Le vieux qui lisait des romans d’amour – Luis Sepulveda

vieux qui lisait des romans d'amourDes fois, on se demande pourquoi on ne lit pas certains romans.  Je n’étais nullement attirée par celui-ci, parce qu’on parlait de « roman écologique ».  Et là, moi, dans ma tête, ça me disait « roman moralisateur ».   En effet, je pense que les premiers « grands écolos » que j’ai rencontrés m’ont traumatisée à vie.    Pourtant, j’ai beaucoup aimé ce court roman qui est, certes, écologique, mais surtout profondément humain, dans le bon sens du terme.

 

Il s’agit donc de l’histoire de Antonio José Bolivar, un vieil homme qui habite à El Idilio, en Amazonie.   Avec une narration qui fait penser aux contes, nous rencontrons le vieil homme alors qu’il est déjà âgé et qu’un cadavre est ramené par les Shuars, que le maire accuse aussitôt du meurtre.  Pour Antonio José Bolivar, qui connaît bien la forêt et les Shuars, c’est clair, c’est l’oeuvre d’un félin.  Et le maire, personnage gluant surnommé la Limace, va limite l’obliger à s’aventurer pour tuer l’animal.

 

Antonio José Bolivar vit un peu à l’écart du monde.  Il vit dans sa cabane et passe l’année à lire, lentement, des romans d’amour que lui apporte le dentiste qui passe deux fois par année au village.   On nous dépeint une Amazonie magnifique mais cruelle, un homme qui a tenté d’y vivre complètement tout en restant trop « homme » pour réussir.   Nous marchons dans cette forêt avec les personnages, la sentons vivante et je me suis limite émue au sort du félin, qui les traque à son tour, tel un égal.

 

Une très belle lecture, donc, que je n’ai pas trouvée moralisatrice pour deux sous, finalement.  Lucky me!

 

On en parle chez Enna et Saxaoul.

Bone – tomes 1-2-3 – Jeff Smith

Bone 1 Bone tome 2Bone 3J’ai lu cette BD parce que mon neveu – 8 ans – l’a reçu pour son anniversaire.   En fait, en pleine fête de famille, je me suis mise à la lire et, après un moment, j’ai entendu la mamie de mon neveu (celle qui avait donné la BD) mentionner « Je pense qu’on a donné un cadeau à Karine autant qu’à Nathan, hein »!  Et bon, ils ont eu raison parce qu’une fois dans cette BD (très jeunesse), j’ai eu du mal à la lâcher.  C’est pas mal du tout, c’est bourré d’action, d’humour, de mystères, bref, j’aime énormément et ça fait appel à mon coeur d’enfant!

 

C’est donc l’histoire des Bone, trois petits personnages blancs au gros nez, qui se sont fait mettre dehors de Boneville en raison des machinations de l’un d’eux, Phoney Bone, politicien magouilleur.   Mais voilà, ils se retrouvent en forêt, complètement perdus, face à une invasion de locustes, pourchassés par une armés de Rats Géants.   Nous avons donc droit à une série de poursuites, d’attaques et résolutions abracadabrantes et souvent très très drôles.  Ils rencontrent des personnages hauts en couleurs (mention spéciale à Rosie, la grand-maman de Thorn, qui m’a fait mourir de rire) et le mystère est dévoilé petit à petit.  Ceci dit, après 3 tomes, je commence tout juste à savoir de quoi il en retourne…. et je me demande si mister 8 ans va s’accrocher pour bien comprendre.

 

Après un premier tome plein d’action, mais qui nous présente les personnages, le deuxième nous emmène dans THE événement du village, une course… de vaches!  Finalement, le troisième tome nous plonge dans la « grande histoire », qui implique des rêves, une mystérieuse carte, et des dragons.  Tout plein d’éléments qui plaisent aux jeunes, surtout combinés avec des rats géants complètement stupides (les épisodes qui font référence à la quiche me font mourir de rire) et une petite feuille cute comme tout… bref, ça me plaît!    Derrière toute cette action, il y a de mystérieux personnages maqués, des insectes… et des dragons au drôle de regard, qui n’ont qu’à apparaître pour sauver la mise.

