Devil in Winter – Wallflowers #3 – (Un diable en hiver) – Lisa Kleypas

Devil-in-winter-copie-1.jpgPrésentation de l’éditeur (celle de J’ai lu)

« Qui aurait cru qu’après ses amies Annabelle et Lillian, ce serait au tour de la timide et bégayante Evangeline Jenner de se trouver un mari ? Et quel mari ! Non content d’être un débauché notoire, un aristocrate plein de morgue, Sebastian, lord St. Vincent, vient de trahir son meilleur ami en tentant d’enlever sa riche fiancée… Et c’est pour échapper aux griffes de sa famille qu’Evangeline va signer un pacte avec ce diable d’homme : en échange de sa protection, Sebastian aura sa fortune, mais il n’aura ni son corps ni son coeur…

 

Commentaire

J’ai donc lu le troisième épisode des Wallflowers, série qui nous raconte les aventures de quatre laissées pour compte à la recherche d’un mari.  Et disons-le d’emblée, c’est celui que j’ai préféré à date.  En effet, les deux protagonistes sont tellement différents, tellement improbables que ça ne peut que faire des étincelles.  Et mon petit coeur de midinette a définitivement battu pour St Vincent.   

 

Lisa Kleypas, ce n’est pas la plus drôle des auteures de romances.  Mais elle sait créer des situations un peu différentes qui ne sont malgré tout pas complètement impossibles à croire.  Ici, nous rencontrons Evie.  Evie est la fille du propriétaire d’une maison de jeu, qui a été élevée par la famille de sa mère.  Et dire qu’ils ne sont pas gentils est un doux euphémisme.  En effet, ils ont décidé de s’emparer de la fortune d’Evie en la mariant avec son cousin obèse et détestable.  Et bon, c’est bien connu, une petite taloche de temps en temps, ça ne fait pas de mal hein.  Donc, Evie est désespérée.  Elle doit trouver un mari.  Et qui d’autre pourrait être aussi désespéré qu’elle sinon Lord St Vincent, le débauché notoire qui vient de faire la gaffe de sa vie en tentant de kidnapper la fiancée de son meilleur ami!  Du coup, elle lui propose le mariage, qu’il accepte pour avoir ses sous.  Un mariage de convenance.  Sauf que bon, comme vous pouvez vous en douter, ça ne va pas se passer comme prévu!

 

Je pense que cette romance va faire partie de mes préférées. J’ai adoré l’atmosphère de la maison de jeu (d’ailleurs, je me demande bien ce que le joli manoir isolé vient foutre sur la couverture…) et même si c’est over cliché, la jeune fille timide, qui n’ose presque jamais parler qui propose un tel marché à un homme comme Lord St Vincent, ça vaut son pesant de cacahuètes.  Bien entendu, il y a des méchants bien méchants mais on comprend un peu.  Un tout petit peu.  Et les discussions entre les deux sont ma foi bien agréables.  La réaction de Lord St Vincent quand elle lui dit qu’elle va lui demander 6 mois de chasteté… c’est que miss Evie prend du pic!

 

Bref, un bon tome, dans la tradition de la romance historique, avec des scènes hot bien hot et un Mâle auquel on ne dirait définitivement pas non!

Chronique d’une incompétente du ménage

Vous avez déjà pu le constater à plusieurs plusieurs occasions, le ménage et moi, on n’est pas copains.   C’est bien simple, je déteste ça.  Et comme je suis la reine de la procrastination, disons que les tâches que j’aime moins (ok, soyons honnêtes… de dire « celles que je déteste le plus » serait plus réaliste) ont parfois tendance à prendre le bord.   Juste parfois. 

 

Comme maintenant, quoi. 

 

Bref, je n’aime pas faire du lavage.  Je trouve que ça fait du bruit, que ma nouvelle (« nouvelle », ça veut dire « vielle de 3 ans ») machine meilleure pour l’environnement prend 4 fois le temps de l’ancienne et en plus, elle a l’habitude de se balader allègrement hors de son trou, soit au beau milieu de ma cuisine.  Sans compter que quand je lave, je suis trop paresseuse pour aller accrocher les vêtements sur les supports au sous-sol.  Résultat, ma cuisine ressemble à un campement gitan.   Jusqu’à ce que je me décide à les ranger.  Genre, un moment donné. 

 

Pour tout ça (et pour réparer les résultats de mes nombreuses mini-catastrophes), j’ai une femme de ménage.  Qui fait, normalement, le lavage.  Mais allez donc savoir pourquoi, aujourd’hui, je me sentais l’âme d’une parfaite petite ménagère et j’ai décidé d’ouvrir les portes accordéon et de faire face aux deux bêtes que sont la laveuse et la sécheuse. 

