Les photos (sauf une) sont des photos promotionnelles… je voulais faire des screencaps mais j’ai écouté le tout sur la télé de mes parents (ils passaient tous les uns à la suite des autres – en pleine nuit) alors je n’ai pas tout revu pour chercher des images. Inutile de dire que mes parents me prennent pour une complète cinglée après ça et qu’ils envisagent de me faire subir une Doctorectomie cérébrale… J’espère que vous me pardonnerez…
(Et un billet qui ne sera lu que par quoi… 3 personnes. Je pourrais presque les nommer!)
Parce que je suis une Christmas freak et que je ne peux m’empêcher de parler Noël un mois pré et un mois post, vous avez droit en ce 26 décembre à un billet au sujet des divers Christmas Specials de mon alien préféré. C’était supposé être synchro avec les copinettes… mais bizarrement, elles ont zappé. Je en qui que désespoir. Bon, je ne parlerai pas de l’épisode de Noël où Ten s’est regénéré en Eleven parce que je suis chez mes parents actuellement et que je ne tenais pas particulièrement à me donner en spectacle en devenant un torrent de larmes pendant 2 heures. Parce que c’est ce qui arriverait hein. J’en ai juste vu des extraits et j’étais dans tous mes états. Du coup, les Christmas Specials. Sans « The end of time ».
Parce qu’entendons-nous bien, il arrive toujours de drôles de choses à Londres, à Noël. Scary things!
Et bon, parce que ce sont des vieux épisodes, je me permets de spoiler un peu hein… soyez-en avertis... Et sur celui d’hier, je fais plus attention. Mais bon, il y a un paragraphe qui dit des choses, tout de même… Je vous avertis quand ça arrive!
The Christmas Invasion – 2005
« Sycorax: Witchcraft!
Doctor: Time Lord. »
Situé au début de la saison 2, juste après la regénération de Nine en Ten, c’est aussi le seul Christmas Special où il y a la compagne « régulière » du Docteur qui est présente tout le long. Une chance qu’elle y est, au fond, vu que Ten, fraîchement – mais soooo parfaitement – formé n’est pas encore tout à fait au point. Parce qu’avec l’intrigue principale, remplie de Pères Noël tueurs et de sapins tourbillonnants – mais tout aussi dangereux, nous à gérer un Docteur en pyjama – qu’il porte ma foi très bien – qui ne sait pas encore très bin qui il est et qui le découvre avec nous (yes, don’t worry, you’re sexy, Ten). Il y a – encore- des aliens qui en veulent à la terre sauf que cette fois, Rose doit se débrouiller seule pendant une grande partie de l’épisode, avec seulement Jackie – qui me fait mourir de rire malgré tout – et Mickey, qui fait son possible. Elle ne sait plus trop à quel monde elle appartient et n’est pas vraiment à l’aise, sans le Docteur, dans ce monde. Et qui, en même temps, réalise pleinement qu’il n’est pas humain. Sa détresse est tangible et son « he left me Mom » fend le coeur, surtout quand on connaît la suite des événements. Les remarques de Jackie « Two hearts? Is there anything else he’s got two of? » ou « he hasn’t changed that much » ajoutent un côté comique au truc qui ne l’est pas forcément, passés les killer décorations de Noël.
J’adore revoir les premiers pas de David Tennant en Docteur, j’adore le voir se battre à l’épée en pyjama et le moment où on réalise qu’il va venir à la rescousse est jubilatoire (Yes, we missed you). Son « No second chances, I’m that sort of a man » est mémorable. Sa dualité est très évidente à ce moment. Mais cette version du Docteur va quand même énormément, énormément s’humaniser avec les années. Et cette finale, tout en constrastes, où personne n’a raison et où personne n’a vraiment tort, dépendant du point de vue et des priorités, est déchirante. Et la réaction du Docteur… Et la neige… so sad…
Cet épisode me plaît surtout pour l’évolution des personnages. L’intrigue en soi n’est pas la plus géniale du monde, même si, comme souvent, elle tourne les figures rassurantes en monstres. Mais pour voir les premiers pas de David Tennant – ses expressions, son ranting – et la réaction de Rose, qui doute du « nouveau » Docteur et qui se demande ce que sera l’avenir, ça vaut le coup.
