Eva Luna – Isabel Allende

C’est GeishaNellie qui m’a proposé ce livre pour le challenge Pige m’en 3 sur un groupe de lectrices québécoises.  J’avais en tête de le lire en espagnol alors je l’ai commencé il y a un gros trois mois.  Et je me suis rendue à la page 33.  Disons que lire Allende en espagnol, c’est pas idéal pour commencer parce qu’on doute toujours de ce qu’on lit.  Même quand on le lit en français.  Je vais donc plutôt relire un jour en espagnol.  Plus adapté à mon niveau!!  Enfin, des albums pour enfants seraient plus adaptés à mon niveau… mais je vis d’espoir!

 

J’avais déjà lu et adoré La maison aux esprits d’Allende.  Je suis très fan de ses sagas familiales, un peu magiques et remplies de personnages hauts en couleurs.  C’est encore le cas ici, bien que j’aie un tout petit peu préféré le premier.  Nous sommes transportés en Amérique du Sud (ou en amérique centrale… je ne sais trop en fait), dans un pays qui n’est pas nommé, mais qui ressemble un peu au Vénézuela.  Je pense.  Nous sommes au 20e siècle, le monde vit au rythme des guerres et Eva naît d’une façon assez particulière.  Ses récits sont enlevés, avec toujours un brin de folie s’approchant souvent du burlesque et nous allons la suivre de sa naissance, chez un savant qui souhaite naturaliser des gens, jusqu’à ce qu’elle sente avoir trouvé sa place dans ce monde, en passant par plusieurs étapes intermédiaires.   La galerie de personnages est improbable, haute en couleur, mais je vais vous laisser les découvrir par vous-mêmes.

 

Mais j’ai surtout apprécié les histoires.  À travers ce monde en dictature, Eva raconte, change les histoires et modèle sa vie au gré de ses humeurs, jusqu’à la rendre plus brillante et plus vraie que l’originale.  Ça raconte aussi l’histoire d’une conteuse qui s’éveille à son talent et qui s’évade dans un monde plus facile à accepter, même s’il est rempli de drames, de mélancolie, de magie et de cruauté.  On se balade de l’Autriche en guerre à un village perdu dans les montagnes, en passant par le maquis des guerilleros et la maison de Madame.  Le récit est plein d’adieux et d’au revoirs, mais il est particulèrement vivant et envoûtant.

 

Bref, j’aime Allende!

 

 

Tops lectures de 2017… romans adultes

Cette année, j’ai lu 230 livres, pour près de 48 000 pages.  Merci  Goodreads pour les stats!  No way que je compte ça moi-même! Si vous comparez les deux, vous réalisez bien qu’il y a eu pas mal d’albums… et je suis LOIN de les avoir tous comptabilisés.

J’ai eu assez peu de flops, je dois choisir mieux.  Je visite assidûment la bibliothèque municipale, j’ai eu une méga, méga panne de lecture qui a causé un presque arrêt du blog.  J’ai fait un road trip avec ma twinette Angéla Morelli, j’ai passé un mois à voyager avec mes parents.  Mais malgré tout ça, je suis contente de mes lectures cette année.  Ce qui est sans doute le plus important!

 

Donc, dans la catégorie Romans adultes… quels sont les ouvrages dont je me souviendrai?

 

Légende d’un dormeur éveillé – Gaëlle Nohant

Lu deux fois.  Adoré, adoré, adoré.  C’est pour moi un chef d’oeuvre.

 

Le garçon de Marcus Malte

Une découverte, une vie et un magnifique portrait de personnage.

 

Autour d’elle de Sophie Bienvenu

Une femme, son fils… et ceux qui les ont croisés

 

Le jardin des sept crépuscules – Miquel de Palol

Une histoire dans une histoire dans une histoire… un roman magistral, virtuose… j’ai adoré.

 

Nana – Émile Zola

J’ai hésité avec Au bonheur des dames… (ou plusieurs autres Zola… j’en ai lu 12 cette année) mais Nana… quel personnage!

