Ma vie parisienne – 148 – Sieste et encore la sieste

dsc_1238Tiens tiens… est-ce que les dernières semaines à courir partout en Europe m’auraient un peu fatiguée?  Toujours est-il que j’ai dormi la moitié de la journée!

 

Bon, ok, j’étais arrivée tard hier et je me suis levée tôt pour jaser avec Fabienne.  JF et Erika ont émergé vers la fin de l’avant-midi et je me suis dit que je les retrouverais après leur visite du musée Grévin où je les ai laissés aller en amoureux… ceci dit, on oublie ça.  Je me suis rendormie… et j’ai manqué tous leurs textos.  Tu parles d’une bonne guide!

 

Alors pendant qu’ils marchaient du musée Grévin au Panthéon, je roupillais tranquillement.   Et je lisais des histoires de were-machins et de vampires.   En gros, ce fut ma journée!

 

On a mangé pains, pâtés et fromages… et comme je ne bois plus depuis ce matin, j’ai pris du coca et pas du rouge!  Call me raisonnable!

 

Ou épuisée!

 

Au choix!

 

A bientôt!

 

(Ah oui!  Mon frère s’est couché à pas d’heure pour une sombre histoire de repêchage pour les équipes de hockey des enfants.  C’est qu’il était dedans en pas pour rire!  Fabienne a pu découvrir la folie québécoise du hockey!!)

Petit Pays – Gaël Faye

petit-paysJe ne m’attendais pas à ça en ouvrant ce roman.  Je ne m’attendais pas à une pareille claque, à une telle évolution dans l’histoire.  Je l’ouvrais sans même savoir de quel petit pays on allait parler.  Allait-on parler du pays de l’enfance, du pays des souvenirs ou d’un vrai pays… je ne savais rien du tout.    Même en lisant les premières pages, je ne me doutais pas de ce qui allait suivre.   du coup, cette lecture a été on ne peut plus marquante.  Surtout que moi, le Burundi, je n’y connais pas grand chose.  C’est un mot que j’ai vu souvent dans les journaux quand j’étais ado. Mais ça restait là.

 

Gabriel, dit Gaby, est un enfant heureux dans son petit coin de ville au Burundi.   Il est un enfant.  Il se soucie assez peu de savoir qu’il est moitié français, moitié tutsi.  Il ne sait rien des enjeux politiques et raciaux.  Il voit que sa mère garde une vision idyllique du Rwanda, « son » pays à elle.   Il a des copains, ils ont « leur » impasse, leurs jeux d’enfants espiègles mais pas vraiment méchants. Ils sont heureux, quoi.

 

Bien entendu, on a bien lu au début du roman la différence entre les diverses tribus du Burundi.  Mais avec tous ses moments insouciants, j’avais oublié ces quelques pages.   Jusqu’à ce que leur signification me revienne en pleine face.  Parce qu’au début des années 90, dans ce coin du monde, ça ne va pas bien.  Le racisme et est à son comble et après les élections, on sent que quelque chose va exploser… ce qui ne manque pas d’arriver.

 

Il y a une vraie voix dans ce roman.  Une vrai naïveté chez Gaby, qui cherche à protéger son innocence et à s’échapper dans un monde imaginaire et littéraire alors qu’autour de lui, tout s’effondre, de sa famille à son pays.   L’auteur réussit ici à parfaitement intercaler petite et grande histoire, en nous faisant comprendre un peu l’horreur de ce qui s’est passé au Burundi et au Rwanda sans – trop – verser dans l’horreur.

 

J’ai adoré.  J’en garde des images fortes de ce pays « avant ».  Et j’y pense encore souvent.

Ma vie parisienne – 147 – Moulin Rouge et Quartier Latin

dsc_1236Aujourd’hui a été une journée « changement de plans » et fous rires imprévus.  Vous savez, quand rien ne se passe comme on l’avait planifié mais que, finalement, on passe une super journée?   Ben c’était ça.  Le matin, pendant que JF et Érika allaient aux catacombes (où j’étais déjà allée quelques fois déjà), j’ai traînassé, rattrapé mon placotage en retard avec Fab-chou (les textos, c’est moins vite, quand même!) et ai pris mes pattes jusqu’à Orsay, où j’ai voulu revoir la galerie des impressionnistes.

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dsc_1080J’ai déjà dit que j’aimais Orsay hein?  Après toutes mes visites « impressionnistes » dans le tour de France, il fallait que je revoie tout ça.  C’était obligé.  J’ai donc pris des tas de photos.  Et je vous laisse admirer mes préférées!

