La semaine dernière, sur la page FB du blog, j’ai fait un charmant commentaire, comme ça, mine de rien. Bon, ok, pas mine de rien. J’avoue que j’étais pas mal fière de moi-même, en fait. Quand même, ça faisait un moment que j’avais limité les gaffes à un minimum. J’avais même utilisé un fusil à colle chaude et une aiguille – si, si, même que c’était la même soirée – sans coudre mon ouvrage sur ma robe ou me coller les cheveux sans espoir de décollage. J’étais pas mal fantasque, faut croire.
Épisode 1
Il était donc une fois un beau samedi matin où je traînassais chez moi. La porte sonne. Étrange, donc. Ma maison est généralement une gare, personne ne sonne. On entre ou alors on tambourine en chantant à tue-tête. (Oui, j’ai des amis comme ça. No comment.) J’ouvre et je tombe face à face avec un charmant pompier. Première pensée: bon, merde, la maison brûle et je ne m’en suis pas aperçue… super, c’est tout moi. Deuxième pensée: oups, merde, je suis en pyjama et plutôt échevelée (voir plus haut l’ajdectif « charmant ».
Mais comme je ne suis pas Stephanie Plum ou une héroïne de comédie romantique (quoi que des fois… on se demande hein…), le pompier n’en voulait pas à mon corps mais à mes détecteurs de fumée. Inspection annuelle. Super. Bon, je sors le manche à balai over-glamour (j’ai un plafond semi-cathédrale, même en montant sur une chaise, on ne peut pas l’atteindre à moins d’être un géant), il vérifie les trucs et déclare – mais avec le sourire – que ça va, mais que ce serait mieux si je changeais les batteries, vu qu’elles sont un peu faibles.
Ok. Je ne dis jamais non à un homme en uniforme. Mon côté mouton. Je change donc les dites batteries. En montant sur un escabeau. Celui du voisin. Sans tomber. Ni même manquer tomber. Je vous jure, j’étais sur une bonne lancée.
Épisode 2
Quelques jours plus tard, en soirée. Je suis pressée, entre deux trucs over importants, of course. Aller prendre un verre avec une copine, c’est im-pos-si-ble de songer arriver en retard. Mais bon, comme verre (ajouter « s » au choix) en vue, ça veut dire qu’il faut manger. Super, ya quelque chose dans le frigo. Des pâtes fraîches, des sauces… my god, incredible. En 15 minutes, je dois manger, me changer. Ce qui n’est pas du tout gagné, quand on me connaît. Mais bref, j’y mets tout plein de bonne volonté.
Je me rends jusqu’à l’étape « mettre les pâtes dans l’eau préalablement salée » sans problème. La sauce cuit sur le rond d’à côté et dans ma grande fantasquerie – voir ci-haut – je décide de faire bouillir de l’eau pour un thé, que je boirai en route. En m’habillant. Donc, sans trop brasser les pâtes. Et, aussi – aucun rapport avec l’activité de me changer – sans trop baisser le rond. Ça, c’est parce que c’est moi.
Et là… un bruit INFERNAL. Je pense que c’est vrai que les batteries devaient être faibles parce que bon, c’était sans commune mesure, hein… je suis certaine que le quartier au complet a entendu. En plein processus de changement de soutien-gorge (je vous laisse imaginer mon look sans le décrire, merci), je me précipite vers la cuisine, prend une chaise, monte dessus, essaie de faire de l’air avec une main pour que la machine-terrifiante-qui-crie-fort arrête. Sans succès. Cours ailleurs. Réalise que bon, baisser le rond, ça serait bien. Un petit coup de cuillère, enlève la bouilloire qui s’est elle aussi mise à siffler (je vous jure, le concert), repars, déterre mon grand évantail de flamenco de dessous mes jupes et me voilà, en train d’éventer mon détecteur de fumée avec un évantail, toujours debout sur la chaise, toujours à moitié habillée (considérer tout de même que le détecteur n’est PAS face à la verrière… quand même, ça compte, hein). Au moins, il n’avait pas de plumes, c’est toujours ça de gagné…
Bon, ça s’arrête, je retourne à mes pâtes, je rebrasse, retourne m’habiller… et le concert est reparti. Là, j’avoue que j’ai un peu sacré. Retour dans la cuisine, un petit coup d’évantail en passant, les cris se font intermittents, je décide que bon, ça suffit, que les pâtes auraient besoin d’une petite minute de plus mais que j’en ai ma claque, je constate que la sauce bouillonne pas mal, je me trouve trèeeeees intelligente en pensant à l’enlever de sur ce rond et je verse, en toute hâte, les pâtes dans la passoire sur pieds géante-spécial-ikéa-que-j’adore.
