Tiens tiens… je ne pensais pas aimer autant ce truc! Je me souviens l’avoir lu toute petite et d’avoir trouvé ça over over compliqué mais là, ma foi, je trouve ça très distrayant. J’avoue que d’avoir vu des endroits dont on parle et d’avoir entendu parler des personnages en contexte, ça simplifie les choses. Vous riez, je le sens, mais pour moi, ce n’est pas de la culture acquise. C’est voire même exotique. Juste l’année 1300 est exotique. Bref…
Dans ce volume, nous retrouvons la cour après la mort de Philippe le Bel. Son héritier, Louis X dit le Hutin, est dépeint de manière ma foi fort déplaisante. On nous le présente comme un homme faible, complètement absorbé par lui-même et ne pensant qu’à utiliser le pouvoir du royaume pour satisfaire ses propres besoins. Dans ce tome, il veut un pape. Absolument. Parce qu’imaginez-vous que sa femme, Marguerite de Bourgogne, est emprisonnée et qu’il en veut une autre. Du coup, il faut annuler le mariage. Le reste, il s’en fiche un peu, en fait.
Bon, on sait que c’est romancé, tout de même! Mais bon.
Il est en fait pris entre deux feux : son oncle Charles de Valois (non mais il M’ÉNERVE ce personnage! Comme rarement un personnage m’a énervé) et Marigny, le conseiller de son père. On dirait que ce roi prend systématiquement les mauvaises décisions. Et entre Valois et Robert d’Artois, qui ne veut que retrouver son comté, dont il s’estime dépouillé par sa tante Mahaut, il n’est pas au bout de ses peines.
Si les manipulations sont parfois un peu redondantes, le truc s’enchaîne parfaitement et on ne s’ennuie pas une minute! Je vais continuer.
4 Commentaires
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Je lirai un jour ce roman car j’ai vu que c’était l’une des sources de games of throne… Par curiosité et puis ça a l’air de te plair ! 🙂
Auteur
C’Est très différent mais j’ai quand même adoré. Autant que Game of Thrones.
Ah, quand on vu certains des lieux en question, ça doit être encore plus extra! Quelle série formidable, quelle chance tu as d’avoir encore tous ces tomes à découvrir!
Auteur
N’est-ce pas! C’était fou!
Mais bon, là, j’ai fini-fini!