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(Ya un truc, quand même, dans ce tableau.  Un vrai truc)dsc_1058

C’est moi, Don Quichotte…. Seigneur de la Mancha, pour toujours, au service de l’honneur!  Car j’ai l’honneur d’être moi…  (Oui, je sais… ne me remerciez pas). dsc_1062 dsc_1070

Ça me plait!dsc_1072
Bon, là, on est pas dans les impressionnistes on s’entend.  C’est la galerie orientaliste. )dsc_1073

(J’ai stické sur ces orteils… non mais elles sont cool, ces orteils!)dsc_1075 dsc_1076

Un autre de mes chouchoux… le nounours blanc d’Orsay!

dsc_1083 dsc_1085 dsc_1087 Souuuuvenirs!dsc_1089

Celui-là, on ne le présente plus hein!dsc_1091 dsc_1095 dsc_1101

Ma peinture chouchou!  Je l’adore, celle-là!dsc_1103 dsc_1106 dsc_1108 dsc_1110

On se sent plutôt seul n’est-ce pas.  Ambiance réussie. dsc_1116 dsc_1119 dsc_1118 dsc_1120

Quelle lumière!

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Souvenirs de Rouen!dsc_1129 dsc_1132 dsc_1134

Giverny mon amour!dsc_1135 dsc_1138 dsc_1140 dsc_1141

Retour vers le resto (bien plus tard que prévu, je suis viscéralement en retard… mais je ne suis pas trop inquiète… yen a des plus en retard que moi), où je retrouve JF et Erika qui ont fait un petit détour par le Panthéon (de là le retard) où nous pouvons manger avec vue sur Notre-Dame, avant d’aller nous balader dans Saint-Mich et le quartier latin.  dsc_1142

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C’est assez simple, j’ai presque refait le trajet que nous avions fait dans notre tour guidé il y a quelques semaines.  Vu que j’ai une pas pire mémoire, j’ai pu raconter plein d’histoires.  On a visité des petites petites églises, dont l’une que je n’avais jamais visitée, mais j’ai oublié le nom.  Silly me.  JF, quant à lui, essaie les glaces et les treats parisiens!

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La fameuse colonne de Saint-Séverin.  Je n’étais pas satisfaite de ma précédente photo!dsc_1157 dsc_1158 dsc_1161 dsc_1160 dsc_1163

J’adore cette vue de la façade…dsc_1164

Il semblerait que ce ne soit pas une église orthodoxe.  Même si ça en a bien l’air, avouez!

 

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Mais la journée avance.  Et JF a en tête d’aller au Louvre avant la fermeture pour voir les « highlights ».  En fait, je pense qu’ils avaient envie d’aller faire leur jogging.  C’est que se retrouver dans le Louvre, croyez-moi, ce n’est pas nécessairement évident, quand on est pressé.  Je suis TOUJOURS perdue au Louvre.  Et je me ramasse toujours dans des endroits où je n’aurais jamais cru arriver, ce qui n’est normalement pas trop mal.  MAis quand on a en tête de voir la Joconde, la victoire, la Vénus, l’Égypte ET le Louvre Médiéval en 90 minutes, t’as intérêt à t’y retrouver.

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Tiens… encore un plafond.  Quelle surprise!dsc_1177

Hello Vénus!dsc_1180 dsc_1182 dsc_1184

Lui, on l’a croisé au détour d’un couloir!dsc_1186 dsc_1188 dsc_1189 dsc_1191 dsc_1192 dsc_1194 dsc_1195 dsc_1200 dsc_1202 dsc_1207
L’avantage d’y aller à la dernière minute, c’est que la Joconde est toute seule et abandonnée.  Aucune perche à Selfie en vue!  Erika n’ose même plus s’en acheter une, de perche à selfie, tellement j’ai bougonné après ces trucs dans les musées!dsc_1208

Parce qu’il fallait quand même que je leur montre ça…dsc_1209

… et ça!

 

On a fini par se faire mettre dehors, après que j’aie montré à ma belle-soeur tous les tissus qui tenaient comme pas magie.  Comme personne ne voulait sortir, disons que c’était pas grave de traîner!  Nous sommes donc allés voir les Légos au Halles et nous nous sommes mis en tête de marcher dans le marais, en tentant de trouver une boucherie.  Mais pas une épicerie, là.  Une vraie boucherie.  Avec des vrais pâtés.  Pour aller avec les vrais fromages de fromagerie.  Et croyez-moi, c’était pas gagné.

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Mais nous avons réussi.  Nous nous dirigions allègrement vers chez Fab pour manger notre pain et notre fromage tranquillou (ce soir, c’est Moulin Rouge, on voulait relaxer un peu) quand je reçois un texto.

  • Tu ne peux pas rentrer tout de suite.

Imaginez-vous que Fab était occupée pour nous ouvrir la porte… et que sans elle, je ne pouvais pas rentrer because pas de clés.  Oui, je sais.  No comment.  Elle était sensée rentrer pour l’heure du souper mais bon, son rendez-vous s’est éternisé… et finalement, elle est arrivée à pas d’heure.  Du coup, on est allés prendre un verre et manger au Préau, tout en se trouvant bien mal pris!

