If it fits in a toaster…

Images-11-2216.JPG

 

Voyez la jolie photo ci-dessus…

 

Ce sont mes sous-verres.  Et jusqu’à maintenant, j’étais persuadée que ce qui était écrit dessus était over-réaliste.  Genre très représentatif de mes capacités culinaires.  C’est que bon, on dirait que 80% des mes gaffes monumentales arrivent dans une cuisine.  On se demande bien pourquoi.

 

Donc, techniquement, « If it fits in a toaster, I can cook it ».  Techniquement.   Parce que bon, là, je me questionne réellement sur mon QI de cuisinière… 

 

Nous sommes donc le matin.   Un jour de semaine, l’un de ceux où je travaille.   Et parce que je suis la reine de l’auto-opposition et de la procrastination, même si je me lève toujours vers 5h du matin, JAMAIS je ne déjeune avant 7h moins trois minutes.  Alors que je dois partir à 7h.  Ne cherchez pas à comprendre, 35 ans plus tard, j’essaie encore.   Si je devais partir une heure plus tard, ce serait une heure plus tard… pour que je me décide à bouger, je dois avoir la conviction profonde que si je ne le fais pas là, maintenant, tout de suite, je vais être en retard.   Mais passons, ce n’était pas du tout ce que je voulais raconter ici. 

 

Donc, 6h57 minutes.   Je me balade en jupe et en soutien-gorge vu que comme je suis l’ennemie jurée du fer à repasser (fer à repa… quoi? direz-vous), j’ai foutu mon top dans la sécheuse quelques minutes pour qu’il soit portable sans avoir l’air de sortir d’une boîte à surprise.  Je sais l’environnement me déteste…   N’oubliant pas la loi du toaster, je pitche un bagel dans le dit appareil (je mange un bagel tous les matins depuis 15 ans.  Et ce n’est que cet été que j’ai appris que ça équivalait à 8 tranches de pain.  Je comprends les kilos, du coup… merci Juliette!) et je continue la petite routine… attraper mon livre, mon téléphone, mon thé pour la journée… l’habituel, quoi. 

 

Et là, parce que je veux être efficace (et que je suis, encore une sainte foi, limite en retard), je veux prendre de l’avance,  C’est donc les mains pleines que je décide de déterrer le pot de fromage à la crème (j’avais écrit le pot de fromage Philadelphia… mais ça ne dira rien à plein de monde, je crois, hein?  Vous avez, du Philadephia, chez vous, à part les Québécoises?), qui est bien entendu en train de jouer à la cachette entre des pots de jus, de beurre de pinottes et, allez savoir pourquoi, un exemplaire de ma revue de l’Ordre des orthos.  Oui, dans le frigo.  Non, je ne sais pas comment elle a pu atterrir là.  Probablement un coup du docteur.  Ou alors je voulais garder les nouvelles fraiches, allez savoir…

 

Mais imaginez-vous que pour une raison inconnue – même de moi-même – j’avais aussi ouvert la porte du congélateur, en haut du frigo.  Comme dans ma grande joie d’avoir récupéré mon pot de Philly, j’ai dû me relever un peu vite, voilà que l’excroissance parfois inutilisée qui me sert de crâne est joyeusement allée heurter la porte du congél, que j’ai failli tomber et que je me suis rattrapée sur une poignée qui traînait là, très bien placée, juste à porter de ma petite main blanche.

 

Malheureusement, c’était un pot de sirop d’érable. 

En verre. 

Vous savez, le pot où j’avais versé TOUTE une grosse canne neuve de sirop d’érable, pour impressionner la galerie?  Celui qui, après une valse hésitation limite artistique sur le bord de la tablette du frigo, est allé s’écraser au ralenti sur l’étage inférieur du frigo, avant de poursuivre da course sur la céramique, en n’oubliant pas d’éclater au passage, pour terminer son périple juste en dessous de l’îlot?  Celui qui a tenu à laisser sa trace sur la plus grande surface possible?

