Angélique, Marquise des Anges – Anne Golon

Présentation de l’éditeur (en partie) coup-de-coeur.gif
« Ange ou démon?  L’énigmatique et belle Angélique pose l’éternel « problème de la femme ».  Son père la marie très jeune, par procuration, à un grrand seigneur Toulousain, « plus riche et plus noble » que le jeune et lointain Louis XIV, contemporain d’Angélique.  La jeune femme va-t-elle connaître le bonheur?  Hélas!  elle apprend que son mari est défiguré, boiteux et, de plus, que sa fortune insolente inquiète l’Inquisition, encore très puissante dans le Languedoc »

Je coupe ici parce que ça en dit trop!!

Commentaire
Ca y est, j’ai cédé à la pression Carolinesque, Fashionesque et Pimpiesque et j’ai plongé avec délices dans cette saga hautement kulturelle qu’est Angélique!  Quelle lecture parfaite pour l’été!!!  Comment ai-je pu passer à côté de ça jusqu’à mon âge vénérable!!!  Incroyable!!

D’abord, ce n’est pas la couverture de mon édition car imaginez-vous que miss Fashion m’a procuré une géniale d’édition de 1958 (j’adore les vieux livres… quand ils ne sentent rien!  Ce qui était le cas ici!) étant donné la difficulté à trouver ces livres sans payer l’équivalent de 120$ du bouquin, vu que chaque tome est séparé en 4 sous-tomes!!!  Incroyable, non!    J’ai ainsi pu rencontrer le célèbrissme Joffrey de Peyrac et je réussis preeeesque à le nommer sans être prise de chaleurs!!  C’est quand même de l’exploit!!!

Et que trouve-t-on dans ces pages?  Ma présentation ressemble à un Harlequin, je sais… mais quand même, j’y ai vu plus que ça!   On n’a tout de même pas affaire à deux personnes qui s’engueulent du début à la fin du livre pour découvrir à l’avant-dernière page qu’ils sont amoureux fous!!!  Angélique et Joffrey évoluent dans l’époque tourmentée du Roi Soleil, où les complots abondent et où les personnages historiques (du Roi Soleil à St-Vincent de Paul, en passant par le prince de Condé) côtoient nos héros.   Et nous y voyons un portait de cette société (bon, je ne me prononcerai pas à savoir si c’est juste ou non… mais ça m’a plu) où la justice était tout à fait particulière et où tout est éphémère et paradoxal, même les liens familiaux, il faut croire.  On se retrouve plongés au coeur des complots de la cour et des complots d’Église, en passant par l’alchimie et la sorcellerie, en visitant toutes les couches de la société, ou presque!

Et Angélique n’a rien d’une oie blanche!!  Fille de noble désargenté, elle a été élevée en sauvageonne et n’a pas froid aux yeux.  Impressionnée par tout ce faste, elle n’en garde pas moins un esprit libre et un tempérament bouillant.  Et surtout, elle n’est pas « parfaite », sainte et bonne!  Ça m’énerve, les héros n’ayant que des bons sentiments!  Angélique est humaine malgré tout.  Impossible de ne pas s’attacher!  Quant à Joffrey, que dire!  J’adore son sens de la répartie, son ironie, le sourire en coin que j’imagine… Bref, j’aurais été l’une de celles qui aurait succombé, sans nul doute!!!  Quel personnage!!!  On s’en fiche de ses cicatrices, ça ne lui donne que davantage de charme… *soupir* *soupir* et *re-soupir*!!

Bon, ok, il y a des personnages convenus, quelques répétitions… mais je m’en fiiiiche!!!  J’étais tellement dedans que je n’ai même pas eu l’idée de bougonner à certaines répliques ou adverbes!!

Mon seul problème maintenant?  Je n’ai pas – encore – la suite!  C’est horrible!   Et je n’ai le goût de lire rien d’autre, bien entendu!!!  Comment on peut quitter Angélique ainsi, à la fin de ce premier tome!  C’est pas humain!!!  Mais bon, ma curiosité a quand même fait appel à St-Wiki parce que bon, je ne pouvais pas dormir comme ça!!!   Je sens que je vais faire une tournée épuisante des bouquineries la fin de semaine prochaine!!

Plaisir de lecture: 9/10

Leçon de déculpabilisation 101… The Rules!


J’en ai déjà parlé souvent… très souvent en fait!  Et il y a quelques contestataires (genre mon compte en banque… mais c’est une autre histoire) mais bon, je persiste et je signe, il y a réellement des livres qui ne comptent pas!!

S’ils comptaient vraiment, vraiment tous, je serais bonne pour une thérapie!  Et je n’en suis pas encore là.  Donc, il y a des livres qui ne comptent pas, CQFD!!

Alors pour le bien-être général et la santé mentale de la blogo littéraire un peu acheteuse compulsive, voici THE RULES!!

1) Tout livre en bas de 10$ ne compte pas!
Parce que bon, c’est donné!  Une aubaine!  Pour les Européens, ça fait environ 6 euros 50… mais si vous voulez garder la règle du 10, je ne vous chicanerai même pas!!!