 

Ok,  peut-être que ça avait quelque chose à voir avec le fait que le plancher de ma chambre était devenu limite non carossable en raison des nombreuses piles de vêtements et de serviettes « à laver » joliment triés par couleur, chaque pile étant elle-même classée sur le plancher dans l’ordre des couleurs de l’arc-en-ciel.   Les piles déjà faites, je me disais que ça faisait limite rangé. 

 

Limite. 

 

Genre que tout de même, je fermais précautionneusement la porte de la dite chambre dès que quelqu’un passait à proximité de la maison.  Mais passons.

 

Toujours est-il que j’ai pris mon courage (et mes vêtements) à deux mains et que j’ai décidé de m’y mettre.  Sérieusement, ça allait suuuuper bien.  Aucun t-shirt neuf rouge pétant ne s’était accidentellement aventuré dans la pile des blancs, aucun haut à paillette n’avait décidé de se dépailletter dans la laveuse, aucun papier n’avait été oublié dans une poche.  Même que tous mes vêtements avaient encore leur grandeur normale à la fin de l’aventure.  C’était limite trop beau. 

 

Encouragée par mes récents succès, je regarde mon lit et je me dis que tiens, laver les draps, ce serait une bonne idée, tant qu’à faire.  Let’s go, met le tout dans la laveuse, pèse sur le piton start (en n’oubliant pas le savon… avouez que vous êtes impressionnés) et je contemple mon oeuvre. 

 

C’est après que j’ai commencé à chercher mon autre set de draps.   Regarde dans mon garde-robe… pas de draps.  Regarde dans la chambre d’amis… nope.  Regarde dans la lingerie… pas plus. 

 

Bordel.  Il faut que je me rende à l’évidence.  C’est TOUJOURS ma femme de ménage qui change mon lit.  Résultat… JE N’AI AUCUNE CRISSE D’IDÉE D’OÙ SONT RANGÉS LES DRAPS DANS MA PROPRE MAISON!   Non mais c’est tu pas la loose, ça? 

 

Et le résultat du résultat?  Me voilà donc à une heure du matin (oui, j’ai décidé ça limite en pleine nuit), avec un lit pas de draps ni de douillette parce qu’ils sont dans la laveuse.  Qui, selon ce qui est écrit sur la machine, va finir sa run dans 47 minutes.   Et encore, ils ne seront pas secs, là.   Et j’ai du mal à garder les yeux ouverts.  Je suis sur le bord de devoir les accrocher avec des cure-dents.

 

Donc, mon zèle ménager va faire que je vais finir par devoir dormir sur le divan, dans mon sac de couchage.   Dans le salon parce que j’espère encore entendre la machine quand elle va jouer la petite chanson de fin de cycle de lavage.  Avec un peu de chance, ça va me réveiller et je vais pouvoir pitcher le tout dans la sécheuse et éviter de devoir tout relaver demain matin pour cause de « ça sent le linge qui a passé la nuit dans la laveuse ». 

 

Oui, je sais.  C’est beau l’espoir. 

Parlez-moi d’une parfaite petite ménagère…

Letters to Erik – The Ghost’s love story – An Wallace

Letters to Erik Présentation de l’éditeur

« Lorsque le Fantôme a redonné sa liberté à Christine pour qu’elle puisse marier son rival, le jeune et beau Vicomte Raoul de Chagny, il lui a fait promettre qu’elle reviendrait l’enterrer à sa mort.  N’ayant pas pu tenir sa promesse, elle est remplie de regrets.  Elle commence alors à écrire à Erik, alors qu’elle le croit mort.  Seulement, on ne se débarrasse pas si facilement de certains fantômes… »

 

Commentaire (attention, je spoile)

Une suite au Fantôme de l’Opéra.  Comment pouvais-je résister?  Surtout que j’avais beaucoup apprécié Phantom de Susan Kay, qui racontait l’histoire d’Erik.  Par contre, je vais vous le dire d’emblée, je n’ai pas du tout aimé ce roman-ci, qui s’apparente à une fanfiction qui joue parfois dans le grand n’importe quoi.  Je ne suis vraiment pas convaincue. 

