Le pourquoi du comment
Ok, je vais raconter ma vie (mais vous êtes habitués). J’ai eu un MÉGA trip Autant en emporte le vent. Et saviez-vous que le réalisateur (un peu bizarre) du film s’appelait David O. Selznick? C’est le fait que l’auteur ait le même patronyme qui me l’a fait découvrir au départ. Et après que j’aie lu le premier, que j’ai beaucoup aimé, j’ai réalisé que je voulais TOUS les lire. Et bon, c’est le temps des fêtes, ya du doré sur la couverture… je sais, il m’en faut peu.
C’est quoi, cette histoire?
Je ne vais pas trop vous en dire parce que je tiens à vous laisser découvrir les histoires par vous-mêmes. La première partie débute en 1766, est racontée en images (magnifiques, les images, au fait) et nous raconte l’histoire d’une lignée d’artistes de théâtre. Il y a un naufrage, un ange, des personnages flamboyants et d’autres qui ne semblent pas cadrer dans ce monde où Shakespeare est roi. La seconde partie, en mots, nous fait rencontre un jeune garçon de 12 ans qui s’est sauvé du pensionnat et qui débarque à Londres, chez son oncle qu’il ne connaît pas. Il va vite être fasciné par sa maison, qui semble figée dans une autre époque et notre jeune héros va en apprendre davantage sur sa famille.
Et moi, j’en pense quoi?
J’ai adoré. Juste a-do-ré. Les histoires de Brian Selznick ont toujours quelque chose d’un peu magique, un peu irréel. La combinaison d’histoires avec des mots et des images fonctionne toujours à 100% et les illustrations sont superbes. Ils sont parlants, ont une dimension cinématographique et j’ai beaucoup aimé les plans choisi par l’auteur. Je suis totalement, totalement fan.
Je ne vous en dirai pas plus sur les thèmes mais ça parle de théâtre (et surtout de Shakespeare), de famille et du pouvoir des histoires et de la fiction. Ça parle aussi de découverte de soi et d’amitié. L’atmosphère est mystérieuse à souhaits et j’ai adoré toutes les ambiguïtés que le format du récit permet.
Une petite merveille (oui, je sais, je suis hyper originale… La maison des merveilles est une merveille… mention « peut mieux faire »), qui m’a touchéee droit au coeur et qui mérite de figurer dans les bibliothèques!
Il faut vraiment que je continue à lire l’auteur!
2 Commentaires
J’avais adoré Black out du même auteur et note donc celui-là.
Auteur
J’adore tout ce qu’il fait, en fait. IL a une belle sensibilité.