 

Je vais donc lire la suite.  Ben quoi, je veux savoir!  J’aime redevenir une enfant.

Bilan lectures – Août 2015

Bon, bon, bon!

Août est terminé.  Août a été fou, fou, fou!  Entre la visite de Yueyin, Escargolio and family, la course folle au boulot et le road trip imprévu avec Fashion/Angéla Morelli (d’ailleurs, si vous voulez un billet-photos là-dessus, laissez-moi un commentaire… et j’essaierai de faire un petit effort), je croyais n’avoir carrément rien lu.   Du coup, j’ai attendu, tranquille, la fin du mois pour tourner une vidéo.   Et en comptant… oups?

18.

J’avais 18 ouvrages à commenter.  Du coup, 21 minutes, c’est pas siiii pire, non?  Je suis limite fière de moi!  Donc, là-dedans, je vous parle de ce qui suit.

 

Ouvrages pour adultes

– Mêlée à deux – Angela Morelli

The vacillations of Poppy Carew – Mary Wesley

– Petits arrangements avec l’infâme – Patricia Parry

– Lézard – Banana Yoshimoto

– Luz et le temps sauvage – Elsa Osorio

– Constellation – Adrien Bosc

– Chercher Sam – Sophie Bienvenu

– Le vieux qui lisait des romans d’amour – Luis Sepulveda

– Sur la lecture – Marcel Proust

– La vengeance d’une femme – Jules Barbey d’Aurevilly

– Trésors des expressions québécoises – Pierre DesRuisseaux

 

 

 

Romans YA

– Ma raison de vivre – Rébecca Donovan

– Finding Audrey – Sophie Kinsella

Miss Pérégrine et les enfants particulier – Ranson Riggs

 

Ouvrages jeunesse

– Les tests de Catherine – Catherine Girard-Audet

– Si jamais tu avais un dinosaure – Linda Bailey

La rentrée de papa – Mike Wohnoutka

– Je suis Marilou Melon – Patty Lovell/David Catrow

 

Les autres billets viendront dans les prochaines semaines sur le blog.  Sauf pour le québécois qui viendra… en novembre!

Qu’avez-vous lu dans tout ça?  Des tentations??

Miss Peregrine et les enfants particuliers – Ransom Riggs

miss peregrineCe roman traîne depuis des années.  Il a fallu un post sur FB où Ransom Riggs nous explique sa quête pour trouver « la » fameuse maison et nous balade dans les maisons abandonnées pour que je décide de le sortir de la pile.

 

C’est donc une histoire young adult, où nous rencontrons Jacob, 15-16 ans.  Pendant toute son enfance, il a été bercé par les histoires de son grand-père dans lesquelles il était question d’un aigle qui fume la pipe, d’une maison merveilleuse, un havre de paix pour des enfants « spéciaux », qui fuyaient des monstres horribles qui voulaient les tuer.  En grandissant, il commence à mettre en doute les mots de son grand-père, homme qu’il aime par dessus tout, mais qui commence à perdre un peu la tête.   Puis, il va arriver quelque chose au grand-papa, ce qui va remettre en question toutes les croyances de Jacob.

 

Je ne savais pas du tout à quoi m’attendre avec ce roman mais bizarrement, je ne m’attendais pas à ça  Du coup, j’ai été un peu déçue quand j’ai compris où ça s’en allait.  Ok, je m’explique.  J’ai énormément aimé toute la première partie.  Les questionnements de Jacob, la réaction de ses proches, ses propres remises en question, la présence du papa et sa propre relation le grand-papa, tout ça, ça m’a beaucoup plu et touchée.   Par la suite, cette maison… cette maison…  Par contre, malgré une mythologie intéressante, la deuxième partie m’a semblé plus classique, plus proche de la fantasy YA à laquelle on est habitués.   Du coup, j’ai eu un petit moment plus « down » en réalisant la direction que l’histoire prenait.

