Jours 88-89 – Paris et flâneries

Ouf!  De retour à Paris pour quelques jours après un mois intense de vagabondage. Et je ne reviens que pour mieux repartir samedi… et encore moins arrêter d’ici là! Ça promet hein! Je pense que j’étais un peu fatiguée vu que malgré que je me sois couchée hyper tôt, je me suis réveillée… le samedi matin à 10h30. Wow! Et vous dire à quel point je n’étais pas réveillée. Delphine me regardait virer en rond en cherchant… vous savez, quelque chose pour mettre le thé… avec une anse?  Ouais, c’est ça. Et je la cherchais dans la poubelle. Ça peut vous donner une idée de l’état brumeux de mon cerveau. Le pire, ce que je n’avais même pas bu la veille.

Delphine m’a sortie de ma léthargie à coups de thés et m’a botté le derrière pour que je parvienne à repérer le chemin de la douche (en me rappelant bien de prendre une serviette) et nous sommes parties nous balader vers Opéra… pour aller chez France Loisirs et dans une boutique de carnets. Vous pouvez vous imaginer que ça a été un peu plus long que prévu, qu’on a commenté TOUS les livres et qu’on a regardé TOUTES les cartes! Sinon ce n’est pas drôle!

Delphine m’abandonnait ensuite pour un souper chez des amis (elle prévoyait tellement picoler qu’elle a déterminé d’avance qu’elle dormait là) et moi, je n’ai RIEN foutu. Le blog déconnait (alors que j’avais prévu de faire des billets) alors j’ai été OBLIGÉE de jaser avec les copains d’un côté et de l’autre de l’océan. On a aussi préparé le prochain road trip, prévu un peu l’itinéraire… bref, on a été très efficaces dans notre rien-foutage. Si on veut.

Le lendemain (soit le « aujourd’hui » du moment où j’ai écrit le billet) n’a pas été mieux hein… Lecture, traînasseries, discussion avec le service à la clientèle de mon hébergeur, balade jusqu’à la gare pour changer un billet de train avant de manger.  Après le retour de Delphine, qui était légèrement léthargique, allez savoir pourquoi, on s’est rendues chez son marchand de thés pour admirer les jolies tasses et les magnifiques théières… ainsi que pour se taper la discute avec Monsieur Bonthés, qui connaît tout le quartier et qui est un champion de la placote. On est ressorties de là bourrées de thés (froid et chaud) et de cadeaux. Ya pire comme après-midi! Ou comme journée!

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