Mon tour de France – 31 – Marcel et visite aux chandelles

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Tiens, le 20 mai… quelqu’un que je connais devient bien vieux, ajd… je ne sais pas s’il va y survivre!  Va falloir compter les cheveux blancs!

 

En ce 20 mai, nous nous réveillons dans notre appart hôtel de Chartres et faisons un saut à la boulangerie pour acheter des viennoiseries et du caramel beurre salé pour le petit déjeuner.  C’est que sur les crêpes hier, c’était trop bon!  C’est génial de pouvoir manger un peu à l’appart avant de partir.  Ça nous donne l’impression de vivre comme les français, avec le rituel de la boulangerie matinale (cheers Audrey!!).

 

Comme Mr. Papa est fatigué (normal, c’est lui qui se tape la route… je voudrais bien conduire… mais étrangement, il a des objections!), maman et moi courons au bureau touristique pour nous faire concocter un petit parcours que nous suivons au pas de course.  Tout voir, tout voir, tout voir!!

 

On commence donc par visiter la cathédrale de Chartres, célèbre entre toutes.  Certes, elle est un peu en rénovations, du coup, nous n’avons pas la vue d’ensemble… et j’aurais bien pris une visite guidée pour les vitraux… mais c’est une visite qui vaut vraiment la peine.  Même que nous avons renvoyé papa pour la voir le lendemain matin.    Sérieusement, ces vitraux du moyen-âge, c’est quelque chose.  On resterait des heures à regarder certains d’entre eux, en tentant de reconnaître les détails et les histoires.  Comme des profs faisaient la visite à leurs élèves, on a quand même pu glâner des bouts d’information!

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Et puis, quand même, le tour du chœur (qui doit avoir un nom, mais que je ne connais pas), complètement sculpté de scènes de la vie de Marie et de Jésus, c’est impressionnant.  On en reste bouche-bée.   C’est tellement détaillé, il y a tellement de vie dans les visages, les poses, de mouvement dans les vêtements… impossible de ne pas être surpris.

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On veut aller voir le musée des vitraux mais on est définitivement trop pressées… mais on jase quand même avec la dame qui est très gentille… et qui nous conseille, en effet, de revenir plus tard vu que ça ferme pour la pause du midi.

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On passe donc par le jardin derrière, où nous avons une très très belle vue sur  l’église, qui n’est pas toujours facile è faire entrer dans les photos!  Il y a aussi un joli point de vue sur la basse-ville et les endroits que nous avons vu la veille, dans le petit train.

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Le musée des vitraux… où nous ne sommes pas allées!DSC_0465 - Copie - Copie DSC_0477 - Copie - Copie DSC_0474 - Copie - Copie

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On poursuit donc notre semi-jogging en descendant par les escaliers vers la rivière et les ponts.  Les panneaux de noms de rue sont trippants, et on a appris par la suite qu’ils avaient été commandés exprès et que oui, on avait raison, il y avait un petit côté humoristique au truc.   Je suis aussi bien impressionnée par une maison à colombages qui semble trôner en plein milieu de la rue!

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Puis, le bord de l’eau avec la vieille ville et surtout, les ponts et les lavoirs.  Ils sont partout, ils sont trop beaux et je ne peux m’empêcher de m’arrêter à chaque fois pour les mitrailler de photos.  C’était calme, et tellement facile d’imaginer les gens utiliser ces fameux lavoirs.

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La porte, qui démontre la présence d’anciennes fortifications à cet endroit. DSC_0559 - Copie

Petit arrêt rapido à l’église St-Pierre, qui est sérieusement semi-bien conservée… quel contraste intérieur comparé à la cathédrale!  Et dire que maman avait confondu les deux à l’arrivée!   C’est une bonne idée qu’ils ont eue d’éclairer de l’intérieur pour Chartres en lumière.  Ça la met vraiment en valeur.     On mange rapidos des kebabs à l’appart avant de partir pour les périgrinations de la journée.   Le but?  Arriver à 14h30 pour la visite du musée Marcel Proust, la maison de tante Léonie.

