Le comment du pourquoi
Je file très Hygge ces temps-ci. Je suis sur un trip chandelles, lumière tamisée et cosiness. Ouais, je sais, j’ai une vision assez limitée du truc. Mais bon, mettons que j’ai vraiment embarqué dans le côté « bougie parfumée » de la chose. Genre… intensément. Mais je m’égare.
De quoi ça parle
Clara est une jeune femme danoise qui arrive un jour, toute sa vie sur son dos, dans un petite village anglais en train de mourir. Le restaurant a fermé et il ne reste que le pub et le magasin de jouets de Louisa… qui en a souvent assez et qui a décidé de sacrer son camp vers des cieux plus cléments. Clara va gentiment offrir son aide et poser son sac à dos dans la boutique de jouets… et faire revivre le village malgré elle.
Mon avis
J’avais tellement besoin de ce genre de roman. Je l’ai lu avec installée au coin du feu, près du sapin, avec un café cognac et de la musique de Noël, et j’avais besoin de sweetness. Voire même d’une overdose de sweetness. Ce roman a fait tout à fait ça et je pardonne avec plaisir la finale un peu précipitée et l’excès de bon sentiments. Job done!
Si vous avez besoin d’une histoire très cosy, très confortable, à l’atmosphère chaleureuse, avec un côté « magie du quotidien », ce roman est tout à fait pour vous. Il a cette « vibe » des comédies romantiques de Noël et même si la romance est présente, ce n’est pas que ça. C’est l’histoire d’une jeune femme qui ramène la vie dans un village triste et dans ce magasin un peu laissé à l’abandon. Bien entendu, ça ne va pas se passer comme prévu et le fils workaholic de Louisa va débarquer pour vendre le magasin, prenant Clara pour une opportuniste qui veut profiter de sa mère un peu (beaucoup) excentrique.
C’est plein de rires, d’amitié, de feux de cheminée et de petits plats. Il y a aussi des vitrines magiques, des mots d’enfants et un perroquet qui parle en répliques de films. Oui, c’est convenu et too much, je sais. Mais c’est le roman parfait pour nous faire sourire, malgré certains thèmes plus durs et la réflexion sur les choix que l’on fait, notamment par rapport à la place qu’a le travail dans notre vie.
Ça donne le goût de retourner en Angleterre, de se pelotonner au coin du feu, de boire du vin chaud… et limite de cuisiner! Bref, une chouette romance de Noël.
8 Commentaires
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On s’en fiche un peu en ce moment que ce soit trop ceci ou pas assez cela. Il faut prendre sans hésiter tout ce qui fait du bien.
Auteur
C’est un peu ça. On prend ce qui nous fait du bien.
Un café cognac ? Ca doit être bon, ça !
Auteur
Very!
Je suis en pleine exploration du « hygge » ee ce moment donc ça m’amuserait mais en VF !
Auteur
Il est traduit en plus. Ya plus qu’à!
Oh, je pense que ça me plairait ! Je note (je suis hygge depuis toujours, avant même de savoir que ça existait)
Auteur
Écoute, ça m’a donné envie de CUISINER! moi!!