus quand exactement!

The enchanted April (Avril enchanté) – Elizabeth Von Arnim

Présentation de l’éditeur
« Une recette pour le bonheur: quatre femmes, un château médiéval italien, de la glycine à volonté et de la solitude au besoin. 

Les femmes au centre de cet Avril enchanté ne se ressemblent qu’en un point; elles sont insatisfaites de leur vie de tous les jours. Elles se trouvent, ainsi que le château de leurs rêves, par l’intermédiaire d’une annonce classée dans un quotidien de Londres, en février.  Les dames s’attendent à des vacances agréables mais ne peuvent deviner que le mois passé à Portofino les réconciliera avec  le bonheur et leur vraie nature. »

Commentaire

Mais quel roman charmant que celui-ci!!  Lumineux, souriant, tout plein de charme suranné, je me suis carrément délectée de cette lecture qui nous emmène pendant un certain mois d’avril en Italie en compagnie de quatre dames que tout sépare au premier abord.   Et pourtant, ce n’était pas gagné!!


Tout commence quand Mrs. Wikins (Lotty, pour les intimes), dame timide d’apparence et qui ne se sent pas à sa place dans la société Londonienne où évolue son mari, voit une petite annonce dans le journal proposant la location d’un château – rien de moins – en Italie pour le mois d’avril.  Enthousiasmée et mue par une impulsion subite, elle en discute avec une parfaite inconnue, Mrs. Arbuthnot (j’espère que je ne massacre pas son nom!!), qui semble regarder la même annonce.  Et bon, en plus, elle les voit là-bas, ensemble!  Mrs. Arbuthnot, dame très comme il faut, très dévote et impliquée dans les bonnes œuvres religieuses, s’est éloignée de son mari et a aussi bien besoin d’une petite escapade.  Pour payer le loyer, elles trouvent – par le biais des petites annonces – deux autres dames pour partager le château.  Lady Caroline est jeune, célibataire, et voit l’admiration dont elle fait l’objet comme un terrible fardeau.  Elle ne souhaite que s’éloigner de tout ça et avoir la sainte paix.  Quant à Mrs. Fisher, la soixantaine, elle veut être seule et penser à ses morts. 


Avril en Italie semble avoir un charme particulier.  Les fleurs se succèdent, la vue est magnifique et l’air même semble avoir un effet  euphorisant sur les personnes qui s’y trouvent.  Du moins, c’est-ce que prétend Lotty!  Lotty, qui semble si bizarre à Londres s’épanouit immédiatement en Italie et sa spontanéité et son optimisme sont communicatifs.  Parce que bon, à l’arrivée, Lady Caroline veut être toute seule, ne pas être dérangée et elle s’approprie le jardin.  Surtout, ne pas être trop gentille avec les autres; ils pourraient vouloir lui tenir compagnie!   Quant à Mrs. Fisher, aigrie et seule, elle se croit bien au-dessus de tout ça, méprise un peu tout le monde et veut être bien dans le salon (où elle interdit à tout le monde d’entrer) , tout en s’appropriant l’espace et en jouant les maîtresses de maison, ce que Mrs. Arbuthnot, qui croit que ce rôle lui revient, n’apprécie pas vraiment.


Ces personnages un peu désagréables et leurs mesquineries passent très bien en raison de la plume d’Elizabeth Von Arnim, qui nous le décrit avec juste ce qu’il faut d’humour et de dérision.  Les scènes entre Mrs. Fisher et Mrs. Arbuthnot sont d’un très comiques, tandis que d’autres moments sont beaucoup plus touchants, mais dans un registre qui fait davantage sourire que pleurer.  Et j’ai refermé le livre un peu triste – et pas tout à fait rassurée, tout de même – de quitter ces personnages auxquels j’ai réussi à m’attacher.  Mais grâce à Lotty, on peut se permettre d’y croire!


Un délicieux moment de lecture, donc!!  Sauf que maintenant, je veux absolument aller en Italie!!  Qui veut venir???


Plaisir de lecture : 9,5/10


Pique-nique et bouquinerie, ça tente à qui?


Faut croire que suite à notre virée avec Yueyin, Pimpi et moi avons pris goût au magasinage et à l’opération « dévalisons les bouquineries » en gang de LCA!!!  Je viens de confirmer que j’irai faire une virée du côté de Montréal la fin de semaine du 19-20 septembre (je sais, c’est la semaine prochaine!!!) alors on s’est dit que s’il y avait des intéressés, on pourrait renouveller l’expérience!

Quand on a commencé à en parler, on voulait monter un truc bien élaboré avec une ou des activités, un thème, tout ce que vous voudrez… sauf que bon, le temps et la rentrée nous ont pris de court alors on a choisi de faire ça tout simple, non officiel, entre copines!!  Un pique-nique et une promenade dans les bouquineries de la rue Mont-Royal, ça nous paraissait tout à fait approprié!

Alors voici ce qu’on propose!