Et après avoir vu cet épisode, j’ai commencé à proposer « A nice cuppa tea » à tout le monde dès qu’il y avait un problème. À leur grande joie , of course.
I love David Tennant.
The runaway bride – 2006
« Look what I’ve got, Donna. Pockets. They’re bigger on the inside »
Remettons-nous en contexte. La première fois que j’ai vu cet épisode, c’était tout de suite après avoir fini la saison 2 et je ne m’étais pas du tout, du tout remise du choc. Limite que je pleurais encore, en fait. Même si c’était le lendemain. Bref, bon, disons que l’adaptation à la première apparition d’une Catherine Tate – légèrement hystérique – en Donna Noble n’a pas été super facile. Mais réécouter cet épisode après a voir vu la saison 4 et après avoir appris a adorer le personnage de Donna, qui manque toujours toute l’action, selon elle, c’est quand même autre chose. Même si ensuite, elle n’est jamais aussi complètement hors-contrôle que dans cet épisode.
L’épisode commence tout de même fort, avec une série de « What » très Tennantesques et une Donna – apparue out ouf nowhere en robe de mariée – pas intimidée pour deux sous et qui ne veut qu’une chose: se marier. Ce n’est pas le Docteur – un martien, selon la Donna-logique – qui va l’impressionner. C’est aussi le retour des Pères Noël tueurs (et des killers christmas trees), ce qui donne droit à une course poursuite en Tardis que j’ai pour ma part adorée. Bien entendu, il y a un gros méchant alien derrière tout ça.
Cet épisode, en plus d’être un épisode de Noël nous permet de faire la transition entre la saison 2 et la saison 3. Le Docteur est en deuil de Rose et même si, comme d’habitude, il réussit à donner le donner le change (because the doctor is always okay, n’est-ce pas), à certains moments le visage du Docteur reflète une terrible tristesse et on sent énormément de sentiments très humains. On sent qu’il n’a pas laissé Rose de bon coeur et qu’il en souffre réellement. Mais malgré tout, il reste « clever » et même « funny » jusqu’au bout et va encore une fois sauver Londres. À Noël.
Bien entendu, il y a plusieurs moments qui
laissent présager de ce que sera la relation entre le Docteur et Donna, de l’amitié, de la vraie, sur un pied d’égalité, d’une certaine façon. Donna le lit mieux qu’elle ne lit la plupart des gens et leurs dialogues ma foi très heu… honnêtes et sincères, sont déjà présents dans cet épisode. Et ce même si elle est sincèrement dépasée par tout ça et que le docteur « scares her to death ». (Et le petit thème musical de Donna, j’adore!) Il a sincèrement de la peine pour Donna quand il réalise ce qui arrive et malgré tout, il s’émerveille de tout et tente de la consoler à sa manière (moi, il me consolerait n’importe quand hein… je soupire, je soupire). Nous avons encore droit à un Ten qui tente de sauver tout le monde par son visage quand il doit terminer tout ça, on entend presque son habituel « I’m sorry. so, so, sorry », alors qu’il va contre ce qu’il ferait s’il avait le choix « for the greater good ». Encore une fois, la finale est triste, presque déchirante et on ressent la terrible solitude du Docteur, qui restera toujours seul au final. A stranger.
Bref, un épisode que j’ai nettement préféré après avoir vu – et revu – la saison 4 qu’à la première écoute!
And I still love David Tennant.
And I still miss him.
The voyage of the damned – 2007
« You’re not falling… you’re flying… »
Non mais franchement, qui a bien pu avoir l’idée de nommer un vaisseau spatial en l’honneur du Titanic, hein? Malgré tout ce vaisseau est magnifique et les décors également. La saison 3 avait fini alors qu’une proue de bateau défonçait le Tardis et ce special commence encore une fois avec une série de « What » de Tennant, tous plus expressifs les uns que les autres. J’adore quand David fait « What »! Et j’adore aussi David en complet. Idéalement avec un noeud ou une cravate qui ne soit pas en léopard. Donc, Allons-y Alonso!