 

J’aurais dû être prévenue pourtant.  On a ici transformé l’histoire d’Erik et de Christine en romance, avec un grand R.  Si vous me suivez un peu, vous savez certainement que je n’ai rien contre la romance, au contraire.  Mais dans ce cas précis, ce n’est même pas une bonne romance.  Il y a cliché par dessus cliché, c’est attendu et rempli de longues et répétitives déclarations d’un amour éternel.  Parfois, il y a un petit (mais tout petit) nuage noir dans le ciel de nos tourtereaux  mais le teeeerrible malentendu se résout en quelques petites pages, c’est cheesy à souhaits et tout est bien qui finit bien, tout le monde s’aime et tout le monde est heureux. 

 

Si ce n’était que ça.  Mais non.  En plus, les personnages sont complètement transformés.  Raoul est un con fini (bon, ok, il n’a pas l’air suuuper intéressant comme type, même dans le roman… mais quand même) qui est ennuyant, qui refuse de laisser chanter Christine et de faire chambre commune.  Il ne faudrait pas que la lectrice questionne les agissement de Sainte-Christine-la-parfaite, n’est-ce pas?  Quant au Fantôme, non seulement il n’est pas mort (non mais j’avais dit que je spoilais… ne venez pas vous plaindre) mais c’est un homme changé.  Il a quoi… 2 petits accès de colères où il serre méchamment les poings et s’appelle par son prénom mais en gros, il est devenu Bon.  L’amour de Christine l’a changé.  Même après quoi… une journée.  Alors soudainement, il passe à la confesse.  Et apprend à s’Accepter et à montrer son visage.  Voilà même qu’il socialise joyeusement avec Mme Giry et Meg.  Fini le personnage mystérieux et ténébreux.  Du coup, pour moi, il n’était plus du tout intéressant. 

 

Bref, on dirait une fanfiction plus ou moins bien écrite et pas non plus très bien éditée.  Le personnage est une super MaryJane et ça se répète, ça se répète… c’est incroyable.   Les lettres sont super répétitives, la narration aussi, on nous précise tout ce que les personnages pensent au moment précis où ils le pensent… aucun mystère.  

 

Une grosse déception pour moi 

Le mec de la tombe d’à côté – Katarina Mazetti

mec-de-la-tombe-d-a-cote.jpgPrésentation de l’éditeur

« Désirée se rend régulièrement sur la tombe de son mari, qui a eu le mauvais goût de mourir trop jeune. Bibliothécaire et citadine, elle vit dans un appartement tout blanc, très tendance, rempli de livres. Au cimetière, elle croise souvent le mec de la tombe d’à côté, dont l’apparence l’agace autant que le tape-à-l’œil de la stèle qu’il fleurit assidûment.

 

Depuis le décès de sa mère, Benny vit seul à la ferme familiale avec ses vingt-quatre vaches laitières. Il s’en sort comme il peut, avec son bon sens paysan et une sacrée dose d’autodérision. Chaque fois qu’il la rencontre, il est exaspéré par sa voisine de cimetière, son bonnet de feutre et son petit carnet de poésie.

 

Un jour pourtant, un sourire éclate simultanément sur leurs lèvres et ils en restent tous deux éblouis… C’est le début d’une passion dévorante.

 

C’est avec un romantisme ébouriffant et un humour décapant que ce roman d’amour tendre et débridé pose la très sérieuse question du choc des cultures. »

 

Commentaire

Je crois sincèrement que j’en attendais trop de ce roman.  Pas que j’aie détesté mais c’est tout de même un rendez-vous manqué pour moi.  Pitchons un peu avant de tenter d’expliquer le comment du pourquoi. 

 

Il s’agit donc de Désirée et de Benny qui se côtoient au cimetière.  Tout les sépare et même sans se parler, ils le sentent.  Elle est branchée culture, il est branché « ferme ».  Sauf qu’un sourire et tout va changer.  Et c’est un sacré choc. 

 

Le roman est raconté alternativement du point de vue de Désirée et de Benny, dont les voix sont très distinctes et différentes.  Impossible de les confondre.  Nous les verrons passer par plusieurs phases dans leur relations et je me dois d’admettre que le choc des cultures est assez bien dépeint.  Ils ne se comprennent pas et ne se rejoignent que rarement, en fait.  J’ai bien aimé le sens de l’humour de Benny.  Par moments. 