On pourrait se retrouver samedi le 19 septembre, vers midi au Parc Lafontaine, sous la statue de Félix Leclerc (selon Pimpi, ce serait aux alentours du coin Papineau-Rachel et j’ai tendance à la croire sur parole vu que mes connaissances géographiques du Parc Lafontaine sont carrément nulle, n’y ayant jamais mis les pieds en 4 ans de résidence à Montréal, aussi étrange que ça puisse paraître!!  On pique-nique, en espérant qu’il ne neige pas (ne riez pas, il y avait du gel au sol plein le parc des Laurentides hier!!) et ensuite, on va magasiner et acheter plein de livres-qui-ne-comptent-pas!!!  Et s’il pleut vraiment ou qu’il fait vraiment froid, on pourrait se rabattre sur un resto pas loin… à voir sur place!

Il y a des intéressés???

Si ça vous tente, faites-nous le savoir dans les commentaires.  À une semaine d’avis, on se doute bien qu’il n’y aura pas foule… et faut pas s’attendre à des cadeaux ou à une organisation de fous… mais juste quelques heures entre nous!!

Le jeu de l’ange – Carlos Ruiz Zafòn

Présentation de l’éditeur
« Dans la turbulente Barcelone des années 1920, David, un jeune écrivain hanté par un amour impossible, reçoit l’offre inespérée d’un mystérieux éditeur: écrire un livre comme il n’en a jamais existé, « une histoire pour laquelle les hommes seraient capables de vivre et de mourir, de tuer et d’être tués », en échange d’une fortune et, peut-être, beaucoup plus. »

(J’arrête ici la 4e de couverture parce que bon, elle en dit beaucoup trop et nous fait « attendre » quelque chose qui n’arrive que plus tard dans l’histoire)

Commentaire
 De ce livre, j’avais d’abord vu une tonne d’avis négatifs sur la blogosphère anglophone.   Et depuis quelques jours, les billets francophones sont en général peu enthousiastes; j’en ai vu deux de positifs, je crois!!  Je m’attendais donc à une catastrophe mais j’avais tellement aimé « L’ombre du vent » que j’étais prête à lire n’importe quoi de cet auteur!  Quelle ne fut donc pas ma surprise lorsque j’ai été emportée dans cette atmosphère gothique, dans un Barcelone envoûtant.  Et encore plus surprise de voir qu’une journée et demie plus tard, j’avais dévoré ce livre d’une couverture à l’autre!  Je suis bizarre, parfois!

J’ai particulièrement aimé retrouver cette atmosphère mystérieuse, pleine de poussière, de vieux livres, de demeures gothiques, d’ombres noires, de reflets de couteaux et de mystère.   J’aime beaucoup ce genre de prose assez descriptive, qui nous donne l’impression d’observer la scène, derrière un miroir, à l’insu des protagonistes.  Plusieurs ont trouvé ça long, moi j’ai trouvé que ça se lisait toute seule et j’ai été emportée ailleurs, vraiment.  Les images me viennent tellement facilement avec la prose de Zafòn!! 

N’ayant pas lu la 4e de couverture, je ne savais pas du tout où ça s’en allait et je me suis laissée porter par l’histoire, très sombre mais parsemée de touches d’humour.  J’ai beaucoup apprécié les conversations entre David et Isabella, qui est, je le crois, mon personnage préféré.   Cette histoire se déroule avant l’Ombre du vent, qui commence tout de suite après la fin de cette histoire-ci.  David visite le cimetière des livres oubliés en compagnie de son presque père, le libraire Sempere et plusieurs éléments de L’ombre du vent sont présents.  Juste ça, ça a suffi à faire mon bonheur!   L’atmosphère s’en rapproche énormément, d’ailleurs.  J’ai eu l’impression de retourner dans un univers un peu fantastique où j’assistais à un autre épisode d’une même série.   Barcelone est presque un personnage à part entière dans ce roman!  Et la maison également, d’ailleurs.

David voit donc son père mourir sous ses yeux alors qu’il est enfant.  Différent de ce dernier, il se régale des « Grandes espérances » de Dickens et est amoureux depuis toujours de Cristina, la fille du chauffeur d’un ami à qui il doit beaucoup, Don Pedro. Il vieillit et doté d’un réel talent d’écrivain, il rédige une série de romans policiers très populaires mais qui sont loin de ce qu’il voudrait vraiment écrire.  Il est payé un salaire de misère, habite dans une grande maison lugubre mais est exploité par deux éditeurs peu scrupuleux et souffre de violents maux de têtes depuis plusieurs mois.  Apparaît alors un éditeur, Corelli, qui lui propose d’écrire un livre pour lui, pour une somme mirobolante.  À partir de ce moment s’enchaîneront des événements auxquels David, plutôt naïf,  ne comprend rien mais qu’il semble déterminé à éclaircir.  Et c’est dans cette quête que nous le suivrons dans ces pages. 