 

2666 – Roberto Bolano

Parce qu’il m’a entraînée complètement ailleurs… et que je ne saurai jamais en parler.

 

Comment devenir un monstre – Jean Barbe

Un roman bouleversant, marquant, qui parle de guerre et de ce qui peut faire ressortir ce qu’il y a de pire en l’homme.

 

Juste quelqu’un de bien – Angéla Morelli

Parce que le roman d’une amie, ça a toujours quelque chose de spécial.  Et que celui-ci lui ressemble vraiment, avec de l’humour, de l’amour et une vraie recherche de soi.

 

Naufrage – Biz

Il m’a jetée par terre.  Rien de moins. Le roman le plus dur à lire pour moi cette année.

 

Enchantement  – Scott Orson Card

On résiste comment à une réécriture de Baba Yaga, hein?  Comment?

 

La servante écarlate – Margaret Atwood

Un roman qui fait mal et qui nous rappelle que ce n’est jamais gagné.

 

Le plongeur – Stéphane Larue

Une véritable plongée (oui, je suis drôle) dans la tête d’un jeune joueur compulsif… et dans les cuisines d’un restaurant.  Jubilatoire.

 

Et vous, vos préférés?  Vous en avez lu, dans ça?

Dans les prochains jours, vous verrez mes tops BD, albums et peut-être jeunesse!  Si je suis courageuse!  Et si ça vous tente.

Le roman de Bergen – L’aube – tome 1 – Gunnar Staalesen

Je ne sais plus qui m’a parlé de ce roman.  Mais ça fait longtemps.  Je l’avais dans ma pile depuis 2011 et j’avais attendu un bon moment avant de l’acheter.  Ok, je ne le trouvais pas.  Mais c’est une autre histoire.

 

Le roman s’ouvre sur le meurtre d’un notable de la ville de Bergen, au tournant du siècle.  C’est une ville industrielle du Sud-Ouest de la Norvège, 2e en importance après Kristiania (maintenant Oslo), un endroit en plein développement, certes, mais à l’atmosphère d’un gros village, où tout le monde se connait et s’entrecroise.   Ce meurtre est certes en partie le fil conducteur mais ce n’est pas que ça, loin de là.  C’est le portrait d’une ville, d’une région, à travers les années.  Nous suivons plusieurs personnages principaux de différentes classes sociales, et nous les voyons évoluer à travers l’histoire de leur pays.  Ce premier tome nous fait parcourir les années 1900 à 1916, jusqu’à un événement marquant de Bergen.

 

Si vous aimez les romans historiques sur plusieurs générations, jetez-vous sur cette saga.  Bon, je n’ai lu qu’un tome et demi mais à date j’adhère totalement.  Je ne connais rien de la Norvège mais je me suis envolée vers ces fjords majestueux, ces glaces et ces grands froids.  J’ai pu découvrir les coutumes de l’endroit, la nourriture, les arts et les coutumes du début du siècle, tout en voyant apparaître les voitures, les grands magasins et les industries plus modernes.    Je me suis attachée à l’inspecteur Moland, personnage super imparfait, ainsi qu’à plusieurs autres (dont j’ai oublié les noms, because noms norvégiens), que j’étais ravie de retrouver à chaque fois (parce que oui, on se balade d’un personnage à l’autre).

 

J’ai donc vraiment adoré.  Et j’ai commencé la deuxième partie du premier tome.  Ah oui, j’ai oublié!  C’est une trilogie en norvégien, mais en français, chaque tome est séparé en deux.  Six volumes donc, qui nous ferons traverser le siècle.  J’en suis donc au tout début, ce qui me ravit!