 

Je pense que le gros de mon problème avec ce roman vient du fait que pendant plus des 4/5 du roman, je ne suis aucunement parvenue à m’attacher aux personnages.  Ils me tapaient sur les nerfs avec leur égoïsme et leurs réactions prévisibles.  Et ce que j’ai pu les trouver clichés…  Après moults soupirs et « mais qu’est-ce qu’ils peuvent donc bien se trouver », j’ai fini par comprendre que c’était probablement ce que l’auteur voulait démontrer.   L’attirance folle quand rien ne va.  Mais moi, je n’ai strictement rien compris à cette relation que j’ai eu mal à qualifier « d’amour ».  Si ça avait été des ados, ok… mais à cet âge, vouloir se changer, être si centré sur eux-mêmes… bref, j’ai été énervée.  

 

La fin a pour moi été une bonne surprise et m’a presque réconciliée avec le roman.  Presque.  Reste que pour moi, ça reste du domaine de la distraction, qui ne m’a malheureusement pas fait rire.  Dommage, il a plu à la plupart des lecteurs…

Belle mère – Claude Pujade-Renaud

Belle-mere.jpgPrésentation de l’éditeur

« EXTRAIT

 

Ce mois de mars 1935 sentait encore l’aigreur de l’hiver, pas une feuille aux arbres.  Le pavillon à deux étages en pierre meulière semblait bien bâti, Armand Bouvier aussi.  Il a expliqué: lui s’est installé au rez-de-chaussée, au-dessus, c’est loué.  Un jardin boueux, une partie potager juste devant la cuisine, une autre d’agrément, ornementée d’une tonnelle.  Entre les deux, un grand appentis en bois.  Armand Bouvier a désigné un pommier noirâtre et quelques crocus frileux, en été, c’est agréable.  Eudoxie a bien voulu le croire.  Pas d’enfant en vue.  Juste un chat, lisse et gris, se coulant hors d’une fenêtre basse située à côté de la porte de la cuisine.

– Le chat de mon fils.

Il n’en a pas dit plus, elle n’a pas posé de questions.  Dans la salle à manger, autour d’un café tiède, ils ont préféré présenter leurs défunts conjoints. »

 

Commentaire

Quel étrange et beau roman que celui-ci. Yueyin m’avait chaudement conseillé l’auteur et, comme souvent, sa recommandation fut judicieuse.  C’est qu’on a des goûts en commun, la demoiselle et moi!

 

Ce court roman (à peine 175 pages) nous raconte une histoire qui s’étale sur quelque chose comme 40 ans.  Nous rencontrons Eudoxie alors qu’elle vient d’épouser Armand, à 47 ans.  Il est un peu plus âgé, est veuf comme elle et elle vient s’installer chez lui, dans la maison où il a vécu avec Blaisine, sa première femme, située dans une banlieue parisienne qui fait encore très « campagne ».  Mais ce n’est pas vraiment la relation entre ces deux personnages qui fait l’objet du roman.  C’est plutôt celle entre Eudoxie et Lucien, le fils adulte d’Armand.  En effet, la guerre fait des ravages et Eudoxie se retrouve seule avec Lucien, sombre, taciturne, à la limite entre l’autisme et la folie. 

 

L’apprivoisement ne sera pas facile.  En effet, Lucien est hanté par ses fantômes et il n’acceptera pas cette « autre » si facilement.  Mais au fil des années, ils tisseront une relation étrange, parfois un peu dérangeante, qu’Eudoxie ne parviendra jamais à définir réellement.  Du respect, certes, mais surtout une interdépendance et des compromis pour arriver à cohabiter.  Une réflexion sur le temps qui passe sans qu’on s’en rende compte, sur la vieillesse et sur les surprises que nous réserve la vie.  

 

Avec des scènes choisies et révélatrices, l’auteur nous permet d’entrevoir cette relation entre deux êtres qui ne se sont pas choisis, qui ont été bombardés l’un avec l’autre par la force des choses.  La plume, que j’ai trouvée à la fois simple, belle et fluide, sert parfaitement le propos, on ne voit pas, nous non plus, les années s’écouler.  C’est tout plein de tendresse, plein de petits gestes du quotidien qui compte. 

 

Un très bon moment de lecture, donc.

Et c’est ma lecture du mois pour le challenge « Un mot, des titres » de Calypso!

RAT – Heures 15-16-17

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Voilà, c’est la dernière fois que vous voyez ce roman sur le blog (du moins, le temps du RAT… parce que je vais quand même le chroniquer… un jour…) parce que je l’ai finalement fini!  J’ai beaucoup aimé, en fait.  Vraiment.  Mais bon, j’étais page 220 ce matin et j’ai lu les 765 pages.  Du coup, ça me fait 545 pages.  En 17h.  Bon, moins 4h pour la patrouille.  Moins une heure et quart pour la visite.  En fait, à date, je n’ai fait que 12 heures de RAT :)))  L’avantage (faut voir le verre à moitié plein) c’est que je n’aurai pas 12 mille 12 billets en retard suite au RAT!

