Marked (Marquée) – P.C. Cast et Kristin Cast

marked.jpgPrésentation de l’éditeur (version française mal foutue par moi-même)

« Entrez dans monde sombre et magique de la Maison de la Nuit, un monde assez semblable au nôtre, sauf que là, les vampires ont toujours existé.  À 16 ans, Zoey Rebird a été Marquée comme future vampire et rejoint la Maison de la Nuit, une école où elle sera entraînée à devenir un vampire adulte.  Ça, c’est si elle survit au Changement – et ce n’est pas tous ceux qui ont été Marqués qui le font.  Difficile de commencer une nouvelle vie, particulièrement quand on est loin de ses amis et pour couronner le tout, Zoey n’est pas une apprentie-vampire ordinaire.  Elle a été désignée comme spéciale par la Déesse vampire Nyx.  Zoey découvre rapidement qu’elle a de grands pouvoirs mais avec les pouvoirs vient le goût du sang.  Pour ajouter à sons stress, elle n’est pas la seule élève à avoir des pouvoirs spéciaux: quand elle découvre que la chef du groupe des Filles de la Nuit, le groupe le plus élitiste de l’école, utilise à mauvais escient ses dons, Zoey doit trouver le courage d’affronter sa destinée. »


Commentaire

Juste en lisant la présentation ci-dessus, on sait rapidement que la trame ne sera pas nouvelle.  Une jeune fille qui doit changer de milieu, apprivoiser une nouvelle école un peu magique où on lui apprendra à devenir la créature spéciale qu’elle est au fond d’elle-même.  Des vampires.  Une particularité (sa Marque, un signe en croissant de lune, sur son front est particulière) qui en fait tout de suite une personne connue dans sa nouvelle école.   Des grands pouvoirs et une grande destinée.  Des bons copains un peu stéréotypés. Et, ah oui, une capacité à attirer sans aucun effort le top-beau-mec-que-tout-le-monde-veut-dans-l’école. 


Oui, il y a tout ça.  Pourtant, au moment où je l’ai lu, il a fonctionné pour moi, même si je voyais parfaitement où tout ça s’en allait et si je pourrais jouer au jeu des prédictions pour les volumes suivants de façon probablement assez efficace!  J’avais besoin d’un livre qui ne me demandait pas de réflexion soutenue; il a tenu sa promesse!!


Ce tome est évidemment le premier d’une série.  Et ça se voit en ce sens qu’on met les personnages et le monde en place, qu’on voit Zoey apprivoiser toute cette nouveauté mais que l’aventure finale se déroule en bien peu de pages, en fait.  Mais qu’importe tout ça, j’ai aimé ça!  Et je l’ai lu en une soirée, je pense. 


Zoey était une jeune fille de 16 ans bien ordinaire avant d’être Marquée.  Elle n’a pas la langue dans sa poche mais comme plusieurs ados, tout ce qu’elle veut, c’est s’intégrer à son milieu.  Elle veut avoir des amis… she wants to « fit in », quoi!  Bon, elle a un côté « bonne personne » qui peut parfois agacer mais en gros, elle est capable de se défendre et n’est pas complètement « trooop sensible » et complètement vulnérable.  Ouf!  Son beau-père est important dans le « Peuple de la Foi » (je ne suis pas certaine que ça a été traduit de cette façon… « People of Faith » en anglais… je ne pense pas que ça existe pour vrai) une communauté religieuse stricte qui, au nom de la Foi, de la Religion et de la Droiture, amène ses membres les plus fanatiques à se conduire en imbéciles.  Et j’assume mon opinion, ici… même si elle n’engage que moi.   J’aurais vraiment eu le goût de les secouer, ces parents!!!  Du coup, Zoey n’est pas si déçue d’avoir à ne plus habiter chez eux.   


La trame de l’histoire n’est pas tant centrée sur « Zoey va-t-elle conquérir le plus beau mec de l’école », comme je le craignais, mais plutôt sur la mise en place de ce monde où plusieurs artistes célèbres sont vampires et sur cette école qui aurait pu gagner en mystère et en magie, selon moi.  On sent qu’il se prépare quelque chose, on apprend à connaître les personnages et on vit avec Zoey la découverte de ses pouvoirs (qu’elle contrôle ma foi très facilement). 


À lire le livre, on a vraiment l’impression d’écouter parler une ado, avec ses expressions, ses opinions tranchées et sans compromis.  Je précise par contre que j’aurais été absolument INCAPABLE de le lire en traduction.  J’en ai lu des extraits et pour la Québécoise que je suis c’est assez indigeste en termes d’expressions!!!  Mais ça, c’est moi, c’est dû à mon emplacement géographique… et je suis un peu ado avec mes opinions assez tranchées moi aussi!!


Malheureusement, le problème, c’est que je veux lire la suite maintenant!  Il y a des idées que j’aime bien dans le livre (la conception des vampires, le Peuple de la Foi, ce qui advient quand on ne survit pas au Changement)… et je me suis prise d’affection pour les chats du roman.  Moi.  Je sais, no comment. 


