On dirait bien… que j’ai 40 ans!

Happy 40

Cadeau à moi de moi.  On est bébé (et monomaniaque) ou on l’est pas!

 

Yep, je change de dizaine.

Et sérieux, c’est pas si tant pire, je pense!

Je suis pas mal là où je voulais être.

 

Il faut dire que cette année, en plus des Pop Doctor Who, je me fais un méga cadeau à moi de moi.  Pour faire passer la pilule, mettons!  Donc, si tout se déroule comme prévu, le 18 avril, je m’envole pour Paris… et je reviens en octobre.  Disons que ça me donnait envie d’avoir hâte à l’infâme 40!

 

Mais je me console en me disant que je suis encore un grand bébé dans l’âme et que j’ai gardé la capacité de m’émerveiller pour tout et pour rien.   Espérons que ça résiste au gros vilain 4 :))

 

Happy birthday to me!

Me before you (Avant toi) – Jojo Moyes

me before youIl y a longtemps que je voulais lire ce roman.  Mais j’hésitais à cause du thème, j’avais peur des clichés, des énormités.   Ceux qui savent un peu ce que je fais dans la vie comprendront.  Ceux qui me connaissent un peu comprendront aussi.   Bref, je ne raconterai pas ma vie ici.

 

Mais voilà. Quand j’ai vu qu’il y aurait un film, j’ai décidé de le lire avant,   Avant que tout le monde ne me raconte tout ce qui se passe.   Et je l’ai dévoré dans une soirée.

 

C’est donc l’histoire de Lou, 26 ans.  Elle habite chez ses parents, qui tirent le diable par la queue et qui sont un peu au service de Katrina, la jeune soeur de Lou.  Bref, elle fait un peu vivre sa famille mais est considérée comme une grosse paresseuse.   Et en fait, Lou n’a pas vraiment d’ambition dans la vie.   Elle n’est jamais sortie de son petit village et n’a pas vraiment l’envie de le faire.   Et puis, elle perd son boulot.  Et va en trouver un autre pour s’occuper d’un homme quadriplégique, suite à un accident.   Le problème, c’est que Will n’a aucune envie que quelqu’un s’occupe de lui.  Surtout pas Lou, qui n’a aucune idée de comment s’y prendre.

 

Ok.  C’est une histoire touchante et triste, qui nous fait voir – en partie –  la réalité d’un homme dont la vie a changé et qui n’arrive pas à l’accepter.  Will n’est pas juste « un handicapé » dans le roman.  On voit qui il est, on voit l’homme derrière toute sa situation physique.  Et ça, j’aime.   J’aime qu’il se crée une vraie relation entre les deux.  J’aime l’évolution du truc.  Le roman se dévore (je l’ai lu dans une soirée, c’est tout dire), on est à la fois pris dans l’histoire, en colère, heureux et terriblement tristes, sans pour autant faire dans le trop pathos.

 

J’avoue qu’il y a des mais.  Des gros mais.  Je ne vais pas pouvoir en parler clairement car ce serait spoiler.  J’ai du mal avec une certaine partie de ce qui se dégage du roman.  Avec le laps de temps écoulé.  Bref… j’ai peur du message que ça peut lancer.  It hits too close from home, disons.  Je n’ai pas non plus « découvert » ce monde… je savais déjà.   Of course.   Mais je n’embarquerai pas là-dedans.

 

Aussi, Lou.  Je n’adore pas Lou, même si elle est touchante et si elle évolue.  Je n’aime pas qu’elle ait eu besoin d’un homme pour changer.  De son avis.  Que ça ne vienne pas d’elle.  Il y a un jugement sur son style de vie qui me dérange.  Il ne la connaît pas au départ… il en sait quoi?  Mais bon…  Ce sont mes pet peeves personnels!

