L’oiseau de Colette – Isabelle Arsenault

J’aime Isabelle Arsenault.  Ses illustrations me touchent toujours et j’ai bien entendu craqué pour cette BD jeunesse, toute simple, qui rend hommage à l’imagination des enfants et à leur capacité à voyager dans plusieurs mondes… sans quitter leur ruelle!

 

Colette vient donc de déménager dans un nouveau quartier, à Montréal, dans le Mile-End.   Sa mère refuse – vilaine qu’elle est – d’adopter un animal et elle bougonne un peu quand elle sort dans sa cour… et qu’elle rencontre deux enfants.  Ils partent donc à la recherche de la perruche disparue de Colette.  Le seul problème, c’est que l’oiseau est totalement fantasmé… et n’a jamais existé.

 

C’est dans le Montréal du quotidien que nous nous retrouvons.  Les ruelles, les cours et les enfants qui en font leur domaine.  J’ai adoré la représentation de la ville, le petit monde grouillant de l’enfance et leur capacité à s’émerveiller de tout et de rien.   Chaque cour nous présente un enfant occupé à ces mille petites activités passionnantes de l’enfance.  L’album est gris avec une touche de jaune, la couleur de la jeune colette.  Quelques touches de bleu (la perruche) et ça donne un effet saisissant et très esthétique.   Les enfants ont une bouille super sympathique et sont bien distincts les uns des autres.  Bref, je suis conquise par le trait, comme toujours.

 

Avec les enfants, on peut explorer la description des animaux vu que Colette doit inventer, à mesure, divers détails qui semblent, au départ, réalistes.   On peut donc utiliser leur technique pour décrire d’autres animaux, ce qui permet d’ancrer davantage le concept et de travailler le discours et la description.   De plus, il est intéressant de discuter avec les enfants du moment où ça dérape, des choses qui se peuvent ou pas, que l’on croit ou pas.   Et de plus, l’album permet une discussion sur les perceptions.  Est-ce que les enfants y croient?  Ou est-ce que c’est un jeu imaginatif?  Certains cocos avaient même oublié qu’en fait… il n’y avait jamais eu d’oiseau! Bref, plein de possibilités!

 

Une autre rencontre réussie entre l’oeuvre d’Isabelle Arsenault et moi.  C’était ma BD de la semaine (chez Noukette cette semaine) et ça entre dans Québec en novembre!  Merci La Pastèque.

L’habitude des bêtes – Lise Tremblay

Un nouveau Lise Tremblay, ça suscite toujours une petite danse se la joie chez moi.  Je ne sais pas pourquoi mais entre son écriture et moi, ça clique toujours.  Même quand ses histoires sont à des lieues de mon quotidien.  Est-ce que parce que ça se passe chez moi?  Je ne sais trop.  Mais encore une fois, malgré ma panne de lecture monumentale, je l’ai dévoré en 2 jours.  Pas que ce soit paqueté d’action ni rien.  Mais ça a passé tout seul.  Ça parle, non?

 

Le narrateur est dentiste.  Était dentiste, en fait.  Un jour, il a appris à aimer.  Dan.  Son chien.  Et il a pris le bord de son chalet sur les Monts (les habitants du Saguenay sauront de quels monts il s’agit… ils ne sont pas nommés mais on les reconnaît bien), vivant en communion avec son lac et la nature.   Un jour, on voit des loups.  Des carcasses d’orignaux sont retrouvées.  Ça va diviser le village et les chasseurs et brasser les habitants.  Il y a Rémi, celui qui aide, oncle de Patrice, garde-chasse qui n’entend pas se laisser influencer par la gang à Boileau, qui mène le village depuis des années.  Il y a Mina, isolée sur le bord de son lac, ancienne cantinière qui entend bien finir sa vie comme elle l’entend.  Il y a Odette, vétérinaire en fin de carrière.  Et il y a notre personnage principal ainsi que Carole, sa fille qui en arrache et avec qui il a très peu de contacts.   Ces loups qui arrivent vont bouleverser l’équilibre.

