Out of Africa (La ferme africaine) – Karen Blixen (Isak Dinesen)

Out-of-africa.jpg Résumé coup-de-coeur.gif

« En 1914, Karen Blixen arrive au Kenya avec son mari pour vivre sur une ferme de café. Immédiatement attirée par la terre, elle y passe les années les plus heureuses de sa vie jusqu’à ce qu’elle doive quitter la ferme pour retourner au Danemark, en 1931.  C’est là qu’elle va rédiger ce roman relatant son expérience en Afrique.  Un adieu émouvant à sa ferme bien aimée, ce livre raconte ses amitiés avec les gens du pays, son affection pour le paysage et les animaux ainsi que son amour pour l’aventurier Denys Finch-Hatton. »

Commentaire

Quelle belle lecture!  J’ai mis du temps à lire ce livre, non parce qu’il n’était pas intéressant… mais plutôt parce que j’ai pris le temps de le savourer!  Souvent, je me prenais à rêver entre chaque moment de vie et d’émotion raconté par le livre, et à m’imaginer dans la savane africaine.  Les descriptions sont si vivantes, vi poignantes qu’on s’y croirait.  J’ai trouvé le récit superbement écrit, poétique.  On y sent tout au long l’amour de l’auteur pour l’Afrique et sa ferme et ce livre se veut un hommage en leur honneur.  

J’ai lu ce roman, hautement auto-biographique, dans le cadre de mon challenge 2007.  Je l’avais choisi suite à une conversation avec une collègue au sujet du film « Out of Africa » (que j’ai adoré) et elle m’a alors appris que ce film était tiré d’un livre.   Suite à des recherches, j’ai appris que l’auteur était Isak Dinesen, de là le classement sous la lettre « d »!  Ce n’est que plus tard que j’ai appris que ce roman était en fait de véritables souvenirs de l’auteure, Karen Blixen. 

Les mémoires de Karen Blixen ne sont pas longitudinales mais plutôt regroupées par thème, par sujet.  Dans l’un, elle traite de l’histoire de son cuisinier, dans l’autre de celle de certains de ses amis.  Nous sommes rapidement happés par l’histoire, les personnages.  Du moins, je l’ai été!  À travers ce roman, je suis tombée en amour avec l’Afrique.  J’ai beaucoup aimé les métaphores et les comparaisions présentes tout au long du roman (celle de l’iguane, entre autres).  On sent réellement que sa façon de penser a été grandement imprégnée de ces années et de la sagesse des Africains.  On y sent aussi une réelle affection pour ses « squatters » et les Kikuyu qui habitent son entourage.  Le regard qu’elle porte sur leurs différences ne m’est jamais apparu empreint de jugement mais plutôt d’une grande acceptation, même si elle ne comprenait pas toujours.  

Je dois devenir hypersensible car j’ai dû pleurer tout au long de la dernière partie du roman (Farewell to the farm).  Je ne sentais que trop son désarroi et ai vécu avec l’auteur tous ses petits adieux.  

Mon seul petit bémol: la romantique en moi n’a pas été comblée suffisament par les chapitres où Karen Blixen parle de Denys Finch-Hatton.  J’en aurais voulu plus!  Je sais, je sais, je suis un cas désespéré!!!!

Et… je vais aller de ce pas prendre une marche et me louer le film!!! 🙂

9,5/10

000cocos.gif

La reine des damnés – Anne Rice

Reine-des-damn--s.jpg Résumé

« Quand Lestat, vampire impie, libertin et suicidaire, s’improvise chanteur de rock pour hurler à la face de l’humanité sa condition de mort vivant, les mortels lui font un triomphe, sans imaginer une seconde qu’il ne leur dit que la vérité. 

Mais avec sa « musique à réveiller les morts », Lestat ne s’est pas seulement fait des ennemis parmi ses frères qui le considèrent comme un traître et sont décidés à le détruire, il a aussi arraché à son sommeil millénaire Akasha, la Mère de tous les vampires, la Rine des damnés, Akasha qui ne rêve que de régnerà nouveau sur les mortels ». 

