La cité des jarres – Arnaldur Indridason

Présentation de l’éditeur
« Un nouveau cadavre est retrouvé à Reykjavik. L’inspecteur Erlendur est de mauvaise humeur : encore un de ces meurtres typiquement islandais, un  » truc bête et méchant « 
qui fait perdre son temps à la police… Des photos pornographiques retrouvées chez la victime révèlent une affaire vieille de quarante ans. Et le conduisent tout droit à la  » cité des Jarres « , une abominable collection de bocaux renfermant des organes… »

Commentaire
Ce livre a occupé bien agréablement mon voyage de retour de Montréal en fin de semaine!  C’était parfait pour l’occasion.  Un polar, un style agréable sans être complexe… ça occupe bien un voyage du dimanche soir où la gang des enfants-qui-voyagent-seuls-au-retour-de-la-fin-de-semaine-chez-papa-ou-maman s’en donnent à coeur joie!  Comme me l’a expliqué ma petite voisine, ils sont toujours les mêmes et se connaissent bien.  De là les courses dans le bus!  Mais revenons au livre!!
 
Il s’agit du premier tome de la série de polars islandais impliquant l’inspecteur Erlendur Sveinsson (je mélange toujours le nom de l’auteur et celui du personnage… je l’ai appelé Erlendur Indridason tout le long!), un policier dans la cinquantaine, divorcé, très seul, père pas très présent pour ses deux enfants qui ne sont pas vraiment dans une situation rêvée, c’est le moins que l’on puisse dire.  Sa fille, Eva, est d’ailleurs bien présente dans le roman, alors qu’elle apparaît au début pour demander de l’argent à son père de sa façon bien personnelle.  C’est un anti-héros bien sympathique, qui a une méthode d’enquête bien à lui, méthode qui laisse parfois ses collègues, Elinborg et Sigurdur Oli, assez pantois. Dans ce tome, un homme est tué et cet homme n’a rien d’un enfant de choeur.  Erlendur se plonge donc dans son passé pour tenter de résoudre ce crime qui n’est pas aussi « bête et méchant » qu’il n’y paraît. 
 
J’ai beaucoup aimé ce livre.  J’aime le style d’enquête qui y est présenté.  J’aime ces sous-entendus que l’on ne comprend que quelques lignes plus tard, j’aime la lenteur de l’enquête qui n’est pas pleine de fausses pistes inutiles.  On a l’impression de sentir le temps passer, de passer un moment dans cette Islande pluvieuse et grise.  J’aime aussi le fait que des problématiques d’ordre social soient exposées dans le roman, comme cette fameuse « cité des jarres »… ça questionne énormément sur l’accès à l’information, sur la confidentialité et l’utilisation des données confidentielles.  Comme c’est un sujet « à l’ordre du jour » avec les nouvelles technologie dans mon milieu de travail, ça ne pouvait que m’intéresser.  Bon, on reste en surface (et il y a aussi des incohérences quand un policier que ça questionne raconte son enquête « with » noms à ses proches…) et on ne pousse pas loin mais quand même, ça porte à réflexion. 
 
Comme on ne nous mène pas en bateau et qu’on ne nous pousse pas dans tous les sens, j’ai très rapidement compris ce qui s’était passé (assez en détails, cette fois) et chacun des éléments poussaient en ce sens.  Je vais faire ma pointilleuse sur la précision de certains trucs médicaux (un mode de transmission assez nébuleux – ou mal expliqué) mais c’est un détail, tout de même!  Peut-être mes infos ne sont-elles pas à jour… 
 
Bref, un bien agréable moment de lecture, même si on ne fait pas dans la dentelle.  Pas de descriptions gore mais une ambiance très « grise », des personnages vraiment répugnants et des dialogues assez durs.  C’est certain que je lirai la suite, ne serait-ce que pour ce héros que j’aime bien!!

Ce livre a été lu en lecture commune avec Bladelor et Restling… et d’autres je le crois mais je n’ai pas pu tous vous localiser!

The Princess Diaries (Journal d’une princesse) – Meg Cabot

Présentation de l’éditeur (traduite par quelqu’un qui ne sait pas traduire, c’est à dire moi!!)
Mia Thermopolis est presque certaine qu’il n’y a rien de pire que d’être une fille de 5 pieds 9, sans poitrine, qui en plus est sur le point d’échouer en algèbre. 

Mais elle aura des surprises!

D’abord, sa mère annonce qu’elle sort avec le professeur d’Algèbre de Mia.  Ensuite, son père ose lui révéler qu’il est le prince couronné de Genovia.  Et devinez qui n’a pas de cavalier pour le Bal de la Diversité Culturelle?? »

Commentaire
Ce livre est tombé juste au bon moment!  L’état de mon cerveau ne me permettait de lire que des livres légers-légers et l’état de mon body me demandait de choisir des livres qui n’étaient… pas lourds!  Ce choix a donc été tout à fait judicieux dans les circonstances, à un point tel que j’ai enfilé les trois premiers tomes (les seuls qui étaient dans ma pile) les uns après les autres!  C’est que ça se lit tout seul, ces petits romans!!

Nous faisons donc la connaissance de Mia, 14 ans, habitant Manhattan, fille d’une artiste de Greenwich village, dont le père, qu’elle ne voit que pendant les vacances, habite Genovia, un petit pays de l’Europe presque inconnu de tous.   Mia a de fortes convictions écologistes, est très végétarienne, a une meilleur amie, Lilly, fille de psychiatres, qui n’a pas la langue dans sa poche et qui a sa propre émission de télé.  Et bien entendu, sa vie est selon elle une catastrophe. 

Alors qu’elle ne croyait pas que ça pouvait empirer, elle apprend, ô horreur, qu’elle est la princesse héritière du trône de Genovia.  En fait, son père ne fait pas qu’habiter Genovia, mais il en est le prince et suite à un cancer des testicules suivi de chimio, il est devenu stérile.  Pas d’enfant légitime en vue, donc.   Mia devient donc  Princesse Mia.  La catastrophe, non?  Et avec le titre, vient Grandmère.  Pour lui donner des « Princess lessons ».  Et Grandmère, elle effraierait n’importe qui!!!

Mais Mia a de bien pires problèmes.  En effet, comme toutes les filles de l’école, elle est en amour avec Josh, le plus beau garçon de l’école.  Qui, bien entendu, sort avec la plus belle fille de l’école!  Typique, non??

C’est donc le journal de Mia que nous lisons.  Sans être complètement hilarant et déjanté comme Le journal de Georgia Nicolson, par exemple, le ton est léger, très drôle et on sent l’espit adolescent derrière tout ça.  J’ai adoré les réflexions tordues (je m’y suis pas mal retrouvée d’ailleurs…  le genre « oh my God, je suis troooop en amour avec ce gars… mais faudrait surtout pas qu’il le sache!! »), les priorités un peu bizarres, les angoisses et les grands problèmes de Mia.  Elle est attachante, d’ailleurs, cette Mia!  Très ado mais pas désagréable; elle a vraiment bon coeur et de grandes convictions.    Les personnages secondaires sont aussi hauts en couleur.   Ce premier tome met donc le tout en place… et rendez-vous pour les suivants!

