Pomme S – Eric Plamondon

pomme-sOn m’avait dit qu’on pouvait lire les trois volumes de cette trilogie dans le désordre.  Oui.  Et non.  Ceci dit, je dois tout relire, maintenant que j’ai davantage compris le fil conducteur, aussi mince soit-il.

 

Disons-le tout de suite : j’adore ce truc.  C’est limite jubilatoire.  Il faut avouer que ces textes en apparence décousus, ces informations distillées, parfois étalées, sans qu’on ne sache trop pourquoi au départ, c’est mon truc.   J’avais vraiment aimé Hongrie-Hollywood Express, le premier tome du triptyque, qui parlait de Johnny Weissmuller.  Ceci dit, j’avais dit que je me jetterais sur la suite.  En 2013.  Oui, je sais, je sais.

 

Cette fois, on nous fait entrevoir le personnage de Steve Jobs, ainsi que l’arrivée de l’informatique, de l’ordinateur personnel et la montée d’Apple.   Le tout par petites touches qui semblent décousues mais qui forment, en fait, un tout très cohérent.  Étonnamment.  Ici, pas d’idéalisation du personnage.   Juste une vision choc, comme cette publicité d’Apple qui a fait les annales du Superbowl de 1984.

 

Encore une fois, on nous balade d’une époque à l’autre, d’un pays à l’autre, d’une vie à l’autre.  De l’histoire du code binaire, en passant par l’invention du zéro, les déboires de Turing et les conférences de Job.  Et Gabriel Rivière, le personnage récurrent, qui traverse ces histoires, mine de rien.  Pour tenter de se trouver à travers d’autres existences.  Je crois.

 

Bref, je vais lire le deuxième.

Que j’ai acheté.  Of course!

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2 Commentaires

  1. Mais oui, la pomme, c’est Appel !

    1. Voilà! La fameuse « pomme S » pour sauvegarder! J’ai adoré ce truc.

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