Commentaire

Troisième volet des chroniques des vampires, faisant suite à « Entretien avec un vampire » et « Lestat le vampire« .   Akasha, la Mère des vampires est éveillée et n’aspire qu’à régner.  On y fait la connaissance de Maharet, de Jesse et plusieurs des vampires que Lestat a rencontrés sont réunis.   J’aime bien Louis et Lestat ensemble, donc j’étais bien contente de le revoir!  

Le récit a su maintenir mon intérêt du début à la fin.  J’ai adoré me plonger dans ce monde noir et mystique à la fois. On entre encore une fois dans la « mythologie » vampirique et cet aspect m’a encore une fois particulièrement intéressée.  il y a beaucoup d’action et même pendant les périodes de « mémoires » ou de rappel d’événements anciens.  Peu de temps morts.  Je suis toujours surprise quand la narration reprend le « je » de Lestat et qu’il s’adresse directement au lecteur, avec un ton très contemporain et léger.  Il me semble que je le préférerais plus « 18e siècle »!!!  

Le dernier chapitre « mythologique » des chroniques des vampires.  Un bon livre à lire pour les amateurs du genre!

8/10

Lestat le vampire – Anne Rice

Lestat.jpg Résumé

« Vampire impie, qui ne croit ni en Dieu ni au Diable, ivre d’amour et de sensualité, résolu à découvrir les mystérieuses origines de ses semblables, Lestat se lance dans une quête effrénée qui va nous transporter du Paris de Louis XV à l’Égypte ancienne pour se conclure aujourd’hui à San Francisco où, devenu chanteur de rock, il lance un défi suprême aux « puissances des ténèbres ».  

Commentaire

Deuxième tome des chroniques des vampires de Anne Rice et suite de
Entretien avec un vampire.   Cette fois, le narrateur est Lestat, qui part à la recherche de l’histoire des vampires.  Lestat était dépeint par Louis comme un vampire méchant et cruel dans le premier volet de la série.  Toutefois, dans ce second volet, il devient plus… humain (ok, j’avoue, mauvais choix de mots!!!).  Lestat est incroyablement imbu de sa personne, il défie toutes les lois, contourne toutes les règles… À plusieurs reprises, en lisant ce roman, j’écarquillais les yeux et me disais « voyons donc… ça n’a aucun espèce de bon sens »… pour finir par éclater de rire!   Et plus j’avançais dans les « chroniques » plus ça arrivait souvent!  Vedette du rock! 

J’aime bien la littérature fantastique, au départ, sans en être fanatique.  J’ai bien aimé cette épopée dans le monde vampirique et j’ai suivi Lestat avec empressement à travers sa recherche.  Dans ce volume, nous faisons davantage connaissance avec Lestat, sa vie d’avant, sa mère, Gabrielle, ainsi qu’avec Armand (devenu mon vampire préféré) et Marius.  Chacun des ces personnages nous en apprend un peu plus sur la provenance des vampires et le récit se tient parfaitement.  Les réflexions de Lestat sont souvent drôles et inattendues.   Le vampire évoque ses sentiments à l’égard de Louis et Claudia, ce qui réconcilie quelque peu avec son attitude dans le premier livre.  

Comme je l’ai noté dans le précédent billet, de nombreux détails diffèrent quant à l’attitude, aux sentiments et aux actes de Lestat entre le premier et le deuxième volume.  L’auteure le justifie par le fait que dans le premier volume, Louis est amer face à Lestat et qu’il n’est pas tout à fait honnête dans sa description.   Idée de départ modifiée?  Peut-être…

N’empêche que ce livre est très agréable à lire et que ceux qui s’intéressent à l’histoire des vampires seront servis!

8,5/10

Où es-tu? – Marc Lévy

Ou-es-tu.jpg Résumé

« Adolescents, Susan et Philip représentaient tout l’un pour l’autre.  Avec l’optimisme de la jeunesse, ils s’étaient promis de s’aimer pour toujours.  