Une charmante série, donc!!

Plaisir de lecture : 8/10

Lire en VO – 5

Au bon roman – Laurence Cossé

Présentation de l’éditeur
« Un fou de Stendhal et franc misanthrope, reclus dans un hameau de Savoie, est abandonné en forêt par des individus qui l’y ont amené de force en pleine nuit.   Une très jolie blonde rôdée à la conduite automobile quitte brusquement une route qu’elle connaît comme sa poche.  Un Breton sans histoire, habitué à faire chaque matin la même promenade au bord d’une falaise, trouve sur son chemin deux inconnus qui ont tout l’air de l’y attendre.  Mais le lecteur comprend bientôt qu’on n’est pas  dans un roman policier classique.  Les agresseurs ne sont ni des agents secrets ni des trafiquants.  Ils ne s’attaquent pas à des durs mais à des tendres, un ancine routard devenu libraire, une mécène mélancolique, et à une entre prise dont aucun des deux n’avait imaginé qu’elle pourrait fâcher.

Qui, parmi les passionnés de roman n’a rêvé un jour que s’ouvre la librairie idéale?  Non pas ce qu’on appelle une bonne librairie, où l’on trouve de bons romans, mais une librairie vouée au roman où ne sont proposés que des chefs d’oeuvre?  En se lançant dans l’aventure, Ivan et Francesca se doutaient bien que l’affaire ne serait pas simple.   Comment, sur quels critères allaient-ils faire le choix des livres retenus?  Parviendraient-ils un jour à l’équilibre financier?

Mais ce qu’ils n’avaient pas prévu, c’était le succès. »

Commentaire
« Au bon roman » est un livre que je voulais lire depuis longtemps, que j’ai acheté à Paris cet été, dans mon unique visite-éclair chez Gibert (je n’avais que 45 minutes top chrono… la gardienne du temps veillait).  C’est une lecture commune avec Bladelor, Keisha, George et Theoma qui m’ont fait ouvrir ce livre-ci en partlcuier, à ce moment précis!  Très bonne idée d’ailleurs car j’ai beaucoup aimé cette lecture, un livre qui parle de livres et duquel ressort un grand amour des romans, une passion pour la littérature. 

Ivan et Francesca se sont rencontrés par hasard, dans un petit comptoir-librairie.  Il ne voudrait vendre que les livres qu’il aime; elle voudrait faire quelque chose de bien et est une amoureuse des lettres.  Le projet de Au Bon Roman naît de cette association d’un drôle de numéro un peu bohème et d’une femme-bonne-fée, forte et fragile à la fois.  Il s’agit d’ouvrir une librairie où ils ne vendront que des bons romans.  Des romans qu’ils ont aimé, et des romans qui sont choisis par un comité de lecteurs dont l’identité demeurera secrète.  Sauf que ça déplaît à certains et ils seront bientôt victimes d’attaques qui auraient pu s’avérer fatales.

Ce livre d’environ 500 pages se lit rapidement, presque comme un conte, je trouve.  J’y ai vu l’histoire d’un idéal, leur idéal, confronté à plusieurs embuches qu’il devra surmonter pour réellement exister.  On nous raconte l’histoire de la librairie Au Bon Roman ainsi que celle d’Ivan et Francesca, qui sont derrière le projet.  L’histoire est racontée par ces deux personnages à un enquêteur et j’ai apprécié la petite touche de nostalgie que cette particularit conférait au roman.  On se laisse embarquer dans la spirale enthousiaste de l’ouverture, tout en sachant que la période idyllique ne durera pas, que nous avons affaire à une parenthèse heureuse… une « bulle » comme je les appelle.  J’ai beaucoup aimé l’enthousiasme des personnages et leur amour évident de la littérature, à laquelle on fait un bel hommage.   Vous ne pouvez même pas imaginer combien de titres j’ai pu noter.  Bon, ok, que j’ai post-it-é!!  Mon livre est plein de petits papiers multicolores!!!

Le milieu de l’édition et du livre en général n’est pas épargné.  On y dénonce le copinage, certains choix des maisons d’édition qui choisissent des livres non pas pour leur qualité mais parce qu’ils se vendront probablement, certains critiques littéraires…  Et impossible de ne pas se questionner sur la littérature, sur ce que nous sommes comme lecteur, quand nous lisons ce roman!  Par contre, je n’ai pas senti qu’on nous « imposait » ce qui est « le bon goût », même si certains auteurs sont cités plus d’une fois.  Je n’ai pas vu non plus un éloge de l’élitisme mais plutôt l’idéal de deux personnes.  Et c’est tout.  Est-ce que « Au bon roman » serait ma librairie idéale?   Je ne sais pas.  J’aimerais probablement la visiter pour faire des découvertes mais comme je n’ai aucunement honte d’aimer aussi des trucs très légers et pas très sérieux (quoi, ils n’ont pas de Harlequin??), je me baladerais probablement d’une librairie à une autre!!!  J’aime lire dans tous mes états d’esprit… qui sont variables et diversifiés!

La seule partie qui m’a embêtée a été l’histoire d’amour, à laquelle je n’ai pas du tout adhéré, et encore moins au personnage d’Anis (j’aime pas la réglisse noire, ça doit être pour ça), qui m’a énervée plus souvent qu’autrement.  C’est à Francesca que je me suis le plus attachée.  Et je me demande pourquoi l’auteure a choisi de faire intervenir un « je » dans la narration… je me suis demandée ce que ça apportait, en fait.   Par contre, certains passages, surtout la lettre de Francesca, sont magnifiques!!

Une très belle lecture donc… et une liste énorme!!


Où on découvre que je n’ai rien d’une artiste…


Quand Isil et Lamousmé ont décidé de nous concocter le swap « Un livre, un peintre » (auquel je n’ai bien entendu pas pu résister… je résiste rarement à quoi que ce soit), elles ont été carrément diaboliques!  Non seulement il fallait trouver le cadeau idééééal pour notre swappée mais en plus, nous devions réaliser une « oeuvre d’art » de notre cru.  Connaissant ma maladresse légendaire, ce n’était pas gagné… et bon, après 2h de duuur labeur, j’avoue que ce ne l’est toujours pas!!

En fait, je pense que le jeu qui va accompagner la dite oeuvre sera « devinez ce que j’ai tenté de représenter ».  Et je vous jure, le degré de difficulté est assez élevé!!!  Bon, ce n’est pas encore fini fini… mais j’ai fait la partie facile et c’est déjà le désastre!!!  Imaginez la suite!!!