Un gros merci à Pimpi pour me l’avoir offert pour le Bloody Swap et c’était une lecture commune (normalement pour le 30 mars, avec plusieurs filles du forum de Livraddict mais je ne peux pas vous donner les liens juste là parce que je ne suis pas capable d’y accéder.  Et bien entendu, je ne vais y repenser que quand le billet sera publié.  Donc, je les ajouterai à ce moment-là!!!


Edit: Voilà, j’en ai trouvé sur le blog de Deliregirl : Anneso, Deliregirl, Evy, MariiineMallou, Mystix, Azariel87, Kika, Radicale.  S’il y en a d’autres, j’ajouterai que j’aurai accès!  Ou si vous signalez.

 

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Ya des jours, comme ça…

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Quand on commence sa journée complètement traumatisée parce qu’on a rêvé qu’un troupeau d’écureuils bleu Tardis attaquaient vicieusement et sauvagement notre voiture de façon très organisée, avec une attaque en cercle et un commandant (with sifflet et casquette) et qu’ensuite, le même troupeau d’écureuils (toujours bleus), nous attaquait en justice pour voies de fait parce que bon, entre une voiture et un écureuil, même en troupeau et même bleu, normalement, c’est la voiture qui gagne, disons que ça promet pour la journée.  J’ai donc ouvert les yeux très soulagée parce que non, en fait, aucune bestiole à poils (bleus) et à queue protubérante (et pas mince) n’avait tenté de convaincre un juge très sérieux, à grand coups de skwiks skwiks expressifs et de gestes dignes des bestioles de Walt Disney que j’étais une grosse méchante fille et que la preuve était qu’ils avaient trouvé des échantillons de poils (bleus) dans des recoins de ma voiture (bleue flash aussi… et non, je ne l’ai pas prise bleue à cause de la couleur d Tardis, quoi que vous puissiez en penser).  


J’ai donc ébauché un sourire en me disant que bon, ça ne pouvait pas être pire.  Et c’est alors que j’ai mis le pied par terre. Plus précisément, dans l’assiette qui contenait les restants de pizza d’hier soir que j’avais eu la génialissime idée de manger dans mon lit avant de me coucher.  Je peux vous affirmer maintenant par expérience que j’ai des défenses tactiles aux pieds et que bon, la texture « fromage-fondu-froid-mêlé-avec-sauce-tomate-et-champignons », c’est pas ma préférée.  Surtout pas le matin en me levant. 


Mais bon, ça n’allait quand même pas trop mal, j’étais genre, à l’heure au travail, je n’ai pas défoncé ma poubelle avec ma voiture, même si elle était traitreusement placée en plein derrière l’abri tempo (le premier qui me dit qu’il est plus que temps que je le défasse, je vous dis d’avance qu’il risque d’y être encore en juillet.  Et mes skis seront encore probablement dans ma voiture… mais passons…).   J’avoue que quand j’ai réalisé en arrivant au boulot que ma tasse thermos, dans laquelle il y avait mon thé, était probablement restée sur le toit de la voiture, là où je l’avais placée pour entrer le paquet de sacs dans ma voiture, je me suis dit que peut-être que ce n’était pas gagné… mais je suis positive, moi!!!    Et j’ai une stagiaire à l’hop.  Il faut que j’aie l’air à peu près respectable. 


Et pour ça, il ne faut pas que je lui mentionne que sur l’heure du dîner, je suis arrêtée à l’épicerie m’acheter des sushis et un parfait au yogourt… et que je me suis assise dessus, m’écrasant lourdement derrière mon volant en oubliant que j’y avais déposé mes sacs.  Si le sushis ont à peu près survécu (bon, ils étaient du genre plats… mais ça goûte bon pareil), le parfait a quant à lui subi un processus d’écrapoutissement qui a mené à l’ouverture dynamique du contenant de plastique, éparpillant joyeusement yogourt, céréales et fruits rouges sur le siège, sous le siège, dans les replis du bras de vitesse, dans les porte-verre et sur le siège du passager.  Non, je ne lui ai pas précisé que j’avais mon dessert dans le …   littéralement!   Et dans ce temps-là, je bénis la mode des mini-robes par-dessus les jeans.  Et je bénis aussi le fait que sous une veste courte je la remonte généralement pour ne pas avoir l’air d’un gâteau étagé avec plein de doubles…  Ma voiture est juste due pour un bon lavage et vite à part de ça!!!


Bon, passons sur le fait que j’aie fait revoler un bouchon de crayon à travers la pièce,en plein plan d’intervention, sous le regard ébahi et en évitant de justesse les têtes des 10 personnes qui y assistaient (dont la stagiaire).  La morale de l’histoire, ne jamais jouer avec un crayon en s’imaginant qu’à l’adolescence, on a raté sa carrière de super bitch cheerleader championne du maniement de bâtons (de toutes sortes) et de qui tous les gars s’arrachent les faveurs… dont les plus cute, bien entendu!!!   Je sais, je lis un roman pour ados.  No comments.


