Le résumé de la journée sera fort simple.
Pendant que Fabienne s’activait et courait partout d’un rendez-vous à l’autre… j’ai traînassé d’un air un peu hébété, entre le salon et le balcon. Je pense que j’étais over claquée sans m’en rendre compte.
En fait, vers 15h, j’ai changé la question existentielle du jour – qui était jusque là « comment vais-je m’habiller aujourd’hui » – pour cette autre, beaucoup plus réaliste : « vais-je m’habiller aujourd’hui ». Je vous laisse deviner la réponse.
Bon, ceci dit, j’ai fait un effort hein… j’ai vaguement envisagé de sortir. J’ai fait 2 brassées de lavage, j’ai lavé mes cheveux. Même que j’ai pré-publié 8 billets pour un jour rattraper le retard.
Mon efficacité me fascine moi-même.
Bref, je ne suis sortie qu’à 21h pour aller au Monop’, après que nous ayons réalisé qu’il n’y avait plus de lait pour le petit déjeuner du fils de Fab.
Ma vie est passionnante, je sais!
Il a fallu boire une bouteille de Vouvray mousseux pour au moins se dire qu’on avait fait quelque chose d’utile de notre journée!
Allez, à demain!
2 Commentaires
Et tu as eu de la chance que le Monop soit encore ouvert à 21h ! 🙂 Vive Paris pour ça.
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Oui, c’est ce que je trouve le plus dur e France. L’absence de dépanneurs 24h! J’ai pas l’habitude!