Quelques constatations, donc…

1) J’aurais pu me la donner un peu plus facile…  dessiner, genre…  une pomme!  Je suis très bien pour dessiner des pommes!  Même mes petits cretons au boulot reconnaissent les pommes que je dessine!  Bon, aujourd’hui, il y en a un qui a eu du mal à distinguer une de mes superbes pommes d’un chat (que j’avais aussi dessiné)… mais je me dis que probablement qu’il a besoin de lunettes, le pauvre petit!!

2) Au départ, j’avais eu une autre idée mais j’ai dû abandonner une fois pour toutes quand j’ai réalisé que c’était réellement possible de VRAIMENT rater une peinture par numéros!!!  Là, au moins, je vais avoir une excuse, vu ma grande ambition!!!

3) J’ai vais devoir lancer une nouvelle mode question vernis à ongles.  Parce que bon, cette peinture-là, ça ne s’enlève pas avec du remover, ça a l’air.  Du moins, pas avec MON remover.  Mais c’est pas grave… mes ongles à motifs colorés, variés et originaux sont magnifiques!  Et assez inusités!

4) Ma table, décorée dans les mêmes teintes, c’est un peu moins joli, par contre… mais en grattant un peu, ça devrait partir… espérons!

5) Je n’ai qu’une mèche de cheveux qui a trempé dans la peinture et qui sera probablement irrécupérable!!!  Oui oui, une seule!   C’est bien, non??

6) J’ai un sérieux problème de proportions…  tout a l’air obèse sur mon dessin.  Obèse et aplati en plus… une splendeur!!

7) Maintenant, j’ai une crampe du diaphragme à force de rire… non mais pauvre swappée… je la plains sincèrement!!!

8) Même la copine que j’ai tentée de joindre sur Skype pour partager mon fou rire avec elle n’a pas osé répondre… probablement qu’elle se doutait de quelque chose et qu’elle n’a pas voulu avoir de vision d’horreur avant d’aller se coucher!!!

Mais je ne désespère pas… je vais attendre que ça sèche… et continuer  tout à l’heure… et demain… et le jour d’après aussi!!  Au pire, si la catastrophe est réellement trop catastrophique, un coloriage au crayon de cire, ça peut aller???   Je devrais pouvoir réussir à bien colorier un Hello Kitty, il n’y a qu’une boucle rouge à faire!  Je peux même me mettre un petit défi supplémentaire et tenter le coup avec Dora!

*soupir*
Allez, au boulot!!

Petits suicides entre amis – Arto Paasilinna

Présentation de l’éditeur
« SONGEZ-VOUS AU SUICIDE?
Pas de panique, vous n’êtes pas seul.
Nous sommes plusieurs à partager les mêmes idées, et même un début d’expérience.  Écrivez-nous en exposant brièvement votre situation, peut-être pourrons-nous vous aider.  Joignez vos noms et adresse, nous vous contacterons.  Toutes les informations recueillies seront considérées comme strictement confidentielles et ne seront communiquées à aucun tiers.  Pas sérieux s’abstenir.  Veuillez adresser vos réponses Poste restante, Bureau central de Helsinki, nom de code « Essayons ensemble ».

Deux suicidaires se retrouvent fortuitement dans une vieille grange où ils souhaitaient partir tranquilles.  Entravés dans leurs funestes projets, ils se metent en tête de rassembler d’autres désespérés pour monter une association.  Commence alors, à bord d’un car de tourisme flambant neuf, un périple loufoque mené à un train d’enfer. »

Commentaire
Ce livre avait tout pour me plaire.  Plusieurs bloggueuses à qui je fais entièrement confiance ont adoré, il est rempli d’absurdités et d’humour noir et grinçant, c’est loufoque, sans queue ni tête…  Allez donc savoir pourquoi je n’ai pas accroché plus que ça, avec tous ces éléments positifs!  Mais c’est quand même le cas. 

En fait, j’ai accroché à environ 100 pages de la fin… Et c’est le ton de l’auteur, que j’aime bien, qui a sauvé la mise au final.  Il a le don pour affirmer des énormités – dans la narration ou dans la bouche des personnages – avec un « ton » de parfaite évidence qui me fait pouffer!  Il y a beaucoup d’humour dans le roman et on traite de suicide avec un ton assez décalé.  Le tout en écorchant le système au passage!  Certaines aventures sont complètement folles et auraient été désopilantes si j’avais été davantage « dedans ».

Mon premier bug… le nombre de personnages.  Il y en a une quantité et leurs noms ne parviennent absolument pas à m’entrer dans la tête.  Bon, j’imagine que l’auteur a prévu tout ça parce qu’il précise à chaque fois le métier dudit suicidaire… la directrice adjointe Helena Puusari, l’adjudant hors-cadre Jarmo Korvanen, l’éleveur de rennes Uula Limanski…   Et quand je dis à chaque fois, c’est chaque fois… et pour moi, c’est devenu lourd un moment donné.  Et je n’ai même pas compté le nombre de « les désespérés » ou de « les suicidaires »…  De plus, toute la première partie m’a semblé pas mal répétitive (nouvelles personnes, nouvelles histoires, allez hop, on embarque!) et j’ai bien failli tout lâcher.  J’ai d’ailleurs mis 4 jours à venir à bout des 200 premières pages!!!  Par contre, la fin m’a davantage accrochée et j’ai ri toute seule de les voir ainsi pris dans leurs histoires!!  Genre qu’on sait depuis loooongtemps comment ça va finir… on a juste hâte de voir comment les personnages vont s’en rendre compte!

Bref, une petite déception sur ce titre, que j’étais certaine d’aimer, par ailleurs… Une question de timing, peut-être…

Plaisir de lecture: 6,5/10

The Lady of Shallott (La dame de Shallott) – Lord Alfred Tennyson

Commentaire
Non, non, je ne triche pas en présentant ce poème comme un livre complet!!!  C’est que mon édition, choisie comme « souvenir du musée des beaux arts » lorsque je suis allée voir l’expo Waterhouse (et qui, donc, ne compte définitivement pas!), ne contient que ce poème, très joliment illustré par Geneviève Côté, illustratrice.  J’ai littéralement craqué pour l’objet-livre, qui m’a tout de suite plu et qu’une panne de métro m’a permis de lire en duo avec Pimpi.  Bon, j’ai relu après, dans un environnement plus calme mais vraiment, ça m’a plu.  Les deux fois. 

Je connaissais vaguement le poème de Tennyson, parce qu’on en parle dans « Anne of Green Gables » mais je ne l’avais lu qu’en français.  Ça m’avait plu mais je n’avais pas été éblouie. L’histoire, basée sur celle de la belle Elaine qui tombe amoureuse de Lancelot, nous présente une femme dans une tour, retenue prisonnière d’une malédiction qui ne lui permet que de regarder le monde extérieur par le biais d’un miroir et de tisser sans relâche.  Mais l’apparition de Lancelot éveillera la passion en elle, et déclenchera la malédiction.  En anglais, j’ai été charmée par le rythme et les sonorités du poème, de même que par l’aspect légendaire et mythique du poème.  J’ai toujours vu dans cette histoire celle d’une femme qui risque tout pour ne pas vivre sa vie à travers des ombres et des fausses réalités, et qui paie le prix de sa libération.  Ce qui était souvent le cas à l’époque de Tennyson. 