Mais ça, c’était des hors d’oeuvre.  Je le jure.  La palme de la connerie, je l’ai faite ce soir.  Voyez-vous j’ai eu la brillante idée de jouer à downloader des sonneries pour mon cell.   Et pour faire ma drôle, j’ai choisi une sonnerie qui a l’air d’une sonnette de maison, un ding dong.  Bref, j’ai fait ça hier et je dois être plutôt attentive pour ne pas oublier de répondre, vu que je ne reconnais jamais la sonnerie.  Bref, j’aime ça me donner du trouble. 


J’étais donc bien installée dans mon bain moussant, avec un livre et un thé quand j’entenda mon téléphone sonner.  Très heureuse d’avoir allumé que c’était mon téléphone, je sors du bain à toute vitesse, risquant ma peau sur la céramique et le plancher de bois franc, pour partir à la recherche du téléphone.  Je suis complètement accro, je ne peux pas résister à une sonnerie.  J’ai beau dire que je ne réponds pas, on dirait que la Force me pousse à peser sur le mautadit bouton!!!


Et je suis là, dans le salon, en train de fouiner dans mon sac à main à la recherche du téléphone, quand soudain, un courant d’air inattendu me fait réaliser qu’en fait, ce n’était pas le téléphone. 


*Soupir*


Je pense que cette communauté n’essaiera plus jamais de me convertir.  Jamais.  Et qu’ils vont y penser à deux fois avant d’ouvrir la porte d’une maison avant que le propriétaire l’ait fait lui-même.  Parce que là, c’était genre … « enjoy ».  Involontairement, bien entendu. 


Et moi, je vais barrer ma porte quand je prends mon bain.


*Re-soupir*


Mais bon, faut voir le côté positif des choses.  J’aurais pu avoir la plus-que-géniale idée de faire dégeler un boutelle de 7up (oubliée dans la voiture) dans le micro-ondres pour gagner du temps. Au bureau. 


Ah non, c’est vrai.  Ça, c’était hier. 


*Re-re-soupir*
Je pense que je mérite une dose de Docteur.  Avec une boîte – complète – de biscuits feuille d’érable.  J’ai une rage soudaine de biscuits feuille d’érable. Avec une telle semaine, ça compte pas, hein!!

Perfect Chemistry – Simone Elkeles

perfect-chemistry.jpgPrésentation de l’éditeur (librement « traduite » et adaptée par moi-même)
« À l’école secondaire Fairfield, en banlieue de Chicago, tout le monde sait que les habitants du nord et les habitants du sud ne sont pas des éléments compatibles.  Alors quand la cheerleader en chef, Brittany Ellis et le membre d’un gang de rue Alex Fuentes sont forcés d’être partenaires de laboratoire en chimie, les résultats ne peuvent qu’être explosifs.   Mais aucun des deux adolescents n’est préparé pour la plus surprenante des réactions chimiques – l’amour.  Peuvent-ils combattre les stéréotypes qui menacent de les séparer? »

Commentaire
Le roman s’ouvre presque au son de « Summer lovin' » de Grease.  Et voilà, le ton est donné.  The bad boy.  The good girl.  Deux cercles différent.  Et l’amour, bien entendu!

Bon, ici, pas de balades main dans la main sur une plage l’été précédent.  Et l’héroïne ne vient pas d’Australie… elle n’est pas nouvelle non plus.  Et ça ne finit pas dans une fête foraine avec une voiture qui s’envole.  Mais quand même, Alex Fuentes, le bad boy pas si bad que ça dont il est question ici, is way, way, way much hotter than John Travolta!!!  (Je sens que mon correcteur de phrases mal-fichues en anglais, que je ne nommerai pas, va me dire que celle-ci fait dur… mais bon, je m’en fiche!  Je l’aime ma phrase mal foutue!)

Ce livre était exactement ce dont j’avais besoin à ce moment précis.  Une bonne dose de romance et un bad boy.  Ce qu’il y a de bien avec les bad boys adolescents, c’est qu’il y a quand même de l’espoir.  Un jeune membre de gang de rue à quand même plus de chances de se sortir de ce milieu à 18-19 ans qu’à 35 ans.  Donc, ça fait quand même rêver, non?  Moi, si, en tout cas!  Et celui-ci est pas mal hot… pour une petite jeunesse!

Brittany est donc la fille parfaite.  Bonnes notes, beauté parfaite, jamais une mèche de cheveux déplacée, le maquillage parfait, le body parfait, chef des cheerleaders, ses parents sont très très riches et elle fréquente le capitaine de l’équipe de football, rien de moins.  Ça, c’est la façade.  L’image que Brittany est prête à tout faire pour conserver.  Parce que bon, une fois chez elle, c’est quand même beaucoup moins drôle. 