Disons-le d’emblée, j’aime beaucoup cet épisode. J’adore Kylie Minogue et j’adore Ten, ses regards, son émerveillement, sa voix, ses sarcasmes, ses répliques pince-sans-rire, son intelligence et ses sourires qui sortent de nulle part. J’aime les gens qu’il rencontre, j’aime comment il sait dépasser les apparences qui sont parfois trompeuses. J’adore la vision de Londres désertée et j’adore pleurer comme une madeleine à la fin parce que bon, Astrid avait le potentiel d’émeveillement, la grandeur d’âme pour accompagner le Docteur et même pour compter pour lui.
Malgré le côté tragique de l’épisode, qui est fait comme un disaster movie, il y a des moments réellement comiques. La description de Noël par les « historiens » est hi-la-ran-te. Vraiment. Mais c’est surtout un épisode où on voit de l’héroïsme et où on sait dès le départ qu’on n’en sortira pas indemne. Il y a énormément de personnages touchants. Le rythme est rapide, nous sommes clairement en plein désastre, avec des sauvetages de dernière minute, du feu et des morceaux qui tombent du plafond. Mais également des moments très émouvants, des moments de poignante honnêteté. La marche du Docteur à travers le bateau en flammes à la fin, alors qu’il vient de perdre beaucoup, entre autres, vient me chercher à chaque fois. Tant de tristesse et tant de détermination à la fois… Et cette joie intense malgré tout à la fin. Pour passer ensuite à une terrible impuissance quand il réalise qu’il ne peut plus rien faire…
Bref, un épisode que j’ai tout de suite aimé et que j’aime encore!
Et quand même… la reine en bigoudis…
The next Doctor – 2008
« They leave, because they should. They found someone else, some of them, they forget me… I suppose in the end, they break my heart… »
Dernier épisode de Noël avec David Tennant, le premier de ces specials qui m’ont brisé le coeur (Pimpi s’en souviendra). Nous retrouvons un Docteur qui vient de perdre tous ceux qu’il aime (après la saison 4 donc), qui se protège, parce que bon, même pour lui, c’est difficile et il est impossible de ne pas faire le parallèle entre la situation du « next Doctor » et celui du réel Docteur. Il faut aussi mentionner la performance de David Morrissey (que j’adore) dans le rôle du next Doctor. Un très bon épisode selon moi.
Le Docteur atterrit alors dans le Londres de 1851. Un Londres protégé par un certain Docteur, qui semble avoir perdu la mémoire. L’atmosphère est très dickensienne, avec les lampes au gaz, les personnages qui s’agitent en surface mais également l’autre Londres, plus sombre, celui des workhouses où l’on fait travailler des enfants, celui où les femmes n’ont pas de droits et où elles dépendent des hommes. Le personnage de Miss Hartigan, malgré son côté diabolique, est pour cette raison très très intéressant. C’est Dickens avec un petit accent steampunk, en fait. C’est aussi mon épisode préféré avec les Cybermen.
On réalise encore une fois dans cet épisode la grand solitude du Docteur, qui malgré tout réussit à garder un enthousiasme face au monde qui l’entoure et une réelle préoccupation des gens, quels qu’ils soient, même si lui, il souffre. Et David Tennant, avec son million d’expressions différentes qui peuvent changer 5 fois par seconde, réussit très très bien à faire passer la tristesse qui pointe derrière l’enthousiasme, qui est lui aussi bien réel. J’adore les réflexions à haute voix de Ten, sa façon de comprendre profondément les humains, de ressentir pour eux. J’ai aimé être perplexe avec lui face à la situation du nouveau Docteur, son étonnement face au sonic screwdriver et au Tardis. La réalisation. Son expression quand il mentionne au Next Doctor « You’ve got a reason to live ». So, so sad. Et la finale est déchirante, aussi parce que nous, on sait.
Et j’ai quand même tapé des mains quand j’ai aperçu tous les anciens Docteurs hein… Bref, j’ai beaucoup aimé!
