C’est bien connu, les P’tites Poules et moi, c’est une grande histoire d’amour. Je suis hyper fan des illustrations colorées, de ces petites bestioles sympathiques, du trait rond et des aventures abracadabrantes qui nous sont racontées. Mais surtout, surtout, c’est bourré de références à la littérature, à la peinture ou à la pop culture. À chaque fois que j’en repère une, je me transforme en petite fille.
Dans ce tome, c’est la panique au poulailler. Il y a de drôles de lueurs dans le ciel et la doyenne du poulailler croit se souvenir avoir vécu ça dans sa folle jeunesse. Ce sont des sorcières qui cherchent l’arbre à balai magique, et dont le regarde transforme les poules en cochon. Elles allaient se cacher et laisser le temps passer mais une étrange cabane maléfique kidnappe Pitikok. Ses enfants ne vont clairement pas laisser passer ça!
Impossible de ne pas reconnaître la maison à pattes de poules de Baba Yaga ainsi que les représentations picturales typiques des sorcières et des boucs. On retrouve aussi une petite réplique de la guerre des boutons au détour d’une page. Toutefois, je dois avouer que j’ai trouvé un peu moins de références que dans les tomes précédents. Ok, je ne les ai peut-être pas toutes vues, j’avoue.
Encore une fois, on a un vrai schéma narratif, les détails des illustrations sont géniaux (ça vaut la peine de prendre le temps de les obsever) et ces poulettes sont tellement cutes et expressives… c’est fou!
Bref, j’aime.
2 Commentaires
Oh, j’adore les p’tites poules !
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Moi aussi! Je ne résiste jamais.