Alex a vu son père mourir quand il avait 6 ans.  Il est devenu membre d’un gang de rue, les Latino Blood, pour protéger sa famille et en a vu d’autres.  Bien qu’intelligent, il est résigné à ce qu’il croit être son destin – la drogue, les armes, les gangs – et n’éprouve que mépris pour Brittany et ses amis, qui ne se préoccupent que d’eux-mêmes, croit-il.  Côté façade, il est quand même assez expert aussi.  Sauf que c’est l’image du gros méchant membre d’un gang de rue au-dessus de tout qu’il cultive.  Ah oui!  Il y a aussi le fait qu’il a parié avec ses copains qu’il se tapperait Brittany avant Thanksgiving.  Rien de moins. 

Mais bon, ils vont se rencontrer.  Et si l’étincelle jaillit sans que ni l’un ni l’autre ne veuille l’admettre, ils ne tombent pas immédiatement fou amoureux et commencent plutôt par se lancer insulte sur insulte qu’ils croient sincères.  Les deux se déchirent et sont confrontés à ce qu’ils sont vraiment, ainsi qu’à l’image qu’ils veulent projeter… et ce n’est pas nécessairement compatible.  Une rencontre de deux mondes qui ne sera pas toujours facile. 

L’histoire est racontée alternativement pas Brittany et Alex.  Leurs voix sont très différentes et ma foi assez crédibles.  On suit leurs sentiments à tous deux, au fur et à mesure . J’ai bien ressenti l’ambiguité de l’adolescence, ces sentiments contradictoires qu’on n’ose pas s’avouer.  Les hormones adolescentes, aussi.   Parce que bon, ils se veulent.  C’est clair.  Et la tension est très présente tout au long du roman mais ça reste très accessible aux ados.  Les choses sont dites, sont constamment ressenties, mais pas non plus de manière trop crue qui pourrait gacher l’ambiance romantique.  Mais ce qui est bien c’est que ça ne se limite pas à ça.  On voit aussi l’univers des gangs de rue (du moins, en partie) et le quotidien de ces jeunes qui n’ont pas vraiment eu le choix et qui en sont prisonniers.    Pour ma part, j’aurais aimé en voir encore plus à ce sujet, aller plus loin.  Voir davantage Alex dans son rôle de bad boy, de petit dur à cuire. 

Les sentiments, les perceptions évoluent graduellement et même si les deux changent au cours du roman, ce n’est pas du tout au tout.  Et surtout pas instantannément.  Ils réalisent des choses, décident d’agir, à la fois l’un pour l’autre mais aussi pour eux-mêmes.   Même si on a parfois le goût de les taper!  Brittany surtout.  Et j’ai beaucoup aimé Paco, le meilleur ami d’Alex, qui m’a rappelé celui de Will Hunting dansn le film qui porte son nom. 

Bon, on n’échappe pas aux clichés et aux stéréotypes, bien entendu.  Personnellement, je n’en peux plus d’entendre parler de « cadeau » quand il s’agit de la virginité d’une fille ou du fait qu’elle se montre nue.  J’aurais aimé plus de drame, vu qu’ils étaient déjà bien partis en ce sens.  Et selon moi, l’épilogue est de trop. 

Ah oui.  J’ai dit que Alex Fuentes était quand même sooooo hot??? 😉
Je sens que j’ai besoin d’aller voir un soooo hot bad boy latino guy de mon âge moi!!!  Raaaaaanger, wait for me!!! 😉

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Cinq petits chiens coquins – Faustina Fiore/Debbie Tarbett

petits-chiens-coquins.jpgCes livres pour mon travail…

Présentation de l’éditeur
« Maman chien emmène ses cinq chiots pique-niquer au parc… Mais voici qu’ils disparaissent l’un après l’autre!  À quelles bêtises vont-ils donc se livrer? »

Commentaire
Ce très joli album cartonné nous a charmées ma collègue et moi-même.   Il est constitué de 7 doubles pages qui expliquent chacune la disparition d’un petit chien.  Il y a une ou deux phrases simples (et qui riment souvent) sur chaque page et la façon dont le texte est structuré  et rythmé permet à l’enfant d’anticiper la suite.  Et, ô plaisir suprême, il y a des petits chiens tout doux!  Ils sont 5 au départ mais l’un d’entre eux disparaît à chaque fois qu’on tourne une page, généralement pour faire un mauvais coup.  C’est dont très significatif pour les enfants, qui peuvent les toucher à chaque fois et bien comprendre qu’il y en a vraiment un de moins.

Les images sont très jolies, significatives pour les petits mais toutes douces et simples à la fois.  On y voit plusieurs actions simples et le vocabulaire utilisé est bien adapté pour les petits.  Pour apprendre à compter, travailler la valeur du nombre et la notion « moins », c’est très utile.  Et la petite devinette finale, qui implique de réliser une inférence à partir de l’image (quel petit chien a fait quelle bêtise) est très bien faite et permet de stimuler le rappel du récit qui vient de leur être raconté.  Très utile pour amorcer les ordinaux, également. 