 

Mais sérieusement, certaines scènes font mouche et c’est un roman auquel on repense ensuite.  Pour plusieurs raison.  Ça se lit tout seul et notre petit coeur est brisé à l’occasion.  Dans mon cas, il contient THE terreur suprême.  La chose que je ne veux jamais voir arriver.   Il a d’excellentes critiques parmi mes amis lecteurs … et je pense que je vais lire la suite 🙂  Genre, bientôt.

Les vieux fourneaux – Lupano/Cauuet

vieux fourneauxIl traînait chez moi, celui-là.  Quel dommage d’avoir attendu si longtemps parce que ce fut un moment de lecture totalement jubilatoire.  Quel plaisir de rencontrer ces trois v… séniors qui n’ont pas froid aux yeux et qui ont tout un passé derrière eux.  Râleurs, crosseurs, mauvais chauffeurs et un peu prêts à tout, on les rencontre alors qu’ils décollent pour une crémation, celle de Laurette.

 

Laurette, c’était tout un numéro.  Et même disparue, elle continue à faire courir nos trois hommes.  Pierrot est un vieux tannant, un vieil anarchiste qui n’a jamais décroché et qui utilise maintenant les moyens qu’il a encore.  Juste m’imaginer ses manigances, je riais toute seule.   Antoine a voué sa vie au syndicat, ce qui ne plaisait pas toujours à Laurette.  Quant à Mimile… je vous laisse découvrir Mimile.

 

Dans ce premier tome, on les découvre petit à petit et on les suit dans une folle épopée.  Tout ne nous est pas révélé, et on sent que cette aventure n’est pas finie et j’ai une folle envie de découvrir la suite et de poursuivre ma rencontre avec ces trois amis d’enfance qui ne se sont jamais lâchés.

 

Agréable découverte!

La BD de la semaine, c’est chez Yaneck, cette semaine.

BD-de-la-semaine

Le bal – Irène Némirovsky

le balLe bal est une nouvelle d’Irène Némirovsky qui m’a fait ressentir un réel malaise.  C’est court comme tout, ça raconte une histoire toute simple, mais elle a réussi à m’atteindre d’une étrange façon.  Du coup, j’ai apprécié, mais je suis restée un peu marquée par ce sentiment qui me faisait voir le désastre imminent… et de ne rien pouvoir y faire.

 

Mais je m’explique un peu.

 

Nous rencontrons donc au début du roman Antoinette Kampf, jeune adolescente de 14 ans.  Ses parents sont riches, mais nouvellement riches.  Son père a débuté comme portier dans une banque, mais a fait des placements et travaille maintenant à la bourse (je pense).  Quant à la mère, elle a un passé un peu flou… et pas toujours glorieux.   N’empêche qu’ils souhaitent être acceptés dans le « beau monde » , sont un peu  maladroits (et snobs)… et décident de donner un bal.   Un grand bal.  Un bal qui coûte cher.   Un bal où Antoinette n’aura pas le droit de se pointer.  Pas même une minute.   Imaginez la colère de cette adolescente en pleine crise.  Vous savez, ce moment où PERSONNE (surtout pas les parents) ne vous comprend,  où la vie est vraiment TROP injuste.   Imaginez la suite.

 

Irène Némirovsky réussit à dépeindre parfaitement cette famille, ces parents qui « essaient » un peu trop et cette fille qui voudrait être considérée.  Le personnage de la mère m’a beaucoup touchée, malgré son côté détestable, malgré le fait qu’elle ignore sa fille et qu’elle ne veut pas lui céder un pouce de place pour vivre, elle.  Le mal-être de ce personnage me semblait tellement fort que j’avais mal pour elle.  Surtout sachant comment ça allait se terminer.  J’ai eu honte avec elle (et pour elle), eu pitié de ses tentatives pour sauver la mise.  Et, comme elle est détestable, je me suis sentie étrange de ressentir tout ça.  De là le malaise.

 

Un texte fort, avec une finale triste, très triste.  Mais ma foi fort réaliste.  Je relirai Némirovsky.