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Bizarrement, on est pressés alors on est moins attentifs à la beauté de la route, mais on arrive juste à temps à Illiers-Combray pour mon pèlerinage chez Marcellou.  Le maison des tenue par la société des amis de Marcel Proust, qui a la difficile mission de garder tout ça en état, ce qui n’est pas toujours évident.  La visite commence en retard et, avertissement, pas le droit de photographier dans la maison pour des questions de droit d’auteur, selon la guide.  Et quand je dis « pas du tout », c’est « pas du tout ».  Même pas l’extérieur vu des fenêtres.  L’un des visiteurs voulait prendre un morceau d’un élément de décor, pas tout, parce qu’il avait un truc semblable chez lui et  qu’il  venait d’apprendre à quoi ça servait.  Nope.  Pas question.    (chuuuut… je ne le dirai pas trop fort, mais je pense qu’il y est arrivé quand même hein… mais rien n’est certain!)

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Première pièce, la cuisine, domaine de Françoise.  On y trouve plusieurs éléments d’époque, dont une cafetière, un énorme pain de sucre (et son marteau pour le briser) et un service à thé pour manger le gâteau au chocolat, dessert préféré du père de Marcel.  La guide semble penser qu’au Québec, on ne connaît rien du tout.  Aucun auteur français, peut-être Proust, mais pas trop.   Du coup, à chaque question, elle précise « bien sûr,  je m’adresse aux Français, pas aux Canadiens », ce qui nous faisait plutôt rire.

 

Derrière la cuisine, la petite salle où Françoise aurait fait éplucher des asperges à une domestique tout un été, parce qu’elle avait « fauté ».  J’ai adoré me rappeler ce passage.

 

Puis, la salle à dîner, où les parents du narrateur auraient reçu Swann, ce qui contraignait celui-ci à monter se coucher sans avoir le baiser de sa mère.  Le lustre est presque d’origine (sauf qu’électrisé) et la collection d’assiettes n’a plus grand-chose à voir avec les mille-et-une nuits… mais elle y est.   Nous avons ensuite monté le si terrible escalier « qui sent la cire », pour nous diriger vers la « chambre du narrateur ».  Est-ce que Marcel Proust y a dormi, enfant?  Rien n’est moins sûr.   Mais nous savons qu’il a résidé les été à cet endroit, jusqu’à ce que son asthme l’obligent à s’éloigner des pollens pour aller à Cabourg (le Balbec supposé de la recherche).    On y voit entre autres un vieil exemplaire de « François le Champi », de George Sand, l’histoire d’un enfant trouvé qui finit par épouser sa mère adoptive.  Hmmm… je pense que Proust était vraiment fasciné par sa mère, n’est-ce pas!

 

La chambre de tante Léonie m’a aussi beaucoup plu.  On y retrouve son lit, près de la fenêtre, où elle guettait les passants et demandait à Françoise de prendre des infos si elle voyait quelqu’un qu’elle ne connaissait pas.  C’est que la dame (que nous dirions maintenant très hypocondriaque) avait décidé qu’elle ne quittait plus Combray… puis plus sa chambre et finalement, plus son lit.   C’est d’ailleurs dans cette chambre que se déroule, dans le roman, le fameux épisode des madeleines, trempées dans la fameuse tasse de thé.   La véritable tante de Proust est par ailleurs décédée assez jeune d’un cancer du colon.

 

Il y a quelques autres pièces, dont un hommage aux parents de Proust, des reconstitutions, ainsi qu’un salon oriental, pour rappeler les voyages en Orient de l’oncle de Proust.   C’est d’ailleurs celui-ci qui a fait aménager le pré catelan, où il y aurait les fameuses aubépines (que nous n’avons pas vues, toutefois).   Puis, dans le grenier, une galerie de photos où on nous explique qui aurait influencé qui dans l’œuvre de Proust (si on choisit cette façon de voir les choses).  Toutefois, pas facile de se démêler car chaque personnage a été influencé par plusieurs vraies personnes, ce qui complique légèrement l’affaire!  C’était quand même bien agréable de voir ces photos, toutes regroupées.  Je ne vais pas commencer ici à vous faire un portrait de qui a inspiré qui… sinon on n’aurait pas fini!  Mais chaque nom m’a rappelé certaines parties de la Recherche, ce qui est ma foi fort apprécié!

 

J’ai bien cherché sur la carte quelle route était « le côté de Méséglise » (Méréglise, je pense… qui passe près de Tansonville, où aurait habité Swann) et laquelle était le côté de Guermantes.  J’ai mes hypothèses… mais disons qu’il y aurait de quoi à faire avec tout ça dans le village.