Un album que j’aime beaucoup!  C’est juste un peu difficile d’empêcher les enfants de tenter d’arracher les petits toutous tout doux!!!  Ils sont trop mignons!

The woman in white (La dame en blanc) – Wilkie Collins

Où je démontre encore une fois que les bloggueuses sont merveilleuses!

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Vous ne le saviez peut-être pas, mais avec les copines bloggueuses, c’est notre fête plus souvent qu’à notre tour!!!  Et ayant récupéré mon appareil photo, je peux enfin vous présenter les surprises que j’ai eues ces dernières semaines… comme ça!!!  Ces enveloppes et colis, gros et petits, font tellement plaisir!!!  It makes my day… everytime!  Thanks girls!!!

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Tout d’abord, Celsmoon aux mains de fée, grande déesse des SLATS et pochettes, m’a fait parvenir cette super-pochette très Kitty, pour mon plus grand bonheur!!!  Et surtout que j’utilise quotidiennement!!  Et voici l’intérieur!  J’adore!!!

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Super, non??  Un super gros merci Celsmoon, elle est géniale, cette pochette!!  Très personnalisée, on sent qu’elle est exprès pour moi!!! 


C’est ensuite Caro[line] qui a décidé de souligner mon anniversaire à sa façon!!!  Un colis suprise, qui m’a fait supplier ma mère d’aller le cueillir pour moi à la poste, à grand renfort d’une lettre de recommandation, de mon permis de conduire et du sien.  C’est sérieux, les colis des copines!!! 

Images-7-5989.JPGC’est qu’elle y est allée fort, miss Caro!! ;))  Et ça, c’est rien!  Attendez de voir ce qu’il contient!

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Je sais, je fais languir… mais j’adore voir les tas de petits paquets emballés!!!  Je me sens toute petite fille dans ce temps-là!!!

Images-7-5991.JPGC’est fou hein!!!  Quel cadeau d’anniversaire!  Ca ne me dérange presque plus de prendre un an, du coup!!! ;))  Presque!!!

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Des livres, donc!!! 
Les derniers jours de Stefan Zweig, parce qu’il était introuvable ici parce que pas sorti, parce que je le voulais là, tout de suite, maintenant… et qu’elle est trop gentille!!!!!  Mais vous allez devoir attendre avril pour mon avis… c’est ma lecture d’avril pour le challenge!! ;))
– Deux Harlequin, un collection Nocturne et un autre de l’auteure de mon Harlequin préféré!  Elle pense à tout, n’est-ce pas!!!!  Je ne me tanne pas de lire des Harlequin!  On a pas besoin de cerveau pour lire des Harlequin!!!  La classe!!!

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Des « ustensiles de cuisine ».  Oui oui, elle avait écrit ça sur le colis.  Et maman, qui est allée le chercher, riait toute seule en voyant ça… parce que bon, elle sait comment je suis top-top-top en cuisine!  En fait, elle croyait que Caro voulait venir chez moi et m’envoyait des trucs pour ne pas mourir de faim!  Elle la trouvait bien prévoyante!!  Mais quand elle a vu les trucs « Paris », elle était plutôt jalouse, en fait!  Je suis teeeeellement tombée en amour avec cette ville – et en amitié avec quelques une de ses habitantes – que j’y retourne cet été pour la 3e fois en 3 ans!  Faut le faire!!!

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Et là, quand même, quelle abnégation… Caro m’envoie une petite boîte pour mes photos du Docteur!  Quand on sait ce qu’elle en pense, c’est vraiment d’une grandeur d’âme extrême, vous pouvez me croire!!  Sauf que là, je ris toute seule… parce que depuis… imaginez-vous qu’elle est passée au travers de la saison 1 en moins d’une semaine!!!  Gnak gnak!!! 

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Et regardez-moi toutes ces gourmandises?!?!  Mais comment Caro[line] a-t-elle fait que je faisais presque une fixation sur les amandes???  J’adoooore tout ce qui est aux amandes et pour le coup j’ai été gâtée!!!  4 tablettes de chocolat noirs avec des amandes sous plein de formes différentes, deux barres, toujours aux amandes, des fraises Tagada (je vous jure, je ne m’en lasserai jamais!!!) et des jelly beans!!

Quand on déteste faire l’épicerie, c’est teeeeeeellement merveilleux d’avoir un petit truc à se mettre sous la dent quand on ne veut pas sortir!  Surtout quand c’est aussi bon!!  Parce que tout ça n’est plus qu’un bon souvenir!!! ;)))

Donc un gros, gros, gros merci Caro!!!  Je trouverai bien le moyen de me venger de ce super colis de fête!!! ;)))



Et la l’avant-dernière surprise-bonheur de ce billet…  L’enveloppe de Yueyin!!!  Arrivée juste pour mon anniversaire, en plus!!! Le timing parfait!!!  (Je sais, j’abuse des points d’exclamation.  Mais je ne suis pas romancière, pas payée pour bien écrire alors je fais ce que je veux!  Na!)