 

Bizarrement, mon rythme est beaucoup plus rapide, quand il n’y a presque personne sur Facebook.  How bizarre!

 

Là, je vais prendre une ou deux BDs et aller me coucher.  Pour reprendre demain :)))

 

Bonne nuit!

RAT – Jour 2 – Départ

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Comme j’ai eu une journée plutôt…  cahotique hier, j’ai décidé de reprendre aujourd’hui.  Le fait qu’il fait gris et que le brunch prévu pour ce midi a été annulé ont aussi influencé le truc, j’avoue! 

 

Comme une bonne fille, j’avais mis mon cadran à 4h du matin pour commencer en même temps que vous mais l’envie de dormir a été la plus forte et  je me suis joyeusement auto-envoyer promener.  Du coup, je repars à 8h.  Et je tenterai de faire un 12h de 8h à 20h.  Ou moins.  Ou bon, on verra :))

 

Je commence donc avec le troisième tome de Blacksad, le sexy cat.  Oui, je sais, ça fait bizarre de dire les mots « sexy » et « cat » dans la même phrase mais bizarrement, dans ce cas précis, ça convient assez!

 

À dans 2 heures.  Ou trois.  :))

RAT – Jour 2 – Heures 1-2

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Bon, il est 8h45 et j’ai fini une partie du livre en cours… moment parfait pour un bilan!

 

En ce dimanche matin, j’ai donc lu 153 pages, mais avec 56 pages de BD sur le tas.  Là, je suis dans une relecture dont je n’avais aucun souvenir: « Laysen disparue » de Margaret Mitchell.   Et à lire, je pense que je comprends pourquoi… mais bon, ne nous avançons pas trop vite!

 

Aucune catastrophe ce matin.  Tout mon thé est resté dans ma tasse et mon bol de céréales n’a pas explosé.  Croisons les doigts pour que ça continue comme ça! :))

RAT – Jour 2 – Heures 3-4

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(En postant cette photo, je réalise l’état lamentable de mon plancher… je suis en pleines rénos, les ouvriers entrent et sortet sans arrêt et j’ai renoncé à laver les planchers de bois répétitivement… inutile, en effet)

 

Il semblerait que je sois un peu plus productive qu’hier!  Le français aide probablement, en fait.  Je ne sais pas comment j’ai fait pour me leurrer pendant toutes ces années où je croyais que je lisais aussi vite en anglais qu’en français.   Je me suis donc installée dans la verrière avec un Oolong et « Un soir au club » de Christian Gailly.  Étrangement, on parle de la chanson « On Green Dolphin Street », tirée du film qui a lui-même été tirée de « Green Dolphin Country », le roman que j’ai lu toute la journée hier.  Et le bar s’appelle le Dauphin Vert.   Épatée par la coïncidence je suis.  Je sais, ça m’en prend bien peu!

 

Toujour est-il que j’ai lu 190 pages pendant ces deux heures.  Grand total de 343 pages en 4 heures.

Et là, je viens de recevoir une invitation à souper chez ma mère pour ce soir.  J’allais refuser mais elle a mentionné le mot « cupcakes ».  Du coup, j’étais foutue. 

 

Il y aura donc encore une fois une pause dans mes 12 heures!

 

À plus tard!

RAT – Jour 2 – Heures 5-6

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Mi-parcours pour ce deuxième jour!  Je varie les plaisirs avec « La fille du capitaine » de Pouchkine, dont j’ai lu 80 pages à date.  On ajoute ça aux 54 de « Un soir au club » que j’ai terminé et ça fait 154 pages en 2 heures.  Mais là-dessus, j’ai mangé (j’ai même utilisé le poêle… scary, je sais) et maintenant, j’ai assez de pâtes pour en manger non stop pendant 2 semaines.  Je  n’ai définitivement aucun talent pour mesurer ces trucs.  Surtout que mon « mesureur à spaghettis » n’indique pas vraiment des quantités en terme de nombre de personnes… mais passons.  Je vous ai déjà montré le truc dans un autre Read-A-Thon, je pense… et je vais éviter de passer – encore – pour une obsédée en vous le montrant de nouveau!

 

Total pour ce dimanche, donc: 497 pages. 

Ca fait bizarre de compter les pages.  C’est quelque chose que je ne fais jamais, de coutume!

 

À dans deux heures!