2) Les mangas ne comptent pas!
Bon, parce que c’est une vérité universellement reconnue!  J’aurais pu dire « tout ce qui se lit en moins de 45 minutes ne compte pas »… ça aurait aussi fonctionné!  Mais vu le prix des BD, je me suis dis que ce serait un peu de mauvaise foi… et depuis quand je suis de mauvaise foi, hein??? :))

3) Les albums pour enfants ne comptent pas!
Parce que si on a des enfants, c’est pour eux qu’on les lit, voyons!  Et si on en a pas, il faut être prévoyant et bien choisir leurs lectures à l’avance!  Pfffff… comme si on lisait ça pour nous!!!  Non mais!!

4) Les livres de moins de 100 pages ne comptent pas!

On ne les voit même pas dans la pile!!!  Et quand ça ne prend pas de place sur les tablettes, ça ne compte pas!!

5) Les livres achetés en bouquinerie à moins de 50% du prix de vente ne comptent pas. 

C’est une aubaine.  On économise, en fait, c’est pas de la dépense!!

6) Les livres « introuvables » qu’on cherche depuis des semaines, voire des mois, et qui apparaissent comme ça, devant nos yeux ébahis, ça ne compte pas!

Des plans pour qu’on ne les retrouve plus jamais, ce serait dramatique!  On serait condamné à chercher, chercher, chercher encore pour les retrouver… et qui sait combien de livres « qui comptent » géniaux risquent de se trouver sur notre chemin (et accessoirement dans notre pile) pendant cette recherche, hein??  Hein??

7) Les suites de séries, ça ne compte pas!
Non mais franchement… ça se fait pas d’abandonner une série-dont-on-veut-absolument-connaître-la-suite pour d’obscures raisons financières!  Ce serait de la cruauté mentale!  Faut pas être sadique avec soi-même, tssss!!!

8) Les livres achetés en voyage et qui sont moins chers que chez soi, ça ne compte pas!
Question d’économie, encore une fois!!!  Super simple comme concept!! Ça vaut aussi pour les livres achetés en voyage et qui sont introuvables chez soi mais super courants ailleurs, peu importe le prix. Faites seulement imaginer un prix de livraison outremer ou encore le temps passé à faire la commande!!  Le temps, c’est de l’argent!!  Reste à discuter sur le concept de « voyage »… est-ce que « toute ville où on n’habite pas et où ne travaille pas » vous conviendrait???

9) Les livres achetés sur la route quand on a plus rien à lire dans le métro, à l’épicerie, au centre d’achats, chez des amis ou dans la rue, quand on a malencontreusement fini le livre en cours, ça ne compte pas!

Je suis contre la paresse!  Ca ne se fait pas de rester les mains inoccupées!!!  Et comme je ne sais pas broder, il faut que je lise pour ne pas avoir l’air d’une fainéante!!  Il faut préserver sa réputation!!!  Meria nous ajoute que sinon, nous serions obligées de dormir EN PLEIN JOUR!!  Impossible!

10) Les livres achetés sur les conseils pressants, enthousiastes et irrésistibles d’une copine avec qui on fait les libraires, ça ne compte pas.
On est victimes d’un complot dans ce temps-là!!!  Depuis quand on fait payer les victimes!!!  naaaa!!  Ce serait pas juste!

J’en ai oublié??
Qui adhère??

Ajouts suite aux suggestions bien avisées d’autres très sages personnes.  J’adhère com-plè-te-ment, bien entendu!!

11) Livres qu’on a empruntés et qu’on a tellement aimés qu’il nous les faut dans notre biblio (Pimpi)

12) Livres pour le travail (comme si ça pouvait compter!!!  c’est obligé!!)  (Kitty)

13) Livres dont on a ab-so-lu-ment besoin pour nous remonter le moral au risque d’une profonde dépression (Kitty)

14)  Livres pour les challenges (c’est un peu comme du travail, non???)  (Fashion)

15) Livres pour les swaps (et j’ajoute à ça ceux qu’on achète pour les lire avant de les offrir à une swappée pour s’assurer qu’ils sont bien… et qu’on finit par racheter pour notre swappée ou encore garder pour nous parce que ça ne lui convient pas du tout… mais qu’à nous, si!)  (Fashion)

16) Livres pour offrir en cadeau (peu importe que le dit cadeau reste dans notre maison après et que nous le lirons aussi, souvent avant le récipiendaire du cadeau) (Yueyin)

17) Livres achetés parce que des copains sont en retard, qu’on attend, qu’on s’embête, ce qui nous OBLIGE à entrer traîner dans une librairie et acheter un truc.  C’est leur faute, de toute façon!! (Miss Alfie)

18) Les livres achetés dans le seul et unique but de soutenir l’économie mondiale en temps de crise ne comptent pas! 
Les LCA vont sauver la planète!!!  Yeaaaah!!  (Papillon)

19) Les livres que tous les copains ont lu ne comptent pas! 
Faudrait pas perdre nos copains parce qu’on est inintéressantes!!!  (Iluze)