Qui était SUR le comptoir. Ce qui signifie PAS dans le lavabo.
Tabar… (oui, j’arrête, je suis polie. Des fois)
Il y a donc de l’eau – bouillante… le détecteur ne sonnait pas pour rien – partout. Vraiment. Je fais un bond de gazelle par en arrière – le but étant d’éviter de m’ébouillanter – pour atterrir les deux fesses sur mon îlot et contempler – safely – le désastre. Au moins, les pâtes ne sont pas perdues, c’est toujours ça.
Quelques minutes plus tard, je suis donc à quatre pattes dans la cuisine, armée d’une pleine brassée de chiffons divers en train d’éponger l’eau qui s’est – of course – glissée dans chaque pli de céramique, laissant derrière elle le truc blanc qui reste là quand on fait cuire des pâtes. Et là… BIP BIP BIP (imaginez à un nombre élevé de décibels)… le f… détecteur de fumée qui repars. Bon, les dégâts sont contrôlés, je cours – with évantail rose, qui a décidément bien des définitions de tâches – pour tenter de le faire taire. Et j’évente, évente, évente… Sans résultat. Non mais il n’y a plus RIEN qui cuit, le machin doit certainement s’être déprogrammé ou encore il doit être en crise d’adolescence. Ou alors bon, il est vraiment trop content de ses nouvelles piles et tient à les essayer. Et là, j’ai chaud, et je commence à en avoir pas mal ma claque, en fait… Je songe sérieusement à enlever les batteries…
… quand soudain, mon nez détecte une drôle d’odeur.
Genre, de brûlé.
Je vole jusqu’à la cuisine… pour réaliser que bon, il y a genre une drôle de substance qui fait que je me croirais dans un brouillard écossais. Un brouillard plus intense aux environs du poêle… J’arrête, je plisse les yeux et j’observe le setting d’un regard soupçonneux…
F***
La sauce. Que j’avais changée de rond. Et que j’avais déposée, bien innocemment, sur le rond d’à côté. Celui où j’avais fait bouillir de l’eau pour le thé. À puissance maximum. Et que je n’avais pas fermé.
Soupir.
Ai-je besoin de vous préciser qu’après avoir réglé la situation, jeté la sauce carbonisée, mis la casserole à tremper et évité
un incendie pour cause de stupidité culinaire, j’ai dû me laver les cheveux (qui sentaient la fumée à 4 km), me changer (bon, quelques gouttes d’eau, ça sèche, sentir le feu de camp dans un pub, ça le fait genre un peu moins), j’ai failli manquer ma soirée-drinks? Bon, par chance, la copine en question me connaît et n’a même pas été plus surprise que ça, hein. Soupir. Des fois, je m’aime juste moyen.
Et j’ai mangé des pâtes… avec une sauce sans cuisson. Qui, pour mon grand bonheur, a l’avantage d’exister, et d’être bonne, en plus.
Thank God for small favors.
74 Commentaires
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C’est… irrésistible ! J’imagine que pour toi, ça l’est un peu moins, mais tu le racontes tellement bien, que tes petits malheurs deviennent charmants ! 😉
Erzie: Ah, tu sais j’ai l’habitude de mes petites gaffes! ;)) ET tu es super gentille!
, pardon, mais c’est trop drôle à lire (comme le dit Erzie, tu racontes ça super bien) !
J’ai aussi ces tendances-là, si ça peut te consoler, j’ai déjà fait fondre une friteuse en la mettant sur une plaque éléctrique, et le basilique en pot de ma mère que j’avais mis à la fenêtre (à sa demande !) est naturellement tombé…du troisième étage (il a miraculeusement survécu) !
Donc tu n’es pas la seule maladroite !