Mais la vie va les écarter l’un de l’autre comme deux étoiles soumises aux lois de la gravitation.  Susan affrontera la violence des ouragans en Amérique centrale tandis que Philip réussira à Manhattan.  À l’exception de quelques rencontres furtives à l’aéroport de Newark, ils ne sauront de leurs vies réciproques que ce que disent les lettres qu’ils vont s’écrire pendant des années.  Sans que jamais ne se brise le lien qui les unit. 

Philip avait promis à Susan qu’il serait toujours là s’il lui arrivait quelque chose.  Il ne pouvait pas savoir que cette promesse allait profondément bouleverser sa vie et que, pour l’honorer, il devrait ouvrir son coeur à l’inconnu. »

Commentaire

Sincèrement, je suis restée sur ma faim avec ce roman.  En fait, je suis de plus en plus déçue par cet auteur mais comme tout le monde l’aime, je me force pour le lire… mais je crois que ça va très bientôt se terminer!  Je n’ai pas du tout accroché à l’histoire de Philip (que je trouve un peu « mou ») et de Susan (que j’aurais secouée).  On parle de grand amour, mais je n’ai rien ressenti de tout ça.  J’ai eu pitié de la pauvre Lisa… mais bon… ce n’est pas suffisant pour rendre une lecture très agréable.    En fait, je me suis généralement ennuyée dans cette lecture.  Peut-être n’est-ce simplement pas mon genre!

4/10

L’homme qui prenait sa femme pour un chapeau – Oliver Sacks

homme-qui-prenait-sa-femme.gif Résumé

« Oliver Sacks décrit dans ce livre les affections les plus bizarres, celles qui atteignent un homme non seulement dans son corps, mais dans sa personnalité la plus intime et dans l’image qu’il a de lui-même. 

Il nous fait pénétrer dans un royaume fantastique, peuplé de créatures étranges: un marin ayant perdu le sens de la continuité du temps, vit prisonnier dans un instant perpétuel; une vieille dame qui caricature dans la rue les expressions des passants, jusqu’à les rendre grotesques; un homme qui se prend pour un chien et renifle l’odeur du monde; deux jumeaux arriérés mentaux capables de calculs numériques prodigieux, qui vivent dans des paysages de chiffres; ce musicien qui, ayant perdu la capacité de reconnaître les objets, prend pour un chapeau la tête de sa femme, et bien d’autres. 

Tentatives aussi pour poser les jalons d’une médecine nouvelle, plus complète, qui, traitant le corps, ne refuserait pas de s’occuper de l’esprit et même de l’ame »

Commentaire

Tout d’abord, ce n’est vraiment pas un roman!  Une lecture très agréable, souvent technique.  Le livre est écrit par un neurologue et il expose des cas extrêmes de pathologiques neurologiques et cognitives.  J’ai lu ce livre pour la première fois à l’université et j’ai vraiment beaucoup aimé.  L’auteur vulgarise des données neurologiques et des pathologies rares que j’ai pu observer, par la suite, dans mon travail.. en moins exagéré, bien sur!  

Le livre est constitué de courts chapitres évoquant des patients que le Dr. Sacks a connus dans sa carrière.  Il explique leurs forces, leurs faiblesses et explique très sommairement ce qui se passe dans leur tête.  J’ai beaucoup aimé son approche de la neurologie!  Intéressant si ce genre de choses vous attirent de prime abord!

8/10

Jane Eyre – Charlotte Brontë

Jane-Eyre.jpg Résumé coup-de-coeur.gif

« Une jeune gouvernante aime le père de ses élèves et est aimée de lui.  Mais elle résiste à cet amour, découvrant avec horreur l’existence de la première femme de Rochester, pauvre folle enfermée par son mari.  L’histoire, qui trouve son origine dans la jeunesse tourmentée de son auteur, fait se succéder coups de théâtre et passion, fuite éperdue dans les landes et sens du devoir jusqu’à l’héroïsme »