A Christmas Carol – 2010
« Because you didn’t hit the boy… »
Celui-ci, c’est définitivement mon épisode de Noël préféré. « A Christmas carol » revisité, un monde très Dickensien (with petits poissons volants). Ce monde est magique est merveilleux, l’épisode est très Christmassy, avec en arrière plan un vaisseau spatial sur le point de s’écraser – oui, encore – mais surtout le sauvetage d’un homme à Noël (Kazran Sardik, superbement joué par Michael Gambon – qui verra son passé et son avenir changer. C’est le premier Christmas Special de Eleven, qui, je le réalise maintenant, est fidèle à lui-mê
me dans cet épisode. Pour faire le bien, pour réussir, il est prêt à manipuler les gens, à réécrire leur passé et, d’une certaine manière, à manipuler son monde. Il déborde d’enthousiasme mais son côté sombre est aussi très visible, même si, à la première écoute, il m’avait moins sauté aux yeux.
Que dire de cet épisode. Des moments drôles avec Amy (en sexy policière) et Rory (en last centurion) qui sortent de la suite nuptiale, des moments jubilatoire, quand le Doctor réalise ce qu’il va faire, son expression quand il proclame « I’m the ghost of Christmas past ». On ressent vraiment la magie de Noël à chaque Noël, féérique à chaque fois, une parenthèse spéciale drôle et émouvante. Encore davantage quand on connaît la fin de l’histoire. Un épisode qui donne le goût de profiter du moment présent, de ne pas choisir de jour, mais plutôt de vivre tous les jours comme ça. Un duo avec « Frank », le Docteur poursuivi par Marilyn, son air un peu désespéré… mais pas tant que ça… c’est Marilyn, tout de même… Le réveillon avec la famille d’Abigail est génial (le docteur qui fait des tours de magie, c’est hilarant), certaines répliques (très « Eleven »… genre « big big… color ») m’ont fait mourir de rire et d’autres m’ont beaucoup touchée. L’expression, très fugitive, de Matt Smith, quand il dit à Kazran « Better a broken heart than no heart at all » et que celui-ci lui répond « Try it », nous laisse entrevoir que non, il n’a rien oublié, qu’il se protège d’une certaine façon et qu’il y a beaucoup de souffrance derrière son côté clown et manipulateur. (Oui j’extrapole, je sais. J’extrapole toujours quand je parle du Docteur).
Et, pour une fois, de la vraie, vraie, vraie neige pour Noël. Un très bel épisode, magnifique et ma foi très touchant!
The Doctor, the widow and the wardrobe – 2011
« He followed you home ».
J’aime la BBC America. En effet, ils ont maintenant pris l’habitude de nous présenter les épisodes du Docteur en soirée, le même jour. Du coup, je leur envoie tout plein d’esprit de Noël! J’ai donc pu écouter le Christmas Special le 25 décembre, au grand bonheur – sentez-vous l’ironie, ici – de mes parents qui ont dû m’endurer ensuite pendant plusieurs minutes à disserter sur les personnalités des différents Docteurs ainsi que sur les divers épisodes de Noël.
Cet épisode n’est pas celui qui m’a le plus passionnée. En fait, j’ai aimé les références à Narnia, j’ai aimé l’idée, j’ai aimé l’atmosphère de l’épisode mais tout de même, je n’attendais à plus que ça et au milieu, j’ai même eu des moments d’ennui. En fait, ce sont les deux dernières minutes qui m’ont le plus plu dans tout l’épisode… mais j’y reviens.
L’histoire donc… Le Doctor – ou le Caretaker, c’est au choix – a préparé un beau Noël pour Madge, dont le mari vient de mourir à la guerre. Les enfants ne sont pas au courant. Nous avons donc ici un Matt Smith totalement clown au départ. Bavard, gesticulant, courant partout. Ses « I know » ravis. Bref, le Eleven que nous avons surtout vu dans la saison 5, limite surfait, pour compenser quelque chose. Genre le fait qu’en fait, il est seul. Mais rapidement, comme ça, il est comme un enfant dans un magasin de jouets et j’avoue que je veux une maison toute pareille à ça,avec les fauteuils qui bougent et tout. Sauf que bien entendu, ça ne tournera pas comme prévu et qu’ils vont se retrouver en danger et qu’il va y avoir des aliens dans l’histoire (je sais, ça fait beaucoup de « et »). Bref, certains beaux moments, surtout à la fin (« he followed you home »… « It’s Christmas day, my love, where would you be »), plein de bons sentiments (normal, c’est Noël après tout), un univers bien réussi mais quand même… pas le meilleur épisode de Noël pour moi. À cause du milieu.