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Yue a donc décidé de combler mon inculture en m’offrant un beau volume contenant 4 romans du Juge Ti, de Robert Van Gulik, à qui elle a consacré pluuuuusieurs billets… et qu’elle a fini par me convaincre de lire!!  Comme elle sait que je suis volage, elle a sans doute décidé de combler ce manque par un moyen sûr… me l’offrir!  Et je suis suuuuper contente bien entendu!!!  Je compte bien m’y mettre très bientôt!!  C’est toujours spécial, de lire des livres reçus en cadeau!!

Il y avait aussi une tablette de chocolat aux pistaches (miam!), deux photos très orientales en guise de carte… et le Docteur, bien entendu!!!  En train de me sonic-screwdriver, en plus de ça!!! ;)))  *soupir*

Merci Yueyin!!!  Ca m’a vraiment fait très, très plaisir! ;))  Bisous!



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Et parce que les bloggueuses sont vraiment gentilles, voici le cadeau d’anniversaire reçu d’Hydromiel!  J’adooore le chocolat Fleur de Sel (je suis fan des mélanges sucré-salé) et je suis bien curieuse de connaître les polars de James Patterson, que je n’ai jamais lu!  Ça semble complètement machiavélique!!

Et Hydro, ton colis est arrivé dans un moment où j’avais bien besoin de réconfort alors vraiment, le timing était parfait!  Merci beaucoup!

Elles sont pas merveilleuses, les bloggueuses??

La main verte – Hervé Bourhis

main-verte.jpgPrésentation de l’éditeur
« Comment rallier Bordeaux-Tours dans un monde sans voiture ?
La main verte est un road movie moderne dans une France frappée par une crise énergétique sans précédent.
Hervé Bourhis s’interroge sur l’avenir et sur notre capacité à s’adapter en toute circonstance.

Ce n’est peut-être pas de la science-fiction. Crise économique aidant, qui sait si nous n’allons pas devoir revoir entièrement notre façon de vivre, appliquer des principes de décroissances, consommer moins et mieux, planter des légumes. L’auteur se projette dans cette situation probable, et nous suivons avec délectation ses terribles péripéties. »

Commentaire
Il a fallu que je lise deux fois cette BD pour l’apprécier.  Pourquoi je l’ai lue deux fois?  Parce que je ne me souvenais absolument plus de ma première lecture et que bon, je m’étais mis en tête de faire un billet.  Ça peut quand même donner une idée de ma première impression!  Mais à le relire plus tranquillement, avec l’esprit un peu plus disponible (j’avais un peu perdu le contrôle de ma vie, ces dernières semaines!), j’ai davantage apprécié.  Ya surtout le fait que maintenant, je me souviens de quoi ça parle… et que je peux en dire davantage que « c’est l’histoire d’un gars qui fait du vélo et qui veut des tomates ». 

Je devrais parler de la BD et je réalise que je vais parler uniquement de moi – certains vont dire « pour changer », je sais.  La cause écologique, j’essaie de faire mon possible, quotidiennement.  Je lis là-dessus dans la vie quotidienne, je me tiens informée.  Mais j’aime plus ou moins en entendre parler dans la fiction.  Échaudée par une personne de mon entourage qui exagère et qui ne parle que de ça (sa dernière en date: une scène de « je te fais la morale » parce que je me lave les mains trop longtemps sous l’eau – alors que je la ferme déjà pour savonner.  Durée: au moins 10 minutes de culpabilisation) de façon moralisatrice et culpabilisante, je vois de cette attitude dès qu’on parle du sujet de manière autre qu’informative, ce qui est très biaisé de ma part ,vu que souvent, ce n’est pas du tout le cas. 

Et ce n’est pas le cas, dans cette BD.  Oui, on nous passe un message écologiste, mais surtout un message sur les capacités d’adaptation de l’humain confronté à une situation qu’il ne contrôle pas et qui n’est peut-être pas si fantaisiste que ça.  En effet, dans ce livre, l’essence vient à manquer et tout se complique.  C’est que nous sommes drôlement dépendants de ce truc!  Du coup, l’approvisionnement est difficile, les distances deviennent infranchissables et l’humanité doit se réorganiser autrement. 

Le héros de cette histoire n’a rien d’un héros.  Dessinateur de BDs d’auteur, son métier est passé date et il doit se recycler dans autre chose.  Une autre chose à laquelle il ne connaît absolument rien, bien entendu.  C’est donc vélo-taxi qu’il deviendra, lui qui n’avait poussé que des crayons avant.  Lorsque le potager que son épouse tente de faire pousser se révèle un échec et qu’il trouve un gallon d’essence chez une riche cliente qui lui proposait un travail à disons… plusieurs facettes, il décide de ravaler son orgueil et de traverser la France avec son garçon pour aller voir son père.  Quel est le rapport avec l’orgueil, vous dites?  Ben c’est que le dit père est un maniaque de jardinage.  Et que ça n’a jamais, jamais intéressé son fils, qui trouvait ça assez inutile comme passe-temps. On l’aime bien, ce type un peu mou… mais pour moi, ça a été ça.  Pas plus.  Le petit garçon, par contre, m’a fait sourire à  plusieurs reprises.