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(Bonne philosophie, n’est-ce pas… en bas du miroir)dsc_1219

C’est qu’on avait quand même quelques livres de pâtés sur nous! Lucky us, il ne faisait pas trop chaud.  Mais on avait un peu peur de ne pas pouvoir rentrer avant le moulin rouge… et être obligée d’assister au show avec une baguette sous chaque bras!

 

Ceci dit, on a beaucoup ri et on a passé une excellente soirée, contre toute attente!  Disons que ça a été une soirée fous rires!

 

Quand on a finalement pu rentrer – autres fous rires – on a juste eu le tmeps de se changer et de s’habiller un peu pour aller au Moulin Rouge.  Je n’étais jamais allée.  Mais JF voulait y aller because le film, of course!  On a pu voir une trallée de filles qui faisaient des duckfaces et d’autres qui chialaient après nous car on avait été séparés et Érika était devant…  bref, les Gens!

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On était en avant.  Très en avant.  Limite qu’on voyait les seins des filles d’en dessous!  Mais on a eu plus de champagne pour compenser.  Et quand même, c’était vraiment fort agréable, très grand déploiement aussi.  De magnifiques costumes, d’excellents danseurs, du glamour, du coup, c’était génial!  Juste d’être là, quoi.

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On dit pas Moulin Rouge pour rien hein!  Moulin rouge et clients rouges!dsc_1231 dsc_1232

Et imaginez-vous que ma vedette de frère s’est ramassé sur la scène.  Il devait se taire (pas facile… on est de la même famille) et faire le beau (ça, ça va!).  Mais on en a beaucoup, beaucoup ri!  Ca arrive à CHAQUE FOIS!!

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Retour… métro fermé.  Parce que le bus de nuit passe juste en face, on se dit que go, on va le prendre.  Il passe tout près de chez Fab, en plus…et là… c’est le fuckin magico-bus!  Sérieux, c’était n’importe quoi!  Entre le mec qui ne sait plus où est sa maison et les filles qui s’en vont en boîte à moitié habillées, tandis que d’autres buvaient du gin à la bouteille… c’était pas gagné!  Mettons qu’on avait hâte d’arriver!  Fab n’est pas encore revenue que nous ayons osé!

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À bientôt!

 

Joe et le papillon – Hongbo/Rong

joe-et-le-papillonQuel mignon petit album!  Tout ce que j’aime. Des dessins choupinous comme tout et très simples, un très joli message et des couleurs attrayantes.   Comment ne pas craquer pour ce petit cochon!

 

Joe est un cochon.  Il ne se trouve pas très beau.  Ne sent pas très bon.  Puis, un jour, il rêve à des fleurs.  Des fleurs qui le trouvent beau et qui croient qu’il est le roi des fleurs.  Et ça le rend tout heureux.  Puis, arrive un papillon!

 

Ici, on parle d’acceptation de soi malgré ce qu’on peut considérer comme des défauts.  On parle de la valeur du sourire et de l’acceptation des différences, mais sans marteler, de façon incidente.  Ça ouvre la porte à des discussions avec les enfants.  De plus, le texte est très court, l’album très simple… ça nous donne le temps d’en discuter et de l’amener ailleurs ensuite.

 

Il y a un schéma narratif, mais dans le désordre, ce qui est chouette pour les enfants qui le maîtrisent bien et avec qui on peut le transformer un peu.  Certains éléments de la situation initiale ne sont pas donnés au début du texte (vu que l’on commence par un rêve) mais un peu plus tard.  Et quand on veut travailler quelque chose de pas si simple (et croyez-moi, un schéma narratif dans le désordre, ça ne l’est pas), c’est toujours bien d’avoir un contenu écrit plus facile.  Du coup, j’adore!  Et je conseille!

Ma vie parisienne – 146 – Monuments du tourisme parisien et macarons

dsc_0883Quelle journée aujourd’hui!  C’est que nous avons trotté en masse!  Une vraie journée de touriste parisienne.  Et savez-vous quoi?  C’était bien!

 

JF, Erika et moi avons donc marché un peu pour arriver à la place du Trocadero, direction la tour Eiffel.   Je me souviens la première fois que j’ai été à cet endroit.  Premier voyage à Paris, j’étais fascinée… et congelée alors qu’il faisait 5 degrés et que je portais mon manteau d’hiver.  Premier contact avec l’humidité parisienne!  JF y était aussi mais n’en a aucun souvenir!

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Là, c’était la séance photo pour Erika qui devait, pour une raison étrange, se photographier avec son T-shirt Voltam.  Ceux qui connaissent ma belle-sœur savent que la miss est juste un mini-peu perfectionniste hein!  Je ne vous dis même pas combien de fois elle a mis – enlevé – remis le dit chandail!