Mais question… c’est moi où on voit un céleri, un moment donné, dans la séquence d’ouverture? :)))
SPOILERS
Par contre, les deux dernières minutes, quand le Docteur retourne dans le présent, j’ai trouvé ça génial et ça m’a vraiment fait sautiller en battant des mains. Matt Smith est vraiment à la hauteur, vraiment et c’est la vraie première fois où je sens un sentiment vraiment « humain » chez Eleven (oui, trois « vrai » dans la même phrase, I know). Et ça contredit un peu ce qu’il a dit plus tôt (« I can’t anymore »). Et ça passe vraiment (oups, un autre). Of course, on sentait avant qu’il avait le bien des gens à coeur et qu’il tenait à Amy mais c’était un genre d’amour généreux, pas égoïste pour deux sous. Mais là, c’est différent, l’émotion est palpable et j’ai presque eu le goût de faire un peu de happy crying moi aussi. Comme si soudain, il relâchait son contrôle et se permettait de penser à lui et au fait qu’il a besoin des gens. De ces gens. La scène est super, Amy assure également et les voir faire l’enfant est so, so cute. Bref, pour la fin, ça vaut le coup!
Voilà donc, la fin des Christmas Specials pour moi. J’ai été horriblement longue, j’en suis consciente. Et je réalise que j’aime toujours davantage les épisodes après des réécoutes. Call me crazy!
Ne reste plus que 9 mois à attendre pour la série 7 maintenant… d’ici là, vous aurez droit – lucky you – à d’autre billets sur mes épisodes préférés. Il n’y a que moi et 4-5 copines qui les lisons de toute manière… pourquoi s’en priver, hein!
38 Commentaires
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Superbe article ! Justement je voulais me faire tous les « spéciaux » pour Noël, mais je n’ai finalement pas trouvé le temps, shame on me! Tant pis, j’ai recommencé à reprendre toute la saison 4, et je compte enchaîner sur les spéciaux (dont The End of Time…mais comme toi je vais attendre qu’il n’y ait aucun témoin autour parce que je risque de dévaliser tout le stock de mouchoirs en papier que j’ai chez moi…) puis ensuite je reverrai les deux autres saisons…histoire de patienter jusqu’à la saison 7 !!! (by the way, A Christmas Carol est également mon « Christmas Special » favori !)
Aurore: Ils sont longs, les spéciaux, en fait… je n’avais pas réalisé! Je suis en train de revoir toute la saison 5, là… et des épisodes précis pour faire des billets avec les copines. Donc tu risques de voir bien du Docteur les prochains moins, même s’il nous fait attendre. Pour The end of time, je ne m’en sens carrément pas le courage. David Tennant est génial dedans… c’est terrible!
Le dernier : Je viens de le voir et je n’ai vu aucun céleri 🙂
Moi aussi je me suis ennuyée au milieu, et moi aussi j’ai – enfin – vibré aux 2 dernières minutes. « I don’t hug first », j’ai hiiiiiié. Et la larmichette, humany womany, *lovelovelove*.
Cuné: Ok! Je croyais en avoir vu un quand il tombe du vaisseau, au début… mais je suis peut-être dans les patates. Ou sans mes lunettes, c’est au choix. Oui, humany womany… avec la larme… j’ai fondu. Et les voir qui ne veulent pas faire le premier hug… trop cute. J’ai vraiment adoré ce bout-là!
J’adore ton billet !
(Oui, c’est tout, ce soir je fais court. )
Fashion: Toi, faire court… tu es malade où il y a abus de piranhas et de femmes qui courent en agitant les bras dans ta vie présentement? ;))
Trop cool ce post! Mais juste…DOCTOR WHO C’EST LE BIEN épicétou!