Jainaxf: Dis donc, il voulait vivre, ce basilic! Et j’avoue que bon, faire fondre une friteuse, je n’ai pas fait encore. Faire exploser des tasses, une spatule, oui… mais une friteuse, c’est over fort!
Ah oui ça faisait longtemps ;-D Excellent !
Sandrine: Yep… c’est ce qui arrive quand on est au dessus de nos affaires et qu’on s’En vante, hein!
ça ferait un exellent chapitre de livre! au moins on sait à quoi servent les extincteurs chez toi;)
Esmeraldae: Et on sait surtout qu’ils fonctionnent. À volume heu.. élevé, on va dire!
Lorsque j’ai lu, j’ia bien ri, mais j’imagine que sur le coup ça n’a pas dû être le cas pour toi. 😉
Leiloona: Ah mais tu sais quand je trouve que mes petites mésaventures tombent dans le grand n’importe quoi, c’est comme si je me détachais de la situation… je vois ça de l’extérieur et je finis par trouver ça assez drôle. Ce qui, bien entendu, n’est pas over efficace pour régler les problèmes!
Une sacrée histoire qui finit bien. As-tu passé une bonne soirée ?
Toujoursàlapage: Yep! Très bonne soirée. Je le méritais, mon drink!
j’aime !
(et j’aime te lire, je me sens moins seule !)
(rapport avec FB ?)
Llystig: Le rapport avec FB, c’est que je m’étais vantée sur FB il y a peu que j’étais devenue sage et plus précautionneuse… et que du coup, je ne faisais presque plus de gaffes. ET bang, quelques jours plus tard, ya ça! Ravie de voir que je ne suis pas la seule gaffeuse!
Est-ce que ça hurle aussi dès qu’on allume une clope ?…
Moustafette: En fait, je ne fume pas alors je ne sais pas… Mais bon, je ne dirais à personne d’aller fumer dessous hein! À moins de vouloir leur passer un test d’audition cheap!
Super mésaventure Au moins tu as du te dire que ça serait quelque chse de drôle à raconter, c’est déjà ça
En fait, ça aurait pu passer pour une pub de sauce pour pâtes…
Bonne chance pour la prochaine fois !
Perrine: Je devrais vendre mon idée à la sauce, tiens… je suis peut-être une future millionnaire qui s’ignore!
Et bien, tu m’as fait sourire, ce matin !!
Merci beaucoup !
Amitiés !
Richard: Mais de rien! Bonne journée! En espérant que tu as gardé le sourire!
Incroyable… parfois je me demande si tu existes vraiment Karine:) En tout cas sinon il faudrait t’inventer 🙂
Hérisson: Yep, j’existe. Et je suis vraiment comme ça. Je ne sais pas si c’est un bien ou un mal, en fait!
Ça aurait été un épisode de sitcom parfait! Super bien décrit. La bière a dû être bonne après tout ça 🙂
Mélodie: Mets en que la bière était bonne! Je la méritais, en tout cas.
Eh bien… quelle aventure… qui me rappelle certaines des miennes. C’est toujours quand on n’a pas le temps que les galères s’enchaînent ! En tout cas, vous avez une excellente plume, je suis ravie d’avoir découvert votre blog ! Merci !
Amélie: Merci pour ton commentaire, c’est bien gentil! Et oui, les petites misères ont le don pour choisir leur timing, n’est-ce pas!
Merci pour cette belle tranche de rigolade et euh…j’espère que ta soirée sera plus calme!
Phooka: Elle a été bien agréable… et cette aventure a bien fait rire tout le monde. C’est qu’ils commencent à avoir l’habitude, hein!
ça donne vachement envie que ça soit obligatoire en France, ces trucs là !!!!
L’Irrégulière: Parce que ce ne l’est pas? En fait, normalement, c’est super pratique, mais là, les piles neuves, disons que la sensibilité était légèrement exacerbée!
Je ris, je ris mais le pire c’est que ça pourrait bien m’arriver ce genre de situation (dit celle qui un jour ou elle n’était pas réveille a fait passer un thermo de café … alors que le thérmo était déjà plein. Ma mère ne s’en est toujours pas remise)
Axl: Ah mais tu as le droit de rire hein! ;)) Des fois, je me regarde et je me dis qu’il vaut mieux en rire qu’en pleurer! Et bien vu pour le café… j’avoue que je n’y aurais pas pensé!
