J’en suis donc au 8e tome des Rougon-Macquart. Après L’Assommoir, qui m’avait laissée étourdie et remplie de malaise, ce roman me semble fade en comparaison. Ici, nul jeu de pouvoir, nulle dénonciation de la pauvreté. Nous avons plutôt affaire à un drame intérieur, celui d’Hélène Grandjean, fille d’Ursule Macquart. Hélène est donc à Paris. …