 

 

Witch Light (Un bûcher sous la neige) – Susan Fletcher

Witch Lightcoup-de-coeur2Ce roman a fait le tour de la blogo il y a quelques années.  Et mon amie Yueyin est un jour arrivée chez moi avec le livre en question.  Bon, ce jour a eu lieu il y a environ 4 ans… mais c’est un détail hein!   Et malgré toutes les bonnes critiques à l’époque, je n’étais tentée que « par périodes ».    Je l’ai pris un peu au hasard dans ma pile et franchement, je me demande pourquoi j’ai attendu si longtemps.  Quelle écriture.  Quelle histoire.  Je n’ai qu’une envie, retourner en Écosse et ressentir toute cette nature.  Dire que j’étais à quelques kilomètres de Glencoe.

 

Parce que c’est dans ce contexte historique que le roman se déroule.  Glencoe, le massacre de 1692.   Dans ce roman à deux voix, la principale est celle de Corrag, emprisonnée pour sorcellerie dans un cachot quelque part en Écosse.  À Inveraray, je crois.   Sa mère a été pendue pour sorcellerie et longtemps elle a couru.  Vers le nord et vers l’ouest.  Jusqu’à ce qu’elle atteigne Glencoe où elle va tomber amoureuse de cette nature sauvage et magnifique.  Elle a été témoin de cette nuit terrible.  C’est d’ailleurs ce qu’espère Charles Leslie, un pasteur (bon… un genre de prêtre, mais marié) irlandais  aux allégeances jacobites, qui souhaite démontrer que le roi William est un imposteur et un sadique.  C’est avec cette idée qu’il va aller voir Corrag dans sa cellule, malgré la saleté de celle-ci mais surtout malgré son dégoût de ce que représente cette sorcière.   Il va donc accepter d’écouter son histoire, à partir du début.

 

Et là, et là…  quelle histoire, quelle plume!  C’est que Corrag a une voix toute particulière, et elle nous emmène avec elle tout d’abord dans une course effrénée à dos de cheval à travers des paysages grandioses et sauvages, pour arriver dans une vallée secrète et magique, près de Glencoe, quelques mois avant le massacre.  Et là, on s’émerveille avec elle sur l’éclosion des bourgeons, sur le bruit que font nos pas dans la neige ou sur la lumière bleutée de l’hiver.  On se laisse tranquillement apprivoiser par les McDonald de Glencoe, presque, on ne fait qu’un avec la nature.  On tombe en amour avec les montages, le vent, les gens.

 

Un récit poétique, magique, qui parle d’instinct, d’acceptation des autres et de soi, d’acceptation des choses telles qu’elles sont, de bonté et des petites merveilles du quotidien.   De tout ça mais surtout d’amour, d’amour à une époque où les femmes qui en savaient trop étaient pourchassées et où les enjeux politiques prenaient toute la place.

 

Bref, je relirai l’auteur.  Un coup de coeur.   Et lisez-le-lisez-le-lisez-le!

Bilan lecture – Février 2016 – Partie 2

Bon.  Je m’excuse mille fois, c’est pas ma meilleure.

Mon cerveau est encore embrumé par les microbes. Si c’était toujours aussi pénible à tourner, ya longtemps que j’aurais arrêté tout ça! :))

 

Je vous parle donc de :

  • Guide de l’incendiaire des maison d’écrivains de la Nouvelle-Angleterre – Brock Clarke (pas aimé… ennui total pour moi)
  • Un bûcher sous la neige – Susan Fletcher (magique.  Rien de moins).
  • Me before you – Jojo Moyes (des bémols, mais le feeling d’avoir lu quelque chose de spécial)
  • After you – Jojo Moyes (un bof…  très moyen dans mon cas)
  • Les murailles – Erika Soucy (beaucoup aimé, tel que mentionné dans le billet)

 

Les deux prochaines semaines promettent d’être peu fournies également.  Je termine la recherche, je suis dans Les dames du lac… j’en ai pour un bout!

 

Et vous, qu’avez-vous pensé de ces titres?