20) Le livre qu’on avait décidé, à force de discussions avec soi-même, de ne pas acheter parce que bon, c’est vraiment trop et qu’on voit soudain partout et en promo en plus ne compte pas!  Après tout, on avait décidé de ne pas le prendre, le pire était fait!  C’est pas notre faute si le livre en question en a décidé autrement!  Anyway, on ne peut pas combattre le destin!  (lasardine)

21) Les livres qu’on ajoute à la fin d’une commande pour atteindre le « montant minimum pour avoir droit à la livraison gratuite » ne comptent pas!
  On paierait des frais quand même alors tant qu’à payer de la poste, on est mieux d’avoir un truc qui reste!! (Chimère)

22) Les livres reçus en cadeau ne comptent pas! 
Ben quoi, faudrait pas culpabiliser les copains en plus!!! (Cécile de Quoi de 9)

23) Les livres reçus des éditeurs ne comptent pas!
Comment résister à un livre gratuit et dans nos goûts en plus!!  Ce serait inhumain!! (Cécile de Quoi de 9)

24) Les livres achetés pour alimenter les débats dans un dîner livre-échange ne comptent pas!  Que ne ferait-on pas pour élargir la kulture en ce bas monde!!! (Cécile de Quoi de 9)

25) Les livres achetés suite au décès de leur auteur ne comptent pas!!  Non mais, le respect, vous en faites quoi???  Il faut bien leur rendre hommage, non???  Je vous jure, les bonnes manières se perdent!! (Cécile de quoi de 9)

26) Les livres pour les Clubs de lecture ne comptent pas!
Quand on a donné notre parole, on a donné notre parole!!!  On n’est pas pour perdre notre honneur parce qu’on a pas le livre en question!!! On nous prend pour qui!!!  (Doriane)

27) Les livres qu’on est obligées d’acheter en double parce qu’on ne veut pas briser notre Pléiade en la lisant dans le métro. 
Quoi dire devant tant de sagesse!  Faut pas abîmer les objets d’art, voyons!  On p
rend soin de nos affaires, nous!  Et comme Chiff le dit si bien, il ne faut pas prendre les Pléiade pour des lanternes (Chiffonnette)

28) Les livres avec une couverture trop belle ne comptent pas! 
C’est pour décorer la table de chevet!  Pensez à tout l’argent en déco qu’on économise de cette façon!  C’est pareil pour les biblios, au fond.  Si elles n’étaient pas là, il nous faudrait des tableaux de maître hors de prix!!  Je vous jure, on est économe!! (Vanillabricot)

29) Les classiques d’enfance qu’on a pas lus parce que trop occupés à jouer ne comptent pas!
  Ben quoi, faudrait pas avoir l’air ignorants devant des enfants de 8 ans!!!   (Laetitia la liseuse)

Pour les fans d’un certain Docteur…

Je vous invite à aller faire un tour sur Cake Wrecks aujourd’hui!

Devinez le thème de ses « Sunday Sweets »!!! :)))

J’ai trouvé mon prochain gâteau d’anniversaire!!  Reste à trouver qui va bien pouvoir me le confectionner!!!

Rude Awakenings of a Jane Austen Addict – Laurie Viera Rigler

Présentation de l’éditeur (traduite en partie – parce qu’elle a genre 2 pages –  par moi)

« Jane Mansfield a longtemps souhaité échapper aux conventions de la vie du 19e siècle en Angleterre.  Mais s’éveiller à Los Angeles, au 21e siècle, dans la peau de Courtney Stone, n’était pas ce qu’elle avait en tête!  Ce n’était pas non plus la petite boîte – avec barreaux aux fenêtres – qui sert d’appartement à Courtney.  Disparus les grands terrains et les servantes du domaine familial de Jane.  Disparus également tous ceux qui la connaissent en tant que Jane.  La seule chose qui lui soit familière et qu’elle semble avoir en commun avec la femme dans la vie de laquelle elle a atteri, c’est un amour immodéré pour Jane Austen. »


Commentaire

J’ai lu le premier tome de cette série, “Confessions of a Jane Austen addict” (une passionnée d’Austen se retrouve à cette époque, dans la peau de Jane Mansfield, une jeune fille de 1813, fille d’un gentleman anglais), l’an dernier et je me rappelle avoir été déçue et, surtout, de n’avoir rien compris de la fin.  Bien entendu, la question se pose : pourquoi diable avoir acheté le deuxième tome dès sa sortie… et en grand format en plus de ça!  En spécial… mais en grand format quand même!!! 


Et pour la réponse?  Je vais copier mes petits cretons d’aujourd’hui qui s’étaient donné le mot pour ne me répondre que ça aujourd’hui : parce que!    Exhaustif comme réponse, n’est-ce pas!  Le pire, c’est que je n’en ai aucune autre et que je n’ai aucune, mais aucune idée de ce qui a bien pu me passer par la tête!!


Et au final?  J’ai mieux aimé que le premier tome.  Surtout parce que cette fois, je ne m’attendais pas à une histoire réellement Austenienne mais plutôt à un genre de Harlequin sauce voyage dans le temps… et c’est ce que j’ai eu!  J’ai pu, en prime, comprendre ce que je n’avais pas bien saisi dans le premier tome – dont j’avais complètement oublié la fin, je l’avoue – ce qui m’a tout de même apporté une certaine satisfaction!