 

Par contre, j’ai adoré le fait que le livre contienne des photos anciennes sur lesquelles l’auteur s’est basé pour construire son histoire.   Ce sont de vraies photos étranges, prises dans des collections diverses, et ça, juste ça, c’est intrigant et fascinant.  Du coup, je vais probablement lire la suite, même si maintenant, je sais mieux à quoi j’aurai affaire.. et que je me doute qu’encore une fois, je verrai les révélations venir à 100 km!

 

On en parle ailleurs : Liyah, Clarabel, Les livres de Rory, Grominou (un peu déçue)

La rentrée de papa – Mike Wohnoutka

la rentrée de papaEn ce temps de rentrée, quoi de mieux qu’un joli album sur l’angoisse qu’on peut ressentir à l’approche du début de l’école!  Et celui-ci m’a bien fait rire car il prend les choses à l’envers (ou pas, diront certains… mais bon, c’est une autre histoire!).  Ici, Olivier, le petit coco de 5 ans, est ravi d’aller à l’école.  C’est son papa qui en a mal au ventre, qui se cache, qui fait des crises… bref, pour les enfants, c’est juste hi-la-rant et ça déclenche des crises de fou rire pas possibles.  Le tout en dédramatisant la rentrée scolaire.

 

C’est un album coloré et drôle, parfait pour lire aux petits qui vont commencer l’école, ou pas.   Les images sont bien distinctes et mettent l’accent sur les éléments importants de l’histoire, tout en normalisant l’anxiété des enfants qui ont à faire face à un nouveau défi.

 

Avec mes cocos, je l’ai pour ma part utilisé pour la variété de verbes qu’il propose et la simplicité des structures évoquées (ce sont toujours les mêmes sujets, ça aide les petits à varier les actions quand ils ont du mal) ainsi que pour amener l’enfant à utiliser des notions spatiales.   Le seul problème, c’est qu’ils riaient trop et deux d’entre eux ont exigé de leurs parents qu’ils se cachent sous la table… bref, la joie, vous imaginez!

 

 

Un bien joli album!

logo dimanche jeunesse

Entrevue d’Angéla Morelli/Emma Foster

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Si vous me suivez (ou que vous suivez Angie/Emma sur Facebook ou Instagram), vous savez que nous avons fait un road trip  effréné et imprévu autour du Québec.  On a ri comme des petites folles, vous pouvez bien vous l’imaginer!

 

Mais quand même, nous avons pris le temps de tourner une entrevue d’auteur.  Sans trop ricaner (mais un peu hein… on reste nous-mêmes!)

 

Donc, la voici!  Have fun!

Et n’hésitez pas à nous dire toutes les niaiseries qui vous passent par la tête!

The Vacillations of Poppy Carew – Mary Wesley

the vacillations of poppy carewC’est l’heure de mon Mary Wesley annuel.  Yep, je me limite à un par année parce qu’elle n’a pas écrit taaaant que ça et que je ne veux pas avoir fini de lire cette auteure.  Je sais, je suis bizarre, des fois!  Je dois quand même avouer qu’à date, c’est le roman de l’auteur que j’ai le moins aimé.  Je ne sais pas si c’est parce que je l’ai lu dans un mauvais moment.

 

 

Ok, entendons-nous.  J’ai aimé.  Bien aimé.  Mais je n’ai pas vibré de la même façon que je le fais d’habitude avec les romans de cette auteure.  J’y ai retrouvé le côté vintage, les personnages un peu décalés, j’ai été ravie d’y retrouver Calypso Grant (rencontrée dans La pelouse de camomille, mon préféré).  J’ai aussi apprécié le comique de situation et j’ai passé un bon moment.  Mais si après coup, je me suis retrouvée à y repenser souvent, pendant ma lecture, j’ai parfois trouvé quelques longueurs.  Mais je vous explique quand même de quoi ça parle.

 

C’est donc l’histoire de Poppy Carew.  Nous la rencontrons alors qu’elle vient de se faire laisser par son copain de longue date et, qu’en plus, son père meurt.  Dans une explosion de joie en apprenant que sa fille est finalement débarrassée de cet Edmund qu’il n’était pas capable de sentir. Du coup, miss Poppy, qui n’a jamais vraiment pris une décision de sa vie, se retrouve devant un océan de décisions, et ne sait pas trop comment réagir à tout ça.  Ajoutons à ses problèmes le fait que son père veut des funérailles « amusantes » et qu’il veut absolument engager une firme appelée Furnival Fun Funeral.