Et un autre pour le Cold Winter Challenge

Triangle – Mac Barnett/Jon Klassen

Je trouve cet album super, super drôle.  Et je serais bien mal prise si je devais vous expliquer pourquoi.  En fait, oui, je sais.  C’est probablement en raison de l’inférence qu’il y a à faire pour bien comprendre l’histoire, qui fait 48 pages, mais qui a le plus simple synopsis du monde.  Triangle, qui vit dansun monde de triangles, s’en va chez Carré, qui vit dans un monde de carrés, pour lui jouer un tour.  Un tout un peu nono, soit dit en passant.  Mais rien à faire, je trouve ça drôle quand même.  Et les neveux aussi.  Il a fallu le lire au moins 5 fois à miss Chipie!

 

Ok, on pourrait se dire que faire une joke plate à quelqu’un avec sa plus grande peur n’est pas vraiment drôle.  Voire même pas du tout.  Mais j’aime beaucoup la fin, qui m’a bien fait rire.   Et comment dire… impossible d’oublier les mots Triangle et Carré après ce livre, au nombre de fois qu’ils sont répétés!

 

Et je ne peux pas vous dire ce que ma nièce m’a dit à la fin sinon je vais tout spoiler… mais je l’ai trouvé « trop mignonne ».  Ce qui est son expression préférée, soit dit en passant!

 

Oui, je sais.  Billet sans substance.  Mais je ne vois pas ce que je pourrais en dire d’autre sans tout dire!  Dur, la vie de blogueuse.

 

 

Au taf – Vaïnui de Castelbajac

J’avais envie de léger, de rire un peu, surtout dans un moment où le système de santé, dans lequel je travaille est sous la botte d’un « patron » autoritaire qui maintient presque le tout en autocratie.   J’ai donc attrapé cette BD parce que les images me plaisaient beaucoup et que ça semblat drôle.   Je dois pourtant avouer que c’est une lecture en demi-teinte.

 

Est-ce parce que je ne suis pas en entreprise, et que je ne suis pas en France, mais je me suis assez peu reconnue dans ces vignettes et ces grandes images qui nous raconte la vie dans une entreprise dirigée par un PDG qui ne pense qu’aux profits et qui traite ses employés comme des esclaves.  L’image de couverture est assez représentative.  Du coup, j’ai assez peu ri dans ma lecture.  Un seul grand éclat de rire (je vous mettrai la page) et pour le reste, c’était un peu du déjà vu.  J’étais donc assez déçue.

 

La première partie traite des humains, de la mise en petit morceaux de leur valeur personnelle et de leur estime d’eux-mêmes.   La seconde met en scène des animaux, toujours au boulot et j’ai préféré cette partie.  Il y a des associations d’idées bien pensées mais encore une fois, c’est assez inégal selon moi.

 

Bref, déception.  Par contre, Chroniques Littéraires a adoré alors ne vous fiez pas à mon seul avis!

(ma préférée… certains comprendront!)

Billets recensés sur chez Mo, dans le Bar à BD!

Le ballon – Ingrid Chabbert/Maurèen Poignonec

Ce qu’on a pu rire, Miss Chipie et moi, à la lecture de cet album de peu de mots!  J’aime beaucoup ce que fait Ingrid Chabbert (il me semble que j’en ai lu un tas ces temps-ci… je pense que certaines personnes ont bien compris que ça me plaisait) et ça a encore fonctionné avec moi.  Faut croire que je suis sensible à son humour.

 

Nous avons donc deux petits garçons qui ont chacun un ballon.  Ils adorent leur ballon et chacun est persuadé d’avoir le plus beau, le plus gros.   Mais un « petit » problème survient avec l’un des ballons, le discours va-t-il changer?

 

C’est très très enfantin et très typique des comportements des petits.  Ann-Charlounette m’a d’ailleurs – très sérieusement – expliqué que ses frères faisaient tout le temps ça.  Elle, jamais.  Of course!  De plus, on a eu droit à toute une théorie sur « pourquoi y a-t-il des girafes dans la ville? » .  Elle a fini par déterminer que c’est « pareil comme chez nous, mais pas tout à fait pareil comme chez nous ».  Logique de 5 ans!