Harry Potter à l’école des sorciers – Édition illustrée – J.K. Rowling/Jim Kay

HP 1Des fois, on a vraiment de la chance.  Moi, j’ai la chance d’avoir une bonne copine en la personne de Julie, de Jules se livre.  Imaginez-vous que la miss avait reçu deux copies de ce superbe album… et qu’elle m’en a offert une.  Lucky me, n’est-ce pas!

 

L’histoire, tout le monde la connaît.  J’avais au départ pris le roman pour le feuilleter… et j’ai fini par le relire au complet.  Of course.  Et j’aime toujours autant cet univers, rencontré par les parents d’un petit coco alors que j’étais un tout jeune bébé-orthophoniste.   Fin des années 90.  Ouais, je sais.  Ça ne me rajeunit pas.  Mais bref, je ne l’avais pas en français et j’en suis d’autant plus ravie.

 

À la relecture, on réalise à quel point Rowling avait prévu et bien pensé son récit.  Il a plein de clins d’oeil au futur, plein de petits éléments qui font plaisir au relecteur, auxquels on n’avait peut-être porté attention sur le coup.    Du coup, ça me plait.  Et je serai toujours aussi ébahie devant l’imagination de l’auteur.

Quant aux illustrations… ma-gni-fi-ques!  Rien de moins!  L’illustrateur a réussi à nous faire ressentir la magie de l’univers.  C’est beau, ça a un côté irréel, ça nous plonge en plein dans ce monde-là.  Et j’avoue avoir un faible pour l’illustration de DiagonAlley.

 

Mon verdict?  Même si vous avez le roman, ça vaut le coup de l’avoir dans une telle version.  C’est un superbe objet-livre, qui ravira les collectionneurs et les amateurs des histoires du petit sorcier à lunettes!

 

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Les maisons – Fanny Britt

Les maisonsTout le monde autour de moi parlait de ce roman de Fanny Britt.  Du coup, je l’ai pris un soir sur la table de salon d’une amie… et j’ai été aux abonnés absents toute la soirée.  Et même que je suis partie avec pour le relire.  Une très belle lecture donc, avec une construction remplie de flashbacks, de moments marquants mais aussi d’instants simples du quotidien, ceux qui deviennent significatifs avec du recul.

 

C’est l’histoire de Tessa, 37 ans.  Elle voulait être chanteuse lyrique et est devenue agent d’immeubles.  En façade, elle va bien.    À l’intérieur, pourtant, elle est beaucoup moins solide et a l’impression d’avoir oublié une partie d’elle-même en chemin.   Un jour, elle va avoir l’occasion de revoir l’homme qu’elle a aimé à 20 ans.  Celui qui l’a révélée à elle-même.  Celui qu’elle a idéalisé.  Soudain, tout est remis en question.  Le reverra-t-elle?  Va-t-elle tout faire voler en éclats?

 

La plume est agréable, mordante, souvent dans l’auto-dérision, principalement envers elle-même.   Tessa, ça pourrait être une amie.  Je me reconnais totalement dans la remise en question, même si nos vies sont totalement différentes.  Peut-on revivre à l’approche de la quarantaine les rêves de nos 20 ans?  Le veut-on, seulement?

 

Tessa est donc une femme qui doute d’elle-même et de ses choix, mais surtout, c’est une femme qui aime.   La relation avec ses enfants est belle, pas gnangnan pour 5 sous, et l’amitié avec Sophie, son amie d’adolescence à qui elle a bien du mal à cacher quoi que ce soit est aussi géniale en termes de solidarité féminine.

 

Bref, un beau roman, fluide, qui se lit tout seul et avec lequel on passe un très bon moment!

Les murailles – Erika Soucy

Les murailles« Les murailles » a été un coup de coeur de miss Véronique chez Librex.   Elle me l’a donc envoyé (yep, il y a des bonnes surprises, parfois) et ce soir-là, chose rarissime, je l’ai aussitôt pris… et dévoré dans la soirée.  Et ça a été une très belle découverte, que n’aurais certainement pas faite sans cet envoi-cadeau.