 

Ceci dit, on a quand même mangé des madeleines dans le fameux pré catelan.  Ben quoi… faut être un peu concept!

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Ensuite, direction Bonneval, l’une des nombreuses Venise-de-France.  C’est joli comme tout mais les promenades en bateau ne sont pas encore commencées… du coup, nous avons marché.  C’est mignon, il y a de belles vues, mais je ne dirais pas que ce soit non plus un indispensable.  Le plus beau bâtiment est un hôpital psychiatrique, maintenant.  Of course, pas question de visiter!

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Le fameux hôpital psychiatrique!
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L’église Notre-Dame de BonnevalDSC_0626 - Copie - Copie DSC_0627 - Copie - Copie DSC_0629 - Copie - Copie DSC_0632 - Copie - Copie DSC_0633 - Copie - Copie DSC_0634 - Copie - Copie DSC_0638 - Copie - Copie DSC_0639 - Copie - Copie DSC_0640 - Copie - Copie DSC_0641 - Copie - Copie

(Des tomates bizarres… j’avais jamais vu de telles tomates!)

Puis, en fin de journée, on se dirige vers Châteaudun, le premier des châteaux de la Loire.  On sait qu’il est fermé, mais le point de vue en vaut la peine.   C’est un très beau village, avec, tout en haut, le fameux château qui domine le paysage.  La ville a presque toute été brûlée en 1723, sauf une petite rue, qui descend assez abruptement et qui remonte ensuite dans des jardins ecclésiastiques (en fait, je ne sais plus lequel est le jardin de l’abbé, le jardin de l’archevêque, celui de l’évêché ou des évêques… de là la floutitude assumée) d’où nous avons un très beau point de vue sur le château et sur la basse- ville.   Il y a en haut un passage vraiment cool, typique du moyen âge, limite secret (bon, ça c’est moi qui veut penser ça… mais entendons-nous, ce ne l’est pas pantoute!) qui donne l’impression de faire un voyage dans le temps.  Un stop assez court, tout est fermé, mais que nous avons beaucoup apprécié!  Même que papa et moi avons limite abandonné maman dans un parking pour pouvoir aller photographier différents angles.  Ce ne serait pas la première fois que nous l’aurions oubliée, n’est-ce pas!  (Ici, je fais référence à la fois où papa l’avait laissée à l’étape avec Michèle avant de repartir pour Québec, direction Russie.  Ou à la fois où elle n’avait pas rentré dans le métro avec nous… bref, on la plante tout le temps là, sans faire exprès!)

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Comme nous sommes arrêtés à l’épicerie pour acheter du vin, du pain, des fromages et du pâté, nous mangeons tranquillement à l’appartement, car nous devons ressortir le soir, ayant réservé Un tour Chartres en lumière plus crypte à la chandelle.  Pour une fois, il faut pousser dans le derrière de maman pour la faire ressortir.  Une chance qu’on n’est pas loin!

 

Mais ce qu’on a pu bien faire d’y aller, car je sens que ça va rester l’une des plus belles expériences du voyage.  Nous avons été amenés à prendre la même route que les pèlerins de 1150, fatigués, dans la crypte dans le noir,  à la lueur de chandelles.  Dans le temps, ils y allaient pour dormir et prier.  La crypte a 250m de long et quand on est tout devant, on n’y voit rien.  Juste la petite parcelle de lumière éclairée par notre bougie.  C’est magique, surtout quand le guide se met à chanter des chants du 12e et qu’on s’imagine à l’époque.   On y découvre de magnifiques statues médiévales qui apparaissent petit à petit, à mesure que notre lumière l’explore.   Ce sont ces mêmes statues qui ont fait s’exclamer Rodin que tout avait déjà été fait.   On admire aussi l’ange au cadran ainsi qu’un très ancien puits, qui donne encore plus de verticalité à la cathédrale.    On nous explique également la cérémonie du baptême, qui se déroule dans la crypte, et où lumière et chants attendent le nouveau baptisé lorsqu’il en remonte.    Il n’y a aucun mort d’enterré à Chartres.  Ici, c’est dédié à la vie et, selon le guide, les saints et la vierge sont vraiment chez eux… et ont la sainte paix, c’est le cas de le dire.