Perséphone: Voilà, tu résumes très bien l’affaire!
Tu m’as piqué mon idée 😉 Je voulais moi aussi revoir les épisodes de Noël pour en faire un article. Je commence en tout cas tout de suite avec The Doctor, The Widow and The Wardrobe.
Je suis bien d’accord avec ce que tu dis notamment pour l’épisode avec Donna. C’est en le revoyant après la saison 4 que je l’ai apprécié à sa juste valeur.
Et jusqu’à ce soir (on verra demain) A Christmas Carol est mon préféré, en plus j’été dans ma période Dickens et je suis fan de Michael Gambon.
Julitte: Ma période Dickens ne finira jamais, par contre! Tu as vu The Doctor, the Widow and the wardrobe à date? J’ai hâte d’avoir d’autres avis! Et oui, pour l’Épisode avec Donna, vraiment c’est en le revoyant que j’ai le plus aimé. J’étais trop en deuil de Rose la fois d’avant. Et plus ça va, plus on trouve notre Donna. Mais j’aime Donna. A Christmas est génial génial. Le Docteur arrive comme un ange sauveur qui vient faire le bien et j’adore!
Oh la la quel boulot tu as fourni, je vais noter les titres pour les regarder. Je ne connaissais pas cette expression Christmas freak. Alors continue à célébrer Noël !
Nina: En fait, le Docteur, ce n’est jamais du boulot! Que du plaisir!
J’ai eu la même idée que toi, j’au revu tous les Christmas specials cette semaine en prévision du nouveau…
J’ai bien aimé celui de cette année pourtant, et la fin m’a fait pleurer comme une madeleine! The Doctor cries!!!
Chi-Chi: Et tu as fait un billet? Moi j’ai adoré la fin de celui de cette année… la larme du Docteur, la vraie émotion, émotion pour lui pour une fois, j’ai été émue aux larmes également. Eleven ne se permet pas ça souvent. Le reste j’ai trouvé ça un peu plat, par contre, à part la visite de la maison et le retour à la fin…
Heureux de constater que je ne suis pas le seul perplexe devant le Christmas Special 2011. Personnellement je l’ai trouvé ennuyeux et niais, une double mauvaise surprise quand on a vu de quoi était capable l’auteur. Vraiment je ne comprends pas la volonté du scénario, encore une fois seconde guerre, ambiance trop Narnia au détriment total de Doctor Who sans le moindre développement des personnages qui n’ont de toute façon aucun charisme, même les créatures de l’épisode sont sans intérêt et c’est ça le plus triste. Au niveau du jeu des acteurs je n’ai pas plongé une seconde, la petiote a de l’avenir mais pour les autres c’était d’un rigide… en résumé un bon téléfilm M6 de Noël d’il y a dix ans, un Doctor Who à mettre entre parenthèses sous une couverture.
PS : joli blog, je vais en profiter pour visiter
Bonnes fêtes !
Eloane: Joyeuses Fêtes également! Et oui, je suis un peu perplexe devant cet épisode que j’ai trouvé un peu longuet. Je n’ai pas trouvé ça si terrible que toi mais finalement je suis déçue. C’est clairement un conte (ils ont déjà expliqué que dans les specials de Noël, ils voulaient une ambiance plus bon enfant, le docteur comme un ange tombé du ciel. Mais cette fois, je n’ai pas accroché aux personnages secondaires, qui m’ont plus ou moins touchée. Pas vraiment non plus, en fait. Je vais laisser passer du temps et le revoir.. peut-être que ça me fera le même effet que l’épisode avec Donna… Par contre, la fin, avec Rory et Amy, ça m’a beaucoup plu et je trouve que ça permet de plonger plus avant dans la personnalité de Eleven, qui ne se laisse pas percer à jour facilement.
ça y est, j’ai vu le dernier épisode 🙂
j’ai bien aimé, un conte, de la poésie, tout ce qu’il me fallait. après Dickens, Narnia, ça me plait ! C’est sur, c’est assez cliché, mais c’est Noël !