 

Une poète prend donc un avion pour le Nord, sur un chantier, pour aller rejoindre son père.  En fait, elle va le chercher.  Chercher ce qui a pu l’attirer tellement dans cette vie.  L’attirer assez pour le faire partir encore et encore loin de sa famille.  C’est donc à travers ses yeux que nous découvrirons cet univers clos, assez fermé, dans ces paysages indescriptibles et changés irrémédiablement par l’homme.

 

L’écriture est un mélange habile d’images magnifiques et de parlé québécois des « gars de chantier ».  Étrangement, si j’ai mis un petit moment à m’habituer, j’ai pu souvent apercevoir la poète dans ces mots parfois crus, dans ces structures hautement orales.   Pour mes amis européens, si vous voulez être dépaysés, c’est le roman pour.  Mais je m’offre comme traductrice, par contre!

 

C’est aussi une occasion de pénétrer dans ce monde clos, celui qui a fait parler de lui avec les syndicats aux méthodes plutôt agressives, les batailles contre les écologistes et les actions hallucinantes qui sont parfois effectuées.  Ça fait parfois frémir.   Mais ce sont surtout les sentiments qui ressortent.  Les sentiments à vif d’Erika par rapport à son père, qui la faisait souffrir qu’il soit là ou non.  On sent la douleur sous les couches d’indifférence apparente, l’ambivalence, et, graduellement, on réalise que la sérénité apparaît, petit à petit.

 

Bref, un roman qui nous transporte dans un univers étrange, avec une langue particulière et très sensible, sous ses abords rudes.

 

À découvrir!

Une vraie famille – Valentin Musso

Une vraie familleC’est Séverine, de la chaîne Ilestbiencelivre (j’ai dû retaper 10 fois.. on dirait que mes doigts REFUSAIENT de ne pas mettre d’espaces entre les mots) qui a adoré ce roman (son avis ici).   Comme je lis très peu de thrillers à cause de ma Malédiction.  Vous savez, la Malédiction de tout deviner dans les trente premières pages?  Elle, elle en lit beaucoup beaucoup.  Alors j’ai suivi sa recommandations et j’ai emprunté le roman (don’t worry Séverine, je n’ai pas dépensé de sous).  Et j’ai tout deviné dès le début.  Of course. En fait, pour que j’aime un thriller/polar, il faut que je sois charmée soit par le style, soit qu’il y ait une atmosphère géniale, soit que j’apprenne quelque chose, soit que l’époque soit recréée de façon magistrale ou que la construction soit originale.  Rien de tout ça ici pour moi.   Du coup, ça a été une lecture so-so pour moi.

 

En fait, il faut aussi savoir qu’en parallèle, je lisais Proust.  Vous pouvez vous imaginez le clash en terme de style.   Et quand on voit venir, du coup, l’atmosphère, ça ne le fait pas vraiment.

 

L’histoire, donc?  François et Mathilde vivent dans une maison isolée, une vieille demeure dans la campagne bretonne, qu’ils restaurent.  On sait que François se remet d’un événement tragique.  Un jour, ils engagent Ludovic, un jeune homme qui réussit à tout réparer.  Petit à petit, il va se rendre indispensable.  Jusqu’à emménager chez eux, parce que c’est de plus en plus pratique.  Jusqu’à inquiéter l’entourage.

 

C’est donc ce presque-huis-clos qu’on va nous raconter.  Je ne veux pas trop vous en dire, de même que je ne peux pas dire POURQUOI j’ai tout deviné.  Mais j’en garde une impression de « pas mal, mais sans plus ».   Ce ne sera pas non plus un auteur vers lequel je reviendrai, à moins d’avis vraiment enthousiastes.  Mais je vais quand même lire les 2-3 autres trucs conseillés par Séverine.  Pour découvrir autre chose dans ce style, que j’ai tendance à abandonner.