 

Ce roman, c’est un peu l’ancêtre de la chick litt selon moi.  Une héroïne un peu paumée, plusieurs gars aussi étranges les uns que les autres, des aventures un peu folles et de l’humour pince-sans-rire.   Par contre, il est surtout question de découverte de soi (sur le tard, mais bon!) et aussi de nostalgie et de filiation (comme souvent chez Mary Wesley).  En effet, ce n’est qu’après le décès de son père qu’elle réalise qu’elle ne le connaissait pas du tout et elle découvre un homme excentrique, que tout le monde aimait, mais qu’elle a laissé passer parce qu’entre lui et son copain, ça ne passait pas du tout.

 

Un roman pour lequel j’ai pris mon temps, pour une raison vraiment weird : j’ai le livre dans une super vieille édition… et j’étais allergique à mon livre.  Séances d’éternuements intense.  Ouais… c’est peut-être pour ça que j’avais hâte qu’il soit fini!

 

Je n’ai pas trouvé de billet qui en parle… qui l’a lu?

Aya de Yopougon – Tome 2 – Marguerite Abouet /Clément Oubrerie

Aya 2Je vous ai parlé du premier tome il y a peu de temps (en fait, je passe ma vie à changer l’ordre de publication des billets… du coup, je ne sais plus trop quand j’ai parlé de quoi… du moins, pas au moment de publier les billets!) et j’ai rapidement enchaîné avec le tome 2 dans ma hâte de retrouver Aya, Bintou, Adjoua et leurs familles.    Parce que dans ce tome 2, les familles sont de plus en plus présentes, de même que la petite communauté du village où ils habitent.

 

Je rappelle donc pour ceux qui vivraient sur une autre planète… Aya a 19 ans et vit en Côte d’Ivoire, fin des années 70.  Elle est intelligente, a de grands rêves et un grand coeur.   Encore une fois, l’auteur se tient loin des clichés et tout son amour pour l’Afrique  (elle-même est originaire du même pays que son héroïne) et ses coutumes est vivant dans ces pages.  Ce sont des jeunes filles différentes, fortes à leur manière et qui poursuivent chacune des idéaux différents.  Comme plusieurs jeunes filles, quoi.

 

Ok.  À partir d’ici, il va y avoir des spoilers sur le premier tome.   Donc, si vous ne l’avez pas lu, il faut le faire.  Et arrêter de lire ici!

 

Comme on s’en doutait à la fin du premier tome, le bébé d’Adjoua a disons… peu de traits communs avec Moussa, son mari-obligé et fils paresseux du patron du père d’Aya, représentant sur la route.  S’en suit une quête drôle et tragique à la fois de la part du père de la jeune maman pour trouver quelqu’un qui lui ressemble dans la famille, mission impossible jusqu’à ce qu’il tombe sur Mamadou.  Of course.   On voit aussi le quotidien de bébé Bobby (comme dans Dallas), l’enfant de tout le village que chacun porte au dos tour à tour pour que sa maman puisse travailler au marché.  J’ai adoré cette partie, cette vision de la vie communautaire dans le quartier.  C’est très différent mais très réjouissant aussi.

 

Bintou, quant à elle, a succombé au charme d’un parisien en visite qui lui promet mer et monde tandis que pour le papa d’Aya, les choses se corsent… Oh malheur, les Ivoiriens boivent moins de bière et sont plus portés sur une boisson forte maison.

 

Bref, j’adore toujours autant.  J’ai limite l’impression que les jeunes filles sont mes copines… et ça passe super bien!  Vite, le tome 3.  Ca va brasser!

 

La BD de la semaine, c’est chez Un amour de BD cette semaine!

BD-de-la-semaine

Où Yueyin et moi forçons Angéla Morelli à lire du québécois.