 

Après avoir ri un peu devant les statues qui s’observent joyeusement les parties, go to la tour Eiffel.  Que nous allons monter à pieds, of course.   669 marches.  Rien que ça.  Ceci dit, je n’étais pas si essoufflée, ce qui m’encourage un peu.  Un mini-peu!

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Bien sûr, on a fait toutes les photos traditionnelles.  Nos pieds sur le plancher vitré.  Le bisou des amoureux, les vues, les selfies… bref, on a beaucoup ri, beaucoup déconné et j’ai dû nommer chaque bâtiment au moins trois fois pour que nos globe-trotters en herbe se retrouvent un peu plus dans Paris.

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Et bon, même si au départ (elle a été terminée en 1889), plusieurs n’aimaient pas la tour Eiffel, j’adore ce truc.  Combinaison de kitsch et de modernité pour l’époque.  Et elle est énooooorme!  Vraiment des grosses pattes!

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Comme il fait beau (et qu’il paraît que ça ne va pas durer), on décide de faire un pique-nique dans le champ de mars.  Bon, c’est peut-être pas l’endroit idéal, vu qu’il y a un peu de travaux dans le coin et que c’est pas cute cute partout, mais en gros, on avait quand même une superbe vue… et ça faisait soooo parisian!  Par contre, pour trouver le pique-nique, ça a été tout qu’un marathon!   C’est qu’il n’y pas d’épiceries partout.  Et que de chercher des verres (pour le vin), du vin qui s’ouvre sans débouche-bouteille, des sandwiches (le pire sandwich des 6 derniers mois) et des graines, c’est pas toujours évident.  Ceci dit, le moment en soi a été fort agréable.  Sauf quand Erika a commencé à penser qu’il y avait peut-être… des tiques.  Vu qu’on était assis par terre, il y avait des risques, non?  Vous pouvez vous imaginer qu’on s’est examinées! (Yep… l’hypocondrie doit se transmettre par alliance, dans cette famille!)

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On va donc faire un coucou à Napoléon (en faisant des photos niaiseuses… on est touristes ou on ne l’est pas) pour aller retraverser, question de se diriger vers les champs Élysées.

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On fait un petit arrêt au petit palais (ouais, ça en fait, des « petit »… ma coordo déteint sur moi!) question de se rafraîchir un peu (oui, on est comme ça nous.  On doit être fraîches à tout moment!)  On en a profité pour faire un petit tout dans la collection permanente.  Petit tour.  Disons que les Minier-St-Pierre ne sont pas très « musées ».  Et c’est un euphémisme!

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(Il fallait quand même que je leur montre ça, non?)dsc_0938 dsc_0940 dsc_0942 dsc_0943

Les grands explorateurs!dsc_0944

J’adore ce truc!dsc_0945 dsc_0947

On croirait entendre le froufroutement des robes, non?dsc_0950 dsc_0951

J’adore ces salles.   Comme vous le savez, j’ai quelque chose avec les plafonds!dsc_0953 dsc_0954 dsc_0955 dsc_0956 dsc_0957 dsc_0958 dsc_0961

Pendant le reste de l’après-midi, on a chanté la moitié du temps « Au champs élysées » et l’autre moitié « Ça m’énerve »  Ben quoi… entre Ladurée et les champs, on était dans le thème « chantons en choeur »!  ET je ne m’en suis pas privée, comme vous pouvez vous l’imaginer!  Je suis miss je-chante-tout-le-temps!

 

Premier arrêt?  Disney.  J’ai failli acheter plein de trucs pour choupy-nièce (la robe de Belle était juste trop magnifique).  Mais j’ai pensé à ma valise… et je me suis abstenue.  À ma valise et à mon porte-feuille!

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Ensuite, le moment PRÉFÉRÉ de mon frèrot d’amour de TOUT le voyage.  Ladurée.  Yep.  Ladurée.  À cause de la fameuse chanson! Du coup, on a photographié le magasin au complet!  Il faut dire que ça donne pas mal faim.  On aurait pas dû manger avant et se bourrer de pâtisseries!

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(Le gars a l’air à trouver ça ben drôle, le trip Ladurée!)dsc_0973 dsc_0975 dsc_0978 dsc_0979 dsc_0982 dsc_0983

On trottine allègrement vers l’arc de triomphe de l’Étoile, commencé sous Napoléon 1e et terminé sous Louis Philippe, autour duquel partent 12 rues à la Haussmann.  Mon CAUCHEMAR absolu  en voiture.  Jamais je n’irai me balader là-bas en char.  Promis juré.  Ca a l’air le bordel.  Imaginez être pris en plein milieu et ne pas pouvoir sortir?  Arghhhh!!!  Ceci dit, il y a des couloirs sous-terrains pour les piétons.  C’est bien assez compliqué comme ça!

