Septembre, déjà! Dernier mois complet avant de revenir au Québec. Aujourd’hui, c’était la rentrée. Les deux enfants de Fabienne changent d’établissement scolaire et le concours « qui sera le plus stressé » est lancé. Je pense que c’est Constance qui gagne. Je la comprends par contre. Pas facile de changer de collège la dernière année!
Fab est en mode « maman rassurante »… alors qu’elle n’en mène pas large. Deux en deux, c’est quelque chose! Ceci dit, ça a très bien été pour Charles, qui est ravi d’être « un grand », qui a sa classe bilangue et pour qui la rentrée s’est très bien passée. Constance, au moment où j’écris ces mots, doit être en classe et déjà la reine de sa promo! Choupette comme elle est!
Nous avons donc mangé au japonais avec Cécile (brochettes pour moi… les sushis et moi, on reste très mauvais amis, à mon grand malheur. Ceci dit, je ne sais pas pourquoi parce que le riz, ça va… j’ai testé!), j’ai fait ma valise, et moi voilà partie sous un magnifique soleil pour la gare de Lyon, d’où je vais prendre un train pour Genève, où je vais passer quelques jours chez Cess. Ok, je ne sais pas encore quand je repars. C’est un peu ma spécialité, l’imprévu! Mais une chose est certain, c’est que je reviens pour jeudi soir au moins. On a des jolies activités prévues vendredi, disons!
Allez… je vais lire un peu. J’ai fini les rois maudits, j’ai commencé un Joyce Carol Oates, pour faire changement. Mon rythme de lecture fait carrément peur!
À ce soir!
Bon!
Arrivée à Genève, chez Cécile, sans me perdre et sans trop faire de niaiseries. C’est quand même bien!
Ceci dit, dans le train, il y avait deux arrêts. Et quelques minutes après le premier, auquel mon voisin est sorti, je veux installer mon sac sur son siège… et je remarque un truc. Un truc blanc. Avec un numéro de téléphone dessus! Le mec m’a laissé sa carte d’affaire et son téléphone. Un peu étonnant, sachant que nous n’avons pas échangé un mot pendant les 3h où nous avons été voisins de siège. Que des regards amusés lors des remarques heu… particulières des voisins d’en arrière. Et sachant aussi qu’il doit avoir… 25 ans maximum! Fort mignon mais un peu jeunot!
Fabienne a comme hypothèse que c’est peut-être une escorte. Moi, j’ai décidé de le prendre du côté flatteur… et me dire qu’il n’a sans doute pas bien estimé mon âge! Et ça aura été le fou rire de la journée.
Cess me retrouve à la gare, où j’ai pu faire trois kilomètres et quart (et payer 2,50) pour aller aux toilettes. Bienvenue en Suisse!
On s’entend tout de suite fort bien (on jase depuis des années mais on se voit pour la première fois. Elle habite dans un grand appartement du quartier des eaux vives, tout près du Lac Léman. Et dans l’appart, son mari et deux petites bestioles de deux et quatre ans, Liam et Solal (oui, comme dans « Belle du Seigneur ». J’ai une nièce que j’appelle Chouquette… c’est prédestiné, je dis!). Deux petits cretons fort mignons… et très coquins! Surtout quand Liam fait les beaux yeux.
On s’installe pour manger, en buvant un super bon rouge (ils ont rapidement compris que j’étais un poids mort dans une cuisine, ils m’ont donné comme tâche de boire) et en discutant différences culturelles et expressions québécoises. Hugo a déjà adopté « je la connais comme si je l’avais tricotée ».
Demain, on va visiter Genève!
Si on réussit à se lever!
À bientôt!
4 Commentaires
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C’est clair que c’était comme si on s’était déjà vues 🙂
J’avais l’impression de te connaitre comme si je t’avais tricotée 🙂
Auteur
En effet! Super particulier comme feeling! C’est que tu tricotes bien, toi!
Quelle chance de vous être rencontrées !
Auteur
Oui, c’était génial!