L’action débute lentement, la première partie étant consacrée à l’adolescence et au début de la carrière de David.  Et quand tout est chamboulé, quand on ne sait plus trop ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas, ça m’a passionnée.  Une révélation m’a étonnée mais j’avais pas mal deviné le reste, as usual!!  J’admets que certains trucs sont un peu faciles et que le même scénario revient souvent pour plusieurs personnages.  De plus, j’ai plus ou moins cru en l’histoire d’amour avec Cristina, qui aurait pu être plus touchante…  (bon, j’avoue, cette histoire-là ne m’a pas touchée du tout!)  J’ai eu également du mal à suivre la progression du temps et parfois, ça frôle le « tout ça pour ça »…  mais au final, ce fut une bonne surprise alors que je ne m’attendais à rien.  

Je n’ai pas ressenti le violent coup de coeur que que j’ai eu avec L’ombre du vent mais l’amour de livres et l’atmosphère m’ont réellement charmée! 


Merci à BoB pour l’envoi en partenariat avec les Éditions Robert Laffont.   Le fait qu’ils permettent des envois outre-mer est réellement apprécié!!!

Plaisir de lecture: 8/10

Torchwood 3 – Children of Earth

Il semble y avoir une constante après mes incursions dans le monde de Dr. Who et de Torchwood.  Bon, vous penserez aussitôt aux aliens mais non, je voulais parler… des mails hystériques!!  On dirait que ces séries me poussent à terminer mon visionnage en larmes et que mon seul recours est de sélectionner les copines qui ont déjà vu la dite saison et qui sont en mesure de me comprendre et de leur envoyer un mail sans queue ni tête pour me défouler!

Et ça a été encore le cas ici!!!

Un mot sur la série??? TERRIBLE!!!  (je vais tenter d’utiliser ce mot moins de 10 fois dans mon billet… mais c’est pas gagné!!)

Dans tous les sens du termes.  Terriblement génial mais terriblement terrible aussi. 

Cette mini-série regroupant 5 épisodes de 60 minutes chacun (sur le DVD) a été diffusée cet été en Angleterre et raconte une histoire en particulier se déroulant sur 5 jours, chaque épisode étant une journée.  Le tout commence lorsque tous les enfants du monde s’arrêtent en même temps. Tous les enfants et un adulte, Clem McDonald.  Et ils se mettent à scander un message: We are coming.   En même temps, un vieux canal radio, le 456, est à nouveau actif et replonge les dirigeants de la Grande Bretagne dans un épisode qu’ils auraient mieux aimé oublier et qu’ils préfèrent garder secret, quitte à éliminer tous ceux qui pourraient le rendre public.

L’idée de base de cette minisérie est terrifiante (ça ne compte pas comme une utilisation de terrible, n’est-ce pas??).  Les personnages ont à faire des choix horribles (utilisation d’un synonyme, ici!) et sont dans des situations atroces (un autre synonyme!).   Les dilemmes sont déchirants pour tout le monde et j’ai passé une demi-boîte de kleenex!!  Quels destins tragiques!  C’est la saison de Torchwood que j’ai préférée, et de loin.  Impossible de rester extérieure à tout ça.  Oui, il y a des aliens mais les drames qui se jouent sont profondément humains. 

Nous en apprenons aussi davantage sur certains personnages de la série, rencontrons certaines familles et pouvons voir ce qui n’est pas Torchwood.  Les relations (Gwen-Rhys et Jack-Ianto) sont dépeintes avec beaucoup de sensibilité et parfois quelques touches d’humour… on y croit vraiment. 

Tous les personnages (ou presque), bons comme méchants ont réussi à me toucher à un moment ou à un autre.   Même celui de John Frobisher, le contact de Torchwood au gouvernement, considéré comme dispensable et ayant un vilain rôle dans tout ça a réussi à m’émouvoir.  Ce personnage est particulièrement réussi, je trouve.  

Difficile d’en parler sans trop en dire parce que c’est rebondissement sur rebondissement. J’ai été rivée à l’écran, c’est génial même si c’est terriblement sombre.  L’équipe de Torchwood, poursuivie et traquée, n’a pas ses ressources habituelles et chaque terrible révélation est plus terrible que la précédente.  Quant à une certaine petite phrase, prononcée par je-ne-dirai-pas-qui, je-ne-dirai-pas-quand, elle a eu raison de moi… À présent, il suffira de dire « Don’t forget me » pour que fonde en larmes!!!  Isil l’avait prédit, en plus!!

Terrible, non??

Fashion publie aussi son billet sur la série en ce moment même!  J’ajoute le lien quand je serai levée!