Parfois, on part avec les meilleures intentions du monde (genre faire une vidéo courte, concise, précise, bien cadrée et bien sonorisée) et tout part en vrille.  Genre, comme c’est arrivé dans cette vidéo, où nous avons fait surchauffer l’appareil. dû composer avec un photographe hilare et une table qui bougeait toute seule, ce qui fait que bon, pendant 10 minutes, on ne voit que notre tête… et bien du décor en haut.

 

Malgré tout, on a ri comme des petites folles, beaucoup trop parlé (le plus souvent, toutes en même temps), fait des hors-sujet de l’enfer mais… c’est nous!  Du coup, vous êtes prévenus.  Et au pire, vous nous mettrez des vilains pouces rouges… même pas peur!

 

Donc, pour résumer…

Yueyin conseille…

Un ange cornu avec des ailes de tôle – Michel Tremblay

La petite et le vieux – Marie-Renée Lavoie

La marche en forêt – Catherine Leroux

La héronnière – Lise Tremblay

Hongrie-Hollywood Express – Eric Plamondon

 

Je conseille…

Elle et nous – Michel Jean

La traduction est une histoire d’amour – Jacques Poulin

Chroniques du pays des mères – Elisabeth Vonarburg

Les fous de bassan – Anne Hébert

Hadassa – Myriam Beaudoin

 

Et Angie n’a pas le choix de les lire d’ici un an, voilà.  Genre qu’on veut récupérer nos trucs… et que oui, on y croit (c’est beau l’espoir!)

 

Vous lui proposeriez quoi, vous?

Vous connaissez ces titres?  Vous aimez?

 

 

Je peux très bien me passer de toi – Marie Vareille

je peux très bien me passer de toiAprès Murasaki, j’ai eu vraiment du mal à me sortir de cet univers.  Du coup, j’ai choisi une romance contemporaine dont j’avais entendu parler par ma copine Stephie.  Entendons-nous, ça change de genre!  Mais j’y ai trouvé ce que je cherchais, soit un bon moment, un peu de bon sentiments, des rires… et des larmes.  Oui, quand on parle d’un sujet en particulier, je me transforme en fontaine… et ça a été aussi le cas.

 

C’est donc l’histoire de deux jeunes femmes fin vingtaine, aussi différentes que possibles.  Elles se sont rencontrées dans un club de lecture (je me demande d’ailleurs comment elles sont arrivées là) et sont devenues copines, malgré leurs différences.  Chloé semble sûre d’elle, est élégante et tout, mais elle a un problème: son ex, Guillaume, qu’elle ne peut pas oublier.  Il faut dire qu’elle ne s’aide pas beaucoup!   Constance, quant à elle, est dans le no sex land depuis plus de 2 ans et n’est vraiment pas une pro pour cruiser.   Elles se lancent donc un défi: Chloé doit faire une cure de désintox de sexe et Constance doit coucher  le premier soir.   Du coup, Chloé va débarquer à la campagne (pour oublier son ex et se donner une chance) pour écrire, dans la famille de Constance et cette dernière va aboutir dans un cours de séduction donné par une mystérieuse blonde.

 

Certes, ce contexte donne lieu à des scènes très drôles, avec des références qui font mouche (Jane forever).  De plus, oui, il y y a des clichés, mais ils sont quand même habilement détournés et de façon générale, j’ai passé un très bon moment.  J’ai ri des efforts de Constance (oh my… j’aurais TELLEMENT pu faire certains trucs du genre… sauf que moi, mémé avec un thé et des livres ça me convient super bien), j’ai été attendrie de la relation entre Chloé et sa grand-mère et j’ai beaucoup aimé la diversité des relations dépeintes ainsi que des attentes.  La relation Chloé-Guillaume, entre autres, est particulière et déchirante par moments. Les personnages sont attachants, on les voudrait comme copines… et bref, ce roman remplit parfaitement sa fonction!

 

Une comédie romantique fraîche, pétillante et parfaite pour l’été!

 

On en parle ailleurs: Stephie, Onirik, Vu de mes lunettes, Tartinne aux pommes