Jane Mansfield débarque donc, avec ses idées rigides de fille du début du 19e siècle, à la place de Courtney Stone, en 2009.  Elle vient d’avoir un bon traumatisme crânien et ses copains mettent toutes ses bizarreries sur le dos de cet accident.  En effet, elle ne se souvient d’absolument rien, ne reconnaît personne, n’a aucune idée de ce qu’est un cadran, un cellulaire, une voiture ou un email!!  Et en plus, elle parle comme dans les films préférés de Courtney et a bien du mal à se décider à montrer ses bras ou ses jambes!   Ceci donne lieu, au début du roman, à certaines scènes assez drôles (la première incursion dans la garde-robe et ce qui en résulte est assez mémorable… j’ose imaginer la réaction des copains) mais qui deviennent, après un moment, assez répétitives.  Mais bon, je m’y attendais!   Les romans d’Austen sont cités à plusieurs reprises aussi, ce qui m’a quand même plu!  Je suis bébé, j’adore toujours quand une référence connue se glisse dans le livre que je lis. 


Je l’ai tout de même préféré au premier tome, ayant eu moins d’attentes et plus de réponses.  Ça se lit rapidement, sans déplaisir et même si on se doute de comment ça va se terminer – du moins, en partie –  on veut savoir comment tout ça va se dépêtrer finalement.  Les pages se sont tournées toutes seules et j’ai souri au découragement de Jane à l’idée d’être déshonorée!!    J’ai été moins dérangée par la petite morale, cette fois-ci… c’est parachuté mais quand même, ça « fitte » dans l’histoire!  Bref, un moment détente sans prétention, qui ne révolutionne rien du tout… mais qui distrait!


6,5/10

Photos de voyage 5 – London Power!

J’ai beaucoup parlé du Londres des auteurs, des films et tout et tout mais c’est aussi autre chose, cette ville!!   En une semaine, j’ai pu l’arpenter de long en large et jouer la parfaite touriste.   Et disons qu’à travers les Londoniens soooo cute et soooo chic en complets foncés avec cravate (ceux qui sont  vraiment anticonformistes ont des vestes bleu marin foncé avec, s’ils sont vraiment « daring », de fines rayures un peu plus pâles), une fille vêtue d’un superbe agencement de rose flash, orange flash, vert flash, avec une casquette sur la tête et un sac tissé composé de 21 couleurs différentes (j’ai compté) couvrant l’arc-en-ciel au complet, ça… frappe!!!

 

 

 

À Londres, il y a le Parlement, avec Big Ben, que je trouve magnifique et que j’ai dû photographier 100 fois, sous tous les angles possibles!!  J’adore l’extérieur travaillé et le côté « gothique ».  Je pense que je suis restée un bon 10 minutes sans bouger quand je l’ai vu la première fois!!   Ils ont réparé Big Ben depuis la dernière invasion extra-terrestre (les Slitheen, vous vous souvenez??), je n’ai pas vu le vaisseau invisible du Captain Jack se balader à côté non plus… mais bon, c’est plus normal, ça se passait pendant le London Blitz!! ;))   (Pour ceux qui se demandent de quoi je parle, voir Docteur Who, saison 1)

 

 

Le London Eye (de jour, et de nuit).  J’ai bien aimé la vue de Londres depuis ses hauteurs – je l’ai dit, j’ai joué à la parfaite touriste – même si ça surprend un peu, au départ, une grande-roue en plein milieu de la ville!!!  Par chance, il n’y avait presque personne donc, aucune attente!  Cool!  Quand je pense que j’ai monté dans le truc qui servait d’antenne aux vilains extra-terrestres faits de plastique vivant… j’en suis toute retournée (Encore une fois, voir Docteur Who, saison 1)

 

Le célèbre Tower Bridge, qu’on voit un peu partout (avec à gauche la Tour de Londres… dont je parlerai une autre fois!).  C’est vrai que c’est un peu spécial, de voir ce genre de mini-château chevauchant la Tamise, avec ses couleurs franches et ses tourelles!  Je choisis cette photo en particulier parce que c’est assez caractéristique du ciel de Londres!  Ensoleillé à un coin de rue et très sombre à l’autre… c’est l’horreur pour les prévisions météo, ce truc parce que bon, souvent, la pluie… elle ne tombe pas!  Et d’autres fois ben… elle tombe (quelle révélation… quel choc!  je sais, personne ne va s’en remettre! Pour vous rassurer, je suis restée parfaitement sèche ce jour-là!!)  Alors je pense que les Londoniens sont toujours prêts à tout!!

 

Le Monument.  Je le place parc que bon, tout nous ramenait toujours au Monument, on dirait!!!    J’ai dû passer devant 40 fois mais je ne l’ai monté qu’une seule fois… je ne suis quand même pas maso!!  Cette grosse colonne surmontée d’une flamme dorée a été érigé pour commémorer le grand feu de Londres en 1666 et a été bâti tout près de l’endroit où le feu a pris naissance, chez le boulanger du roi (la hauteur du Monument correspond avec la distance entre celui-ci et l’endroit où le feu a pris naissance).  