Oscar Wilde and the Candlelight Murders (Oscar Wilde et le meurtre aux chandelles) – Gyles Brandreth

Présentation de l’éditeur
« Août 1889.  Oscar Wilde, poète, auteur, grand esprit et raconteur, tombe sur le corps mutilé d’un jeune homme de 16 ans dans une pièce éclairée aux chandelles dans une petite rue de Westminster.  Aidé de son ami et auteur Arthur Conan Doyle, Wilde décide de résoudre le mystère du meurtre de Billy Wood. »

Commentaire
Après avoir adoré « Le portrait de Dorian Gray », j’ai choisi dans ma pile ce livre très coloré, offert par Isil lors du Victorian Christmas Swap, parce qu’il y avait « Oscar Wilde » dans le titre et que j’avais le goût de prolonger un peu ma rencontre avec l’auteur.  Il s’agit ici d’un polar où Oscar Wilde s’improvise détective lorsqu’il découvre le corps de Billy Wood, jeune garçon d’une grande beauté que Wilde connaissait. 

J’ai lu quelque part que Wilde s’amusait à « essayer » des répliques de ses pièces auprès de ses amis avant de les inclure.   Quand on vient de lire « Le portrait de Dorian Gray », on réalise que l’auteur s’est servi de ce roman et nous retrouvons dans la bouche de Wilde de nombreuses idées émises par Lord Henry dans le roman.   Wilde y est représenté comme un personnage charismatique, haut en couleur, très brillant, qui passe d’un extrême à l’autre en quelques minutes et qui déborde d’esprit.  Le narrateur, Robert Sherard, apparaît fasciné par le personnage et à eux deux, ils forment un couple de détectives genre Sherlock Holmes et Watson où Wilde tire des conclusions ébouriffanteset où Sherard est toujours pris au dépourvu.  Ce personnage a également existé et a écrit plusieurs biographies de Wilde, qui fut son ami, tout comme Doyle l’a été.   On se retrouve dans des milieux assez louches où prostitution, homosexualité sont monnaie courante. 

J’ai bien aimé cette lecture mais l’aurais-je autant appréciée si ce n’avait été de l’omniprésence d’Oscar Wilde – qui prend vraiment toute la place, et de façon éclatante, à part de ça – et de ses aphorismes??  Probablement pas.  Parce que bon, si j’ai adorée la vision de Londre à la fin du 19e siècle, les habitudes et l’ambiance soooo british (j’ai réellement eu l’impression de me balader dans les quartiers de Londres, en « taxi » ou dans le métro beaucoup plus neuf que maintenant… ça aide quand on a un souvenir assez précis de l’endroit actuel), l’intrigue elle-même m’a plu sans me surprendre.  J’avais deviné très très vite la moitié de la solution et l’autre moitié a suivi assez rapidement et quand on se doute, c’est assez évident…  Mais je commence à avoir l’habitude!!! 

Mon seul bémol est une certaine structure répétitive, surtout au début du roman.  Wilde parle à un personnage, il fait une remarque impossible à deviner, le personnage s’exclame « mais comment avez-vous deviné? » et Wilde explique sa géniale déduction… La 10e fois, c’est moins impressionnant, disons!!!  Et un peu agaçant!  Mais par la suite, ce doit être plus rare parce que j’ai cessé de remarquer!

Bref, ça donne encore plus envie de lire une vraie biographie de Wilde!  Et j’aime énormément lire des romans dans cet anglais un peu pécieux, avec des expressions soooo british et sooooo vieillottes!!!  Je ne sais pas à quel point l’ambiance est réaliste mais ça a très bien fonctionné pour moi, je m’y sentais!  Merci encore Isil!!!

Plaisir de lecture: 8/10

Était dans ma pile depuis 8 mois, soit depuis décembre dernier!


L’enfant migrateur – Aude

Présentation de l’éditeur
« L’enfant migrateur est un roman tout entier construit sur la gémellité. Deux jumeaux voient le jour. Pourtant, un seul devait naître. Le médecin avait été formel à ce sujet: Corinne, la mère, portait un enfant mort-né. En fait, le plus gros des deux avait pris toute la place dans son utérus, écrasant carrément l’autre de son poids.
Contre toute attente, donc, Corinne met deux enfants au monde. Ils sont diamétralement opposés; ils vivent malgré tout en symbiose. Destinée tragique: chacun est inexorablement lié à l’autre. Une sorte de dysharmonie fondamentale d’autant plus souffrante que Hans et le Petit ne peuvent concevoir d’être séparés.L’enfant migrateur pose non seulement la question de la gémellité, mais celle aussi de la dépendance affective et physique. On entre dans ce texte sur la pointe des pieds pour y accomplir un voyage au bout du néant; on en sort fasciné et épuisé. Un texte profond, attachant, séduisant. »

Commentaire
Voici un livre que j’ai pioché dans ma pile à lire pour la simple raison que j’avais oublié le livre en cours à l’hôpital et que c’est le premier livre pas trop long que j’ai vu dans ma pile.  Le but: le lire en une soirée pour ne pas avoir deux livres à lire en même temps… ça m’énerve!!!

Et le résultat?  Oui, je l’ai lu en peu de temps, mais parce que j’ai été tout de suite happée dans ce roman et que je n’ai voulu en sortir qu’après en avoir lu la dernière ligne.   Je n’avais jamais rien lu d’Aude et j’ai définitivement beaucoup, beaucoup aimé sa plume.  Le roman est court mais il dit tout, est complet en lui-même.  Un bien belle lecture.