 

J’ai pour ma part trouvé les images très, très, très mignonnes, dans les tons pastels, avec tout plein de détails.  Avec les enfants, j’ai pu jouer à décrire les images, du moins, des parties d’images.  Il y a très peu de texte, avec les mots importants en caractères gras et ça se lit super vite!  Ce qui peut être un sacré avantage quand on lit l’histoire juste avant d’aller dormir!

Joyeux Noël et bon réveillon!

On est le 24 décembre au matin  Je suis chez ma mère (mode régressif « on »… pendant le temps des fêtes, je déménage mes pénates chez ma mère.  À trois minutes de chez moi) et elle a en tête de faire un ménage de la mort qui tue, faire une tourtière (une vraie), un pain sandwich, des buches de Noël, du riz aux crevettes, des salades et autres trucs variés.  Je sens que je vais avoir beauuuucoup de comissions à faire aujourd’hui (n’importe quelle excuse est bonne pour ne pas être en cuisine (défenses tactiles… quand vous nous tenez).  Je suis CERTAINE que je vais avoir oublié des trucs PRI-MOR-DIAUX!

 

Cette année, on fête avec les neveux le 25, si la température leur permet de descendre du Lac.  Oui, la neige, c’est cute, mais ça a aussi quelques inconvénients!

 

J’en profite donc pour vous souhaiter maintenant de bonnes fêtes de fin d’année.  Que vous célébriez le solstice d’hiver, Noël, ou quoi que ce soit d’autre!  Comme chez moi on est un peu Christmas Freaks, même si c’est pour nous dépourvu de sens religieux, je vais vous souhaiter un

 

TRÈS JOYEUX NOËL!

 

Je vous souhaite de passer de bons moments avec ceux que vous aimez et de vous créer de beaux souvenirs futurs.   

 

Les P’tites Poules et la cabane maléfique – Jolibois /Heinrich

C’est bien connu, les P’tites Poules et moi, c’est une grande histoire d’amour.  Je suis hyper fan des illustrations colorées, de ces petites bestioles sympathiques, du trait rond et des aventures abracadabrantes qui nous sont racontées.   Mais surtout, surtout, c’est bourré de références à la littérature, à la peinture ou à la pop culture.  À chaque fois que j’en repère une, je me transforme en petite fille.

 

Dans ce tome, c’est la panique au poulailler.  Il y a de drôles de lueurs dans le ciel et la doyenne du poulailler croit se souvenir avoir vécu ça dans sa folle jeunesse.  Ce sont des sorcières qui cherchent l’arbre à balai magique, et dont le regarde transforme les poules en cochon.   Elles allaient se cacher et laisser le temps passer mais une étrange cabane maléfique kidnappe Pitikok.   Ses enfants ne vont clairement pas laisser passer ça!

 

Impossible de ne pas reconnaître la maison à pattes de poules de Baba Yaga ainsi que les représentations picturales typiques des sorcières et des boucs.  On retrouve aussi une petite réplique de la guerre des boutons au détour d’une page.  Toutefois, je dois avouer que j’ai trouvé un peu moins de références que dans les tomes précédents.  Ok, je ne les ai peut-être pas toutes vues, j’avoue.

 

Encore une fois, on a un vrai schéma narratif, les détails des illustrations sont géniaux (ça vaut la peine de prendre le temps de les obsever) et ces poulettes sont tellement cutes et expressives… c’est fou!

Bref, j’aime.

Lettres du Père Noël – J.R.R Tolkien

Définitivement, Tolkien avait une imagination débordante… et ne faisait rien comme tout le monde.   Sa tradition de Noël, les lettres du Père Noël, se sont rapidement transformées en monde complet rempli d’elfes, de gobelins, sans parler de son assistant maladroit l’Ours Polaire, de ses neveux et de tous ces gens qui peuplent le pôle.  J’ai adoré retrouver l’esprit de Tolkien et ses univers magiques, surtout dans ce cadre.  Noël s’y prête particulièrement, je trouve.  Et c’est soooo cute!

