The Vacillations of Poppy Carew – Mary Wesley

the vacillations of poppy carewC’est l’heure de mon Mary Wesley annuel.  Yep, je me limite à un par année parce qu’elle n’a pas écrit taaaant que ça et que je ne veux pas avoir fini de lire cette auteure.  Je sais, je suis bizarre, des fois!  Je dois quand même avouer qu’à date, c’est le roman de l’auteur que j’ai le moins aimé.  Je ne sais pas si c’est parce que je l’ai lu dans un mauvais moment.

 

 

Ok, entendons-nous.  J’ai aimé.  Bien aimé.  Mais je n’ai pas vibré de la même façon que je le fais d’habitude avec les romans de cette auteure.  J’y ai retrouvé le côté vintage, les personnages un peu décalés, j’ai été ravie d’y retrouver Calypso Grant (rencontrée dans La pelouse de camomille, mon préféré).  J’ai aussi apprécié le comique de situation et j’ai passé un bon moment.  Mais si après coup, je me suis retrouvée à y repenser souvent, pendant ma lecture, j’ai parfois trouvé quelques longueurs.  Mais je vous explique quand même de quoi ça parle.

 

C’est donc l’histoire de Poppy Carew.  Nous la rencontrons alors qu’elle vient de se faire laisser par son copain de longue date et, qu’en plus, son père meurt.  Dans une explosion de joie en apprenant que sa fille est finalement débarrassée de cet Edmund qu’il n’était pas capable de sentir. Du coup, miss Poppy, qui n’a jamais vraiment pris une décision de sa vie, se retrouve devant un océan de décisions, et ne sait pas trop comment réagir à tout ça.  Ajoutons à ses problèmes le fait que son père veut des funérailles « amusantes » et qu’il veut absolument engager une firme appelée Furnival Fun Funeral.

 

Ce roman, c’est un peu l’ancêtre de la chick litt selon moi.  Une héroïne un peu paumée, plusieurs gars aussi étranges les uns que les autres, des aventures un peu folles et de l’humour pince-sans-rire.   Par contre, il est surtout question de découverte de soi (sur le tard, mais bon!) et aussi de nostalgie et de filiation (comme souvent chez Mary Wesley).  En effet, ce n’est qu’après le décès de son père qu’elle réalise qu’elle ne le connaissait pas du tout et elle découvre un homme excentrique, que tout le monde aimait, mais qu’elle a laissé passer parce qu’entre lui et son copain, ça ne passait pas du tout.

 

Un roman pour lequel j’ai pris mon temps, pour une raison vraiment weird : j’ai le livre dans une super vieille édition… et j’étais allergique à mon livre.  Séances d’éternuements intense.  Ouais… c’est peut-être pour ça que j’avais hâte qu’il soit fini!

 

Je n’ai pas trouvé de billet qui en parle… qui l’a lu?

8 Commentaires

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  1. C’est marrant je viens de finir mon premier Mary Wesley « sucré salé poivré » et j’ai vraiment apprécié son univers ! Je vais continuer sur ma lancée !

    1. Je te conseille La pelouse de camomille. C’est mon préféré préféré!

  2. J’en ai lu deux ou trois il y a euh longtemps (oui, j’ai cet âge là, pfff) avec plaisir et je comprends ta volonté de ne pas tout lire trop vite (je ferais bien pareil pour Barbara Pym)

    1. Et moi, il faut que je découvre Barbara Pym. Et sérieux, j’aimerais bien que tu relises un Wesley, pour savoir ce que tu en penserais!

  3. Est-il traduit en français, celui-ci ? Ca m’intéresse, j’aime cette auteure aussi !

    1. J’ai bien cherché une traduction, mais je n’en ai pas trouvé. J’étais pourtant certains qu’ils l’étaient tous! (traduits)

  4. Allergique à ton livre ? Je n’y croyais pas quand j’ai lu ça !

    1. Sans blague! J’éternuais sans arrêt. Mais je suis allergique à TOUT alors faut pas chercher…

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