On rencontre la famille de Corinne, épouse de Pierre et mère d’Alexandra.  Lorsque les jumeaux – Hans et le Petit naissent, ce n’était pas sensé de passer ainsi: on avait dit à Corinne que le second bébé était mort pendant la grossesse, victime du syndrome transfuseur-transfusé.   On y raconte les jumeaux surtout.  Hans, celui qui est « normal » et le Petit, avec son regard clair et étrange, qui regarde tout ça sereinement.  Le Petit, que personne n’appelle jamais par son nom et qui est supposément retardé.  Mais on y raconte aussi la famille.  Les parents, Alexandra, la soeur aînée… tout ce petit monde doit composer avec la relation fusionnelle, dépendante, des deux jumeaux. 

Et c’est cette relation-là qui est au coeur du roman.  Ce besoin viscéral de ne pas être « tout seul », ce besoin de l’autre, de cette autre partie d’eux-mêmes.  Entrer dans la tête d’Hans, pas nécessairement très aimable au départ, a été très intéressant et m’a permis de voir les choses autrement.  À moitié conte, à moitié roman (du moins selon moi!), on entre dans cette famille et on est témoin de leurs souffrances face à cette situation, cette bulle impénétrable.  Mais de leur amour aussi.  J’ai été très touchée à plusieurs endroits!!

Une auteure que je suivrai définitivement!

Plaisir de lecture: 8,5/10


Était dans ma pile depuis 2003… définitivement, ça fait de plus en plus peur, ce challenge avec moi-même!

Lisons en choeur – volume 1


Les lectures communes semblent être à la mode ces temps-ci et je trouve l’idée – initiée par Kalistina – assez géniale!!  C’est toujours encourageant, on lit les livres de notre PAL et on peut comparer sur le vif!!  Je vais bientôt publier ma propre Pile (bon, ça va me déprimer, je le sens…) pour pouvoir en faire davantage, d’ailleurs!!!

On va donc célébrer le retour de Jules dans la blogosphère avec une lecture commune piochée dans la liste qu’elle propose sur son blog et qui était aussi dans ma pile. 

Nous lirons donc, pour lundi le 14 septembre:
Le voyage d’Anna Blume – Paul Auster

Le délai est court mais c’est un livre court, on va y arriver!!  Si d’autres ont ce livre dans leur pile vous êtes les bienvenus pour vous joindre à nous!!!!

PAL Stories et lectures communes


Je suis définitivement une voleuse d’idées, ces temps-ci!!  J’aime bien les lectures communes alors j’ai embarqué dans celles proposés par Kalistina, Jules et Bladelor et je vous propose ma propre pile afin de voir si certaines bloggueuses n’auraient pas des titres communs qui pourraient se prêter à une lecture commune!!!

Comme vous pourrez le constater, je réalise que JE NE SAIS PAS COMPTER! Mais bon, ça, plusieurs d’entre vous s’en doutaient!!  Sauf que cette fois là, c’est dans le bon sens vu que pour finir ma pile n’en est qu’à 256!!!  Non mais elle n’est pas belle, la vie??  Et ceux qui me demanderont comment j’ai pu faire pour me tromper de 114 livres, c’est assez simple: j’ai fait du ménage… et je me suis peut-être trompée de centaine un moment donné mais bon, ça ne compte pas!!!

J’ai donc éliminé les fonds de boîtes-données-par-des-amis-qui-font-du-ménage-et-qui-ne-savaient-plus-quoi-faire-de-leurs-livres-alors-ils-les-donnent-à-une-copine-qui-lit et les trucs qui ressemblaient étrangement à des Harlequin (parce que ma provision Harlequin nouvellement acquise, je ne la compte pas non plus!!)

Je me retrouve donc avec ces titres-là (et j’avoue qu’il y en a qui me sont royalement inconnus… je me demande même si ce n’est pas le Docteur qui me les a apportés lors de sa précédente visite parce que je n’ai aucune, mais alors aucune idée de comment ils ont pu se retrouver là!  Il y a aussi certaines relectures que j’ai achetés à nouveau alors je les compte (ne cherchez pas à comprendre, je suis bizarre, c’est tout!!)