 

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La tombe du soldat inconnu et la flamme éternelle…dsc_0995

 

Déjà, on a marché pas mal.  Mais bon, comme on n’a pas beaucoup de temps, on va passer la fin de l’après-midi et la soirée à Montmartre.  Oui, rien que ça.  Bon, je ne vais pas tout reprendre la partie description et histoire de Montmartre.  Ya des limites à me répéter!

 

Je les ai donc baladés à travers les pentes, les ruelles, les sentiers historiques où ont marché tant d’artistes.  C’est toujours limite émotionnant!  On a commencé par le Sacré-Coeur, que j’avais vu souvent cette année sans le visiter.  Du coup, on en a profité.  Construite dans les années 1870, suite au « voeu national » (yep, il semblerait que la défaite soit une punition divine… et le voeu voulait contrer ça.  En résumé et en over simplifié).  IL n’y a donc que des trucs assez récents dans cette basilique.
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Et bien entendu… quelle vue!

La balade a été bien agréable, avec les peintres sur la place du Tertre qui semblent tous se connaître.  dsc_1010 dsc_1011 dsc_1018 dsc_1019 dsc_1023 dsc_1024 dsc_1025 dsc_1027 dsc_1031 dsc_1032 dsc_1034

JF a bien sûr tenté le coup hein!dsc_1035 dsc_1036

Il semblerait qu’on ait beaucoup marché… parce qu’ensuite, c’est petite coupe de vin au son du piano et souper.  Disons qu’Erika a ENCORE sa photo de presque dodo!  Mais là, elle va se souvenir qu’elle était jalouse de MON saumon qui était juste délicieux.  On a passé une excellente soirée, il y avait de la musique, une ambiance full Montmartre et parisienne… super!

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On est donc retournés tranquillement, en passant par le bateau Lavoir, en regardant le Sacré-Coeur de loin, un peu gris mais, très fatigués, mais bien contents.  J’adore faire visiter Paris!  Et jaser avec mon frère et ma belle-soeur sans enfants, c’est quand même super différent!

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À bientôt!

Et tu n’es pas revenu – Marceline Loridan- Ivens / Judith Perrignon

et-tu-nes-pas-revenuMarceline Loridan-Ivens est l’une des 150 des 2500 personnes « revenues » qui soient encore vivantes.  Et, accompagnée de la journaliste Judith Perrignon,  elle nous livre dans ce roman une longue lettre à son père, celui qui n’est pas revenu du camp.  De ce qui est maintenant Auschwitz-Birkenau mais qui étaient autrefois deux camps séparés par ce qui semblait un univers complet.  C’est suite à ma visite à Terezin, camp par lequel elle est passée, que j’ai décidé de lire ce livre.

 

C’est avec beaucoup d’émotion que j’ai lu cette longue lettre au père, celui qui lui avait dit qu’elle, elle reviendrait parce qu’elle est jeune, mais que lui ne reviendrait pas. Marceline a 15 ans quand elle est déportée avec son père, dans le même convoi que Simone Veil. Elle se souvient du travail, des appels interminables, de la peur d’être dans le mauvais groupe, de la creusée des tranchées et du désir, encore et toujours, de revoir ce père qui semble à l’autre bout du monde.   Elle se souvient de la lettre, aussi.  Celle dont elle a oublié le contenu.  Elle se souvient d’une étreinte aussi, une étreinte dont tous ceux qui y ont assisté – et qui sont encore envie – se souviennent aussi.  Elle se souvient des coups, des humiliations.  De la mort qui rôde et de la peur constante qui étreint tous les coeurs.

 

Mais elle est revenue.  Sans lui.  Et elle a dû revoir une famille déchirée, qui ne s’est jamais remise de la mort du père.  Du fait qu’on ait décidé de sa mort et de devoir de vivre sans lui.   Ce témoignage est extrêmement touchant, extrêmement honnête, on ressent l’ambivalence des sentiments, se sentant parfois coupable de décevoir sa famille car c’est elle et non lui qui est revenu.  On se sent presque aussi impuissants qu’elle face à la distance qui la sépare des autres à son retour, à l’incompréhension et à la difficulté de continuer à vivre, comme au camp, un jour à la fois.

 

Impossible à oublier.  Et à lire.

Quand un roi perd la France – Les rois maudits – 7 – Maurice Druon

rois-maudits-7Et voilà, c’est fini.  Ça aura été ma version du Pavé de l’été de Brize!  La saga de l’été, comme dans le bon vieux temps.    Tout le monde me disait que ce tome était moins bien et je vais être encore à l’envers du monde… parce que j’ai adoré.  Mais je comprends que ça n’ait pas plu parce que c’est franchement différent et que ça aurait pu être un roman stand alone, en fait.

