J’ai pris ce roman dans ma pile parce que j’avais besoin de rire et de grand n’importe quoi. Yep, le grand n’importe quoi, normalement, avec moi, ça fonctionne super bien. Par contre, dans ce cas, je dois avouer que si j’ai bien ri à certaines scènes, le roman sera fort possiblement rapidement oublié…
Nicole est psychanalyste et au bord de la crise de nerfs. Quand, sur un coup de tête, elle décide d’aller voir son ancienne voisine – qu’elle n’aime même pas tant que ça, en fait – en Bourgogne, elle ne sait pas qu’elle va décider, sur un coup de tête, de sauver un porcelet de 6 semaines nommé (et bien nommé) Foufou et de le ramener dans son appartement parisien!
L’idée de base est complètement folle. Et la scène de l’arrivée de la bête à Paris est tout simplement hilarante. Je me suis carrément esclaffée toute seule à m’imaginer la tête des invités qui assistaient à un tel show.
Par cotre, après, il y a moins d’humour, plus de « les bienfaits de la zoothérapie par le cochon » et pour moi, moins de plaisir. J’ai lu la fin avec un peu de déception vu qu’à part une scène d’autruche, c’est beaucoup moins burlesque. En fait, il se passe trop de choses improbables en trop peu de temps, ça s’éparpille un peu et ça m’a empêchée de vraiment accrocher à l’histoire au final. Quant au dénouement final, je l’ai trouvé carrément sorti de nulle part, « Qu’est-ce qui va dans quel t*** »? Seriously? Ca faisait partie de l’histoire, au départ?
Peut-être que c’est moi qui n’ai pas bien saisi la portée du roman.
Tout ça pour dire que c’est un roman pour rire un coup, ça donne limite le goût d’avoir un cochon à la maison (et de bonnes assurances), même pour une fille qui n’est pas très « animaux » comme moi. Tiens, c’est peut-être ça, le problème, en fait! J’ai du mal à concevoir qu’un animal puisse être si important pour quelqu’un, même si je le vois super souvent autour de moi!
Une lecture en demi-teinte, donc!
24 Commentaires
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Comme j’adore les p’tits cochons, peut-être que ça me plairait?
Grominou: Sérieusement, vu ce que tu aimes normalement, je ne sais pas… c’est un gros gros guess!
Bof, en matière de zoothérapie par le cochon, je vais m’en tenir au jambon…
Ys: Et moi au bacon. Béni soit le bacon!
Les romans qui font rire sont rares. Il faut d’abord en avoir envie (ce qui n’est pas toujours le cas) et aussi que ce qui fait rire l’auteur nous fasse rire aussi. Etre psy ne doit pas engendrer la rigolade…je choisis le cochon et je vire la psy…alors là peut-être !
Le Papou
Le Papou: Peut-être! Mais la scène dans l’appart est à mourir de rire. Quant au reste… très bof. À mon goût à moi, of course.
Message pour Yspaddaden : Je t’adore !
Message pour Karine : Toi aussi !
Le Papou
Le Papou: Mais j’espère bien!
100 % d’accord, y compris pour la fin à toute vitesse (bâclée?)
Keisha: Oui, j’ai trouvé ça aussi. Bâclé. Un peu too much. Un peu tout dans la même direction. On se demande d’où ça sort d’ailleurs, vu qu’il n’y avait pas vraiment de questionnements là-dessus avant… ou bien peut-être que j’ai manqué le truc….
Un roman qui décidément ne me tente pas.
Alex: Disons que je ne suis pas celle qui va te tenter, en tout cas… J’avais le goût de rire, pourtant.
Et bien je connais quelqu »un qui a un cochon nain dans sa maison (bon, d’accord, c’est à la campagne, mais il divague librement dans la maison !)
Gambadou: Ah oui, quand même! J’espère qu’il ne tient pas trop à ses planchers! Mais c’est super cute, un petit cochon, je comprendrais qu’on puisse en vouloir un. Mais dans un appart, je ne sais pas trop hein!
je suis comme toi, j’ai un chat mais suis loin d’en faire ma priorité. Question d’éducation, je pense…
Violette: je pense aussi. Ou d’allergies, dans mon cas!
Pourtant, il était mignon ce cochon.
Valérie: Oui,il était cute comme tout!
Pas du tout accroché pour ma part, je l’ai abandonné à la moitié. 😉
Fabienne: Et pourtant, ce n’était pas super long! On est raccord, quelle surprise!
j en’ai pas aimé , ça partait trop en vrille!
Clara: D’accord… et cette fin que j’ai trouvée sortie d’on ne sait où…
ah ben zut, je l’aimais bien, ce cochon sur la couverture !
Liliba: Le cochon est en effet très mignon. Je n’ai juste pas du tout accroché.