 

Et là, je bougonne que non, je n’aurais pas pu accrocher le pot d’eau, hein.  Ou même limite le pot de jus d’orange.  Non, il fallait le pot de sirop d’érable.  Celui qui COLLE.  Et je vous rappelle qu’il est 6h57.  Oups, non, 6h59, maintenant.  Et que bon, même en voulant être la plus paresseuse possible, c’est tout bonnement impossible de ne pas ramasser ça tout de suite. 

 

Dans ma grande intelligence, je commence à ramasser tout ça, à genoux sur une chaise pour ne pas me couper les pieds (parce que bon, la jupe, à ce moment-là, est assaisonnée comme une crêpe hein… inutile de penser à la porter pour la journée) (et oui, mes solutions sont parfois un peu fantasques, quand on y pense bien… mettre des souliers, ça aurait été trop logique) et je commence à me dire que j’aurais franchement dû m’attacher les cheveux avant de commencer cette tâche.  Parce que bon, ma super chevelure qui pousse comme de la mauvaise herbe (certains ont émis l’hypothèse que c’était parce que j’avais de l’eau dans le crâne… je dis plutôt que j’ai du bon engrais, voilà) est en train de se substituer à la vadrouille et que même en tournant et en retournant la situation dans tous les sens, ce n’est pas du tout, mais alors là pas DU TOUT glamour.  

 

C’est dans cet état  d’esprit douloureux, alors que je réalise que je suis bonne pour la douche, que je réalise que mon bagel est coincé dans le toaster.  Vous savez, on dirait que les bagel, il y a toujours un petit morceau de trop qui coince dans le grillage…  Le problème?  Il y a entre moi et le toaster un océan de sirop assaisonné de morceaux de vitre.  La solution?  Me tirer sur la porte du frigo pour faire avancer… la chaise.  Ben oui, ça doit ben glisser, du sirop… 

 

Le détecteur de fumée, toujours aussi capricieux, décide bien entendu de décoller, je grogne, je redouble mes efforts en tirant plus fort et en m’étirant comme je peux… jusqu’à ce que je vois que le frigo semble un peu plus proche qu’avant… et bizarrement angulé, en plus.  Imaginez mes yeux agrandis d’horreur à la perspective de ce qui risque d’arriver.  Je suis over forte en images mentales prémonitoires… 

 

Quand le jus d’orange ET le pot d’eau ont rejoint le sirop, je me suis dit que bon, je l’avais presque demandé à l’univers, hein…

 

Par contre, groooos anti-climax, le frigo ne m’est PAS tombé sur le dos (ça aurait été plus drôle… mais aussi beaucoup plus coûteux) et dans l’un de mes rares élans de logique, j’ai lâché la porte et j’ai risqué la plante de mes pieds pour redresser le truc à temps.  Je ne sais pas par quel miracle j’ai évité toute coupure, mais bon, je suis intacte, mon frigo aussi… et mon toaster a rendu l’âme, calciné. 

 

Il se repose maintenant au paradis des Toasters. 

Je pense que je vais m’acheter un four grille-pain, maintenant.  Ça ouvre les portes à touuuut un nouvel univers de gaffes, croyez-moi. 

 

Et bon, je passerai sur le nombre de fois où j’ai dû passer la vadrouille pour pouvoir marcher sur mon plancher sans rester collée.  Ou sur l’heure à laquelle je suis arrivée au travail.  Ou sur l’aura de  bonne humeur débordante et scintillante que je dégageais. Sans compter l’odeur de siro
p, qui n’est disparue qu’après 3 douches de mes cheveux. 

 

Alors bon. 

Je pense que je vais changer de sous-verres, hein… il ne faudrait pas que je fasse trop de publicité mensongère pour mes capacités culinaires.

52 Commentaires

Passer au formulaire de commentaire

  1. Ah, tu nous feras toujours rire… quand même, tu devrais les écrire, toutes ces gaffes, tu serais riche ! 

    1. Perrine: Naaaa, je ne sais pas écrire :)) Et bon, sur un blog, ça passe, dans un livre, c’est beaucoup moins intéressant 😉  Mais merci!