Hihi. Non, je ne dis pas « hihi » parce que je me moque, loin de moi cette idée *air angélique* mais parce qu’il m’est arrivé un gag identique quand je me suis installée chez moi. Parce que mon père avait jugé tout à fait approprié d’installer mon détecteur de fumée JUSTE au dessus de la cuisinière. Sauf que la première fois que j’ai fait cuire des pâtes (décidément, c’est dangereux) la simple vapeur dégagée par la cuisson a fait HURLER le truc. J’ai juste cru que ma tête allait exploser, splash ! Bon, par contre je n’avais point de sauce à faire brûler, mouarf. (ceci dit une fois j’ai carbonisé une casserole en tentant de faire une crème pâtissière…)
Aurore: Non, le détecteur, juste au-dessus? Danger public. Et oui, les pâtes, c’est over dangereux. La cuisine, c’est over-dangereux. On devrait limite recevoir une prime-risque à chaque fois qu’on s’y essaie!
Si ça peut te rassurer, j’ai déjà fait le coup de la passoire sur le comptoir!
Grominou: Ah oui, sérieusement, ça me rassure. J’ai vraiment douté de ma santé mentale, sur ce coup-là!
HIhi !! Vive les sauces sans cuisson !! ;o)
J’aimerais bien que les pompiers viennent vérifier nos alarmes nous !!
Sandy: C’est bien les pompiers. Il faudrait juste qu’ils appellent avant, qu’on ait le temps pour le brushing!
Très drôle ! Enfin, comme tu le racontes, parce que le vivre, j’imagine, était beaucoup moins amusant !!!
Sofynet: Sur le coup, je rageais un peu… mais au bout d’un moment, c’était tellement débile que c’en était drôle… et je ne me suis pas brûlée, c’est toujours ça!
Mince alors, tu as une façon de raconter assez extraordinaire !
J’ai bien ri, même si à la base cela ne devait pas l’être car un bruit de détecteur de fumée, ce doit être assez terrible !!!
Endea: Merci, c’est gentil! Et oui, le bruit est très, très pénible!
Je ne dirais que quelques mots. Enfin ! on retrouve ta verve, ton humour et ta maladresse, ça manquait !
Le Papou
Le Papou: C’est certain que quand je parle de livres, je suis forcément moins drôle ;)) Quant à ma maladresse… pas trop souvent hein!
Bonsoir Karine,
je suis pas fine mais merci pour l’éclat de rire géant. J’ai lu cette mésaventure, aussi essoufflée que tu devais l’être, ce qui signifie que tu es une bonne conteuse. Mais misère que je n’aurais pas voulu être à ta place, surtout le samedi matin face au pompier. Mais il faut dire que j’ai l’âge vénérable de cinquante-cinq ans, loin de la jolie/charmante jeune femme que tu es.
Ceci dit je fais exactement le même type de gaffe, étant souvent dans la lune. Ça ne s’améliore pas avec l’âge: bonne chance!
Lise qui n’a pas de blogue
Lise: Merci, c’est gentil! Tant qu’à faire des folleries, autant faire rire, ça dédramatise les bébé-malheurs! Et croyez-moi, le samedi matin, je n’étais pas particulièrement cute ;)) Et je pense que c’est le karma des personnes dans la lune, ce genre de mésaventures!
Grandiose le coup de jeter les pâtes dans la passoire hors lavabo.
Je ne l’ai jamais faite celle là, et pourtant, j’en fais ! 😀
Cess: N’est-ce pas. J’ai beaucoup d’inventivité côté gaffes!
Mon entourage me considère comme gaffeuse, mais, alors, là !!!!
Tu es sûre d’habiter la bonne planète ???
Quand les jeux olympiques de la gaffe auront lieu, je suis sûre qu’on te retrouveras à la 1ère place sur le podium !
Merci pour ce bon moment de rigolage…et quel style ! (et je ne parle pas que de celui avec lequel tu uses de ton éventail…).
