Vous ne le voyez pas tant que ça sur le blog, mais j’ai été assez absente ces dernières semaines. La vie nous a un peu brassés, les plans ont été modifiés et j’avoue que j’avais assez peu le coeur à écrire ou à bloguer. À lire non plus d’ailleurs. J’avais du mal à me concentrer sur d’autres « drames » que ceux de ma famille. Bon, rassurez-vous, ça va beaucoup mieux. Mon bébé-frère d’amour, qu’on a failli perdre à la mi-avril, se rétablit bien, et si la partie « road trip avec mes parents » est annulée, j’ai fini par partir quand même. Un mois plus tard que prévu, mais je suis partie. Me voilà donc en Europe, avec des plans ma foi fort vagues… mais bon espoir que ça va bien aller. Circonstances fort différentes que lors de mon premier différé, en 2016!
Après un départ un peu difficile (ok, j’avoue, j’ai braillé ma vie, je ne voulais plus partir, je me sentais mauvaise soeur, mauvaise fille et j’avais l’impression d’abandonner tout le monde), je suis arrivée à Paris, ma résidence secondaire. Étonnamment, le voyage a bien été, grâce à une jolie rencontre dans le Bagot-Montréal (coucou Mélissa) et au fait que j’ai dormi 6h sur 6 dans l’avion pour Paris. Mais bon, je suis là, bien installée chez Delphine pour une petite semaine. Et finalement, j’en suis bien contente!
Je ne vais pas bloguer tous les jours comme la dernière fois, du moins, je n’ai pas prévu ça… mais quand même, je regrette de n’avoir pas fait mes derniers voyages alors je vais laisser des traces ici… libres à vous de lire ou pas! Je sais, ça peut être redondant! Sorry!
Donc, arrivée à Paris. Bien entendu, j’avais mal lu les textos de Delphine alors je n’avais pas noté le code d’entrée. Et je n’arrivais pas à me connecter sur son réseau de dehors! Mais bon, son voisin était avisé, il a dû voir une drôle de silhouette avec un tas d’ÉNORMES valises devant la porte… et comprendre! Petite remarque à moi-même, toujours noter de quel côté sont les apparts à Paris… Ça évite de texter de devant la porte ensuite, hein, Delphine!
En arrivant, je me suis tout de suite heurtée à « je ne suis pas capable de faire couler l’eau froide » et à » merde, je suis pas capable d’ouvrir la bouilloire » pour ensuite passer à « mais ya pas de toilettes, dans cette salle de bains! » On oublie vite!
Puis, sortie… pour récupérer du réseau. Oui, je sais, on a les priorités qu’on peut! J’ai donc pu jaser avec Madame Morelli, qui m’a accueillie entre ses plantes, son chat… et ses boites!
Angie: Si tu veux être libre du chat, le fauteuil jaune est safe. Il n’y va jamais.
Devinez où était le fameux chat 38 secondes plus tard? Devinez!
Après un très bon souper à La Piscine (resto où on va tout le temps près de chez Delphine), on a fini par discuter jusqu’à pas d’heure (oups, elle bosse demain et j’ai expo)… et je me suis effondrée!
Et je suis déjà trop longue… du coup, autre billet pour la journée d’hier!
2 Commentaires
C’est chouette de te savoir à Paris après une période aussi pleine de turbulences 🙂
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Oui, partir m’a fait du bien, même si les trois premières semaines ont été repos, repos, repos (je sais, ça ne paraît pas… mais pour moi, c’était très calme!) J’en avais besoin.