  2. MDR je suis! Tout ça dans une même matinée… Tu t’en sors plutôt bien: j’ai pensé un moment qu’il y aurait commotion cérébrale… Il y a vraiment certains matins où il faudrait juste rester au lit.

    Et oui, nous avons du Philadelphie, en Belgique du moins.

     

    1. Voyelle et Consonne: Dans les mêmes 8 minutes, je dirais même.  Et je suis généreuse!  Mais bon, gros anti-climax, pas de commotion, pas de frigo renversé… quand même!

  3. Mouahahaha !! Comment tu fais, je ne le comprendrai jamais 😉

    Par contre, le Philly comme tu dis, je n’en avais jamais entendu parler !

    1. Emeraude: Tu manques quelque chose alors ;))  Et bon, je pense que je mets le piton « on/off » de mon cerveau à off trop souvent… voilà comment je fais!

  4. Karine, tu me fais VRAIMENT peur.

    (Sinon, oui, on connaît le Philadelphia en France. Le secret d’un cheesecake réussi. Il est commercialisé seulement depuis quelques mois, par contre.)

    1. Caro: Je sais, scary. Je me fais peur moi-même.  Danger public, je dis!  Et non, je ne vois pas comment faire du gâteau au fromage sans Philadelphia!

  5. Dis donc, tu sais commencer tes journées toi 🙂

    J’adooooore le bagel/philadelphia ! Alors merci à Caro pour l’info !

    1. Cryssilda: Yep.  Je ne fais rien à moitié!

  6. comme toujours, j’adore ce que tu écris – c’est fou ce que je me retrouve dans tout ce que tu dis et pourtant je pourrais être ta grand mère 

    tes sous-verres sont les « jumeaux » des magnets sur mon frigo

    1. Niki: J’en ai aussi qui disent « Instead of cleaning the house, I turn off the lights ».  Ça me convient aussi tout à fait! ;))  Et bon, je me sens moins seule, si tu te retrouves… et non, pas ma grand-mère, quand même!  Je pense que tu es plus jeune que mes parents!

  7. Ma chère Karine, je n’ai pu encore une fois m’empêcher d’éclater de rire. décidément, il t’arrive toujours des trucs à la limite de l’incroyable. D’autres que toi voudraient le faire qu’ils n’y arriveraient pas, hein ! Je compatis ! 😉

    1. Bladelor: Le pire, c’est que souvent, alors que je suis en train d’exécuter mes géniales solutions à des mini-gaffes, je me dis que FORCÉMENT ce n’est pas une bonne idée.  Forcément.  Mais je le fais quand même.  Silly me.

  8. Oh boy! Il y a des aventures qui méritent une grosse série de sacres pour qu’on se sente mieux, mais celle-ci laisse vraiment sans voix. Il n’y a rien à faire à part observer, puis ramasser. Tu es bonne d’avoir continué ta journée. Je pense que je serais retournée au lit 🙂

    1. Melodie: Avec mes aventures, la plupart du temps, c’est exactement ça.  Observer avec un regard étonné ce nouveau coup du destin (ok, fortement influencé par moi), soupirer un bon coup et ramasser.  Et ensuite en rire!

  9. OMG. Moins catastrophique, mais tout aussi problèmatique, mon cher et tendre a réussi à coincer entre le radiateur mural et le mur (forcément), son téléphone super plat (mais pas suffisamment plat pour qu’il glisse tout du long et ressorte de l’autre côté). Téléphone du boulot, forcément, sinon, c’est pas marrant. Du coup, il a fallu démonter le radiateur. Et QUI a démonté le radiateur d’après-toi?????

    1. Choupy: Ah oui, celui du boulot.  Officellement,  le nôtre, c’Est moins drôle!  Démonter le radiateur… je pense que je serais morte là!  (Et bon, je t’avoue que je viens de vraiment éclater de rire à lire ça!)

  10. Oui, faut toujours que ce genre de trucs arrivent 2 min avant d’aller au boulot ! (moi j’ai mis le pied dans le seau avec la serpillière l’autre jour – mais qui l’avait laissé traîner là !!?? – alors tu vois, y’a vraiment plus ridicule !) Merci pour la bonne tranche de rigolade aujourd’hui !!