 

J’ai du mal à vous en parler, comme d’habitude avec les romans de l’auteur.  Ce sont des voyages intérieurs, des changements en apparence subtils qui créent des tourbillons d’émotions.  C’est le retour subtil de l’espoir, c’est la déviation toute simple d’un chemin.  Bref, ça me parle.

 

Je suis toujours aussi fan de l’écriture.  Fan de la proximité avec la nature, de cette façon d’en parler, de la rendre vivante, d’en faire un personnage à part entière.   Et elle réussit ça sans que ça fasse too much, ce qui est pour moi un gros bonus!

 

Bref, encore une réussite.  Et je recommande!

 

 

Top 10 à la québécoise… romans coups de coeur

Ouuuuh que ça a été difficile de choisir!  Et encore, je me suis limitée : romans (sauf un, mais bon… j’ai le droit de tricher, c’est mon blog, na!), pas de jeunesse, pas de théâtre.   Si je me décide, ce sera pour un prochain top.  J’aime ça me compliquer la vie, on dirait.  Et c’est si ça vous intéresse, bien entendu.

 

Bon.  Même là, il y a eu des déchirements.  Et ceux que je n’ai pas choisis me font les gros yeux.  Je sens qu’il va falloir aussi un top des romans que j’ai failli choisir pour le premier top… on n’a pas fini, hein.  Serais-je un peu fan des listes?

 

Mais bon, allons-y.  Aucun ordre particulier.

Les fous de bassan – Anne Hébert

Une révélation pour moi.  Une plume magique, envoûtante, une histoire remplie de symboles, une atmosphère de folie… tout ce que j’aime.

 

Nous étions le sel de la mer – Roxanne Bouchard

Une auteure dont tous les écrits m’ont plu.  Mais celui-là un peu plus.  Une enquête en Gaspésie, des personnages truculents, une héroïne en recherche, des mots poétiques, mouvants… et la mer, la mer!

 

Enthéos – Julie Gravel-Richard

Un étudiant qui a tourné le dos à son passé et à ses passions, une enseignante passionnée, des discussions profondes, philosophiques et théologiques, une très belle plume… et un roman qui fait réfléchir et qui a plu à la fille-qui-pense-qu’elle-croit-en-rien que je suis!

 

Chroniques du pays des mères – Elisabeth Vonarburg

Un autre de mes must!  Un roman SF, féministe, magistral et envoûtant.  Un roman d’atmosphère, qui se déploie lentement et qui fait follement réfléchir.

 

Elle et nous – Michel Jean

Mon préféré-préféré de l’auteur.  Il m’a touchée de façon extraordinaire.  On nous raconte la grand-mère, celle qui a choisi de suivre l’amour et de quitter sa tribu innu.  Celle qui a toujours vécu un peu entre deux monde.  C’est plein d’amour, de respect… et de déchirement aussi.  Touchant.

 

La femme qui fuit – Anaïs Barbeau-Lavalette

Une autre grand-mère, mais une grand-mère absente, en fuite, floue.  Une petite fille devenue grande partie à sa recherche.  Et l’histoire d’une vie incroyable, nous ramenant dans le Québec des années 40, les années des surréalistes et du Refus Global.  Une plume qui se lit toute seule… et un roman à découvrir.

 

Le plongeur – Stéphane Larue

Un roman particulier, une langue bien ancrée dans le Québec d’aujourd’hui (ou presque) et réussit à nous faire nous passionner pour la plonge d’un restaurant montréalais ainsi que tout le microcosme qui gravite autour.  Ça va droit au but, ça nous fait réagir… et j’ai adoré.

 

Autour d’elle – Sophie Bienvenu

Difficile de choisir un livre de Sophie Bienvenu… mais j’ai tellement offert celui-ci que c’est celui que j’ai choisi.  Une femme, son fils… et des gens qui croisent leur vie et qui nous en partagent un fragment.   C’est beau, les voix sont variées, c’est touchant, la forme est intéressante.  Que demander de plus?