De plus, le style des dessins de Geneviève Côté m’a tout de suite plu.  Les tons de bleus, les couleurs pastel, les lignes épurées, le style bien différent de ce que j’avais pu voir comme illustrations sur le thème alors… le tout m’a accroché l’oeil et rend l’objet-livre vraiment très, très beau.  J’ai beaucoup aimé la métaphore finale, qui donne un peu d’espoir au récit. 

Du coup, j’ai bien envie de lire les autres poèmes de Tennyson se rapportant à la légende Arthurienne… mais je pense que je vais me plonger dans Chrétien de Troyes avant, juste pour avoir les bases!!!

Plaisir de lecture: 9,5/10


Lire en VO: 3

Challenge English Classics – Le récapitulatif des billets!


J’ai décidé de ne pas être trop paresseuse et à organiser mon challenge comme il faut!!!  En fait, l’exemple de Bladelor m’a encouragée fortement et je suis bien décidée à ne pas me laisser submerger (genre, comme je le fais avec mes liens et mon index… c’est pathétique!!)  On verra si je suis aussi rigoureuse que dans mes challenges!!!

Pour que je complile votre billet-challenge, vous devrez:
1) Publier votre billet avec le logo du challenge dedans
2) Me donner le lien COMPLET dans les commentaires du présent billet, pour que je n’aie pas à chercher partout.  Je veux bien faire… mais je me connais!!
3) Si vous réalisez que j’ai indiqué que le billet était « à jour » dans les commentaires et que votre lien se trouve AVANT ce commentaire, vous pouvez vous rappeler à moi (gentiment, ce serait apprécié, je n’aime pas particulièrement me faire traiter de paresseuse ou de négligente).  Sinon, c’est que je suis en retard.  Et que ça va se faire.  Bientôt!

Serait-il maintenant possible de s’inscrire sur le présent billet?  Ca me sauverait du temps!!!

Les participants:

A girl from Earth

Mrs Dalloway – Virginia Woolfe
Abeille
Jane Eyre – Charlotte Brontë
Aelys
Alcapone
Frankenstein – Mary Shelley,
Klosterheim – Thomas de Quincey
Voie sans issue – Wilkie Collins et Charles Dickens

La sorcière de Salem – Elizabeth Gaskell
Alice
 – Le secret de Lady Adley – Mary Elizabeth Braddon

De l’autre côté du miroir – Lewis Carroll

La chasse au Snark – Lewis Carroll
Alicia
Le secret de Lady Adley – Mary Elizabeth Braddon,
Carmilla – Sheridan LeFanu
Le signe des quatre – Arthur Conan Doyle
L’étude en rouge – Arthur Conan Doyle

Alice au pays des merveilles – Lewis Carroll

La dame en blanc – Wilkie Collins

L’hôtel hanté – Wilkie Collins

Comment ma cousine a été assassinée – Sheridan Le Fanu

Persuasion – Jane Austen

The tenant of Wildfeld Hall – Anne Brontë

Invitation au crime – Sheridan Le Fanu

L’importance d’être constant – Oscar Wilde

Le chien des Baskerville – Arthur Conan Doyle

Ankya

Les pendules – Agatha Christie

Antoine

Artemis

Axielle

Bladelor

 Alice au pays des merveilles – Lewis Carroll

Bookomaton

Bookworm,

L’île au trésor – Stevenson

The picture of Dorian Gray – Oscar Wilde

Brize

Craklou

Cannibale Lectrice

Caro

Caro[line]

L’abîme – Wilkie Collins et Charles Dickens

Catherine

Une étude en rouge / A study in scarlet – Sir Arthur Conan Doyle

Le ruban moucheté et autres aventures de Sherlock Holmes – Sir Arthur Conan Doyle

CecileSBlog

La veilleuse et autres récits – Mary Shelley,
Pierre de lune – Wilkie Collins,

Le secret de lady Audley – Mary Elizabeth Braddon

Emma – Jane Austen

Femmes et filles – Elizabeth Gaskell

L’abbaye de Northanger – Jane Austen

Mansfield park – Jane Austen

Cranford – Elizabeth Gaskell

De l’assassinat considéré comme l’un des Beaux-Arts – Thomas de Quincey

Klosterheim – Thomas de Quincey

Les derniers jours d’Emmanuel Kant – Thomas de Quincey

Les derniers jours de Thomas de Quincey – John Ritchie Findlay

Vie de Richard Savage – Samuel Johnson

Aurora Floyd – Mary Elizabeth Braddon

Lady Lisle – Mary Elizabeth Braddon

L’hôtel hanté – Wilkie Collins

Le mystère de Fernwood/La vengeance de Samuel Lowgood – Mary Elizabeth Braddon

La chambre de Jacob – Virginia Woolf

Les vagues – Virginia Woolf

Middlemarch – George Eliot

Instructions aux domestiques – Jonathan Swift

Le secret de la femme grise – Mary Elizabeth Braddon

Modeste proposition – Jonathan Swift

L’aveu – Mary Elizabeth Braddon

Au phare – Virginia Woolf

Le géant invisible – Bram Stoker

L’homme du Shorrox – Bram Stoker

L’adultère – Elizabeth Bowen

–  La princesse – D. H. Lawrence

Céline

Shirley – Charlotte Brontë,

Le maître de Ballantrae – Stevenson

Un chant de Noël – Charles Dickens

Armadale – Wilkie Collins

Ivanhoe à la rescousse – William Thackeray

Jane Eyre – Charlotte Brontë

Evelina – Frances Burney

Cranford – El
izabeth Gaskell

Le fantôme de Canterville – Oscar Wilde

Richard III – Shakespeare

Hamlet – Shakespeare 

Moll Flanders – Daniel Defoe

Dracula – Bram Stoker

Céline C

Charlotte Charles

Chiffonnette

Chimère

Elizabeth et son jardin allemand – Elizabeth Von Arnim,

Le grand diamant de Hoggarty – William Makepeace Thackeray

Le secret de Lady Audley – Mary Elizabeth Braddon

Le directeur – Anthony Trollope

Chinouk

Choco

Choupynette

Sur les traces du serpent – Mary  Elizabeth Braddon

Christelle

Un chant de Noël – Chalres Dickens

Les hauts de Hurlevent – Emily Brontë

Claudialucia ma librairie

–  Jacottet – William Blake

My heart in the Highlands – Robert Burns

Northanger Abbey – Jane Austen (texte 2)