Et ça, ce sont les escaliers du dit monument, pris d’en haut… c’est iiiiiiiiiiinterminable!!!

 

Tout près, il y a le Millenium Bridge (qui, lui aussi, semble avoir été réparé depuis la dernière attaque des Death Eaters – voir Harry Potter and the Half Blood Prince, version film).  J’ai fait un aller-retour au Tate Modern (que vous voyez derrière), qui se trouve dans un ancien entrepôt (ou industrie… je ne suis plus certaine) et j’ai davantage apprécié le contexte que le contenu… disons que je dois encore apprivoiser l’art moderne!

 

 

La cathédrale St-Paul, où on paie au moins 50 personnes pour menacer les gens de leur enlever leur appareil s’ils prennent des photos à l’intérieur, flash ou pas flash.  Bon, je n’ai pas osé mais j’ai entendu cette petite phrase AU MOINS 45 fois pendant ma visite.  Et je suis conservatrice!  J’ai adoré avoir des conversations chuchotées dans la coupole avec mon père, placé complètement à l’opposé!  Ça m’a amusée un bon 10 minutes de temps!!!  Mais bon, c’est vraiment, vraiment très beau comme endroit!   J’aime visiter des églises, je pense!!!

 

 

 

À Londres, les musées sont gratuits!  Chouette non!   J’ai particulièrement apprécié ma visite à la National Gallery (j’aime les tableaux!), situé dans Trafalgar Square et le British Museum, où on réalise que franchement, les Anglais ont vraiment pris un tas de trucs en Egypte et en Grèce!!  C’est fou pareil de voir une graaaaande partie de la frise du Panthéon et une façade complète de temple!!!  La section égyptienne m’a particulièrement plu!!  Impressionnant de voir la pierre de Rosette, quand même!!   Et non, je n’ai pas vu Angel Islington (voir Neverwhere, de Neil Gaiman).   

 

 

Le Museum of London raconte l’histoire de Londres depuis l’époque romaine.  C’est très accessible, même pour des jeunes, et il y a une bien belle vue sur les anciens murs romains.  

 

Un petit arrêt au 221B Baker Street, chez Sherlock Holmes, est également de rigueur!    J’ai même une photo avec la pipe et la casquette… mais je vais vous en faire grâce!!!

 

 

L’un des aspects que j’aime le plus dans Londres, ce sont les parcs…  Ils sont super grands et on a l’impression d’être hors de la ville.  St-James Park, Hyde Park, Kensington Gardens… chacun a son charme particulier.  Il y a plein de bestioles là-dedans, pas peureuses du tout.  Mon père, quant à lui, est devenu bien copain avec les écureuils en osant manger une barre tendre en plein parc près du Serpentine Lake… c’est qu’ils ne sont pas timides, les petits voleurs!!!

 

Comme toute bonne touriste, j’ai vu la relève de la garde…  qui ont joué Take Five et The Phantom of the Opera…  pas très royal comme truc, non!!

 

Trafalgar Square, avec le monument à Nelson (tout ce que j’en savais, c’est qu’il était Amiral et qu’il était associé à Emma Hamilton…  à cause du film « Fire over England », avec Vivien Leigh… je tire ma kulture d’endroits étonnants).

 

Leicester Square (si quelqu’un peut me donner la phonétique pour la prononciation de ce mot en anglais, je lui serai éternellement reconnaissante… on semble omettre la 2e syllabe mais je ne suis pas certaine du pourquoi du comment) avec le kiosque à billets-de-théâtre-réduits. 

 

Picadilly Circus, tel que vu dans de nombreux films et séries… dont un certain Docteur!!!   (Quoi, une obsession?  Moi?  Jaaaaaaaamais!!)

 

 

 

 

Londres, c’est aussi toutes ces petites rues bien étroites, super jolies en vrai mais qui donnent des photos épouvantables!!  C’est de vieilles églises entières et d’autres détruites transformées en jardin, c’est des rues bordées de maisons victoriennes avec des cheminées comme dans Mary Poppins, c’est des autobus rouge à deux étages et des cabines téléphoniques, c’est le grand magasin Harrods (où j’ai pu toucher oui oui, toucher, un sac à 4000 livres) et surtout son food court  où pour un modique 2 livres, on peut manger un morceau de chocolat de un pouce carré, c’est des noms de rues qui font rêver à nos bouquins comme Charing Cross Road,  Chancery Lane, Gracechurch Street,  Fleet Street, Grosvernor Street, des stations de métro qui nous rappellent « Neverwhere » comme Earl’s Court, Knightsbridge, Blackfriars ou l’expression « Mind the Gap »!  Je ne l’ai pas vu, au fait!  J’ai eu de la chance, non! J

 

Et non, ce n’est pas une invention de Torchwood… CCTV existe vraiment… et partout à part de ça!!!!