Les voilà donc partis pour plusieurs, plusieurs kilomètres où ils rencontreront des personnages assez bizarres, qui se sont adaptés à leur manière.  Bon, je n’ai pas pu tout saisir d’une certaine partie, ne connaissant pas grand chose au Sarkozysme (à part que le monsieur est petit et qu’il est marié à Carla Bruni… et qu’il a du mal avec les expressions québécoises) mais j’ai bien apprécié lors de ma seconde lecture. 

En fait, je ne crois pas que cette BD restera marquée pour moi, pas parce qu’elle n’est pas bien et pleine d’humour malgré tout (les jeux m’ont fait mourir de rire… surtout celui des feuilles!), mais plutôt parce que le côté « ordinaire » de la quête, qui devient extraordinaire étant donné les circonstances, m’a moins rejointe.  Ce n’est pas non plus mon style de dessin préféré.  Encore une fois, opinion toute personnelle.  Bien, donc.. .mais pas marquant pour la lectrice que je suis. 

Je vous renvoie chez Tamara, qui, elle, a davantage apprécié, ainsi que chez Lily.  Et non, je ne prends pas l’habitude de mettre des liens (je sais, c’est mal… mais si je me mets une obligation de plus, les billets vont définitivement s’espacer!)… mais là, yen a que deux dans mon Google Reader… je peux gérer!!!

Merci donc à Véronique des éditions Futuropolis pour m’avoir fait parvenir cette BD!

Pour de la magie en boîte… le swap Harry Potter!

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Quand Bladelor a proposé ce thème, je ne pouvais absolument pas passer à côté!  J’ai lu Harry il y a un moment, j’ai eu des conversasions paaaaassionnantes et philosophiques avec certaines bloggueuses mais surtout, c’est un univers magique, un peu inquiétant, mais surtout passionnant, enveloppant. 

Je me suis amusée comme une petite folle à concocter mon colis et j’ai été moi aussi bien gâtée par ma binômette Maribel, qui m’a préparé un colis plein de petites attentions qui m’a ravie! 

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À l’ouverture de la boîte, de beaux paquets en vert, blanc et rose, remplis de petites étoiles qui tombaient à mesure du déballage!  Et à l’intérieur, j’ai trouvé:

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Des livres, d’abord!
– The Alchemyst – The secret of the immortal Nicholas Flamel – Michael Scott
Un livre que j’avais noté depuis un moment!  Maribel a donc vraiment visé juste en le choisissant, je suis positivement ravie de son choix!
– The secret of Platform 13 – Eva Ibbotson
Écrit avant Harry Potter, il y est question d’un passage dans la gare de King’s Cross.  En plus, Maribel l’a lu et aimé!!!  Super!

Côté objets:
– Une magnifique petite boîte faite maison avec un hibou tenant une lettre.  Et sous la petite boîte, une incription Severus + Lilly, parce que bon, Snape est mon personnage préféré de la série, je pense!!  Je n’en reviens pas du talent des gens qui peuvent faire ça!!!  C’est vraiment joli!!!
– Un marque-page fait chez Stephanie Fizer avec des livres dessus!  Super joli, je l’adore!!!

– Une tablette de chocolat au thé earl grey, que j’aime beaucoup et qui goûte vraiment le thé!
– Un sachet de thé chaï (j’adoooore le chaï) de chez Yogi Tea, une maison de thé que j’aime beaucoup!

Une bien jolie photo avec une citation et un gentil mot, dans une enveloppe cachetée à la cire (j’adore, j’adore!  Ca fait tout un cachet, non!)

Alors un gros merci à Maribel pour son colis, tout plein de finesse et en plein dans mes goûts!  On voit qu’elle a vraiment tenu compte de mes goûts et de mes réponses!!!  Je suis vraiment contente!!!

Et merci à Bladelor pour l’organisation!  D’ailleurs, les colis des autres participants ici!!!

Tu dors, Miffy? – Dick Bruna

tu-dors-miffy.jpgCes livres pour mon travail…

Présentation de l’éditeur

« Tu dors, Miffy ?

Mais non !

Un système de « Coucou-caché » autour du thème du quotidien : Miffy dort, Miffy s’habille, Miffy mange, etc. »


Commentaire

Voici un petit livre tout simple pour les petits petits!!  En gros carton solide, il comporte quatre images avec rabat qui illustrent les moments quotidiens d’un petit enfant: dormir, manger, s’habiller, se laver.  C’est très significatif pour les enfants car ce sont pour eux des situations connues.   Le dessin est très épuré et parfait pour ce niveau d’âge; pas trop de détails qui pourraient attirer l’attention sur des éléments moins essentiels.  Miffy est un petit lapin très mignon avec des oreilles bien évidentes (je sais, ça a l’air étrange de dire ça mais ces temps-ci, je vois partout des lapins avec des oreilles pliées ou tombantes dans les livres… c’est bien pour la généralisation mais pour un petit en bas de 2 ans ou des enfants en difficulté, c’est soudain beaucoup moins évident de savoir que c’est un lapin!)