Voici donc la liste à jour du 5 septembre:

 

Adams Douglas

Hitchhiker  Guide 2

 

Adams Douglas

Hitchhiker Guide 3

 

Adams Douglas

Hitchhiker Guide 4

 

Adams Douglas

Hitchhiker Guide 5

 

Aidan Pamela

An assembly such as this

 

Altman Marsha

The Darcys and the Bingleys

Archer Buckley

The time travellers

 

Armstrong Kelley

Personal Demon

 

Armstrong Kelley

Industrial Magic

 

Armstrong Kelley

Haunted

   

Armstrong Kelley

No humans involved

 

Armstrong Kelley

Broken

   

Atwood Margaret

The Handmaid’s tale (La servante écarlate)

Atwood Margaret

The blind assassin (Le tueur aveugle)

Audeguy Stephane

La théorie des nuages

 

Auster Paul

 

Le voyage d’Anna Blume

(14 sept)

Balzac Honoré

Eugénie Grandet

 

Balzac Honoré

Les paysans

   

Barré Caroline

L’héritière de Salem

 

Barrico Alessandro

Les châteaux ce la colère

 

Barron Stephanie

Jane Austen et le révérend

Barron Stephanie

Jane Austen et les fantômes de Netley

Barry Brunonia

The lace reader

 

Bauchau Henri

Antigone

   

Baum Vicky

 

Ballerina

   

Bauwen Patrick

L’oeil du Caine

 

Beckett Samuel

En attendant Godot

 

Ben Jelloun Tahar

Partir

   

Billington Rachel

Emma & Knightley

 

Billon Pierre

Nouvelle France

 

Bjornstad Ketil

La société des jeunes pianistes

Blondel Jean-Philippe

Un minuscule inventaire

 

Bor Joseph

 

Le requiem de Terezin

 

Border Brand

L’oeil du givre

 

Bray Libba

 

Rebel Angels

 

Brink Andre

 

Une saison blanche et sèche         (9 octobre)

Bronte Anne

Agnes Grey

   

Burnett Frances

The secret Garden (Le jardin secret)

 

Buron Nicole

C’est qui ce garçon?

 

Calderon

 

La vie est un songe

 

Carr Caleb

 

L’aliéniste

   

Carroll Lewis

Alice in wonderland

 

Carroll Lewis

De l’autre côté du miroir

 

Chaucer Geoffrey

The Canterbury tales

 

Chen Ying

 

L’ingratitude

 

Chen Ying

 

Les lettres chinoises

 

Chrétien de Troyes

Romans de la table ronde

Clark Clare

 

The nature of monsters

 

Clarke Susanna

The ladies of Grace Adieu

Coben Harlan

Just one look

 

Coben Harlan

Gone for good

 

Cohen Albert

Belle du Seigneur

 

Collins Michael

The secret life of Robert Pendleton (La vie secrète de Robert Pendleton)

Collins Wilkie

The woman in white (La dame en blanc)

Conan Doyle Arthur

Sherlock Holmes – the complete novels and stories – 1

Conan Doyle Arthur

Sherlock Holmes – the complete novels and stories – 2

Conroy Pat

 

Beach music

 

Cook Glen

 

Sweet silver blues

 

Cossé Laurence

Au bon roman

 

Cox Michael

 

The meaning of night (La nuit de l’infamie)

 

Delfino Jean-Paul

Zumbi

   

Dijan Philippe

Doggy Bag 2

   

Diwo Jean

 

Les violons du roi

 

Dubé Marcel

Zone

   

Dumas Alexandre

La reine Margot

 

Ellory R.J.

 

A quiet belief in angels (Seul le silence)

Erdrich Louise

La chorale des maîtres bouchers

Erickson Carolly

The tsarina’s daughter

 

Etxebarria Lucia

Amour, prozac et autres curiosités

Evanovich Janet

Full speed

   

Evanovich Janet

Full blast

   

Evanovich Janet

Wife for hire

 

Everett Percival

Désert américain

 

Férandon Max

Monsieur Ho

 

Fermine Maxence

Amazone

   

Fforde Jasper

First among sequels (Le début de la fin)

 

Fforde Jasper

The big over easy

 

Flagg Fannie

Standing in the Rainbow

 

Fleutiaux Pierrette

Des phrases courtes, ma chérie

Foer Jonathan Safran

Everything is illuminated (Tout est illuminé)

 

Fortier Dominique

Du bon usage des étoiles

 

Fowles John

The french lieutenant’s woman (La femme du lieutenant français)

French Tana

 

The likeness (Comme deux gouttes d’eau)

Gagnon Pierre

C’est la faute à Bono

 

Gaiman & Reaves

Interworld

   

Gaiman Neil

Stardust

   

Gaiman Neil

Smoke and mirrors

 

Galloway Steven

The cellist of Sarajevo (Le violoncelliste de Sarajevo)

Gally Christian

Un soir au club

 

Gary Romain

La vie devant soi

 

Gaskell Elizabeth

Cranford

   

Gaudé Laurent

Le soleil des Scorta

 

Gauthier Louise

Le pacte des elfes-sphinx

Giordano Paolo

La solitude des nombres premiers

Gleason Colleen

The rest falls away

 

Gleason Colleen

Rise de night

 

Goby Valentine

La note sensible

 

Golon Anne

 

Angélique et son amour

 

Golon Anne

 

Angélique et le chemin de Versailles

Golon Anne

 

Angélique et les complots sombres

Golon Anne

 

Angélique et la démone

 

Golon Anne

 

Angélique à Québec

 

Golon Anne

 

Angélique se révolte

 

