Ça y est, on revient! Retour à Paris pour mes parents et moi, et dans ma tête, c’est un retour chez moi. Mon chez-moi pour les prochains mois. Je vous avertis tout de suite, les prochains billets risquent d’être très plates parce que je ne ferai RIEN. Anyway, avec tout le lavage que j’ai à faire, je n’aurai plus de vêtements pour sortir, ce qui règle le cas des pérégrinations!
Départ après que papa ait eu fait le plein de café, de chocolats et de gomme pour la route. On n’a pas tout à fait 5h à faire mais avec le trafic (et bon, on arrive quand même à Paris hein), on ne sait pas… et on essaie de réduire les causes de problèmes. Finalement, je ne sais pas pourquoi tout le monde nous dit que les routes de Bretagne, c’est une catastrophe. Sérieux, ça roule super bien. Même qu’on aurait eu le temps d’arrêter à Rennes, selon maman.
Aucun événement incroyable sur la route. En fait, je dors presque tout le temps. C’est psychologique chez moi. Longue route = dodo. Je fais même pas exprès.
Si les parents avaient fait leurs valises, ce n’est pas du tout mon cas. Mais alors pas du tout! Ma valise est presque vide… mais j’ai des dizaines de petits sacs qui trainent dans le coffre, sans compter les caisses de vin, les verres… c’est l’enfer! J’ai foutu un bordel monstre dans l’entrée de Fabienne… bordel qui est déménagé dans la chambre de Constance à l’heure qu’il est. Quelle tête elle va faire demain, la pauvrette! C’est… impressionnant!
Ceci dit, je suis ravie de retrouver Paris et « ma » rue!
Après un petit verre de coca, maman est prête à repartir, question de ne pas perdre sa journée. Elle a en tête d’aller à l’orangerie voir les Nymphéas, sauf que le premier dimanche du mois, c’est quand même toute une aventure. Finalement, ils sont allés jusqu’à la tour Eiffel. A pieds. Aller-retour. 12 km. Rien que ça. Pendant que Fab et moi mettions notre placotage à jour. Bon, j’étais très décousue, disons… je n’arrivais plus à me suivre moi-même!
Je dis au revoir aux parents (3 mois sans les voir… la fille fusionnelle que je suis risque de s’inquiéter!) et on s’enligne pour une soirée girly foot-vin-apéro. La France joue contre l’Islande. Bon, je prends pour l’Islande. Pour une vague raison ayant rapport avec un certain fantasme viking, gros bras, barbes et longs cheveux. Ceci dit, le clapping islandais me plaît terriblement. Bref, je ne prenais pas pour la bonne équipe, surtout qu’il y avait une spécialiste du foot dans la place, en la personne de Blandine, une amie de Fabienne!
Ceci dit, j’étais assise dos à la télé (mais je sais ce qu’est un hors-jeu, maintenant) la moitié du temps, mais comme on est des fans de foot lambda, on a surtout discuté d’histoire des pays nordiques entre les buts. Ceci dit, on a eu de la chance, il y en a eu. Pas pour l’équipe pour laquelle je prenais, certes. Mais il y en a eu quand même. Et ils ont fait leur clapping à la fin. J’étais donc satisfaite.
Ceci dit, Mo et moi, on veut bien aller consoler les islandais. Ou faire le tour de l’Islande. À cheval. Ou tout ça. Et non, on avait pas bu tant que ça!
J’ai fini par tomber de sommeil à 1h30 du matin, pendant que Fab, Mo et Blandine continuaient à placoter. De foot, of course. Quoi d’autre.
À bientôt!
2 Commentaires
C’est dommage que les Islandais aient joué contre les Français car j’aimais beaucoup cette équipe. Et dommage que tes parents soient repartis, c’était savoureux de les suivre 🙂
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Mes parents sont des sacs à farces! Je me suis ennuyée aussi!