 

Il y a plusieurs verbes d’action simples dans le livre et chaque page double montre deux étapes d’une même action (il dort/il est réveillé – il a un gâteau devant lui/il a fini, il est habillé/il est déshabillé).  C’est donc très bien pour amorcer la notion de séquence ainsi que pour faire chercher à l’enfant  » que va-t-il arriver après ».  Bon, il faut modifier un peu la phrase pour ce faire mais c’est un détail, n’est-ce pas!  Les enfants aiment bien vérifier leur réponse en tournant le rabat. Très mignon comme petit livre!

 

Merci aux éditions Tourbillon pour cet envoi!

 

challenge albums

Le Poulpe – Même pas Malte – Maïté Bernard

poulpe.jpg Présentation de l’éditeur

« Il ne manquait plus que ça !


Brigid !


Brigid Waterford. La rousse aux yeux verts que Gabriel avait rencontrée dans Le vrai con maltais. Ou plutôt, devant le vase neuf ans plus tard, devant lui. Ou plutôt, devant le vase Au Phare d’Alexandrie. Une merveille inestimable de l’art afghan. Tellement inestimable qu’il est invendable. Dans ce cas, pourquoi Brigid l’a-t-elle retrouvé entre les jambes d’une magnifique morte ?

La belle rousse a quelques réponses, beaucoup de questions et surtout le goût de l’aventure. Elle rêve d’un coup juteux qui lui assurerait une vie confortable sur l’Ile de Malte, jusqu’à la fin de ses jours. Alors, pour ses beaux yeux, ses taches de rousseur, sa peau et ses rondeurs, de Cadaques à Séville en passant par le 16e, et Londres, Gabriel va se mettre à l’anglais, à l’espagnol, à la poésie, au boléro, au flamenco et pire encore… à la chanson française !… »

Commentaire

Je ne connaissais pas du tout Gabriel dit Le Poulpe.  En fait, il est le héros de pas moins de 264 aventures.  Je croyais à une erreur quand je voyais le chiffre sur les blogs mais non!  C’est bien ça!  264 aventures pour cet homme, pas policier ni rien… mais qui aime fouiner un peu partout à partir de faits divers et qui, j’imagine, se retrouve toujours dans des situations pas nécessairement agréables, impliquant de se faire taper dessus!!  Je dis « j’imagine » parce que bon, je n’ai pas lu les précédentes!!!  Et fait remarquable, ces histoires ont été écrites par plusieurs auteurs différents, qui suivent un schéma établi pour raconter leur histoire.

Celle-ci est l’oeuvre de Maïté Bernard, qui m’a gentiment fait parvenir son roman, dédicacé en plus!  Et si j’avais un mot pour décrire ce livre, c’est « très sympathique »!  Bon, je sais, ça fait deux mots mais vous comprenez l’idée générale!!  Ce n’est pas un roman qui fait frémir, qui nous coupe le souffle, mais c’est très agréable à lire et ce Poulpe est désarmant de nonchalance et de bizarrerie!  Disons que sa morale est la sienne et que son jeu de Robin Hood dans ce tome (ben quoi, il vole aux riches, non??) est assez discutable!!!

Nous sommes donc dans une sombre histoire de traffic d’art, qui est amorcée quand il voit dans le journal qu’une femme a été trouvée avec un vase d’une valeur inestimable entre les deux jambes.  Un nom attire son attention: Brigid Waterford.  Rencontrée dans un autre roman, celui écrit par Malte (de là le clin d’oeil dans le titre), elle le fait revivre alors qu’il était dans une passe difficile.  Et commence alors une drôle d’épopée, les baladant un peu partout pour des raisons pas très très catholiques.   J’ai beaucoup aimé les promenades dans différentes villes… en Espagne surtout (Ah, Barcelone… plus que 4 mois!)  Beaucoup aimé les changements de décor, les rebondissements rapides et surtout le fait que malgré tout, il y ait une évolution dans les personnages dans le roman.  Ce sont surtout les rapports entre le Poulpe et Brigid qui m’ont tenue en haleine, en fait!  Et j’ai retrouvé entre ces pages l’écriture simple et efficace de Maïté Bernard, que j’avais déjà appréciée en version jeunesse dans « Un cactus à Versailles« .  Bon, difficile pour moi de tout comprendre, vu que je ne connais pas, entre autres, l’histoire entre le Poulpe et Chéryl… mais je relirai volontiers d’autres livres de la série!!!  Ca m’a bien plu!!!

Merci à Maïté Bernard, qui me l’a gentiment fait parvenir!
Et allez lire les titres de ces romans… si vous aimez les jeux de mots à 5 cents… c’est pour vous!!!  J’ai ri comme une folle!!!!