Prix des libraires du Québec… les gagnants!

 

Ce soir, c’était la remise du prix des libraires du Québec, l’un des rares prix littéraires que je suis vraiment.  Bon, ok, cette année, je n’avais presque rien lu de la sélection (seulement 3 en québécois et 2 en international) mais n’empêche que des romans choisis par des libraires, on dirait que ça me parle, comme genre de prix!   Cette année, ma librairie préférée, la librairie Marie-Laura, organisait une webdiffusion en direct pour la révélation des lauréats et j’y ai traîné ma mère.  Of course.

On a été super bien reçus avec un verre de vin et des verrines, et on a ensuite eu droit à des extraits des textes nominés, lus par des acteurs d’ici (Fanny Mallette, Maxim Gaudet – que j’ai vu récemment dans Don Juan revient de guerre – et Vincent-Guillaume Otis), avec David Marin en fond sonore.   J’adore les lectures de textes (forcément hein…) alors j’ai passé une très belle soirée, entourée de romans, en plus.

En étranger, étaient nominés:

 

Et la gagnante… Emily St-John Mandel pour Station Eleven!  J’ai lu, j’ai aimé… mais j’ai quand même préféré « Le garçon », na!

 

En québécois, on avait le choix entre

 

Et le gagnant?  Le roman qui parle de « machine à sous pis de vaisselle sale » de Stéphane Larue : Le plongeur.

Que j’avais aussi beaucoup aimé!

Et merci la librairie pour cette soirée!

On espère remettre le rendez-vous l’an prochain!

8 Commentaires

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  1. Il faut que je lise les deux alors 🙂

    1. Voilà! Excellente idée.

  2. J’ai aimé les deux mais je trouve que Le plongeur a des longueurs…

    1. Il y a des trucs qui reviennent, c’est vrai. Toutefois, je trouvais que ça illustrait super bien la spirale dans laquelle il se trouvait.

  3. « Machine à sous pis de vaisselle sale » : voilà qui m’intrigue….

    1. Yep! C’est l’auteur qui a décrit son roman comme ça hier! C’est un vrai OLNI. A tenter!

  4. Belle soirée ! J’ai entendu parler de Station Eleven, plutôt en positif, et je me laisserais certainement tentée lorsqu’il sortira en poche mais je ne connais aucun des auteurs québecois : il faudra que je m’y mette !

    1. Il y a du très bon en littérature québécoise. J’apprécie de plus en plus l’audace des éditeurs qui osent offrir des trucs qui sortent des sentiers battus.

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