 

La narration est tout à fait différente, écrite à la première personne par le cardinal Hélie de Périgord.  Bien manipulateur, ayant une vision très très biaisée des choses, il raconte, à sa manière, à son secrétaire et à son neveu, les débuts de la guerre de 100 ans.  Inutile de préciser que dans son récit, Jean le Bon aurait pu être appelé Jean le Con tellement son règne est catastrophique.   Le récit se déroule pendant une mission du cardinal, sur la route qui le mènera de Metz à Périgueux.  Ou le contraire, je ne sais plus.

 

J’ai adhéré parce que j’adore ce genre de narration.  J’aime le côté « manigances » et le grand jeu de la vierge sincèrement offensée quand tout ne se passe pas exactement comme il l’aurait voulu.  J’ai aussi aimé voir cette partie de l’histoire, qui se passe après les six premiers tomes et mieux comprendre le début de cette guerre, avec les tenants et les aboutissants.  Le personnage de Fébus (écrit comme ça) est ma foi bien intéressant.

 

Bref, j’ai aimé, malgré le changement de ton et de rythme.  Mon gros bémol reste la fin, beaucoup trop abrupte à mon goût.  J’avoue avoir cherché la suite tellement pour moi, ça s’arrêtait en plein milieu d’un paragraphe.   Comme je le lisais en ebook, je suis même allée vérifier les exemplaires papiers de Fabienne!

 

Un vrai plaisir que de lire la série, surtout après avoir vu plusieurs des lieux desquels il était question dans le roman.  IL ne manque que le château Gaillard… va falloir revenir!

Trappeurs de Rien – 1 – Caribou – Thomas Priou/Pog/Corgié

trappeurs-de-rienL’illustration de la couverture m’a tout de suite attirée quand j’ai vu ce petit album dans l’envoi de La boîte de diffusion.  Des personnages anthropomorphes dans un paysage enneigé, un public cible d’environ 5-6 ans, un format BD… tout pour me plaire!  Et malgré un début un peu lent, ça m’a beaucoup plu, surtout la deuxième partie.

 

Croquette est un tout petit oiseau, mais aussi un célèbre trappeur.  Avec ses amis Mike et Georgie, ils s’en vont en forêt pour aller chasser le caribou.   Déjà, arriver dans la cabane envahie par les souris, c’est difficile… mais en plus, Croquette a un secret!

 

Première remarque, j’adore les illustrations, à la fois belles, évocatrices, tout en restant simples et en allant à l’essentiel.  C’est quelque chose de très important pour moi quand je choisis un album, surtout quand il y a beaucoup d’inférences à faire.   Les personnages sont super mignons, très différents mais ils font une très bonne équipe…  malgré le petit secret.

 

Ceci dit, l’histoire commence un peu lentement.  Les scènes d’arrivée à la cabane sont drôles mais ne sont pas nécessairement essentielles à l’histoire.  Ceci dit, dès le début de la chasse, ça devient plus intéressant et les cocos comprennent graduellement ce qui se passe… et ça, c’est bien!  Quant à la fin, elle est parfaite pour faire faire des prédictions et trouver des solutions possibles.  On peut aussi faire mimer l’explication et travailler ainsi la résolution de problème et les habiletés sociales.  Bref, plein de jolies choses à faire avec cette petite bande dessinée!

 

Cute!

Mon enfant de Berlin – Anne Wiazemsky

mon-enfant-de-berlinJ’ai choisi ce livre parce que j’allais à Berlin et qu’il y avait Berlin dans le titre et que j’avais déjà lu et aimé un livre de l’auteur.  Je ne savais pas du tout à quoi m’attendre, et c’est peut-être ce qui a causé une certaine perplexité chez moi.  Parce que si j’ai adoré la reconstitution du Berlin de l’après-guerre et que le personnage principal est assez atypique, j’avoue que l’histoire d’amour m’a parfois semblé un peu mièvre.  Mais disons que c’est compréhensible, vu que l’histoire à la base du roman est celle des parents de l’auteur.

 

Ce court roman s’ouvre sur le journal de Claire, infirmière dans la Croix-Rouge et fiancée à un soldat. Claire est partout « la fille de ».  Et elle souhaite être elle-même.   C’est une personne solitaire, pas toujours avenante, souvent en proie à des migraines et se sentant parfois étrangère à sa famille.   Elle a besoin de bouger, de sentir dans l’action et c’est pour ça qu’une fois la guerre finie, elle tient à aller à Berlin où elle continuera à conduire des ambulances.  C’est à travers ses yeux que nous découvrons cette ville détruite, cette population qui ressort petit à petit de sous terre et qui souffre le martyre.

 

Malgré l’horreur qui les entoure, Claire, ses amis et tout le petit microcosme qui gravite autour d’eux vivent des moments exceptionnels, intenses et éphémères, évidemment.  Et ils choisissent de les vivre comme si c’était pour toujours, comme si ça allait durer et ne jamais se heurter à la vie quotidienne et hors de cette « bulle » qu’est le Berlin de l’après-guerre, quand on n’est pas berlinois.  Et c’est cette partie que j’ai aimée , la fébrilité de ces gens qui risquent leur vie et côtoient l’horreur.

