Le comment du pourquoi
Passer un moment avec Max, l’héroïne de cette série, ça fait toujours du bien. Donc j’ai pris le tome 8. Sachant que je n’ai pas les tomes suivants sous la main. Dur la vie!
De quoi ça parle – SPOILERS AHEAD sur les premiers tomes
Retour à St-Mary, institut où on étudie l’histoire en allant simplement y faire un tour. Idéalement sans rien démolir.
Si vous n’avez pas commencé la série, ne lisez pas ce qui suit parce que vous serez malheureusement spoilés. Soyez-en avertis! Donc, Max, Léo et le bébé vont bien. Malheureusement, Clive Ronan, le gros méchant de l’histoire, court toujours, et il n’est pas du tout content contre St-Mary, parce que la police du temps ont encore une fois débarqué avec leur délicatesse habituelle.
Mon avis
Cette série, c’est du bonbon. Cette fois, les escapades dans le passé sont un peu moins hilarantes et mouvementées que lors des derniers tomes, ce que j’ai regretté un peu. Toutefois, dans le présent… ouf! Disons que ça brasse! Genre, au quart du livre, on se dit « what »?? Et à la moitié WHAT?!?!
Les historiens se préparent donc à faire un trio de sauts dans le passé pour aller voir ce qui s’est vraiment passé avec Guillaume le Conquérant et Harold Godwinson, notamment à Hastings et à Bayeux. Sauf que la vie n’est pas facile à l’Institut étant donné que Clive Ronan s’en prend à la famille de Max et que tout le monde est perturbé. Ouais, c’est le moins qu’on puisse dire. Certaines scènes, surtout entre Max et son fils, font mal au coeur.
Bien sûr, on pourrait dire que certains schémas se répètent un peu, mais bon, paradoxe temporel un jour… Ici, on alterne entre des moments très tendus et tristes et d’autres complètement loufoques (une théière géante… really?). Malgré tout le côté tragique, il y a toujours beaucoup d’humour et de dérision. Et cette fin… cette fin!
Bref, j’aime toujours!