Golon Anne

 

La tentation d’Angélique

 

Goodman Alison

Eon et le douzième dragon

Gowdy Barbara

The romantic (Les romantiques)

Grange Amanda

Captain Wentworth’s diary

Grimbert Philippe

La petite robe de Paul

 

Hamilton Laurell K

The laug
hing corpse (Anita Blake tome 2)

 

Hampâté Bâ Amadou

Amkoullel l’enfant peul

 

Harwood John

The ghost writer

 

Haydon Elizabeth

Rhapsody

   

Hoffmann Alice

The foretelling

 

Hugo Victor

 

Ruy Blas

   

Huong Thu Huong

Terre des oublis

 

Ibanez Andres

L’ombre de l’oiseau lyre

 

Ibsen Henrik

La maison de poupées

 

Ibsen Henrik

Peer Gynt

   

Indridason

 

La cité des jarres

 

Ishiguro Kazuo

Les vestiges du jour

 

Ishiguro Kazuo

The unconsoled (L’inconsolé)

Izzo Jean-Claude

Le soleil des mourants

 

James Henry

The portrait of a lady

 

Johnston Jennifer

Petite musique des adieux

Josso Yves

 

Été meurtrier à Pont-Aven

Jubert Hervé

Trilogie Morgenstern tome 1 (quadrille des assassins)

Kafka

 

Le procès

   

Kapuscinski Ryszard 

Ébène

   

Kessel Joseph

Le lion

   

Kushner Ellen

Swordspoint (La pointe de l’épée)

Laberge Marie

Annabelle

   

Labro Philipp

Franz et Clara

 

Laferrière Dany

Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer

Laferrière Dany

L’odeur du café

 

Laferrière Dany

Le charme des après-midi sans fin

Lamothe Serge

Tarquimpol

   

Larson Leslie

Connexions

   

Laurence Margaret

L’ange de pierre

 

Leclerc Félix

Le fou de l’île

 

Lenn Jonas

 

Le livre des théophanies

 

Lewis Roy

 

Pourquoi j’ai mangé mon père

Lewycka Marina

Une brève histoire du tracteur en ukraine

L’Homme Erik

Phaenomen 2 – Plus près du secret

Lindsay Jeff

 

Darkly Dreaming Dexter

 

Littell Jonathan

Les bienveillantes

 

Makine Andreï

Le testament français

 

Makine Andreï

L’amour humain

 

Mangestu Dinaw

Les belles choses que porte le ciel

Marquez Gabriel Garcia

Cent ans de solitude

 

Matheson Richard

Somewhere in time

 

Maupin Armistead

Michael Tolliver lives (Michael Tolliver est vivant)

Maupin Armistead

Chroniques de San Francisco – 1

Maupin Armistead

Chroniques de San Francisco – 2

Maupin Armistead

Chroniques de San Francisco – 3

Maupin Armistead

Chroniques de San Francisco – 4

Maupin Armistead

Chroniques de San Francisco – 5

Mavriakis Catherine

Le ciel de Bay city

 

McCall Smith Alexander

Mma Ramotwe détective

 

McCall Smith Alexander

Vague à l’âme au Botswana

McCall Smith Alexander

Les larmes de la girafe

 

McCann Colum

Danseur

   

McEwan Ian

 

Atonement (Expiation)

 

Mitfort Nancy

The pursuit of love (La poursuite de l’amour)

Mitfort Nancy

Love in a cold climage (L’amour dans un climat froid)

Mme de Sévigné

Lettres

   

Moore Christopher

Island of the sequined love nun

Mopurgo Michael

Au pays de mes histoires

 

Morrison Toni

Beloved

   

Mosse Kate

 

Labyrinthe

   

Neville Katherine

The eight (Le huit)

 

Newbery Linda

Set in stone

   

Ogawa Yoko

 

La formule préférée du professeur

Ohl Jean-P
ierre

Le maître de Glenmarkie

 

Pagé Lucie

 

Eva

   

Parry Patricia

Cinq leçons sur le crime et l’hystérie

Pears Iain

 

The portrait

   

Perez Reverte Arturo

Le maître du tableau flamand

Perrier-Robert Annie

Le thé

   

Peters Elizabeth

The curse of the Pharaohs (Amelia Peabody tome 2)

Philippe Claudel

Les âmes grises

 

Picoult Jodi

 

Le pacte  

   

Picoult Jodi

 

My sister’s keeper (Ma vie pour la tienne)

Portal Louise

L’angélus de mon voisin sonne l’heure de l’amour

Powers Richard

The echo maker

 

Pratchett &Gaiman

Good Omens

 

Priest Cristopher

The Prestige (Le prestige)

Proulx Monique

Champagne

   

Quéffelec Yann

Les noces barbares

 

Rambaud Patrick

L’idiot du village

 

Rennison Louise

Georgia Nicolson – 3

 

Rennison Louise

Georgia Nicolson – 4

 

Richmond Michelle

L’année brouillard

 

Riel Jorn

 

La circulaire et autres racontars

Roberts Nora

Birthright

   

Robichaud Suzie

Lettres à Jean-Elie

 

Rose M.J.

