Résumé « Dernières nouvelles des oiseaux’ est un récit fantastique dans lequel Erik Orsenna met un scène un homme qui en a assez de distinguer les bons élèves. Il décide alors de lancer des enquêteurs à travers l’Europe pour trouver des enfants passionnés et libres afin de les récompenser »
Commentaire
Un hommage aux passions et aux différences que ce petit livre. Au départ, j’adore l’écriture d’Erik Orsenna. Un charmant conte où des enfants passionnés – de drôles de choses – ont le champ libre pour exercer leur passion… jusqu’à la tempête. Ils doivent alors travailler ensemble et mettre leur talent en commun afin de construire quelque chose de grandiose! J’ai vraiment aimé… mais je crois que j’ai un parti pris pour Erik Orsenna!
8/10
4 Commentaires
Passer au formulaire de commentaire
J’ai lu ce livre il y a peu et je dirai tout comme toi que c’est un très joli conte. L’écriture est simple, il est vite lu. Il est frais grâce à la jeunesse qu’il contient. Ces enfants sont une vraie bouffée d’oxygène. C’est le premier livre d’Orsenna que je lis. Je dirai que j’ai passé un bon moment de détente avec ce livre.
Belledenuit: J’aime beaucoup Orsenna, du moins, les contes que j’ai lus de lui. Ces enfants sont différents mais vraiment attachants en fin de compte!
J’ai lu ce livre il y a un ou deux maintenant, quand mon frère était à l’hôpital je crois, mais je me souviens que j’avais bien, et d’ailleurs, ton article me donne envie de le relire : chose qui sera faite ce soir à tous les coups ^^.
Au fait, je ne sais pas si tu connais, j’ai lu un autre livre de Erik Orsenna, La Chanson de Charles Quint, deux frères qui aiment d’un amour différent, mais c’est assez poétique et bien écrit. Bon, moi j’avoue que je n’ai pas forcément tout aimé, mais je pense que je suis un peu jeune, je suis sûre qu’en le relisantdans quelques années, j’aimerais plus… Mais bon, pour ceux que ça intéresse, je fais un peu connaître le livre ^^…
Lilmoliku: Je ne connais pas du tout La chanson de Charles Quint. Je vais aller fouiner pour voir. Quant à ce roman en particulier, le côté « conte » m’avait plu.