 

La marche en forêt – Catherine Leroux

Un roman lumineux, qui parle de famille avec ce qu’elle a de beau et de laid.   Un roman intelligent, qui fait confiance au lecteur, rempli d’images superbes.  J’aime.

 

Un ange cornu avec des ailes de tôle – Michel Tremblay

Mon plusse préféré de Michel Tremblay, qui nous raconte sa découverte de la littérature et le début de son histoire d’amour avec elle.   Ça fait sourire, réfléchir… et on en redemande.

 

La héronnière – Lise Tremblay

Bon, ok ce sont des nouvelles… mais des nouvelles reliées.  Ça compte, non?  Une plume avec laquelle je me sens bien, un village, des histoires qui se croisent.  C’est avec cet ouvrage que j’ai découvert l’auteur et je lui suis fidèle depuis!

 

Et voilà…

Mais il y a de grands absents…

Alors, un autre top ou pas?

Moi, c’est Frida Kahlo – Sophie Faucher / Cara Carmina

Il y a preque pile un an, j’avais lu et beaucoup aimé Frida, c’est moi, des mêmes auteures.  Du coup, quand on m’a proposé celui-ci, j’ai tout de suite accepté.   Si le premier album traitait de l’enfance de l’artiste de façon poétique, simple et imagée, on la retrouve ici adulte.  Si je suis toujours aussi sensible au dessin, qui va terriblement bien avec ce que je sais de l’oeuvre de Frida Kahlo, je suis un peu plus sur la réserve quant à la forme du texte, qui colle moins bien à Frida adulte, à mon humble avis.

 

Chaque double page illustre un moment-clé de la vie de Frida-adulte.  Son accident, son mariage, Paris, les États-Unis.   Ces scènes sont bien pensées même si les mots de la fin m’ont semblé un peu moins poétiques que ceux du précédent roman.  Toutefois, j’ai trouvé que le le personnage dépeint ici manquait de profondeur comparativement à ce que Frida Kahlo était réellement.  En fait, on a forcé le trait « pauvre petite chose »… et malgré sa santé fragile, elle était tout sauf ça. Et je ne sais pas comment elle était amoureuse… mais cette relation ressemble à de la possession…   Du coup, ça m’a dérangée.

 

Bon, ok, ça s’adresse à des enfants.  Je comprends pourquoi certains éléments ont été omis.   Du coup, pour faire découvrir cette artiste aux enfants, c’est intéressant, même si un peu plus de ses oeuvres aurait été apprécié.   Le texte est adapté à des touts petits, l’auteur s’attarde à ce qui va leur plaire à eux et on entrevoit certains symboles de l’oeuvre et de la vie de Frida Kahlo.  Il y a partout des références, c’est sensible, vivant et coloré.  Mais il faut vraiment un adulte pour tempérer la vision de l’artiste qui y est présentée qui m’apparaît vraiment réductrice.

 

Comme adulte, il m’a manqué quelque chose.  De la force dans le portrait peut-être.   Par contre, je reste fan du dessin!

Riopelle – L’artiste magicien – Marie Barguirdjian

Je pense que j’ai déjà parlé quelque part sur ce blog de mon émerveillement devant Hommage à Rosa Luxembourg, oeuvre magistrale et immense installée au musée des beaux arts de Québec.   Toujours est-il que ce qu’a fait cet artiste québécois m’a toujours interpelée et que quand j’ai réalisé que cet album allait sortir, j’ai fait des yeux de chat potté chez Édito!  Et j’ai drôlement bien fait parce que j’ai adoré et que l’ai déjà racheté pour l’offrir en cadeau.  Mon exemplaire, je le garde!

 

Faire découvrir l’art et la culture aux jeunes, c’est primordial, je trouve.  Cet album, clairement dirigé jeunesse, a un ton parfait pour intéresser les enfants.  Avec une biographie simplifiée mais percutante, l’auteur a réussi à faire ressortir la personnalité hors-norme de Jean Paul Riopelle.  Signataire du Refus Global, amoureux de la nature, exhubérant, magicien des couleurs et touche à tout, l’oeuvre de l’artiste est variée, éclatée, onirique et très accessible.  Personnellement, j’aime particulièrement ses toiles au couteau, Rosa Luxembourg et ses glaciers.   Mais je suis vendue d’avance.

