Résumé
Stephanie Plum considère que sa carrière de chasseuse de prime doit se terminer. Elle en a assez de se faire tirer dessus, assez de voir ses voitures exploser, assez d’être sans cesse couverte de susbtances étranges et souvent visqueuses ou alimentaires. Elle veut une petite vie normale et sécuritaire. Alors, elle donne sa démission.
Sauf qu’il s’agit tout de même de Stephanie Plum. « Normal » ne fait pas partie de son quotidien. Et un maniaque – encore un – a décidé d’en faire sa prochaine victime.
Commentaire
Après ma lecture de « A tale of two cities » (parce que mes billets sont dans un ordre un peu étrange depuis quelques semaines… mais ça achève!), j’étais complètement désemparée. Complètement perdue dans ce roman, j’avais bien du mal à m’intéresser à autre chose. Qu’ai-je fait, donc? J’ai fait ce que Stephanie fait chaque fois qu’elle est dans le trouble… et j’ai appelé Ranger au secours! Et ça a fonctionné! C’est que c’est un réel superhéros, ce Ranger!! Il règle même les pannes de lecture!
Dans ce onzième volume de la série, Stéphanie a décidé que c’en était fini de l’époque où elle courait après les méchants et finissait toujours – ou presque – dans un état lamentable devant un bataillon de flics hilares. Il faut donc trouver un autre job! Mais il faut avoir de bonnes assurances pour engager Stephanie Plum… croyez-moi! Et surtout pour la mettre devant une friteuse… ou un truc qui contient de l’huile! Bref, c’est hilarant, comme de coutume. L’image mentale de Stephanie travaillant au resto de poulet frit – l’une des jobbines qu’elle marquera à jamais – est vraiment, vraiment épouvantable!!! Je remercie le ciel de n’avoir pas eu à faire un truc pareil dans mon adolescence!!!
Donc, rien ne va plus pour Stephanie, qui doit en plus se préparer mentalement à se transformer en aubergine géante le temps du mariage de sa soeur avec Albert Kloughn et qui décide qu’elle est addict au sucré… et qu’elle doit donc cesser de manger le moindre grain de sucre séance tenante! Sauf que (parce qu’il y a toujours un « sauf » avec Stephanie Plum), pour compenser son manque de sucre, elle a besoin d’autre chose! Je vous laisse deviner quoi! Pauuuuvre Morelli! Et comme Ranger a subitement besoin d’un nouvel employé de bureau, il lui rend la vie dure! Je dois vous avouer que, personnellement, je n’ai auuuucune idée de comment Stephanie fait pour lui résister aussi souvent! I want my own Ranger, bon!!!! Surtout quand il file bad guy!!!
Quant à l’intrigue « policière » en tant que tel, elle est tellement bizarre et menée dans tous les sens que j’ai été menée en bateau pendant une bonne partie du bouquin! Je ne suis pas vraiment certaine d’avoir réellement compris les liens, en fait… si liens il y a!!! Mais c’est tellement secondaire dans les aventures de Stephanie qu’on s’en fout un peu, au fond!
Comme toujours, c’est carrément tordant, Ranger ET Morelli sont croquables sur place (parfois, il est bien aussi, Morelli… mais je reste une RangeGirl all the way!) et la famille de Stephanie est toujours aussi cinglée (j’adooore Grandma Mazur). Et imaginez Lula promue chasseuse de primes pour remplacer Stephanie… et le tableau est complet!!!
8,5/10
11 Commentaires
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Ah, c’est celui qui m’a fait le plus rire entre les jobs de taré qu’elle essaie (mention spéciale pour le fast-food, j’en pleurais de rire) et le mariage de sa soeur (le costume, le régime, le violoncelle…) : ce tome est incroyable de drôlerie! Et je suis moi aussi une Rangegirl à 100%. Aaaaaah, quand il lui murmure « babe » dans le creux de l’oreille, c’est moi qui défaille… En fait j’aimais mieux Morelli au début quand il n’était pas encore rangé des voitures, après il est un peu too much, je trouve…
Fashion: moi aussi j’en pleurais de rire pour le truc du Clunk Chicken, entre la friteuse et son imitation de Clunk Clunk pour le petit garçon! Et imaginer une aubergine géante sur le capot de la voiture de mariage (pour aller avec la robe), j’étais vraiment crampée!!! Et j’avoue que le « babe » de Ranger est vraiment trop craquant!! Mieux que le « cupcake » de Morelli (bien que j’aie fait un détour pour aller manger des cupcakes à Vancouver en hommage à Morelli et Stephanie!!)! Côté drôlerie, il est dur à battre!!! *soupir* Ranger *soupir*
Bon, il faut absolument que je me remette à la lecture de cette série … Mais quand aurais-je le temps, je croule sous les prêts et sous les livres du challenge !!! 🙂
Tu sais que moi qui ne cuisine jamais, j’ai fait des cupcakes en hommage à Morelli quand même, l’an dernier pour le 1er pique-nique de la blogoboule… Folle la fille! :))))
Manu: Faut faire comme moi… et repousser les livres du challenge (je m’en vais à la catastrophe… mais au pire… je vais l’étaler sur deux ans!!) Fashion: Parfois, les idées bizarres (et similaires) qui sortent de nos cerveaux un peu déréglés me font réellement peur!!! Mes amies avaient les yeux grands comme des trente sous quand je les ai obligées à faire 2km supplémentaires (à pied bien sur) pour aller manger un cupcake en disant « c’est parce que dans la série Stephanie Plum, c’est comme ça que Morelli appelle Stephanie… il faut que j’aille en manger un!!! »! Elles sont patientes, les amies, n’est-ce pas!!!
HAN !!! Ca me saoûle d’être une quiche en anglais ! Je suis à la ramasse moi du coup, le 10 n’est même pas encore sorti en poche !
Hydromiel: J’ai de la chance de pouvoir lire les deux langues en effet… surtout quand les traductions se font attendre, comme ça!
bah c’est vrai que là ranger devient de plus en plus obsédant, peut être que morelli est devenu trop sage je sais pas mais bon… je suis assez fière comme j’ai du mal avec les jeux de mots et le reste, j’ai bien l’impression d’avoir parfaitement compris l’intrigue et toc !!! (Mais je m’améliore de livre en livre en matière d’argot new jersey :-D)
Yueyin: Avoue que Ranger donne de plus en plus de chaleurs!!! Bravo pour ta compréhension en anglais! On s’habitue aux répliques un moment donné!!
Encore une fois, très divertissant!
Amiedeplume: Avec Stephanie Plum, on se trompe rarement!!