 

Toutefois, la relation entre le Wia solaire, parfois aveugle aux sentiments de son entourage et Claire, renfermée et taciturne, m’a moins touchée que la synergie et l’énergie de tout ce petit monde.  Et bon, ça prend quand même pas mal de place.  Mais j’ai bien aimé la finale, ainsi que le style de l’auteur, qui réussit à faire un tout ce des fragments de vie.

Ma vie parisienne – 145 – Versailles et balade parisienne

 

dsc_0996Aujourd’hui, c’était Versailles.  On est allés avec la météo en fait.  Versailles, sous la pluie, ça peut être un peu pénible.  Donc, comme ils annonçaient 25, ça nous allait parfaitement.  Entendons-nous, finalement, il a fait bien plus chaud que ça.  Et on a fait plus de 30 000 pas.  Disons qu’on a couru après les boissons fraîches et les crèmes glacées toute la journée.  Et que dès que nos illustres derrières étaient posés quelque part, certain(e)s avaient du mal à rester éveillés.  Je ne nommerai personne!

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(Erika est de retour chez elle…)

Nous sommes donc arrivés à Versailles en plein marché.  Je ne le dirai jamais assez mais pour nous, les marchés, c’est exotique.  On s’est baladés entre les stands, on s’est acheté des fruits bizarres (et moins bizarres).  Les petites madames armées de sacs Gucci et de valises à roulettes griffées étaient partout!

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On arrive à Versailles, après une route où nous étions complètement seuls et là, WTF?!?!  On est mardi.  On est en septembre.  Et il y a une file jusqu’à la rue.  Et nous avions acheté nos billets en avance, là.   Sauf que, malgré tout, c’était bondé et il y avait plus de 45 minutes d’attente.  Et il paraît qu’ils ont changé l’entrée pour limiter ça.   Mettons que c’est pas une réussite.

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(Toute petite file..)dsc_0986

Versailles, tout le monde connaît.  Du coup, je ne vais pas vous faire une histoire détaillée.   Au départ, Versailles était un pavillon de chasse de Louis XIII.  Entendons-nous, c’était alors loin du Versailles d’aujourd’hui, autant point de vue taille que point de vue luxe.    S’il y a entrepris des travaux, ce n’est que sous Louis XIV, presque 20 ans plus tard, que Versailles va commencer à devenir ce qu’il est maintenant.    C’est lui qui va commander les agrandissements, ainsi que les jardins et inspirer le thème du soleil.

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(J’adore les grimaces de cette statue!)dsc_0997

C’est en 1682 que la cour s’installe à Versailles, dans un luxe fou, mais sans toilettes, ce qui cause bien des problèmes aux courtisans, comme plusieurs romans nous l’ont laissé entrevoir.

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(Vous allez vous, j’ai des fantasmes plafonniers, aujourd’hui…)
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Chapelle.  Ya pire endroit. dsc_1005

Bon, pour moi, le Versailles de Louis XIV, c’est le Versailles d’Angélique, avec la grotte, les tabourets et tout le tralala.  Ouais, je sais on a les références qu’on peut!

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(Ouais.  Des plafonds.  Encore.)dsc_1012 dsc_1014 dsc_1016 dsc_1017

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(Versailles, c’est doré.  Il faut le savoir.  Genre… vraiment doré!)dsc_1047 dsc_1048

(The fameux portrait de Louis XIV)dsc_1053 dsc_1055

Galerie des glaces…dsc_1057 dsc_1060 dsc_1064 dsc_1065

Petite valse dans la galerie des glaces…

C’est sous Louis XV que les grands appartements ont été achevés.  Il a d’ailleurs habité Versailles pendant son règne.   Sous Louis XVI, les appartements sont de plus en plus désuets (entre autres, les fameuses toilettes… on n’en parlera jamais assez) et Marie-Antoinette fait réaménager le petit trianon et nous verrons naître le fameux hameau.  Drôle d’idée de se faire construire un village n’est-ce pas!  Surtout avec des façades campagnardes et des intérieurs très luxueux.  Vous pouvez vous imaginer que ça n’a pas aidé à sa popularité, cette petite dépense! La révolution est passée par là mais le château a été préservé, même si les jardins sont moins grands qu’avant.