Le petit oiseau blanc – JM Barrie

Le professeur – Charlotte Brontë

Basil – Wilkie Collins

Retour au pays natal – Thomas Hardy

Nord et sud – Elizabeth Gaskell

Rob Roy – Walter Scott

Robert Louis Stevenson

Miss Mackenzie – Antony Trollope

Phineas Finn – Antony Trollope

Une belle canaille – Wilkie Collins

Sur les traces du serpent – Mary Elizabeth Braddon

Emma – Jane Austen

Le cabanon du pécheur – Mary Shelley

le secret de lady Audley – Mary Elizabeth Braddon

Henry Dunbar – Mary Elizabeth Braddon

Cocola ,

–  Jane Eyre – Charlotte Brontë

Oliver Twist – Charles Dickens

Coraly 

Le portrait de Dorian Gray – Oscar Wilde

Corinne

Craklou

The time machine – HG  Wells

Alice’s adventured in wonderland

Crazyprof

Cryssilda

Une belle canaille – Wilkie Collins,

Histoires de fantômes – Charles Dickens

La chasse au Snark – Lewis Carroll

Cynthia

Jane Eyre – Charlotte Brontë,

Un conte de Noël – Charles Dickens,

Lady Susan – Jane Austen

Orgueil et préjugés – Jane Austen

Le prince heureux et autres contes – Oscar Wilde

Lettresà Fanny – John Keats

L’importance d’être constant – Oscar Wilde

DeL

–  Les hauts de Hurlevent – Emily Brontë,

L’île au trésor – Stevenson

Raison et sentiments – Jane Austen

Frankenstein – Mary Shelley

Darcula – Bram Stoker

Jane Eyre – Charlotte Brontë

Orgueil et préjugés – Jane Austen

Denis

Remèdes désespérés – Thomas Hardy

Dominique

Doriane

L’abîme – Charles Dickens et Wilkie Collins

Orgueil et préjugés – Jane Austen

Dviolante

Le fantôme de Canterville – Oscar Wilde,

L’hôtel hanté – Wilkie Collins,

Un chant de Noël – Charles Dickens

Edea

Elisha

Emilie

Le nord et le Sud – Elizabeth Gaskell,

Le portrait de Dorian Gray – Oscar Wilde

L’abime – Charles Dickens et Wilkie Collins

Le portrait de Mr. W.H. – Oscar Wilde

Emma – Jane Austen

Emily

Pierre de Lune – Wilkie Collins

The waste land – TS Elliott

Great Expectations – Charles Dickens

Emmyne

Erell

Evy

 Jane Eyre – Charlotte Brontë 

Alice au pays des merveilles – Lewis Carroll

Fashion 

Le portrait de Dorian Gray – Oscar Wilde

Filipa

Fleur

Northanger Abbey – Jane Austen,

Jane Eyre – Charlotte Brontë,

Les aventures d’Oliver Twist – Charles Dickens,

Lady Susan – Jane Austen,

Raison et sentiments – Jane Austen,

L’étange histoire du Dr. Jeckyll et Mister Hyde – Stevenson

Persuasion – Jane Austen
Le professeur – Charlotte Brontë

Roméo et Juliette – Shakespeare

Orgueil et préjugés – Jane Austen

Alice au pays des merveilles – Lewis Carroll

Seul dans la splendeur – John Keats

Peter Pan – James Matthew Barrie

Le portrait de Mr. W.H – Oscar Wilde

Mrs Dalloway – Virginia Woolf

Bilbo le Hobbitt – JRR Tolkien

Emma – Jane Austen

L’hôtel Stancliffe – Charlotte Brontë

Othello – Shakespeare 

Le fantôme de Canterville – Oscar Wilde 

**Fleur**

Orgueil et préjugés – Jane Austen,

Alice au pays des merveilles – Lewis Carroll,

Le mystère d’Edwin Drood – Charles Dickens

Gaelle

Gaspara

Sense and sensibility – Jane Austen

GeishaNellie

La chasse au Snark – Lewis Carroll

Le suicide club – Stevenson

Orgueil et préjugés – jane Austen

George,

L’Italien – Ann Radcliffe,

Northanger Abbey – Jane Austen

Gi

Frankenstein – Mary Shelley

Orgueil et préjugés – Jane Austen

Gio

Goelen

Hérisson08

L’abîme – Wilkie Collins et Charles Dickens

Hermione

Hydromielle

Hamlet – William Shakespeare

Un chant de Noël – Charles Dickens

Agnès Grey – Anne Brontë

Le signe des quatre – Arthur Conan Doyle

Une étude en rouge – Arthur Conan Doyle

L’abîme – Wilkie Collins et Charles Dickens

De grandes espérances – Charles Dickens

L’importance d’être constant – Oscar Wilde

Le fantôme de Canterville et autres contes – Oscar Wilde

Lady Susan, Les Watson, Sanditon – Jane Austen

Juvenilia – Jane Austen 

Le moine – Matthew G. Lewis

Les mystères d’Udolphe – Ann Radcliffe

Iluze,

L’évantail de Lady Wildermere – Oscar Wilde
Dracula – Bram Stoker

Isabelle

Les hauts de Hurlevent – Emily Brontë 

Persuasion – Jane Austen

Isil

Jeny

Joey7Lindley

Mansfield Park – Jane Austen

Lady Susan – Jane Austen

Jules

June

Lady Susan – Jane Austen

Les hauts de Hurlevent – Emily Brontë

Emma – Jane Austen 

Jane Eyre – Charlotte Brontë

Northanger Abbey – Jane Austen

Le portrait de Dorian Gray – Oscar Wilde

Kali

Mansfield Park – Jane Austen

De grandes espérances – Charles Dickens

Karine

Le chien des Baskerville de Sir Arthur Conan Doyle

Le Secret de Lady Audley de Mary Elizabeth Braddon

La sorcière de Salem d’Elizabeth Gaskell

Lorna Doone de Richard D. Blackmore

Karine 🙂

Richard III – Shakespeare,

Agnès Grey, Anne Brontë,

Northanger Abbey – Jane Austen,

Carmilla – Sheridan Le Fanu,

Our mutual friend – Charles Dickens

The woman in white – Wilkie Collins

Le portrait de Mr. W.H. – Oscar Wilde

– Alice’s adventures in Wonderland – Lewis Carroll

– Through the looking glass – Lewis Carroll

– The hunting of the Snark – Lewis Carroll

– A study in scarlet – Arthur Conan Doyle

Kathel,

The Castle of Otranto – Horace Walpole

L’abîme – Charles Dickens et Wilkie Collins

Kazibao

Keisha

La maison d’Âpre-Vent – Charles Dickens,

La pension Lirriper – Charles Dickens,

Le secret de Lady Audley – Mary Elizabeth Braddon

Mrs Dalloway – Virginia Woolf

Promenade au phare – Virginia Woolf

Lorna Doone – Richard Blackmore

Une chambre à soi – Virginia Wolfe

Daniel Deronda – TS Elliott

Quelle époque – Anthony Trollope

The Picture of Dorian Gray – Oscar Wilde

Our mutual friend – Charles Dickens

La traversée des apparences – Virginia Woolf

Keltia,

A Christmas carol and 2 other stories – Charles Dickens

Lael

Le crime d’Arthur Savile /Le fantôme de Canterville – Oscar Wilde

Le livre des merveilles – Lord Dunsany

Laetitia la liseuse

La plume et la page

Un conte de Noël – Charles Dickens

Orgueil et préjugés – Jane Austen

Alice au pays des merveilles – Lewis Carroll

Laurence

Le portrait de Dorian Gray – Oscar Wilde (son avis dans les comms)