J’ai pas vu le céleri (mais je vais peut-être regarder à nouveau), mais je me suis posée une question : ils ont où les autres gens de l’avion ? au début ils sont au moins 3 et à la fin le papa sort tout seul 😉
Et maintenant, je vais essayer de regarder les autres, mais je viens de me rendre compte que j’avais tous les épisodes sauf les Christmas Special :'(
Julitte: J’ai aussi aimé le côté poétique, les images… j’ai juste trouvé ça un peu long. Je sais que c’est un épisode de Noël… mais bon. ;)) Je ne m’étais pas posé cette question mais tu as tout à fait raison hein… ils sont où! Et la finale, tu l’as trouvée comment?
Moi j’adore tes posts sur le Docteur ! ET je suis presque d’accord avec tout ce que tu dis sur ces épisodes, sauf que j’ai tout de suite aimé Donna malgré mon deuil pour Rose et que je trouve « Voyage of the Damned » faible (pas fan des films-catastrophes, et le personnage de blonde jouée par Kylie Minogue est un cliché ambulant) !
J’ai eu une bonne impression du dernier special, même s’il m’a moins plu que « A Christmas Carol » (clairement le meilleur épisode de Noël jusqu’à maintennat), sans doute parce que la fin de la saison 6 m’avait laissé un goût amer, donc mes attentes avaient été revues à la baisse et j’étais contente d’avoir un
stand-alone !
Mais j’adore les épisodes de Noël de toutes façons !
Jaina: Moi, Donna, m’a vraiment énervée avec son côté hystérique au départ… mais à revoir, j,ai adoré l’épisode, vraiment. Mais j’ai beaucoup aimé The voyage of the damned quand même. C’est triste et même si elle est cliché, on ressentait une chimie entre elle et le Docteur… du coup, ça m’avait plu. Mais je reverrai l’épisode de Noël de cette année. J’ai beaucoup aimé le début et la fin mais je me suis un peu ennuyée au milieu… dommage pour moi!
Tu te rends compte, je n’ai pas encore regardé l’épisode de cettz année parce que j’ai du retard dans mon visionnage … Dur !
Samarian: Attends, j’ai tout regardé la saison 6 exprès maintenant pour pouvoir écouter l’épisode de Noël! J’étais super en retard aussi, j’avais arrêté au milieu de l’épisode du plastique!
Nan mais je comprend ! Moi j’en suis à l’épisode 11, ça va finalement je gère ^^ (par contre mon mémoire il n’avance pas aussi vite que mes visionnages …)
Samarian: Le boulot avance toujours moins vite que le Docteur, n’est-ca pas!
Faut dire aussi que lui voyage à travers le temps et l’espace …
Samarian: Yep, c’est sûr que ça aide un peu, dans son cas. Mais il nous influence un peu hein!
J’ai beaucoup aimé la fin surtout Amy et le Docteur qui boudent à savoir qui va craquer le premier 🙂 On retrouve dans cet épisode, un Docteur grand enfant qui ne veut pas grandir, un peu comme Peter Pan. C’est bien visible quand il fait visiter la maison : ‘I know’, quand il montre la chambre de la mère : ‘Mum’s bedroom, grown-up, your basic boring.’ ou comment il s’est amusé à préparer la chambre des enfants.
La deception a peut-être été moins grande, parce que j’ai regardé cet épisode après le dernier de Merlin qui manquait totalement d’originalité…
Julitte: Attention, je n’ai pas détesté hein. Je l’ai même vu 2 fois (et demi) maintenant. J’aime réaliser de plus en plus que le côté cabotin du Docteur cache autre chose et j’adore le voir comme un enfant dans ces scènes, avec ses I know! J’ai éré déçue surtout du milieu… il m’a manqué un petit quelque chose. Et la fin… swwweeeet!
Doctor Who c’est tellement bien. De l’humour, de l’action, du… réalisme ? Non je ne crois pas. En tout cas les épisodes de Noël sont vraiment géniaux même si je ne les ai pas tous vus. Il faudrait que je m’y remette.
Epsilon: En effet, pas de réalisme… mais il y en a déjà beaucoup trop dans la vraie vie alors le Docteur, c’est autre chose. Mais d’un autre côté, il y a un deuxième niveau de lecture qui est beaucoup « plus » dans presque tous les épisodes. J’ai bien dit « presque »! J’aime aussi les Christmas Specials. Je passe mon temps à les revoir dans le temps des fêtes!