Blue Moon – Alyson Noël (Immortals – tome 2)

Présentation de l’éditeur (mal traduit en partie par moi)
SPOILERS DU PREMIER TOME – ATTENTION

« Ever est en train d’apprivoiser ses nouvelles habiletés d’immortelle, initiée à ce monde sombre et séduisant par son cher Damen.  Mais quelque chose de terrible est en train de lui arriver.  Alors que les pouvoirs d’Ever augmentent, ceux de Damen commencent à diminuer, après qu’il ait été frappé par une mystérieuse maladie qui remet en question sa mémoire, son identité, sa vie. « 

Commentaire
Lorsque Pimpi m’a signalé que le deuxième tome de la série d’Alyson Noël était sorti, je l’ai bien entendu acheté tout de suite, me disant que c’était tout à fait le genre de lecture dont j’avais besoin en ce moment.  J’avais trouvé des milliers de défauts au premier tome, dont des points communs avec Twilight, mais j’avais passé un très bon moment malgré tout avec Ever et Damen. 

J’avoue que j’ai eu peur en voyant le titre (Blue moon, New moon… il n’y a que deux sons de différence, n’est-ce pas!) mais si, comme dans la série de Meyer, le héros masculin est presque absent de ce second tome, c’est quand même assez différent car Ever ne s’est pas mise dans la tête de se presque tuer!  Elle prend plutôt le taureau par les cornes et tente de sauver son chéri qui est dans un sale état. 

 À l’école, un nouvel élève, Roman, possède un charisme extraordinaire et a transformé la vie de l’école secondaire.  Sauf qu’Ever n’est pas atteinte par l’enthousiasme communicatif et il suscite plutôt une sérieuse antipathie chez elle, malgré sa gentillesse et ses tentatives d’être gentil avec elle.  Ever se retrouve donc rapidement au ban de la petite communauté écolière et elle décide de découvrir seule comment sauver Damen, qui n’est définitivement plus lui-même. 

Je dois avouer être moins enthousiaste que Pimpi face à ce deuxième tome.  Bon, malgré tout, avec la fin, c’est certain que je lirai le troisième.  Toutefois, si j’ai lu le livre assez vite et sans ennui car on s’entend que l’action commence après environ 70 pages (où Ever nous mentionne comment Damen est son amour éternel, son âme soeur, etc. etc. à maintes reprises) pour ne pas s’arrêter, je n’ai pas été aussi passionnée que lors de ma lecture du premier tome.   Peut-être est-ce parce que Damen est moins présent…  J’ai bien aimé en apprendre davantage sur lui par contre!

Ever est quand même un personnage intéressant.  Se retrouvant seule contre tous, elle prend les choses en main avec beaucoup d’intuition, guidée à Summerland par deux bizarres de jumelles dont on ne sait rien et qui parlent par énigmes…  Le tout est quand même assez prévisible, ça ne révolutionne rien mais je l’ai lu avec plaisir, ayant quand même embarqué dans l’histoire et ayant été très curieuse de voir comment tout ça allait se terminer!!

Sauf que là, faut attendre la suite… grrrr!!!

Plaisir de lecture: 6,5/10 

En mode Caliméro…

C’est trop inzuuuuuste!!
Je l’ai déjà mentionné ici, suite au sondage hautement scientifique qui nous aide à mieux nous connaître (après ça, aucuuuun besoin d’aller voir les psys!) et à découvrir notre moi profond, je suis de type « Harlequin Historique » ou « Black Rose ».   C’est coulé dans le béton, indiscutable, immuable!  C’est partie intégrante de ma personnalité!

Et vous savez quoi??

Ces collections sont carrément introuvables ici.  J’ai écumé les IGA, les tabagies en tout genre, les Jean Cout*u et les bouquineries… AUCUN HARLEQUIN HISTORIQUE OU BLACK ROSE!!!  Vraiment, quelle cruauté!  J’en suis vraiment toute retournée et je suis en train de travailler sur moi-même afin de survivre à cette épreuve…

Ma vie est fichue, vous pensez??

The Good Fairies of New York (Les petites fées de New York) – Martin Millar

Présentation de l’éditeur (ben… de Neil Gaiman, en fait)
« Les petites fées de New York » est une histoire qui commence quand Heather et Morag, deux fées de 18 pouces avec des épées et des kilts verts et de cheveux mal teints débarquent chez le pire violoniste de New York, un obèse antisocial appelé Dinnie, et vomissent sur son tapis.  Qui elles sont et comment elles sont venues à New York, et qu’est-ce que ça a à voir avec la joli Kerry, qui habite de l’autre côté de la rue et qui souffre de la maladie de Crohn et qui fabrique un alphabet floral celtique, et ce que ça a à voir avec les autres fées (de toutes nationalités) de New York, sans oublier les pauvres fées réprimées d’Angleterre, c’est le sujet de ce livre.  Il y a une guerre dedans, et une bizarre de production du « Songe d’une nuit d’été » et les solos de guitare de Johnny Thunder, des New York Dolls.  Que peut-on vouloir de plus de la part d’un livre? »

Commentaire

C’est après avoir lu plusieurs commentaires vraiment positifs, autant sur la blogosphère anglophone que francophone, que je me suis finalement décidée à ouvrir ce livre.  Et finalement?  C’est du grand n’importe quoi, ce truc!!!  Vous savez, le genre de roman dans lequel on plonge et on se laisse porter parce que bon, il n’y a rien à comprendre et que les dénouements sont tous plus invraisemblables les uns que les autres!  Complètement capoté! 