– Le livre de la jungle – Rudyard Kipling (son avis dans les comms)

Lelanie

Levraoueg

Lewerentz

Lilly

La chasse au Snark – Levis Carroll

Le chien des Baskerville

Une chambre à soi – Virginia Woolf

Les vagues – Virginia Woolf

Plus jamais d’invités – Vita Sackville-West

La femme changée en renard – David Garnett

Liza Lou

Raison et sentiments – Jane Austen

Les hauts de Hurlevent – Emily Brontë

Lou

La scène londonienne – Virgnia Woolf

Henry Dunbar – Mary Elizabeth Braddon

Une belle canaille – Wilkie Collins

Profondeurs glacées – Wilkie Collins

Moonfleet – Falkner

Le Secret de Lady Audley – Mary Elizabeth Braddon

La Bonne Lady Ducayne – Mary Elizabeth Braddon

 Le Grand Dieu Pan – Arthur Machen

Zuleika Dobson – Max Beerbohm

La Chasse au Snark – Lewis Carroll

Drôle de temps pour un mariage – Julia Stratchey

Loulou

Luca

Mademoiselle V.

Maggie

Le portrait de Mr. W.H – Oscar Wilde,

Les hauts de Hurlevent – Emily Brontë,

Le crime de Lord Saville – Oscar Wilde,

Lady Susan – Jane Austen,

Comment ma cousine a été assassinée – Sheridan Le Fanu,

Aphorismes – Oscar Wilde,

Salomé – Oscar Wilde

Orgueil et préjugés – Jane Austen

L’abîme – Charles Dickens et Wilkie Collins

Alice au pays des merveilles – Lewis Carroll

Un chant de Noël – Charles Dickens

Profondeurs glacées – Wilkie Collins

La chasse au Snark – Lewis Carroll

L’homme hanté – Charles Dickens

Maijo

Emma – Jane Austen ,

Persuasion – Jane Austen

Tess of the d’Ubervilles – Thomas Hardy

Le portrait de Dorian Gray – Oscar Wilde

North and South – Elizabeth Gaskell

Mango

Jane Eyre – Charlotte Brontë

Le secret de Lady Audley – Mary Elizabeth Braddon

Mrs. Dalloway – Virginia Woolf

Oliver Twist – Charles Dickens

Maurice – E.M. Forster

Le temps de l’innocence – Edith Wharton

Manu

Jane Eyre – Charlotte Brontë

Le secret de la femme grise – Mary Elizabeth Braddon

Mara

Mansfield Park – Jane Austen

Nord et Sud – Elizabeth Gaskell

Northanger Abbey – Jane Austen

Marguerite

Marie

Emma – Jane Austen

Sans nom – Wilkie Collins

La petite Dorritt – Charles Dickens

Lady Susan – Jane Austen

David Copperfield – Charles Dickens

Un chant de Noël – Charles Dickens

Oliver Twist – Charles Dickens

Marierussia

Marilyne,

Un chant de Noël – Charles Dickens

Mea

Aurora Floyd – Mary Elizabeth Braddon
Melaine

Mélanie

Mélopée

Meya

Mirianne

Orgueil et préjugés – Jane austen

Miss Babooshka,

Dracula – Bram Stoker

Persuasion – Jane Austen

Mlle Swan

Mo

Northanger Abbey – Jane austen ,

North and south – Elizabeth Gaskell

Moonrise

Myrddin

Nadège,

Orgueil et préjugés – Jane Austen

Nadia

Les mystères d’Udolphe – Ann Radcliffe

Nanne

Emma – Jane Austen

Natacha

Alice au pays des merveilles – Lewis Carroll

Les hauts de Hurlevent – Emily Brontë

Jane Eyre – Charlotte Brontë

De l’autre côté du miroir – Lewis Carroll

Le portrait de Dorian Gray – Oscar Wilde

Nord et Sud – Elizabeth Gaskell

Neph,

La château d’Otrante – Horace Walpole

Les trois grosses dames d’Antibes – Somerset Maugham

Emma – Jane Austen

Le train de 16h50 – Agatha Christie

Pando

Papillon,

Alice’s adventures in wonderland – Lewis Carroll

L’abîme – Charles Dickens et Wilkie Collins

Paradoxale

Nord et Sud – Elizabeth Gaskell

Les hauts de Hurlevent – Emily Brontë

Pascale

Pauline

Le portrait de Dorian Gray – Oscar Wilde

Pélie

Le grillon du foyer – Charles Dickens

Petite Fleur

Le portrait de Dorian Gray – Oscar Wilde,

Alice au pays des merveilles – Lewis Carroll

Pimpi

Roméo et Juliette – Shakespeare

North and South – Elizabeth Gaskell

Pimprenelle

L’abîme – Charles Dickens et Wilkie Collins

Dr. fisher de Genève – Graham Greene
Pink Canary

Lady Susan – Jane Austen

Lois the witch – Elizabeth Gaskell

Pyepi

Hamlet – William Shakespeare

Restling

Ryuuchan ,

Le portrait de Dorian Gray – Oscar Wilde

Sabine Verronneau

Sabbio

Samarian

Raison et sentiments – Jane Austen

6 livres d’Agatha Christie – Agatha Christie

Mais qui a tué Roger Ackroyd – Agatha Christie

Saperlipopette

Selena

Sentinelle

Seraf’