 

Bon, on s’entend.  Ce sont les lettres pour ses enfants à lui.  On y découvre aussi une part de leur vie mais on sent que Tolkien s’amuse beaucoup avec ces lettres… et qu’il y a énormément d’amour derrière tout ça.  Je pense que c’est ce qui m’a le plus touchée.

 

Le Père Noël habite donc près du Pôle (qui en voit de toutes les couleurs… merci Ours Polaire) et il est responsable de remplir les bas de Noël des enfants.  Il est un peu magique, un peu grognon parfois, mais il a de l’aide, en la personne de l’Ours qui fait des gaffes à gogo (je suis bébé, ça m’a fait mourir de rire).  Chaque année, le Père Noël raconte un peu ses soucis de l’année, ses grandes aventures ainsi que les grands enjeux de ces êtres des neiges.   Ce sont donc 23 années, à 1-2 lettres par année, bien ancrées dans les événements de l’époque (de 1920 à 1943).

 

Là, vous vous dites que ce soit être bien ordinaire, mais Tolkien reste Tolkien.  Les lettres sont de l’écriture tremblottante du Père Noël, souvent décorées, accompagnées des réflexions d’Ours Polaire (qui en vient à créer son alphabet…) et de dessins illustrans les événements de l’année.  Ces réceptions devaient être ma-gi-ques!

 

Bref, tout à fait dans l’esprit des fêtes… et du Cold Winter Challenge.  Je regrette juste de ne pas avoir TOUTES les lettres en images dans ma version.  Il y en a pas mal, et des super jolies.. mais pas TOUTES!  Du coup, je vais me retrouver une autre édition, peut-être en anglais (je voulais celle-ci en français pour les lire à Ann-Chipie, ma super-nièce!)  Call me obsessive!

Le grand méchant lapin – Ingrid Chabbert / Klotilde Goubely

Un album, Ingrid Chabbert et des lapinous.  Comment est-ce que je peux résister à ça hein?  C’est une histoire toute simple (et toute mignonne) qui nous présente un grand méchant lapin qui prend un malin plaisir à faire pleurer tous les autres lapinous du coin.  Les grands, les moyens et les petits.    Mais qui va lui résister?  Certainement pas un tout petit lapin sauvage de rien du tout?

 

Bizarrement, les cocos et moi avons un avis différent sur cet album.  J’ai beaucoup aimé, ma nièce a trouvé les lapins « trop mignons » (elle écoute des vidéos de France sur Youtube… elle a de ces expressions) mais les enfants ont tous la même question.  POURQUOI le petit lapin sauvage ne pleure pas, lui? (ouais, je spoile, mais ce n’est pas l’élément comique du roman.  Il faut savoir que je travaille avec des enfants ayant des difficultés de langage et que les inférences, ce n’est normalement pas leur fort.   Du coup, ils ne comprennent pas la fin non plus.  Et j’ai même eu droit, après avoir tenté d’expliquer le comment du pourquoi à un « I MÊME PAS VRAI, TOI I VIENT L’INVENTER » fort outré.  Mes cocos me font trop rire.

 

J’ai par contre bien aimé la structure répétitive de la première partie et ça a beaucoup plu à Miss Chipie (qui affirme avoir tout compris mais que je soupçonne d’avoir été obnubilée par la cutitude des lapins) m’a – bien gravement – affirmé que les lapins, en fait, ils étaient bébé-lala!  Ça permet par contre de traiter d’intimidation et de façons d’y réagir, même si ça n’est pas du tout le message principal de l’album.

 

C’est donc très mignon, il y a des inférences à faire, mais je ne suis pas non plus débordante d’enthousiasme face à l’histoire et son utilisation possible avec les enfants.  Mais c’est over cute!

 

Qui l’a lu?  Comment il a été reçus par les enfants?  Je suis super curieuse.