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On raconte aussi que lors d’un incendie, un abbé a descendu le voile de la vierge dans la crypte, dans le noir, en attendant que l’incendie s’éteigne.  Il serait remonté 3 jours plus tard, rayonnant et portant le voile.  Bien entendu, 3 jours, voile qu’on croyait perdu à jamais qui réapparait… c’est limite trop beau pour être vrai, non?  Mais c’est ce qu’on dit, même si c’était probablement arrangé avec le gars des vues (ou le chef des effets spéciaux du temps).  Surtout que l’évêque attendait dehors… Bref…

 

Bon, pour ma part, je suis rentrée tête (et chandelle) première dans le guide, qui n’avait aucune lumière.  Il a fallu qu’il me rattrape… des fois, je m’énerve moi-même!  Après, on va dire que je tombe dans les bras de n’importe qui.

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En haut, nous avons le privilège d’être la nuit dans la cathédrale sombre, qui prend alors une toute autre dimension.   On voit les piliers, plus difficilement le plafond, et on a l’impression de se trouver au milieu d’une forêt d’arbres immenses et mystérieux.  C’est tellement, tellement grandiose et on se sent tout petit   On nous y montre l’acoustique, parfaite pour un ténor (alors qu’avant la meilleure voix était le baryton, voire même la basse, à l’époque des églises romanes).   Selon le guide, Fulbert a de quoi être fiers.

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Flou over-artistique!!DSC_0733 - Copie

À la sortie, j’ai de la cire plein les mains et des étoiles plein les yeux… et je vais en prendre davantage parce qu’on nous emmène pour nous expliquer certaines animations de Chartres en lumière, ceux autour de la cathédrale.   En premier, on voit celui qui a repris plusieurs des vitraux de l’abbaye.  Si j’avais eu plus de temps, je me serais amusée à les retrouver ensuite!  ON rend hommage aux bâtisseurs,  aux créateurs… et ça regorge de symbolisme.  L’apothéose, c’est la vierge à l’enfant qui apparaît en fin de parcours.

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Puis, mon animation préférée, l’histoire de la petite Luna qui cherche son étoile, Stella, à travers le temps, les époques et l’espace.  On se retrouve même à l’intérieur du Falcon Millenium un moment donné.  Œuvre à double lecture, la première du niveau du conte de fées (la petite poulette cherche son doudou) et l’autre beaucoup plus symbolique, où nous voyons apparaître des peintures (ma nuit étoilée de Van Gogh) et des références culturelles et historiques.   C’est ma préférée de toutes, je pense.  C’était poétique et magique.

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Puis, troisième façade, nous voyons apparaître petit à petit les différents éléments de la cathédrale, en couleurs.  Les statues prennent du volume, les unes après les autres.    Ca semble tout simple mais l’effet est saisissant.

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Finalement, dernière façade, où on rend hommage aux bâtisseurs, nous voyons de petits personnages un peu fantastiques, qui se lancent joyeusement des pierres ou qui créent les aspects flamboyants à l’aide d’un soufflet.  L’animation dure 12 minutes, je ne vais pas vous la décrire seconde par seconde, mais avec le commentaire associé, on comprend beaucoup mieux les détails et la signification du truc.  C’est que ça a été réfléchi… vraiment.

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(Vous voyez le motton blanc, au milieu de la rangée?  C’est Pépin le Bref.  Monté sur une roche, car il était tout petit!!)

 

Retour au dodo ensuite… je n’ai pas réussi à retourner à l’église St-Pierre pour admirer et surtout photographier les vitraux… j’en avais légèrement plein les pattes de marcher comme ça (référence à quel film kulte, dites??)!

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Mais quelle journée!

 

A bientôt!

3 Commentaires

  1. Sur la route des vacances, je fais souvent une halte à Chartres et j’y ai passé trois jours une fois pour bien visiter. La cathédrale c’est un sacré morceau ! Depuis quelques années, on ne la voit que par morceaux, vivement la fin de la rénovation … côté lumières ils n’ont pas fait les choses à moitié dis donc. J’aimerais bien faire la visite aux chandelles, c’est très spécial les visites de nuit.

  2. Aaaaaaaah faut absolument que je retourne à chartres! Les travaux avancent, l’intérieur blanchit
    Pour chateaudun, je n’ai pas vu le chateau du bas, c’est impressionnant, mais la visite guidée du chateau et du donjon! ça vaut la peine (j’y étais en avril)
    Et la maison de tante léonie;.. Un jour j’irai! ^_^

  3. Encore une belle balade et de superbes photos ! Merci Karine !

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