Phobos – 2 – Victor Dixen

Vous lisez ce billet je ne sais trop quand… mais il faut savoir que j’ai lu les tomes 1 et 2 en vingt-quatre heures.   Du coup, il se peut que je mélange un peu les événements des deux tomes… bref, vous me pardonnerez!

 

Ce tome 2 continue au même rythme que le précédent.  Bon, il y a quelques pauses dans le tempo en raison de certains événements qui, certes, m’intéressent moins, mais me permettent de respirer entre les événements plus stressants.   Je continue à avoir tout de même du mal à cerner les personnages, qui sont assez nombreux et qu’il est donc difficile d’approfondir énormément.  Je ne suis pas « attachée » non plus (étrangement, ceux que je préfère ne sont pas dans l’espace) à la plupart d’entre eux, mais je vais quand même continuer tout de suite avec le tome 3 au lieu de continuer le livre que j’avais entamé… je veux savoir où ça s’en va!  Ça donne une idée du niveau « d’addictivité »!

 

BON, À PARTIR DE MAINTENANT, SPOILERS SUR LE TOME 1

Ce tome nous reprend au moment-même où le tome 1 se termine.   Au même endroit, dans la même pièce.  On enchaîne!  Je ne peux vous parler des événements du roman car il implique une décision qui n’est pas connue au départ (et sérieusement, c’est cool de ne pas savoir) mais ici, les jeunes comprennent vraiment ce qui leur arrivent et doivent se mobiliser et choisir comment ils vont agir, sachant que la madame McBee a leur vie entre ses blanches mains.  Ce personnage nous fait rager et pour une fois, j’aime bien sa méchante-méchanceté sans zone de gris.  Un vrai visage à deux faces toute puissante.  J’ai beaucoup aimé les petites intrigues politiques (après avoir élu un certain président, on peut s’attendre à tout des US, même élire une Serena comme VP), la réflexion sur la téléréalité et sur le pouvoir de l’argent.

 

Un vrai page turner, comme on dit « en VO » (je me fais rire toute seule… excusez-moi… on m’a encore demandé où j’avais appris à parler en VO aujourd’hui sur le net, ça me fascine à chaque fois) et beaucoup de bonnes idées malgré quelques petites incohérences (non mais comment ils ont fait, les lézards et les blattes, pour aller dans l’habitat numéro 7 précisément??  Dans une mini combi en forme de coquerelle?  Avec un aimant?  Ils leur ont appris le chiffre 7?) et quelques clichés (une Canadienne qui a du mal à pouvoir manger mais qui a des sous et du temps pour « curler » avec sa propre pierre dans les banlieues de Toronto?  Et bon, sans rien révéler, il faut de la glace pour jouer au curling.  Et des balais.  Et, idéalement, de la gravité…  Bref…) (Ah oui, elle a toujours des chemises carreautées) (Et mange du sirop d’érable) (Et parle de caribous) (mais elle ne dit pas « Hey » à la fin de chaque phrase… même si ce serait très crédible!)

 

Bref, un très bon divertissement!

2 Commentaires

  1. Je me sens attirée. Aimantée même. Phobos… après tout, c’est le pseudo de mon illustrateur bédéiste ! La plus grosse lune de la planète Mars. (Marsi Phobos !)

    1. Oui, j’ai pensé à toi tout au long de ma lecture!

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