Et l’histoire dans tout ça?  En fait, deux petites fées bien sympathiques et ayant le don pour causer des catastrophes nucléaires un peu partout autour d’elles débarquent à New York sans trop savoir pourquoi, à part qu’elles sont un peu dans le trouble avec un clan écossais, pour une obscure histoire de couvertures.  Elles se sont donc sauvées et ont décidé de faire le bien autour d’elles… à leur manière.  Et les pauvres humains qui sont pris dans toute cette histoire n’ont qu’à bien se tenir!!   Et bon, ça déboule un peu  n’importe comment, avec des fées chinoises insultées pour une histoire de homards, des fées italiennes insultées pour une histoire de whisky et des fées du Ghana insultée pour une raison que j’ai malencontreusement oubliée.  Et de pauvres fées opprimées en Angleterre, et des rebelles, et des fées écossaises qui voudraient bien attraper Heather et Morag et récupérer leur bien.

Et les humains dans tout ça??  Ils m’ont bien plu (oui oui, même Dinnie… par moments), surtout Magenta, la sans-abri complètement dopée qui se prend pour un général grec et Kerry, qui n’accepte pas sa maladie mais qui la camoufle sous des dehors hippies et colorés.   Mais je me demande bien comment ce pauvre pavot a bien pu survivre à toutes ces histoires!!

Et au final?  Malgré de sérieux éclats de rire (surtout vers la fin… le fameux débarquement… my god!), j’ai quand même trouvé quelques longueurs… j’ai mis du temps à voir où ça s’en allait avant de comprendre que bon, ce n’était pas vraiment important et les chicanes incessantes entre Morag et Heather deviennent un peu agaçantes, à la fin.  Je ne suis pas vraiment suuuuper déçue mais pas non plus aussi enthousiaste que les autres lectrices.  J’ai aimé la structure par petites bribes, toutefois.  C’est rapide, c’est décousu et ça colle très bien avec l’histoire!

Ca m’a parfois fait penser à du Christopher Moore, en plus soft, un peu moins décapant et en un peu moins fou.  Je pense que j’attendais quelque chose de plus, LE petit truc qui me ferait accrocher!

Plaisir de lecture: 7/10

Photos de voyage 4 – Des trucs de livres et de films!

Je croyais avoir un gros tas de photos dans cette section.  Sauf que bon, je dois avoir les dites photos  sauf que je ne me souviens plus du tout de ce qui est quoi…  Vilaine mémoire!! 

 


C’est ce magasin, tout au coin à droite, « The pen shop » qui a inspiré l’entrée de Diagon Alley, le lieu de magasinage magique dans Harry Potter.  Cet espace commercial (qui a bien entendu un nom… que j’ai bien entendu oublié) est assez cute, par ailleurs, de jour comme de soir!!  On se croirait vraiment ailleurs!!  Bon, sur mon ordi, la photo est super belle… sur celui de mes parents, beaucoup moins… elle est genre… noire!  Mais en vrai, je vous jure qu’elle est belle!!

 

Bien loin de Londres (d’ailleurs, il faut vraiment des magiciens pour se rendre de King’s Cross à cet endroit en quelques minutes, vu que c’est en plein dans les Highlands), le fameux pont et le fameux train vu dans le premier film d’Harry Potter.  Ça semble tout petit comme ça mais en vrai, c’est vraiment gros et vraiment très beau comme décor!!  Cette petite ballade jusqu’à Mallaig (comme dans La châtelaine de Mallaig, que ma mère a lu, mais pas moi!) a été bien agréable!!

 

 

Lacock Abbey, dans le joli petit village de Lacock (vraiment cute… c’est minuscule), où ont été tournées plusieurs scènes à Poudlard.   Il y a des scènes qui ont été tournées dans les cellules aussi mais mes photos sont tellement noires que je ne pense pas que ça vaille la peine… anyway, même éclaircies, ça ressemble à une pièce faite en pierre.  Ben, en fait, ce sont des pièces faites en pierre.  Géniales à visiter mais gris sur gris, en photo, par une photographe plus qu’amateure, ça donne… un truc plutôt ordinaire!

 

J’ai pris en photo THE fameuse cabine menant au ministère de la magie.  Mais bon, elle est maintenant confondue avec toutes les cabines de téléphone rouge qui ont malencontreusement atterri sur mes photos Londoniennes… too bad!

 

 

Pour les fans de Bridget Jones, voici le quartier de Bridget, près du Borough Market, situé sous un pont.  Le samedi, c’est plein de gens qui vendent des produits souvent bio et qui nous font goûter des échantillons dès qu’on passe tout près!  J’ai goûté à 8 sortes de Lemon Curd différents avant de me décider à en acheter… inutile de préciser que ça a été mon dîner!!   Et je ne sais pas qui est la dame dont ne voit pas le visage… not me!  J’avais pris l’immeuble de Bridget mais il est lui aussi perdu dans des tonnes d’immeubles londoniens!

 

J’ai aussi vu le lieu où se déroule la célèbre bataille Colin-Hugh ainsi que l’endroit où elle retrouve Colin à la fin du premier film… bien loin du quartier où elle est sensée habiter, d’ailleurs!  Elle a dû geler, faire tout ce chemin en petites culottes!!!   Les photos sont perdues dans la masse!! 