Soie

Le chien des Baskervilles – Arthur Conan Doyle

Pierre de lune – Wilkie Collins

Les hauts de Hurlevent – Emily Brontë

Le secret – Wilkie Collins

Snowball

La dame en blanc – Wilkie Collins

Stemilou

Salomé – Oscar Wilde

Le millionnaire modèle et le sphinx sans secret – Oscar Wilde

Le fantôme de Canterville – Oscar Wilde

Le crime de Lord Arthur Saville – Oscar Wilde

Dracula – Bram Stoker

Raison et sentiments – Jane Austen

L’hôtel hanté – Wilkie Collins

Le portrait de Mr. W. H. – Oscar Wilde

La chasse à l’oppossum – Oscar Wilde

Un chant de Noël – Charles Dickens

Orgueil et préjugés – Jane Austen

Stéphanie

Stephie

The Bursar

Une étude en rouge – Arthur Conan Doyle

The portrait of Mr. W.H. – Oscar Wilde

Le chien des Baskervilles – Arthur Conan Doyle

Associés contre le crime – Agatha Christie

Maurice – E.M. Forster

Theoma

Orgueil et préjugés – Jane Austen

Tiphanie

Dr. Jeckyll and Mr. Hyde and other tales of terror – R.L. Stevenson

Titine

Pierre de lune – Wilkie Collins,

Vera – Elizabeth Von Arnim

Oliver Twist – Charles Dickens

Le secret de Lady Audley – Mary Elizabeth Braddon

Une belle canaille – Wilkie Collins

Temps difficiles – Charles Dickens

Nord et Sud – Elizabeth Gaskell

Orlando – Virginia Woolf

Flush – Virginia Woolf

Femmes et filles – Elizabeth Gaskell

L’abîme – Wilkie Collins et Charles Dickens

Seule contre la loi – Wilkie Collins

Shirley – Charlotte Brontë

Loin de la foule déchaînée – Thomas Hardy

Le secret de la femme grise – Mary Elizabeth Braddon

Jude l’obscur – Thomas Hardy

Good lady Ducayne – Mary Elizabeth Braddon

Valérie

Le grillon du foyer – Charles Dickens

Le chien des Baskerville – Arthur Conan Doyle

Vanounyme

Orgueil et préjugés – Jane Austen,

Roméo et Juliette – William Shakespeare

– Lady Susan – Jane Austen

Les hauts de Hurlevent – Emily Brontë
Yo

Un conte de Noël – Charles Dickens

Jane Eyre – Charlotte Brontë

Yoshi73

Les mystères d’Udolphe – Ann Radcliffe

Ys

Yueyin

Orgueil et préjugés – Jane Austen

La route des Indes – E. M. Forster

Beowulf

De grandes espérances – Charles Dickens

Un cantique de Noël – Charles Dickens

Ivanhoe à la rescousse – William Thackeray

Zahlya

À noter, j’ai dû reprendre la liste environ 4 fois pour cause de problèmes de formatage divers et inusités…  alors des erreurs ont pu s’y glisser, peut-être même des oublis!!!  Si c’est le cas, avisez-moi mais gentiment, ok!  Sinon je vais peut-être un peu  mordre!! ;))

Ne meurs pas libellule – Linda Joy Singleton

Présentation de l’éditeur
« Après avoir été expulsée de l’école et conduite chez sa grand-mère pour y vivre, Sabine Rose est déterminée à devenir une adolescente normale.  C’est pourquoi elle dissimule son don psychique aux gens de sa nouvelle école et prétend que les prédictions qu’elle contribue à rédiger pour le journal scolaire ne sont que d’amusantes balivernes.

Cependant, lorsqu’elle commence à avoir des visions morbides au sujet d’une fille arborant le tatouage d’une libellule, elle a peur de raconter ce qu’elle voit de crainte qu’on la penne pour une dingue ou , pis encore, que personne ne la croie jusqu’à ce que quelqu’un meure.  Exactement comme ce fut le cas à son ancienne école… »

Commentaire
Ça ne vous frustre pas, vous, un livre pendant lequel vous vous dites tout au long: « c’est ordinaire, je ne lirai pas la suite » et que soudain, à la dernière page, on vous arrive avec un gros cliffhanger et que, du coup, vous voulez les lire, les fameuses suites??  Parce que c’est exactement ce qui m’est arrivé avec ce roman jeunesse.

Si vous vous demandez pourquoi j’ai acheté ce roman il y a un bon moment (je ne sais plus trop combien de temps… mais presque 2 ans!), la réponse se trouve dans le coin supérieur droit de l’image!  Un livre neuf à 99 cents, comment résister à ça!  Bon, ce qui n’est pas écrit sur la couverture, c’est que les 4 autres tomes de la série sont, quant à eux, à 13$… mais c’est un détail, n’est-ce pas, vu que les suites ne comptent pas!!

J’ai lu ce livre sans rager mais sans vraiment apprécier non plus.  La trame de l’histoire est assez simple (une jeune fille voyante qui ne s’accepte pas et qui a peur du rejet qu’elle a vécu dans son ancienne école) et pas forcément originale non plus.  Nous restons en surface des personnages et de leurs sentiments, qui déboulent un peu vite… trop vite pour me faire rêver (en fait, son petit ami est un peu lisse, non??).  On s’entend, des histoires pas très originales, ça ne me dérange pas vraiment.  Mais finalement, tout est assez simple et les solutions, qui arrivent un peu comme un cheveu sur la soupe, m’ont vraiment paru faciles.  Bref, des histoires de graffitis, des intrigues scolaires, un bon copain qui gobe tout, des drôles de coïncidences… 

Toutefois, une fois entrée dans l’histoire, j’ai réellement voulu savoir ce qui allait arriver (même si le dénouement m’a un peu déçue, comme je le mentionnais plus haut) et ça se lit tout seul.  J’ai aussi beaucoup amé le personnage de Nona, la grand-mère sorcière de Sabine (qu’on diminue en Binnie… c’est juste moi ou c’est bizz??) qui apporte des éléments qui font parfois sourire.  

Et la fin… grrrrrr… il va falloir que je sache ce qui va se passer.  Ce qui signifie que je vais être obligée de lire la suite, même si je n’ai pas trippé.  Faut pas troujours chercher à me comprendre!!  Je précise également que cette série a fait le grand bonheur d’au moins 5 ados de ma connaissance!  Il ne faut pas juste se fier à mon avis de vieille trentenaire!!

Plaisir de lecture: 5,5/10

Dans la pile depuis un nombre de temps inconnu… mais se situant entre un an et demi et deux ans!!!


A Christmas Carol (Un conte de Noël) – Film de Robert Zemeckis (2009)

Je n’ai pas l’habitude de parler des films que je vois à l’exception de ceux qui ont certain rapport avec les livres et la littérature.  Et comme cette fois, il s’agit d’une adaptation de « Un conte de Noël« , par Charlie himself, je ne pouvais pas résister!  De toute façon, comme une charmante vendeuse m’avait indiqué que j’étais bien en retard pour Noël, il fallait bien que je me mette dans l’ambiance!  Alors ne vous attendez pas à une analyse cinématographique sérieuse; je n’y connais rien!!

Cette adaptation de Dickens par Disney est un film d’animation 3D qui respecte selon moi assez bien l’histoire telle que racontée par Dickens.  Pour ceux qui ne connaissent pas, il s’agit d’un homme, Ebezener Scooge, avare et mesquin qui déteste Noël.  Il sera visité par le fantôme de son ex-associé, Jacob Marley, qui lui annoncera la visite de trois spectres qui le feront réfléchir et lui donneront peut-être une nouvelle chance. 