 

The reincarnationist

 

Rouy Maryse

Une jeune femme en guerre, tome 1

Rufin Jean-Christophe

Rouge Brésil

 

Rule Ann

 

La rivièr rouge sang

 

Rutherford Edward

London (Londres)

 

Sage Angie

 

Septimus Heap 1 – Magyk

 

Sage Angie

 

Septimus Heap 2 – Flyte

 

Samarago Jose

L’autre comme moi

 

Savoie Jacques

Toute la beauté du monde

Schmitt Eric Emmanuel

La part de l’autre

 

Sebold Alice

The lovely bones (La nostalgie de l’ange)

 

Shafak Elif

 

The bastard of Istanbul (La bâtarde d’Istambul)

Shakespeare

Macbeth

   

Shakespeare

Richard III

   

Shimazaki Aki

Wasurenagusa

 

Shriver Lionel

Il faut qu’on parle de Kevin

Somoza Jose Carlos

La dame no 13

 

Steinbeck John

Les raisins de la colère

 

Stewart & Weissman

Cathy’s key

   

Swarup Vikas

Les fabuleuses aventures d’un Indien malchanceux…

Tallis Frank

 

Les mesonges de l’esprit

 

Tan Amy

 

The hundred secret senses

Taylor Elizabeth

Angel

   

Teulé Jean

 

Ballade pour un père oublié

Tolstoï Leon

 

La sonate à Kreutzer

 

Tolstoï Leon

 

Le réveillon du jeune tsar

Tremblay Elisabeth

Fille de lune

 

Tremblay Michel

À toi pour toujours, ta Marie-Lou

Tremblay Michel

Thérèse et Pierrette à l’école des St-Anges

Tremblay Michel

La duchesse et le roturier

Tremblay Michel

Des nouvelles d’Edouard

 

Tremblay Michel

Le premier quartier de la lune

Tremblay Michel

Un objet de beauté

 

Tremblay Michel

La nuit des princes charmants

Tremblay Michel

44 minutes, 44 secondes

 

Tremblay Michel

Le coeur découvert

 

Tremblay Michel

Le coeur éclaté

 

Tremblay Michel

Hotel Bristol, new York

 

Tunstrom Goran

Le buveur de lune

 

Turcotte Elise

Le bruit des choses vivantes

Udall Brady

 

The miracle life of Edgar Mint (La vie miraculeuse d’Edgar
Mint)

Van Cauwelaert Didier

L’éducation d’une fée

 

Van Cauwelaert Didier

L’évangile de Jimmy

 

Vargas Fred

 

Ceux qui vont mourir te saluent

Vargas Fred

 

Debout les morts

 

Verne Jules

 

Michel Strogoff

 

Vonarburg Elisabeth

Le silence de la cité

 

Wassmo Herbjorg

Le pire des silences

 

Wassmo Herbjorg

Les femmes si belles

 

Wassmo Herbjorg

Le livre de Dina 1

 

Wassmo Herbjorg

Le livre de Dina 2

 

Wassmo Herbjorg

Le livre de Dina 3

 

Waugh Evelyn

Brideshead revisites (Retour à Brideshead)

Werber Bernard

L’empire des anges

 

Wesley Mary

The camomile lawn (La pelouse de camomille)

Wharton Edith

The custom le the country (Les beaux mariages)

Wharton Edith

The age of innocence (Le temps de l’innocence)

 

Yourcenar Marguerite

Nouvelles orientales

 

Zafon Carlos Ruiz

Le jeu de l’ange

 

Zweig Stefan

Le monde d’hier

 

Zweig Stefan

Clarissa

   

 

 

Si certains d’entre vous sont intéressés à des lectures communes, vous n’avez qu’à me le faire savoir dans les commentaires, en précisant quel titre vous intéresse et je vous recontacterai par la suite!  Les livres où il y a une date sont ceux dont la lecture et le billet est déjà planifié.  Vous êtes les bienvenus pour vous joindre à nous!!

Maintenant, mon défi PAL doit changer!!!  Parce que bon, éviter de monter en haut de 400 semble vraiment trop facile et diminuer la dite pile, impensable!  Je réfléchis, donc!!

Et avouez… avec une si bonne nouvelle, ce matin, comment résister à l’appel des librairies!!!!!

PS: je sais c’est pas facile à visualiser, cette liste… mais si vous saviez le temps que j’ai perdu à essayer de faire un copier-coller d’un fichier excel… vous seriez très sympathiques à ma cause!!  Blogonulle un jour, blogonulle toujours!!!

PS2: J’ai une petite mémoire… si d’autres personnes proposent des listes, ne vous gênez pas pour me l’indiquer en commentaire, j’ajouterai en fin de billet!!

Liste de:
Kalistina
Jules
Bladelor
Edelwe
Abeille