Somaja: Pour la planète, je ne sais pas vraiment, en fait… c’est une quesiton que plusieurs se posent! Merci pour ton comm!
J’adore ta conclusion ! Quelle philosophe tu fais quand-même ! Mais je suppose que sur le moment tu dois être moins zen !
Et alors, verdict pour ton détecteur ? Il est déréglé ?
Bon, même si c’est pas joli-joli de rire du malheur des autres, merci pour la tranche de rigolade !!!
Bladelor: Sur le coup, yep, je suis un peu moins zen… mais j’avoue que la plupart du tmeps, je finis par trouver ça drôle… et mon détecteur va un peu mieux. Sauf qu ej’avoue qu’à part pour faire bouillir de l’eau, je n’ai plus utilisé le poele, hein!
je suis sans doute très cruelle, mais j’adore tes mésaventures et ton talent pour nous en parler
Niki: Bah non 😉 Une fois écrites, je les trouve beaucoup moins dramatiques, vous pouvez rire!
Ah! oui, ça faisait longtemps… Je lisais et je voyais toute la scène ! Ne manquait plus que le gentil pompier qui serait venu te surprendre en soutif, les bras en l’air éventant l’alarme, les nouilles au sol.
Syl: J’ai été bien sage pendant un moment, c’est pour ça qu’il n’y avait plus de billets… et bon, je ne sais pas si le gentil pompier aurait survécu à une telle vision!
:)))) le « juste moyen », c’est déjà pas mal… 😀
Violette: Yep. Il faut quand même que je m’aime encore un peu hein!
Oh my…!! J’ai bien ri Karine! 🙂
Et je salue ton optimisme de fin de billet!! ^^
Des bises!
Mlle Pointillés; Des fois, on a pas trop le choix d’être optimiste hein!
Superbe bill qui met du baume au coeur à celle qui crame tout (moi). Bon, plus maintenant car depuis cette année, c’est mon mari qui fait la cuisine et c’est bien mieux pour tout le monde (sauf pour mes enfants qui préféraient manger des pâtes ou du riz- même cramés- tous les jours).
Valérie: Au moins, je me sens moins seule à tout cramer, hein! ;)) Je devrais m’engager un mari pour faire la cuisine, tiens!
Y a-t-il quelque chose à redire là-dessus … huum, ah oui ! mais c’est ça qui fait ton charme voyons ! Au fait, les pâtes avec du beurre aussi c’est une solution, c’est pas très bon, mais ça demande pas de cuisson hi hi hi 😉
GeishaNellie; Bonne idée pour les pâtes au beurre… le pire, c’est que je ne trouve même pas ça vraiment mauvais!
Un truc: Olivieri, au micro-onde… sans danger! Mais encore, tu serais bien capable de faire sauter ton micro-onde hein!! 😀
Abeille: Ah, voilà, tu commences à me connaître… RIEN n,est sans danger, quoi qu’il puisse sembler!
Mouhahahaha il y a un pasage dans pars vite et reviens tard, où un personnage parle du danger qu’il y a à contrarier les objets (kekchose comme ça) faudrait que je le retrouve… j’ai trooooooooooooop hâte de te voir 🙂
Yueyin: Disons que je contrarie quotidiennement mon environnement, en fait… c’est l’explication à tout!
Je ne t’inviterai pas pour faire la cuisine, ça c’est sûr 😉 mdr !!! Moi aussi, j’ai tendance à oublier les choses sur le feu mais ça ne prend jamais feu ni ne fume beaucoup … heureusement !
Joelle: Ca, c’est l’avantage d’être une catastrophe ambulante… personne ne nous demande jamais d’aider ou de faire quoi que ce soit! ;))
Ben c’était une drôle de soirée dis-moi?! J’espère que ce n’est pas à chaque fois comme ça?
La plume et la page: Le problème, c’est que ça arrive assez souvent, ce genre de choses. Yep… je suis une catastrophe ambulante, en fait!
J’adore… ça pourrait être une scène de film… Ou l’héroine serait très attachante… En tout cas tu es parfaite pour raconter ça d’une façon divine.
Bises (quel été de m.rde en france !!!)
L’or des chambres: Merci, c’est gentille. Ma vie ressemble malheureusment un peu souvent à un film-catastrophe…