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Le fils à son père…  JF et les cartes!dsc_1175 dsc_1178 dsc_1179 dsc_1200 dsc_1204 dsc_1219 dsc_1223 dsc_1224 dsc_1225 dsc_1226 dsc_1227 dsc_1231 dsc_1235 dsc_1240

Versailles a été aussi réaménagé sous l’Empire, quand l’Empereur a voulu le faire réaménager pour habiter le grand Trianon.  Toutefois, la fin assez abrupte du premier empire a mis fin à ses grands projets de restauration du palais.   Certaines rénovations sont amorcées par Louis XVIII, pour être poursuivies par Charles X.   C’est dans les années 1830 que Versailles amorce sa transformation en musée.    Toutefois, après 1870, le château retombe dans un état de délabrement suite à la défaite de la France et à l’installation de l’armée prussienne

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(J’adoooore cette statue.  Et je ne sais même pas pourquoi!0dsc_1101 dsc_1106 dsc_1108 dsc_1109 dsc_1111 dsc_1118

(Ooooh… des livres!)dsc_1122 dsc_1123 dsc_1128 dsc_1129 dsc_1136

(Vue de Versailles…)dsc_1138 dsc_1139

(Bon… je réalise qu’en fait, ce jour-là, je trippais plafonds… et statues!  Sorry!)dsc_1140 dsc_1141 dsc_1142 dsc_1144 dsc_1145 dsc_1147

(Avez-vous vu ces caissons?  Si non, la photo suivante vont vous les montrer!)dsc_1148 dsc_1150

Lunch chez Angelina.  Ca a tu assez l’air bon?dsc_1152

Bien entendu, le château a été restauré depuis et remis à un état antérieur.  Mais il en a vu passer des choses, dont le fameux traité de Versailles, après la première guerre mondiale.   Bref, un lieu assez historique.

 

Nous, après avoir visité les appartements ainsi que plusieurs galeries, dont l’histoire de Versailles, nous nous dirigeons vers les jardins.  Toujours à 40 degrés, of course.    Sinon ce ne serait pas drôle!

 

Je ne sais pas comment nous réussissons le truc, mais on se perd je ne sais pas combien de fois pour se rendre aux Petits et grands Trianons.  On s’est ramassé à longer un fossé (on a failli décider de se la jouer Extreme Race et d’essayer de le traverser) et on est rendus copains avec la moitié des jardiniers de Versailles à force de demander notre chemin.

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Coquillages!dsc_1248 dsc_1250 dsc_1255

 

On retourne ensuite vers le village de Versailles où nous nous arrêtons un peu pour un verre.  En fait, on a soif.  Très soif.  En fait, quand on a eu terminé la visite des trianons et que j’ai réalisé qu’i fallait REVENIR… j’aurais pleuré!  Quant à Erika, à chaque fois que JF voulait aller voir un truc, elle le suivait, jusqu’à ce qu’elle s’exclame « AH NON!  PAS UN AUTRE MAUDIT JARDIN!! »  juste un peu trop fort.  En tout cas, assez fort pour faire se retourner quelques têtes!

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On a aussi bien cherché les fontaines pour lesquelles les gens payaient pour les jardins.  Sérieux, yen a juste une qui fonctionnait, ce qui était un peu décevant.  Mais je pense que ça, c’est moi!  Les jardins restent magnifiques!

 

Disons que sur le chemin du retour, j’ai eu tout le temps pour lire hein… mes partenaires de voyage étaient… un peu fatigués!

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On s’arrête donc pour manger au Marco Polo, sur les conseils de Fab.  Paraît que c’est un peu une institution dans le coin de la gare Saint-Lazare.   J’en connais qui dormaient un peu dans leur assiette!  Et JF a pu connaître l’existence des hamburgers saignants!

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Nous retournons tranquillement jusqu’au métro avec quelques petits détours…  Ben quoi, il y a plein de trucs chouettes à voir dans ce coin-là.  Nous passons devant les grands magasins pour arriver à l’opéra.  On espérait bien voir le fantôme mais bon, depuis le temps, je devrais bien savoir qu’il a une cape d’invisibilité!

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Tiens… c’est vrai!  ON a vu la Madeleine aussi, église en forme de temple grec!  Vous savez, celle qu’on voit d’à peu près partout dans les hauteurs de Paris!  J’avais presque oublié.  Même si j’ai trouvé un pokémon rare sur le perron!  ON a aussi pu soudoyer le gardien pour aller se balader un peu sur le perron même si c’était fermé.  JF est encore meilleur que moi pour avoir ce qu’il veut!dsc_1280 dsc_1282 dsc_1283 dsc_1285 dsc_1286 dsc_1288 dsc_1290 dsc_1293

(Pour une raison X, JF voulait ABSOLUMENT aller voir le palais royal et les colonnes de Murenne.  Ceci dit, on a vu l’extérieur…  et il y est retourné après!)

 

On a fini la balade un peu plus loin  Genre… au Louvre.  Mais bon, le Louvre, de soir, c’est juste magnifique et je voulais qu’il le voient.  Ok, j’ai presque dû les traîner jusque là hein… ils étaient dé-cal-qués et jet-laggués.   Genre que je voulais les épuiser pour dormir le lendemain matin!  Gnak gnak!

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Mais bon… vous verrez, c’Est plutôt raté!

 

À bientôt!