 

 

Portobello Road, à Notting Hill, le soir, quand tous les étalages sont rentrés. 

 

Et ça, c’est le fameux Travel Book Shop où Hugh Grant tente de vendre des guides de voyages…  Je n’ai pas trouvé « la maison à la porte bleue » parce que le propriétaire, tanné des visiteurs, a repeint la porte d’une autre couleur!  C’était quand même assez simple comme solution mais très efficace!  Je n’ai pas vu Hugh non plus d’ailleurs… sooo sad!

 

Le 221B Baker Street, célèbre lieu de résidence de Sherlock Holmes!  Ce qu’il faut savoir c’est qu’à l’époque, ce numéro n’existait pas.  Il est d’ailleurs un peu plus haut sur la rue, pas vraiment à sa place!  Ceux qui me connaissent le moindrement peuvent s’imaginer que ça m’a causé un problème!!  En fait j’ai une meillere photo que ça, où on voit le numéro et tout… mais malheureusement, il y a moi dessus, avec en prime une casquette et une pipe (je parle du truc qui se fume!!)  On va donc laisser faire!!

 

Le Jane Austen Center, à Bath.   Dedans, une expo sur la vie à Bath à l’époque, sur la vie d’Austen, sur les références à Bath dans ses romans… intéressant!!

 

Au salon de thé du centre… sans commentaires!  Je vous passe la photo où je suis photographiée en pâmoison devant le dit portrait… parce que ça, ça se passe encore plus de commentaires!!

 

D’autres photos bientôt… en fait, tous les billets sont écrits mais insérer des photos sur o-b c’est … long!!  Alors j’en rédige un de temps en temps!!!

 

Fearless Fourteen – Janet Evanovich

Présentation

Stephanie Plum, chasseuse de primes, allait simplement récupérer Loretta, FTA (failure to appear)… la routine, quoi.  Sauf qu’elle se retrouve rapidement avec Zook, le fils de celle-ci, sur les bras ainsi que son frère, Dom, récemment sorti de prison, qui semble croire que Morelli, en héritant de la maison de sa tante Rose, l’a privé de son héritage légitime.  Est-ce que ça aurait quelque chose à voir avec le vol de banque de 9 millions commis plusieurs années plut tôt?   Et, bien entendu, Stephanie est prise là-dedans jusqu’aux oreilles!!

 

Commentaire

Quoi de mieux qu’un roman de Stephanie Plum pour rire un bon coup et pour se changer les idées!!  Dans mon cas, ça fonctionne toujours, du moins le temps que ma lecture dure… ce qui, malheureusement, n’est jamais bien long!!  C’est que ça se lit vite, cette petite chose!

 

Nous sommes encore dans une aventure complètement abracadabrante.  Bien entendu, si on lit pour l’intrigue policière, on risque d’être déçu – parce que bon, si on en est au tome 14, j’imagine qu’on a bien compris qu’il ne fallait pas les lire pour ça – mais pour la rigolade, ça fonctionne à merveille!   Bon, tout le monde sait que je suis une Rangergirl.  Et ce livre est centré sur Morelli alors que Ranger est présent… mais bon… Je l’ai déjà vu plus hot que ça!!! 

 

Que puis-je en dire… l’ado de 14 ans, Zook, au visage rempli de piercings et maniaque de Minionfire, un genre de jeu vidéo, taggueur légendaire, nous apporte quelques fous rire… Et d’imaginer Stephanie et Morelli, tentant de jouer les « bons parents » avec lui, Mooner – inventeur dans ce tome d’un super efficace canon-à-patates – et Gary, un stalker professionnel, médium à ses heures, c’est aussi quelque chose!   

 

De plus, Stephanie, pour se faire un petit « sideline »,  a accepté un travail de garde du corps pour Rangeman, où elle doit garder une star de 61 ans qui se prend pour Madonna et qui est tout un numéro!  Et comme elle annonce en grande pompe qu’il y a probablement 9 millions d’enterrés dans la cour de Morelli, devinez ce qui en découle (de là l’utilité des patates… je sais, ça ne semble pas vraiment logique mais ça l’est… dans le sens d’Evanovich-logique!). 

 

Lula, quant à elle, a maintenant de grands rêves matrimoniaux et a décidé que Tank et elle convolerait en justes noces, with feux d’artifices, s’il vous plaît.  Quant à Tank il… tente de ne pas s’évanouir!   Duuuur de faire le poids face à une Lula déchaînée, avec sa logique toujours toute particulière!!  Quant à Grandma Mazur, juste l’image mentale d’elle en gothique (avec tous les passe-temps qui vont avec)… avouez que ça fait rire!!  Je plains sincèrement la mère de Stéphanie!!

 

Bref, des situations plus folles les unes que les autres, avec une Stephanie bleue et un Morelli qui n’a qu’une idée en tête malgré tout!  Vivement la sortie du 15e en poche… surtout après avoir lu le début!  *soupir* Ranger *soupir*…

 

Plaisir de lecture: 8/10