Je ne pense pas que vous êtes surpris de voir que je parle de la dernière nouvelle d’Angéla Morelli ici (nouvelle qui sortira demain, avec cette merveilleuse couverture, qui me fait mourir de rire à chaque fois que je la vois et ça, c’est juste merveilleux!). C’est aussi le premier pour lequel je n’ai pas été bêta reader. Pas qu’elle m’ait reniée mais j’étais un peu loin quand ça a été le temps de booster (et relire) la miss. Du coup, j’ai lu la nouvelle en tant que simple lectrice et j’ai beaucoup aimé. Of course.
Cette nouvelle fait partie d’une série qui aura un point commun bien… inspirant : les rugbymen. Ok. Je ne démêle pas encore football et rugby (quoi que les différences entre football américain et football canadien n’ont pas de secret pour moi) mais bon, c’est un détail, hein. L’héroïne, c’est Eugénie. Elle a les cheveux roses, est fanatique de fantasy et habite avec sa tante dans un bed and breakfast dans les alentours de Montauban. Vous vous demandez où sont les rugbymen? Attendez, ils arrivent. En fait, ils arrivent en gang. Une demi-équipe complète qui a besoin de logement.
C’est une nouvelle de 55 pages sur word (je ne sais pas comment ça va faire en vrai… je n’ai pas été bêta reader mais j’ai quand même lu la nouvelle il y a quelques mois, avant sa réelle parution) et je vais oser le dire – même si ça tape sur les nerfs d’Angie-chérie – on sent que l’auteur aurait voulu en écrire plus… et j’aurais voulu en lire plus. On sent qu’il y a quelque chose, avec ces personnages. Une vraie histoire, un vrai background. Sauf qu’étant donné le format « nouvelle », le développement des personnages et leur découverte se fait un peu rapidement. Toutefois, étant donné la situation, le développement de l’histoire d’amour – quoique rapide – m’a beaucoup plu. J’y ai retrouvé l’ambiance « camp de vacances » où tout va plus vite, où tout est amplifié. Du coup, j’ai beaucoup aimé.
Mais ce que j’aime le plus à chaque fois? La plume, toujours aussi incisive et vive d’Angéla Morelli. Elle me fait mourir de rire (je me suis étouffée avec mon pepsi, ce qui m’a valu des bulles pétillantes dans le nez pendant 10 minutes… je sais, c’est over-glamour) avec ses scènes qui prennent de plus en plus de corps à chaque roman. Cette nouvelle m’est apparue particulièrement visuelle et j’étais morte de rire à m’imaginer dans la peau de certains personnages qui assistaient à ça. Un peu comme quand je lis du Janet Evanovich. De plus, c’est bourré de références à la fantasy (Neil mon amour), références qui me sont chères, of course (une héroïne qui jure par Tolkien… comment résister) et de jeux de mots pas toujours subtils mais très drôles (je ne verrai plus jamais le déchargement d’un camion de la même manière).
Bref, je suis fan. Comme toujours!
Ma préférée dans le format « nouvelle »!
8 Commentaires
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Voyons, miss, le rugby, ballon ovale, le foot, ballon rond. Voilà ^_^
Sortie du bouquin pile poil pour le début de la coupe du monde de rugby! ^_^
Auteur
C’est fait pour!
Et pour nous, le football, c’est ballon ovale. Du coup, ça vient mêlant!!
Les rugbymen sont très en vogue en ce moment. Comment ça se fait ?!
Auteur
HQN a sorti une collection spéciale rugbymen pour la coupe du monde. Ceci explique probablement cela.
et non Keisha, football américain ballon ovale aussi hihihihi
et j’ai adoré moi aussi ma lecture, je suis quand même allée pleurer auprès d’Angela pour lui dire que c’était trop couuuuuuuuuuuuuurt !!
Auteur
J’ai pleuré aussi ! Gentiment, mais fermement, voilà! Et voilà, les ballons, c’est compliiiiqué!
J’ai hâte d’être à demain soir et de pouvoir lire cette nouvelle. Rien que d’y penser, ma formation de demain assommante ne paraît plus insurmontable.
Auteur
:))) Tu viendras me dire ce que tu en as pensé!