Commentaire

J’ai lu pour la première fois ce livre au secondaire et je l’ai redécouvert par la suite.  J’ai beaucoup mieux aimé la seconde fois car je crois que, ayant mûri (du moins, j’ose l’espérer!) j’ai été davantage en mesure d’apprécier la plume de l’auteure ainsi que cette belle histoire d’amour.  Et quelle histoire d’amour!!!  L’écriture de Charlotte Brontë nous plonge dans son univers anglais du siècle dernier, avec tout ce qu’il implique de convenances, de classes sociales et de charme pittoresque.   L’évolution des sentiments et des personnages est intéressante et ce roman, en soi sur l’amour, est rempli de rebondissements.  À ma première lecture, à chaque tournant, j’étais surprise et ne savais quoi penser de monsieur Rochester et des circonstances qui l’avaient amené à agir comme il l’a fait.    Une très belle histoire, un roman à lire et à relire!!!

Émilie de la Nouvelle Lune – Lucy Maud Montgomery

--mily-1.jpg Résumé coup-de-coeur.gif

  À l’âge de douze ans, Émilie se retrouve subitement orpheline, suite à la mort de son père. Recueillie par la famille de sa mère, dans un milieu très strict, elle doit maintenant vivre dans un nouveau village, avec des nouveaux amis. Au plus profond de son cœur, Émilie caresse le rêve de devenir écrivain. Sa vie, c’est écrire, écrire, écrire, mais aussi être une enfant avec ses trois bons amis, Ilse, Perry et Teddy. 
 
Commentaire
 
Cette série de Lucy Maud Montgomery est toute spéciale à mon cœur. Lue et relue depuis mon enfance, elle me transporte chaque fois dans la belle Île du Prince Édouard du début du siècle, que l’auteure décrit admirablement.   Ce roman, c’est l’enfance qui tire à sa fin, c’est Émilie, avec son tempérament bouillant et passionné, masqué par une couche de convenances et d’orgueil. Émilie, c’est la poursuite de son rêve, envers et contre tous. Son désir d’écrire, impérieux, bouillant, est présent tout au long du roman.  Un très beau livre jeunesse, définitivement un coup de cœur!

9,5/10

Émilie de la Nouvelle Lune II (Emily climbs) – Lucy Maud Montgomery

--mily-2.jpg Résumé coup-de-coeur.gif

  La suite des aventures d’Émilie est maintenant adolescente, elle fréquente l’école secondaire et habite chez sa tante Ruth, avec qui elle a une relation houleuse. Elle caresse toujours son rêve de devenir écrivain et ses amis sont toujours autour d’elle.
 
Commentaire
 
Mon résumé semble vraiment ennuyeux… mais le livre ne l’est pas! La personnalité bouillante, poétique et passionnée d’Émilie est présente dans toutes les pages et son éveil à l’amour est attendrissant. J’aime beaucoup les passages du journal d’Émilie et sa vision du merveilleux du monde est contagieuse. Encore une fois transparaît dans ce livre l’amour des mots et de l’écriture qui habite Émilie.  Très belle lecture!
 

9/10

Émilie de la Nouvelle Lune III (Emily’s quest) – Lucy Maud Montgomery

--mily-3.gif Résumé

  Après avoir refusé un poste à New York offert par Miss Royal, Emilie est de retour à la Nouvelle Lune mais sans Ilse, Teddy et Perry, qui poursuivent leurs études à l’extérieur.   La vie se fait monotone à la Nouvelle Lune mais Dean Priest est présent pour Emily, qui, suite à un accident, semble éteinte. Réussira-t-elle à gravir le sentier qui mène vers l’accomplissement de ses rêves?
 
Commentaire
 
Dernier volet de cette série qui a beaucoup compté dans ma vie de lectrice.   Si, en l’absence de Teddy, Perry et Ilse, les aventures d’Émilie sont moins exaltantes mais on la sent à l’aube de l’âge adulte et habitée de sentiments contraires. On sent sa résignation, sa fierté blessée et la passion sous-jacente.   On voit Émilie aller tranquillement vers la réalisation de ses rêves.   Si le livre en soi m’a un peu moins plu que les deux précédents (on ne ressens que trop la solitude, la peine et les deuils d’Émilie face aux changements perpétuels de la vie), la fin lui donne des points bonus!!!!
 