 

Pas du tout lourd ou didactique, l’album nous offre quelques tableaux, des photos mais invite surtout les jeunes à regarder les oeuvres avec leur propre regard et à voir dans les images ce qui les touche, eux.  Bref, une totale réussite pour moi!

 

C’était ma lecture jeunesse pour la LC de Québec en novembre!

Enna, les expressions québécoises et moi

 

Un bon soir, Enna et moi avons décidé de tester les bières québécoises.  Et, accessoirement, de tourner une vidéo.

Auriez-vous deviné, vous?

Enjoy!

The Book of Dust – 1 – La belle sauvage – Philip Pullman

Il y a une chose que je ne dis pas souvent.  Quand j’étais à l’université, je me suis déjà déguisée en Lyra pour l’Halloween.   Et j’avais un énorme toutou Iorek avec moi.  C’était de toute beauté (et non, je ne peux pas le prendre en photo.  Je ne rentre absolument plus dedans.  Même pas en rêve!).  C’est pour vous dire à quel point Les royaumes du Nord m’avaient marquée quand je l’ai lu à sa sortie.  Inutile de dire qu’en 1995 ou 1996, PERSONNE à Montréal ne savait en quoi j’étais déguisée.  Bref, trève de racontage de vie.  Il y a un nouveau Pullman.  Dans le même monde.  Avec certains des personnages.  Il FALLAIT que je le lise.

 

L’histoire se passe donc une dizaine d’années avant les événements de la première trilogie.   Nous rencontrons Malcolm Polstead et son daemon, Asta.  Il a 11 ans et habite avec ses parents à l’auberge où il donne aussi un coup de main… tout en tendant l’oreille aux discussions des uns et des autres.  De l’autre côté de la rivière, il y a un couvent.  Malcolm aide souvent les soeurs et un jour, un nouveau pensionnaire va arriver dans le dit couvent.  Et graduellement, la vie de Malcolm va changer.

 

Quel plaisir de retrouver l’Oxford de Lyra.  Je pense que c’est LE monde imaginaire que j’aimerais le plus visiter.   Certes, dans ce roman, il est en plein bouleversement et la religion prend de plus en plus de place, mais les daemons, la poussière… comment résister!    J’ai adoré retrouver les enfants imaginés par Pullman.  Intelligents, débrouillards, à la recherche de leur voie, qui n’est pas toujours celle qui était prévue pour eux… ils me plaisent beaucoup.  Malcolm est un bon garçon.  Une bonne personne.  Et ses aventures sont agréables à suivre.

 

Ici, nous avons clairement affaire à un tome 1.   La première partie met en place l’univers et j’aime beaucoup ces descriptions distillées, ces acteurs qui se mettent graduellement en place.  Certains n’aiment pas les mises en place qui prennent leur temps mais moi, j’adore ça.  J’aime m’immerger petit à petit dans les univers et cette première partie m’a énormément plu.  J’étais comme une petite fille à faire les liens entre ce roman et l’autre trilogie, à m’imaginer ce qui a bien pu se passer au cours de ces 10 ans.  Et je dois avouer que j’ai relu une bonne partie de l’autre trilogie depuis… oups!  La deuxième partie est remplie d’action (et d’eau), elle se déroule à toute allure et les éléments fantastiques se pointent le bout du nez.   J’ai très hâte d’en savoir davantage sur les éléments qui sont amenés dans le tome.

 

Je suis toujours fan de l’écriture de Pullman.  Il y a quelque chose de « whimsical » dans sa plume.  Ça coule tout seul et il y a de la poésie même dans les séquences d’action.   Je ne sais pas quelle part de nostalgie il y a là-dedans, mais j’ai adoré.   Bon… c’est le tome 1… je me demande donc si la trilogie va être à la hauteur de À la croisée des mondes… qui reste, je pense, ma série jeunesse préférée!  Je l’ai lu en anglais, mais je vais certainement me le procurer en français pour pouvoir le faire lire à mes neuveux!