Quand je parle de respect de l’oeuvre, je parle de l’histoire.  Les scènes m’apparaissent assez bien respectées (je parle de mémoire, je ne connais pas le livre si par coeur que ça), on se balade dans les mêmes épisodes du passé de Scrooge et de son présent, et la morale est la même.  Toutefois, on a rajouté beaucoup de passages d’action probablement pour tirer le meilleur parti possible du 3D.  Pas que ça m’ait embêtée, j’aime bien ces séquences, mais ça peut surprendre.  Il n’y a que l’une d’entre elle qui m’a paru un peu longue.  On alterne donc entre des séquences très sombres, voire assez terrifiantes, des moments d’humour très simple (parfois un peu facile mais bon, je n’ai rien contre ça), et des plans de mouvement 3D.   Moi, ça m’a plu, même si j’ai eu la peur de ma vie à au moins deux endroits!!  Marley dans le heurtoir… j’ai failli me cacher en dessous de mon siège!!!  Et le fantôme des Noëls futurs est horrifiant… carrément!!   Le fantôme des Noëls passés m’a quant à lui laissée un peu perplexe!!  À noter que la voix plaintive et apeurée d’un petit enfant s’est fait entendre haut et fort après la visite de Marley « maman, je veux plus rester ici, je veux m’en aller chez nous tout de suite »!!!  Pour les très jeunes enfants, je pense que c’est un peu trop de fantômes pas jolis et de sursauts!

J’ai beaucoup aimé les vues panoramiques de Londres, j’avais vraiment l’impression de voler au-dessus de la ville!  J’étais comme un petit enfant quand je reconnaissais les endroits, c’est vraiment très beau!  Je me suis même prise à tenter d’éviter les cheminées et les clochers d’église!!  Bon, la première minute donne un peu mal au coeur mais on s’habitue assez vite… et on profite de cette balade à vol d’oiseau dans le ciel Londonien!  La séquence d’ouverture est assez parlante et on peut constater jusqu’à quel point Scooge est bête et méchant.  Bien entendu, la distinction entre l’avant et l’après est grossie à son maximum… mais c’est un conte et je l’aime comme ça!

On peut voir Jim Carrey dans plusieurs rôles… et Colin dans un seul!  Mais j’ai passé un très bon moment, j’avais hâte à Noël et la magie s’est emparée de moi.  Tiens, je vais demander au Docteur de m’amener passer un Noël à Londres dans les années 1800, tiens!!!  Les rues étaient vraiment très, très jolies!!!

Léo, l’autre fils – Hélène Lucas

Présentation de l’éditeur
« Léo, un garçon sensible et attachant, doit se résigner à quitter la maison familiale. Ce départ l’effraie, car il craint que sa mère ne l’oublie durant cette absence prolongée.

Des circonstances tragiques ont engendré une relation malheureuse avec sa mère. Il sait qu’elle ne s’est jamais remise de la mort de son frère aîné, décédé avant sa naissance. Elle est prisonnière de l’époque où elle était heureuse, où Samuel faisait sa fierté et son bonheur. Léo ignore cependant que le désespoir l’a poussée à prendre une décision contre nature, dont les conséquences lui sont insupportables.

Ce récit bouleversant relate la quête d’amour d’un enfant dans un contexte familial déchirant. Ce jeune garçon parviendra-t-il à atteindre le cœur de sa mère ou sera-t-il condamné à vivre une enfance malheureuse? Sa mère finira-t-elle par lui accorder une chance de bonheur et se pardonner l’abominable erreur commise avant sa naissance? »

Commentaire

C’est réellement une rencontre manquée entre ce livre et moi.  Je suis un peu déçue (bon… ça me déçoit toujours de ne pas aimer un livre, j’avoue) vu que c’était la première fois qu’un éditeur d’ici (du Québec, quoi) me proposait un livre et malheureusement, ça n’a pas vraiment fonctionné. 

Ce livre nous emmène dans la vie de Marielle et Marc, pour qui ce fut le coup de foudre au premier regard.  Ils menaient une vie de rêve (bon… ou presque, il n’y a pas de situation parfaite) jusqu’à la maladie et au décès de leur fils aîné Samuel.  À partir de ce moment-là, tout partira en vrille et c’est Léo, l’autre fils du couple, qui en paiera le prix, surtout qu’ils ont un secret qu’ils ne veulent pas révéler à qui que ce soit (bon… je l’avais tout de suite deviné, ce qui n’a sans doute pas aidé). 

Léo est un personnage attachant.  Bien qu’il soit souvent triste et que la vie ne l’ait pas épargné, il semble avoir une capacité infinie d’amour et d’espoir en lui.   Par contre, là où ça a bloqué, c’est que je n’ai à aucun moment pu apprécier le personnage de Marielle, la mère, qui souffre tant qu’elle ne peut ouvrir son coeur à son fils.  En fait, elle m’a profondément énervée; impossible de s’y attacher.  Je ne pouvais m’empêcher de considérer le reste de sa famille comme des saints de l’endurer, en lui faisant très rarement des reproches, en la comprenant toujours, en l’encourageant et en la valorisant le plus souvent dans ses décisions, même quand ça les faisait souffrir.  J’ai nettement préféré le personnage du père, malgré ses problèmes; au moins, il semblait « vouloir » faire quelque chose.  Bref, j’ai eu du mal à comprendre pourquoi cette femme récoltait tant d’amour et de compréhension autour d’elle et elle m’était très antipathique.  Déjà là, ça partait bien mal.  Et j’ai bien essayé d’être sympathique à sa cause!

Ce qu’il faut savoir aussi, c’est que je travaille dans un domaine où je vois presque quotidiennement des familles dysfonctionnelles.  Je vois ce que ça fait aux enfants, aux relations de famille, aux parents qui souffrent de ne pas pouvoir bien s’occuper de leurs enfants.   On dirait que je me blinde à ces situations et à long terme, je n’ai jamais vu d’issue telle que présentée ici.  Le petit Léo a une capacité de résilience incroyable… Vous me direz que c’est là la beauté des romans.  Et je suis d’accord.  Mais j’ai quand même eu du mal à croire à tout ça, à toutes ces tuiles qui tombent les unes après les autres, et au dénouement final.  Disons que j’ai eu quelques « ben voyons »… au cours de ma lecture. 

Finalement, quand je lis un roman, j’aime « travailler » un peu.  J’aime devoir décoder les sentiments et j’ai du mal quand on me révèle à mesure tout ce que pensent chacun des personnages.  Je préfère me faire mes hypothèses, mes idées.  Et je n’ai pas eu besoin de le faire ici.  L’écriture est sobre, on la sent travaillée, l’auteure prend bien soin de décrire les sensations et les petits gestes des personnages pour permettre au lecteur de bien visualiser et elle utilise plusieurs métaphores lorsqu’il est question d’amour ou de passion.  Dans les dialogues, ça m’a tenue à distance, autant de l’histoire de famille que de l’histoire d’amour, à laquelle j’ai eu du mal à croir. 

Bref, comme je le disais, un rendez-vous manqué pour moi.  J’espère ne pas me faire lancer de tomates pour autant… je crois avoir compris où on voulait en venir.  Je n’ai juste pas adhéré.  Pourtant, ce livre a su trouver son public, vu qu’il a gagné le Prix des lecteurs du réseau des bibliothèques de la ville de Québec en 2009 (un article ici).  Trouvez aussi ici l’article d’un lecteur qui a été très touché par cette histoire. 

Merci aux éditions Sylvain Harvey de me l’avoir fait parvenir.