8,5/10

000cocos.gif

Le Nom de la rose – Umberto Eco

Nom-de-la-rose.jpg Résumé 

  « Rien ne va plus dans la chrétienté. Rebelles à toute autorité, des bandes d’hérétiques sillonnent les royaumes et servent à leur insu le jeu impitoyable des pouvoirs. En arrivant dans le havre de sérénité et de neutralité qu’est l’abbaye située entre Provence et Ligurie, en l’an de grâce et de disgrâce 1327, l’ex-inquisiteur Guillaume de Baskerville, accompagné de son secrétaire, se voit prié par l’abbé de découvrir qui a poussé un des moines à se fracasser les os au pied des vénérables murailles. Crimes, stupre, vice, hérésie, tout va alors advenir en l’espace de sept jours. »
 
Commentaire
 
J’ai terminé ce livre il y a déjà quelques jours mais j’ai eu besoin d’y réfléchir avant d’écrire mon commentaire ou de lire autre chose. Je ne crois pas être bien originale en disant que j’ai vraiment beaucoup apprécié cette lecture mais que je la qualifierais de difficile, du moins pour moi!
 
Tout d’abord, la religion et moi, ça fait deux. Les pratiques religieuses n’ont accompagné ni mon enfance, ni mon âge adulte. J’y connais très peu de choses, à part ce que nous avons appris à l’école primaire et ce que j’en ai lu dans les romans par la suite.   Il est donc facile d’imaginer à quel point j’étais « perdue » dans les premières pages, qui mettent en relief les contextes historiques et religieux de l’époque! Le début de ma lecture a avancé tranquillement; j’avais trop de notions à assimiler. Je crois d’ailleurs que la plupart de ces précisions au sujet de l’histoire, des personnages et des diverses interprétations religieuses en général étaient importantes pour bien saisir la portée et la motivation des actions qui sont posées dans le roman. En effet, il s’agit d’une mentalité tellement différente de la mienne et de celle du milieu dans lequel je vis que sans ces précisions, cette imprégnation continuelle de l’atmosphère dans lequel sont plongés les protagonistes que je n’aurais pas pu apprécier le livre et l’intrigue à leur juste valeur.  
 
D’ailleurs, j’ai appris énormément dans cette lecture, que ce soit au sujet de l’histoire de la religion catholique, des oppositions entre l’Empereur et le Pape, de l’hérésie de l’époque, de l’émergence de la science et des différentes communautés de moines. J’ai pu réaliser à jusqu’à quel point les diverses interprétations des Écrits pouvaient influencer le monde socio-politique de l’époque et mieux comprendre ce que ces diverses interprétations de ce qui était « saint » et de ce qui était « hérétique » pouvaient impliquer. 
 
Lorsque j’ai eu bien assimilé « qui était qui » et « qui pensait quoi », j’ai vraiment pu plonger dans le roman et avoir de la difficulté à revenir de ce grand dépaysement. L’enquête de frère Guillaume est bien exposée, on nous mène sur de nombreuses pistes et l’angle sous lequel elle est menée (la religion, le savoir) est différent. J’avais deviné le « comment » et une partie du « pourquoi » mais j’avais des doute sur le « qui » et sur l’explication.
 
Le seul petit bémol pour moi (en raison, probablement, de mes intérêts), c’est que certaines discussions théologiques auraient pu être légèrement écourtées (ici, j’en connais qui ne sont pas d’accord avec moi!). J’ai trouvé quelques passages, particulièrement au début, un peu ardus et répétitifs. Je n’aurais jamais, jamais cru que mon latin du secondaire me servirait un jour!!!! 
 
En résumé, un excellent livre, si on aime les romans érudits, théologiques et historiques… et si on a un peu de temps!
 
Au fait… question ouverte de la fille qui ne connaît rien de rien en théologie… pouvez-vous bien me dire pourquoi le livre s’appelle « Le nom de la rose »??? J’ai beau chercher… aucune idée!
 
9/10