    1. Vilvirt: BEn oui, il faut que ça arrive quand on a pas le temps.  Sinon, ce n’est pas drôle.  Pour ta situation LA question qui tue… ton pied, il est resté pris dans le seau ou pas, hein? ;))

  11. Tu ne t’appellerais pas Susan Meyers par hasard ? Vraiment, j’imagine la scène dans un épisode des DH (et le Philadelphia vient d’arriver en France… c’est ma foi fort bon)

    1. L’irrégulière: Nope!  C’est celle qui est jouée pas Felicity Hoffman ou quelque chose du genre, ça?  Je n’écoute pas vraiment l’émission, en fait… je connais juste quelques références de base!

  12. Ho ma pauvre ! Bon le principal c’est de le prendre avec la bonne humeur… au final t’as quand même pu prendre ton petit déj’ ??

    1. Sandy: Ben… j’ai mangé des biscuits au beurre une fois arrivée à l’hôpital :))

  13. Il y a de bons jours… et de très mauvais jours.

    1. Aco0: Yep… de très mauvais.  Mais bon, je pense que ma normale n’est pas celle de la majorité des gens, en fait…

  14. Eh, bien, tu es vraiment gaffeuse en effet !
    J’adore ta manière de raconter tes mésaventures, tu sais vraiment les rendre drôle
    à lire !
    Et je vais tester la Philadelphia, je suis curieuse, du coup !

    1. Jaina: Merci, c’est gentil!  Et je suis terriblement gaffeuse… dans mon album de finissants à l’université, on m’appelait Gaston Lagaffe, rien de moins!

  15. Il t’arrive vraiment des aventure incroyables et en plus c’est raconté d’une telle façon qu’on s’y croit j’ai vraiment cru que le frigo allait te tombe dessus !!!

    Par contre je me pose une question … tu pars à 7H et tu te lèves à …. 5 H ? OMG mais que fais tu durant tout ce temps alors ? si ce n’est petit déjeuner ?

    Et se lever à 5 H, waohhhh je ne pourrais absolument pas pour ma part, xD

    1. Endea: Nope… ça aurait été plus drôle si le frigo m’était tombé dessus hein… mais non, mon histoire est plus normale comme ça!  Et oui, je me lève à 5h l’été… souvent 4h45.  L’hiver, c’est davantage 6h.  Je fonctionne avec le soleil, pas avec le cadran.  Le pire c’est que je ne fais pas exprès.  Et je brette sur l’ordi, je lis, je bois du thé… tout sauf ce que je devrais faire!

  16. ne le prends pas mal et j’ai déjà du te le dire mais j’adore quand il t’arrive ce genre de choses (sans que tu te fasses mal, cela va de soi) et que tu nous le raconte car je me dis qu’il y a légèrement pire que moi en terme de gaffes et ça me met de bonne humeur 🙂

    1. Kikine: Aucun problème 😉  Et je t’avoue que j’aime bien quand tu racontes tes gaffes aussi… ça me fait me sentir moins seule!

  17. si si, nous avons (enfin) le Philadelphia !!! (avec la pub « oh my gosh ! ») en France… longtemps après la Suisse !!!

    1. Lystig: Lucky you, alors!  Je mourrais sans Philadelphia, sérieux.  Et sans beurre de pinottes!

  18. le philadelphia est arrivé (enfin je n’en ai pas encore trouvé mais je suis au régime anyway, pas de cheese cake pour moi :-))… sinon, comment dire, sais-tu que tupperware fait de très beaux pots verseurs spécal sirop d’érable… en plastique ! Les casse-touts comme nous doivent révérer Tup, en vérité je te le dis !

    1. Yue: Ah non, au régime pas de cheesecake, c’est officiel!  Et le pot en vitre, c’est que je voulais avoir l’air fancy… nevermore, comme le dit un certain auteur!

  19. oui, he bien, je peux te dire que, sur le coup, on rigolait pas trop tu vois… 😀 mais bon, maintenant on peut en rire!!!