 

Louis parmi les spectres – Fanny Britt / Isabelle Arsenault

Commençons cette édition de Québec en novembre en grand, avec une bande dessinée d’ici que j’ai adorée.   Certes, elle n’a plus besoin de présentation, mais au cas où vous ne connaîtriez pas, ce billet se veut un message clair : mais qu’est-ce que vous attendez!

 

Louis a 11 ans.  C’est un jeune garçon qui vit entre son père et sa mère, entre la ville et la campagne.   La séparation date d’il y a un peu plus d’un an.  Et son père pleure.   Genre, les chiens aboient et son père pleure.  Louis a un petit frère tout mignon, Truffe, qui adore la musique et James Brown en particulier.   Louis est amoureux de Billie, la fille courageuse qui lit au moins un livre par semaine.  Mais lui, il n’est pas courageux.  Tout s’écroule autour de lui et il ne fait rien, alors qu’il voudrait sauver tout le monde, sans pour autant oublier de vivre sa vie.

 

C’est une histoire aux accents doux-amers, une histoire d’enfance qui s’adresse à tous.  Le dessin d’Isabelle Arsenault est magique, envoûtant.  Mais bon, je suis super fan de ce qu’elle fait, de ses traits parfois effleurés, des détails qui changent tout, de ses ombres surtout… et que dire de son usage de la couleur.  Bref, j’adore.  Et ce trait se marie à merveille avec le texte de Fanny Britt qui nous raconte les balades entre autoroute et campagne, entre sobriété et alcoolisme et entre la joie et les larmes.  Entre les spectres et l’espoir.

 

C’est beau, ça vient d’ici et il FAUT le lire!

Voilà!

Enna a adoré, Pretty Books aussi et Antigone ne fait pas exception à la règle!

Chez Moka cette semaine!

Québec en novembre 2017 – Billet récap

C’est parti pour une sixième année!  Québec en novembre, c’est reparti.  Yueyin et moi vous invitons à vous plonger dans la culture québécoise.

 

Pendant tout un mois, je vais me consacrer à la littérature québécoise et ce qui est cool, c’est que plusieurs personnes me suivent sur les blogs comme sur FB, dans le groupe dédié.  Du coup, sur ce billet, vous trouverez les participations de tous.  Bon, c’est un voeu pieux de le mettre à jour quotidiennement… mais je vais essayer.   Donc si vous mettez vos liens sous ce billet ou dans le groupe, ou chez Yue, on devrait les récupérer.

 

Go!!

 

Pré-novembre…

 

1 novembre 2017

2 novembre 2017

 

3 novembre 2017

 

4 novembre 2017 – littérature jeunesse… mais pas que!

 

5 novembre 2017

 

6 novembre

7 novembre

8 novembre

 

9 novembre

10 novembre

11 novembre

 

12 novembre 2017 (rendez-vous romance et chick litt)

 

13 novembre

14 novembre

15 novembre

16 novembre

17 novembre

18 novembre

19 novembre

20 novembre

21 novembre

22 novembre

23 novembre

24 novembre

25 novembre

26 novembre

27 novembre

28 novembre

 

29 novembre

 

30 novembre

Pile à lire – Québec en novembre 2017

 

Novembre, c’est demain matin.

Du coup, on est parti pour les lectures québécoises.  J’ai une méga grosse pile à choisir… et j’ai pioché dedans pour me structurer un peu.  Ceci dit, j’ai mis la vidéo en ligne à 21h.  Et à 21h30, je commençais… un livre pas du tout planifié.  Quoi… auto-opposition à moi-même?  Bref, là, je lis David Goudreault.

 

Et vous, vous allez lire quoi?  Pas obligés de lire beaucoup là… mais juste un peu.  Et même que vous pouvez en parler!