Encore une fois, je ne lirai pas ce billet !! Je n’ai même pas vu le christmas de la saison 4 mais j’ai quand même commencé la saison 4… Et dire que je vais retourner bosser et que je ne pourrais pas passer mes journées à regarder le docteur !!! 🙁
Emeraude: Comme je te le dis dans les comms (oui, je te parle même si tu n’as pas commenté), tu peux lire les deux premiers épisodes. MAis bon, je lis pas les comms parce que nous spoilons joyeusement!
Alors alors… Que de choses à dire !
A Christmas Invasion – j’adorais Nine (et je l’adore toujours et la relation qu’il avait avec Rose était parfaite. D’ailleurs, pour moi, c’est Nine et Rose, Ten et Donna. Ten et Rose fonctionnent, mais pas autant que Nine et Rose. Bref). Du coup, j’ai souffert pendant tout l’épisode que j’ai mis d’ailleurs plus d’une semaine à voir en entier. Mais le « No second chances… », il m’a complètement retournée et à partir de ce moment là, j’étais perdue et éperdue d’amour pour Ten.
The Runaway Bride – je ne l’ai vu qu’à la fin de la saison 4, avant de voir les specials. Et heureusement, parce que sinon je crois que j’aurais détesté Donna. Mais là, après la saison 4, et en sachant que Donna est ma compagne préférée (talonnée de très près par Rory et River), ça m’a fait un bien fou de la retrouver, même si la timeline n’était pas correcte. Mais après tout, on parle de Doctor Who, donc il nous faut bien un peu de Timey Wimey 🙂
Voyage of the damned – rah Noêl raconté par les historiens, ça vaut son pesant de cacahuètes ! Et Astrid, merveilleuse Astrid ! Elle aurait fait une magnifique compagne (et quel superbe nom pour monter dans le Tardis !)
The Next Doctor – je n’ai pas aimé du tout. Ca sentait trop la fin, beurk beurk. Et je n’aime pas trop David Morissey… (d’ailleurs, je n’ai pas du tout aimé l’épi avec … rah c’est quoi son nom là ! la brune (qui joue comme une huître) avec l’épi sur une planète désertique ? dans le bus ! bref).
A Christmas Carol – big big <3 pour cet épi, même si ce n’est pas mon Xmas special préféré
Dernier Xmas special avec un nom de 3 km piqué à Narnia – mouais. le seul truc cool c’est la fin.
Voilà 🙂 j’ai un peu monopolisé ton chez toi^^ mais bon qd on parle de DW, je ne peux pas m’empêcher…
Miss Bunny: Moi aussi je trouvais que Nine et Rose fonctionnait super super bien! Mais bon, Ten et Rose aussi, même si j’ai un gros faible pour Donna. J’ai adoré cet épisode! Je n’aimais pas particulièrement Donna dans The Runaway Bride hein… j’ai eu un peu peur dans la saison 4 au début mais elle a calmé son jeu ensuite! Moi, par contre, j’aime David Morrissey… et j’ai adoré The next Doctor… mais bon, oui, ça sentait la fin! Et pareil pour le dernier.. j’ai trouvé ça bof sauf pour la finale! Et tu peux parler du Docteur taaant que tu veux! :))
j’ai cru comprendre, oui, qu’on avait notre amour pour le Doctor en commun 🙂
Miss Bunny: :)) En effet! Je peux parler du Docteur pendant des heures!
Et non! Pas seulement les copines! Petit billet très sympa et auquel j’adhère totalement! Nous avons ressenti exactement les mêmes choses aux mêmes moments! Je n’ai pas lu ton retour sur l’ère Smith, je l’entame à peine et je ne veux pas gâcher la surprise! Mais l’ère Tenant, punaise, quel grand moment!
Ivenpast: Tout à fait d’accord. J’aime beaucoup Matt Smith aussi comme Docteur, plus sombre, un peu amer… mais l’ère Tennant est quand même celle où je suis tombée amoureuse!