Présentation de l’éditeur
Sur mon livre, il n’y en a pas… vous allez donc être obligés de lire mon billet pour savoir de quoi ça parle! Gnak gnak gnak!
Commentaire
Je vous parle aujourd’hui d’une petite romance que j’ai bien aimée. Pour vous mettre en contexte, ce texte été écrit par Janet Evanovick fin des années 80. Ensuite, elle a inventé Stéphanie Plum (et Ranger. Et Morelli) et est devenue célèbre… alors on a réédité ses premières romances. Lucky us.
L’histoire, donc. Alexandra Scott s’approche de la trentaine (ou vient d’avoir 30 ans, je ne sais plus trop). C’est une femme de carrière, qui a réussi, qui a un super condo à Princeton mais dont l’horloge biologique fait des siennes. Elle décide donc, sur un coup de tête, de troquer son condo contre un chalet et une « quincaillerie » en Alaska. Rien de moins. Le tout avec un but bien précis: trouver un mari (pas un chum, un mari) brun, au beau derrière mais pas trop beau et plutôt ennuyant qui voudra bien lui faire des enfants. Donc, l’Alaska. Où il y a peu de femmes. Logique à toute épreuve, of course!
Imaginez donc notre cocotte débarquer en pleine cambrousse du fin fond de l’Alaska, en petite voiture sport rouge, avec ses chandails en cachemire et ses souliers chics. Dans une bicoque. Sans électricité, sans eau courante. Le paradis, quoi. Son voisin, Casey, n’en croit pas ses yeux. Il se dit qu’elle va toffer quoi… maximum 5 minutes. Et quart si on est chanceux. Mais bon… of course, parce que c’est une romance, il va en être tout autrement!
Avec Janet Evanovich, on ne se trompe pas, c’est drôle. Vraiment. Dès la première scène, celle du bateau et du chiein obèse, on se dit qu’on va lire avec le sourire. Et en effet, c’est ce qui est arrivé. Des situations invraisemblables, une héroïne un peu atypique, complètement perdue en Alaska mais aussi décidée et pas « faible femme » pour deux sous. Disons qu’elle prend les choses en main! Le héros a bien entendu une Blessure, mais il est attachant, pas parfait mais presque (du moins, il a un grand besoin d’une femme de ménage). Il va essayer de guider notre aventurière dans sa vie en Alaska, tout en tentant désespérément de faire taire son petit coeur tout mou (et une autre partie de lui, toute dure, celle-là) qui lui dit que bon, même s’il n’avait pas prévu de s’établir là, maintenant, peut-être que…
Bref, ok, ils tombent amoureux à la vitesse de l’éclair, ok, on sent le côté « fin des années 80 » dans les valeurs (ce n’est pas typiquement old school mais bon, le but, c’est le Mariage. Vite.) Mais quand même, c’est vraiment drôle, on lève les yeux au ciel, on s’esclaffe, on a le goût de les secouer, tous les deux et on reconnaît déjà le style inimitable d’Evanovich pour dépeindre des situations ridicules du point de vue externe. Impossible de ne pas s’imaginer notre réaction si on voyait débarquer Alex et qu’on la voyait s’empêtrer dans tout et dans rien, l’oeil étonné et incrédule.
Bref, une romance comique, improbable, avec une héroïne qui n’a rien d’une nounoune qui attend sans rien faire. Ça fait du bien, non?
10 Commentaires
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Ouiiiiiii, Manhunt, ma romance préférée de la grande Janet. Rien que l’arrivée en Alaska vaut la lecture. 🙂
Fabienne: Tout à fait. C’est hilarant, le truc du bateau. Et bon, anyway, c’est ta faute hein!
Mais il me fait bien envie ma foi!!
je crois que le clic « achat » me démange!!!
surtout qu’il faut que je trouve un livre pour sortir de « Jamie et son tome 7 » et c’est sans doute une bonne idée Evanovich non?
Tam-Tam: tu es encore dans jamie? J’ai lâchement abandonné Jamie, en fait. Je n’ai aimé qu eles trois premiers tomes.
Son premier roman a l’air aussi bon que les suivants.
Alex: C’est léger, c’est drôle, c’est plein de guimauve… bref, ça me plaît et j’avais tout à fait envie d elire ça!
Un conseil du Papou, oublie l’Alaska, c’est encore plus froid que ton coin de pays !
Le Papou
Le Papou: J’imagine! Mais ça doit être beauuuu!
pppppffff une romance, tu me donnes envie d’uen romance !!!! bon c’est janet ok mais enfin…
Yue: Les romances, c’est le bien. Janet, c’est le bien. Du coup, une romance de Janet, c’est le grand bien!