J’avais déjà entendu – vaguement – parler de l’auteur, mais c’est sa parution chez Alto qui m’a vraiment donné envie. Je ne lis pas souvent en traduction (de l’anglais) mais les leurs, de traductions, me plaisent presque toujours. En plus, la dite traductrice était Dominique Fortier. Ajoutez à ça cette couverture, Vienne, l’après-guerre et la …