    1. Choupy: J’imagine que sur le coup, ça devait être le branle-bas de combat!

  20. Je suis fan de tes billets cuisine! D’abord, parce que j’ai l’impression d’être super douée en cuisine quand je les lis (bon, je n’ai pas de mérite, je ne fais plus rien en cuisine, mon mari fait tout). Mais en plus, j’y apprends des expressions comme: passer la vadrouille.

    1. Valérie: Merci!  À côté de moi, tout le monde est super doué en cuisine!  Le pire, c’Est que si je me donne la peine, c’est bon, ce que je cuisine… mais je ne te dis pas l’état de la dite cuisine après!

  21. 3 douches pour faire partir l’odeur ?? Mais c’est délicieux le sirop d’érable ! Si vraiment tu sentais à ce point, tous tes collègues de travail devaient avoir envie de te faire une grosse bise léchouillante quand ils te croisaient dans le couloir, non ??! Mouarf !!! 

    1. Turquoise: Oh mon dieu… pas de bisous au travail, pleeeease!  Bon, disons que dans les cheveux, ça se sent hein,  Surtout quand on est la tête qui est sous les dits cheveux.

  22. Salut, je suis tombée sous le charme de ce site et surtout des articles ! J’ai eu l’impression de lire un chapitre de roman de Chick-litt. Je pense qu’il y a des jours où on a vraiment la poisse, que sur le coup, on s’en arracherait bien les cheveux et qu’après ça nous fait bien rire. En tout cas, en général je me dis toujours que ce genre de choses n’arrivent qu’à moi ! Et je serais aussi du genre à ne pas penser à mettre des chaussures … En tout cas, tu devrais essayer d’écrire un roman, parce que tu as un véritable talent pour écrire ! @ plus

    1. Cynthia: Merci, c’est vraiment gentil de ta part, ça me fait vraiment plaisir.  Bon, pour l’écriture, je ne pense pas que ce soit pour moi, par contre.  Je n’ai pas la patience et ce qui passe bien sur un blog passe beaucoup moins sur papier!  Quant aux gaffes oui, vaut mieux en rire.  Après coup!

  23. Au fond ta vie est comme la mienne, mais en condensé… Cai il m’arrive souvent de faire brûler les toasts ou d’échapper des trucs, mais pas les deux en même temps!!

    1. Grominou: Je pense que le problème, avec moi, ce sont mes solutions géniales qui causent la plupart du temps le second problème!

  24. J’aime bien tes billets littéraires mais j’ai une franche préférence pour tes tranches de vie !!!!

    1. Hebelit: Le pire, c’Est que je pourrais en raconter 10 fois plus 😉  Sauf que bon, je vais rester quand même avec un blog principalement lecture… avec des tranches de vie de temps en temps!

  25. Oh que je suis meuuuchant ! J’ai tellement rit que je ne vois plus ce que j’écrits. Il y a des u qui en ont profité pour sortir de l’anonymat. La journée s’annonçait belle, maintenant elle est devenue belle et amusante. Merci !

     

    Le Papou

    1. Le Papou: C’est vilain de se moquer!  Tous ces « u »! ;))  Bonne journée de l’autre côté de l’océan!

  26. Euh…. MOUARF, ça va comme commentaire ??? Ceci étant, la gaffeuse que je suis ne va pas trop ricanner non plus… Pas plus tard qu’il y a dix jours, j’ai déclenché mon stupide détecteur de fumée en faisant cuir un pauvre steak au soja. J’avais pris une poêle en verre, le steak a attaché, et biiiip, biiiip, biiiiip ! Du coup maintenant quand je fais cuire un truc à risque, je mets le tabouret juste dessous le détecteur, histoire de gagner du temps ! 😉

    Et sinon, le Philadelphia, j’en ai déjà aperçu dans un rayon de mon supermarché. Et d’ailleurs je m’étais promis d’essayer !

    1. Aurore: Oui, ça va!  Il n’y a pas vraiment autre chose à ajouter hein!  Pauvre steak… je suis certaine qu’il était moins tendre parce qu’il a été stressé par le détecteur de fumée!

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.